Poeme : « Joyeux Anniversaire Papi »
« Joyeux Anniversaire Papi »
Papi, tu n’es plus avec nous sur terre,
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
Rien que pour mes sentiments
A ton égard te les exprimer,
Comme dans ton vivant.
En fait, rien n’y a changé,
Seulement tu n’es plus là,
Physiquement en vue
De ce délice jouir.
Mais au fond de moi-même,
En mon cœur et dans mon esprit,
Tu es plus que jamais vivant,
Je ne te vois pas mais, je te sens.
Tu es omniprésent, partout où je passe tu y es,
Tu me suis, et mes pas essaies de les guider
Telle une subdivision de l’amour divin ;
Il en est de même
Pour tous ceux que tu aimes.
Aujourd’hui serait et l’est ton anniversaire,
Dieu seul sait combien ce jour-la je l’attendais,
Je m’apprêtais à te faire à fêter avec toi
Comme jamais on ne l’avait fait avant
J’avais souhaité qu’il soit pour toi, un jour inoubliable.
Mais hélas, Dieu, dans son dessein pour nous
Ainsi, pour ses raisons personnelles, ne l’as voulu.
Incapable de supporter ce présent si triste,
Il ne me reste plus qu’au temps remonter
Et revivre le passé pour mieux appréhender le futur.
Le présent m’est trop choquant, trop sauvage,
Je n’arrive pas vraiment à le dompter.
J’ai l’impression d’être en train de rêver,
Un rêve de fort mauvais goût, un cauchemar.
Mon Dieu fais qu’un jour je me réveille ;
Que je voie que tout cela est loin d’être vrai.
Mais à quand ce fameux et sacré jour ?
Celui qui nous fera nous revoir ;
Qu’on puisse se prendre dans les bras ;
Se dire mutuellement combien on s’aime
D’un amour si fort, mais si tendre.
Un amour que même la mort n’a su vaincre ;
Un amour au summum de l’expression,
Des sentiments, mêmes les plus virulents ;
Un ras-de-marrée d’amour,
Un amour en crue, un amour en éruption.
En effet, aujourd’hui dimanche 20 janvier 2008
Nous rappelle tous tes proches ta naissance.
Qui aurait imaginé que tu ne serais parmi nous,
Pour ainsi célébrer tes 71 ans d’existence sur terre
Avec nous tes enfants qui tellement t’aimons ?
Mais, en ce qu’il parait,
L’amour de la providence pour toi
Est tellement supérieur à celui qui,
Pour toi nous inonde le cœur
Qu’il t’a réclamé et t’a ravi au nôtre.
Papi, tu n’es plus avec nous sur terre,
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
En fait, rien de cela, face à ce flot de sentiments
Qui, chaque jour davantage regorge tout mon être pour toi,
Oui, rien de cela ne m’importe :
Que tu me vois, m’écoutes et n’entendes ou non.
L’essentiel pour moi, une fois de plus
C’est de revivre pour moi ton amour
Ainsi que le mien à ton endroit,
Avec pour témoin, faute de ta présence,
Dieu et le monde entier.
Il s’agit donc de la preuve la plus tangible
De l’amour si grand d’un fils pour son père
Que même la mort n’a pu le porter à s’en défaire
Bien que sans savoir quoi en faire maintenant
Sinon que le verser sur du papier et à autrui en parler.
Je m’adonne donc à le vivre et à le revivre
Ce qui me traverse pour toi papa, comme si tu étais là,
A toute heure et à chaque instant, à côté de moi
Et ce, le plus abondamment que possible
Sans m’importer que cela à plus d’un
Puisse paraitre insensé et même ridicule.
A travers de toi mes plus beaux souvenirs ;
A travers tes rêves, tes objectifs ;
A travers tes principes et à travers de la vie,
Ta conception, ta vision et ta philosophie ;
Papi tu continueras à vivre tant que je suis en vie.
Ainsi, aujourd’hui, permets-moi,
Bien que tu ne sois plus d’ici,
Mais par l’amour vrai si grand,
Avec toi qui pour toujours m’unit,
Te dire mon habituel « Joyeux Anniversaire Papi »
Qui aurait imaginé que tu ne serais parmi nous,
Pour ainsi célébrer tes 71 ans d’existence sur terre
Avec nous tes enfants qui tellement t’aimons ?
