Prose:Souffre ! Souffre ! Souffre !
La Prose
Souffrance accumulée, génération de haine, implosive, puissante
Si le corps ne meurs pas, l’âme le ferra, si noire, quelle n’aime même plus sa propre inexistence
Si noire, que la vie elle-même, est une ennemie, a détruire
La mort, devenue adorée, et désirée, chagrin noir, et faux mortelle
Les yeux noirs, pourtant inconcevables, sont toujours rivés sur cette épave de la vie
L’ombre qui s’étend petit à petit, qui s’approprie l’âme martyrisée
La main qui s’approche, sans jamais sentir le contact froid du corps vide d’espoir
L’haleine putride, qui se fait sentir dans les narines épuisées de respirer pour rien de l’être perdu
Elle se tient debout, devant lui, le regard rougis, impénétrable, le manteau noir, qui tombe en lambeau et qui traîne sur le sol
Sa tête est cachée par l’ombre d’un capuchon et ses mains, squelettiques, tiennent une faux aiguisée a tel point qu’elle fend l’air
Elle admire son œuvre, l’homme, emplis d’une certaine joie, apercevant l’emprunte de l’énergie négative pure
Il pleure, implore sa mort, mais l’ombre ne bouge pas, et un sourire carnassier se fait voir au travers de l’ombre, un sourire sadique, de fierté, un sourire… Meurtrier
La mort joue, avec cet esprit mort-vivant
Un rire satanique se fait entendre, la mort ris, elle est heureuse, heureuse, de sa souffrance, heureuse de voir a quel point il n’en peux plus, et pourtant, elle le laisse vivre, juste pour le plaisir
L’homme comprend qu’elle ne l’aidera pas, il aura beau s’ouvrir toutes les veines, il vivra, il est le pion d’un jeu sadique, le jouet d’un esprit fou, mais lucide, intelligent, mais sadique
Et la mort approche, elle approche son visage du sien, lui murmure quelques mots, l’homme se fige, mort de peur, paralysé par les mots tels des poignards qui viennent de s’enfoncer dans sa carcasse
Et la mort souris, puis disparus, laissant derrière elle une plume noire, et une odeur putride
L’homme vécu pendant 200 ans, la mort lui rendu une dernière visite, rigolant plus, et lui tranchant enfin le faible lien qui le tenait en vie, horrible malédiction…
Si le corps ne meurs pas, l’âme le ferra, si noire, quelle n’aime même plus sa propre inexistence
Si noire, que la vie elle-même, est une ennemie, a détruire
La mort, devenue adorée, et désirée, chagrin noir, et faux mortelle
Les yeux noirs, pourtant inconcevables, sont toujours rivés sur cette épave de la vie
L’ombre qui s’étend petit à petit, qui s’approprie l’âme martyrisée
La main qui s’approche, sans jamais sentir le contact froid du corps vide d’espoir
L’haleine putride, qui se fait sentir dans les narines épuisées de respirer pour rien de l’être perdu
Elle se tient debout, devant lui, le regard rougis, impénétrable, le manteau noir, qui tombe en lambeau et qui traîne sur le sol
Sa tête est cachée par l’ombre d’un capuchon et ses mains, squelettiques, tiennent une faux aiguisée a tel point qu’elle fend l’air
Elle admire son œuvre, l’homme, emplis d’une certaine joie, apercevant l’emprunte de l’énergie négative pure
Il pleure, implore sa mort, mais l’ombre ne bouge pas, et un sourire carnassier se fait voir au travers de l’ombre, un sourire sadique, de fierté, un sourire… Meurtrier
La mort joue, avec cet esprit mort-vivant
Un rire satanique se fait entendre, la mort ris, elle est heureuse, heureuse, de sa souffrance, heureuse de voir a quel point il n’en peux plus, et pourtant, elle le laisse vivre, juste pour le plaisir
L’homme comprend qu’elle ne l’aidera pas, il aura beau s’ouvrir toutes les veines, il vivra, il est le pion d’un jeu sadique, le jouet d’un esprit fou, mais lucide, intelligent, mais sadique
Et la mort approche, elle approche son visage du sien, lui murmure quelques mots, l’homme se fige, mort de peur, paralysé par les mots tels des poignards qui viennent de s’enfoncer dans sa carcasse
Et la mort souris, puis disparus, laissant derrière elle une plume noire, et une odeur putride
L’homme vécu pendant 200 ans, la mort lui rendu une dernière visite, rigolant plus, et lui tranchant enfin le faible lien qui le tenait en vie, horrible malédiction…
Poète Inspi Naissante
Inspi Naissante a publié sur le site 16 écrits. Inspi Naissante est membre du site depuis l'année 2010.Lire le profil du poète Inspi NaissanteSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Souffre ! Souffre ! Souffre !
sufʁɑ̃sə akymyle, ʒeneʁasjɔ̃ də-εnə, ɛ̃plozivə, pɥisɑ̃təsi lə kɔʁ nə mœʁ pa, lamə lə feʁa, si nwaʁə, kεllə nεmə mεmə plys sa pʁɔpʁə inεksistɑ̃sə
si nwaʁə, kə la vi εllə mεmə, εt- ynə εnəmi, a detʁɥiʁə
la mɔʁ, dəvənɥ adɔʁe, e deziʁe, ʃaɡʁɛ̃ nwaʁ, e fo mɔʁtεllə
lεz- iø nwaʁ, puʁtɑ̃ ɛ̃kɔ̃səvablə, sɔ̃ tuʒuʁ ʁive syʁ sεtə epavə də la vi
lɔ̃bʁə ki setɑ̃ pəti a pəti, ki sapʁɔpʁi lamə maʁtiʁize
la mɛ̃ ki sapʁoʃə, sɑ̃ ʒamε sɑ̃tiʁ lə kɔ̃takt fʁwa dy kɔʁ vidə dεspwaʁ
lalεnə pytʁidə, ki sə fε sɑ̃tiʁ dɑ̃ lε naʁinəz- epɥize də ʁεspiʁe puʁ ʁjɛ̃ də lεtʁə pεʁdy
εllə sə tjɛ̃ dəbu, dəvɑ̃ lɥi, lə ʁəɡaʁ ʁuʒi, ɛ̃penetʁablə, lə mɑ̃to nwaʁ, ki tɔ̃bə ɑ̃ lɑ̃bo e ki tʁεnə syʁ lə sɔl
sa tεtə ε kaʃe paʁ lɔ̃bʁə dœ̃ kapyʃɔ̃ e sε mɛ̃, skəlεtik, tjεne ynə foz- εɡize a tεl pwɛ̃ kεllə fɑ̃ lεʁ
εllə admiʁə sɔ̃n- œvʁə, lɔmə, ɑ̃pli dynə sεʁtεnə ʒwa, apεʁsəvɑ̃ lɑ̃pʁœ̃tə də lenεʁʒi neɡativə pyʁə
il plœʁə, ɛ̃plɔʁə sa mɔʁ, mε lɔ̃bʁə nə buʒə pa, e œ̃ suʁiʁə kaʁnasje sə fε vwaʁ o tʁavεʁ də lɔ̃bʁə, œ̃ suʁiʁə sadikə, də fjεʁte, œ̃ suʁiʁə… məʁtʁje
la mɔʁ ʒu, avεk sεt εspʁi mɔʁ vivɑ̃
œ̃ ʁiʁə satanikə sə fε ɑ̃tɑ̃dʁə, la mɔʁ ʁis, εllə ε œʁøzə, œʁøzə, də sa sufʁɑ̃sə, œʁøzə də vwaʁ a kεl pwɛ̃ il nɑ̃ pø plys, e puʁtɑ̃, εllə lə lεsə vivʁə, ʒystə puʁ lə plεziʁ
lɔmə kɔ̃pʁɑ̃ kεllə nə lεdəʁa pa, il oʁa bo suvʁiʁ tutə lε vεnə, il vivʁa, il ε lə pjɔ̃ dœ̃ ʒø sadikə, lə ʒuε dœ̃n- εspʁi fu, mε lysidə, ɛ̃tεlliʒe, mε sadikə
e la mɔʁ apʁoʃə, εllə apʁoʃə sɔ̃ vizaʒə dy sjɛ̃, lɥi myʁmyʁə kεlk mo, lɔmə sə fiʒə, mɔʁ də pœʁ, paʁalize paʁ lε mo tεl dε pwaɲaʁd ki vjεne də sɑ̃fɔ̃se dɑ̃ sa kaʁkasə
e la mɔʁ suʁi, pɥi dispaʁys, lεsɑ̃ dəʁjεʁə εllə ynə plymə nwaʁə, e ynə ɔdœʁ pytʁidə
lɔmə veky pɑ̃dɑ̃ dø sɑ̃z- ɑ̃, la mɔʁ lɥi ʁɑ̃dy ynə dεʁnjεʁə vizitə, ʁiɡɔlɑ̃ plys, e lɥi tʁɑ̃ʃɑ̃ ɑ̃fɛ̃ lə fεblə ljɛ̃ ki lə tənε ɑ̃ vi, ɔʁiblə malediksjɔ̃…
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Commentaire Sur La Poesie
05/01/2010 17:49Inspi Naissante
Merci ^^
Prose - Sans Thème -
Du 04/01/2010 00:00
L'écrit contient 376 mots qui sont répartis dans 1 strophes.