Mais, en ce qu’il parait,
L’amour de la providence pour toi
Est tellement supérieur à celui qui,
Pour toi nous inonde le cœur
Qu’il t’a réclamé et t’a ravi au nôtre.
Papi, tu n’es plus avec nous sur terre,
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
En fait, rien de cela, face à ce flot de sentiments
Qui, chaque jour davantage regorge tout mon être pour toi,
Oui, rien de cela ne m’importe :
Que tu me vois, m’écoutes et n’entendes ou non.
L’essentiel pour moi, une fois de plus
C’est de revivre pour moi ton amour
Ainsi que le mien à ton endroit,
Avec pour témoin, faute de ta présence,
Dieu et le monde entier.
Il s’agit donc de la preuve la plus tangible
De l’amour si grand d’un fils pour son père
Que même la mort n’a pu le porter à s’en défaire
Bien que sans savoir quoi en faire maintenant
Sinon que le verser sur du papier et à autrui en parler.
Je m’adonne donc à le vivre et à le revivre
Ce qui me traverse pour toi papa, comme si tu étais là,
A toute heure et à chaque instant, à côté de moi
Et ce, le plus abondamment que possible
Sans m’importer que cela à plus d’un
Puisse paraitre insensé et même ridicule.
A travers de toi mes plus beaux souvenirs,
A travers tes rêves, tes objectifs,
A travers tes principes et à travers de la vie,
Ta conception, ta vision et ta philosophie,
Papi tu continueras à vivre tant que je suis en vie.
Ainsi, aujourd’hui, permets-moi,
Bien que tu ne sois plus d’ici,
Mais par l’amour vrai si grand,
Avec toi qui pour toujours m’unit,
Te dire mon habituel « Joyeux Anniversaire Papi »
Camilingue
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
Rien que pour mes sentiments
A ton égard te les exprimer,
Comme dans ton vivant.
En fait, rien n’y a changé,
Seulement tu n’es plus là,
Physiquement en vue
De ce délice jouir.
Mais au fond de moi-même,
En mon cœur et dans mon esprit,
Tu es plus que jamais vivant,
Je ne te vois pas mais, je te sens.
Tu es omniprésent, partout où je passe tu y es,
Tu me suis, et mes pas essaies de les guider
Telle une subdivision de l’amour divin ;
Il en est de même
Pour tous ceux que tu aimes.
Aujourd’hui serait et l’est ton anniversaire,
Dieu seul sait combien ce jour-la je l’attendais,
Je m’apprêtais à te faire à fêter avec toi
Comme jamais on ne l’avait fait avant
J’avais souhaité qu’il soit pour toi, un jour inoubliable.
Mais hélas, Dieu, dans son dessein pour nous
Ainsi, pour ses raisons personnelles, ne l’as voulu.
Incapable de supporter ce présent si triste,
Il ne me reste plus qu’au temps remonter
Et revivre le passé pour mieux appréhender le futur.
Le présent m’est trop choquant, trop sauvage,
Je n’arrive pas vraiment à le dompter.
J’ai l’impression d’être en train de rêver,
Un rêve de fort mauvais goût, un cauchemar.
Mon Dieu fais qu’un jour je me réveille ;
Que je voie que tout cela est loin d’être vrai.
Mais à quand ce fameux et sacré jour ?
Celui qui nous fera nous revoir ;
Qu’on puisse se prendre dans les bras ;
Se dire mutuellement combien on s’aime
D’un amour si fort, mais si tendre.
Un amour que même la mort n’a su vaincre ;
Un amour au summum de l’expression,
Des sentiments, mêmes les plus virulents ;
Un ras-de-marrée d’amour,
Un amour en crue, un amour en éruption.
En effet, aujourd’hui dimanche 20 janvier 2008
Nous rappelle tous tes proches ta naissance.
Qui aurait imaginé que tu ne serais parmi nous,
Pour ainsi célébrer tes 71 ans d’existence sur terre
Avec nous tes enfants qui tellement t’aimons ?
Mais, en ce qu’il parait,
L’amour de la providence pour toi
Est tellement supérieur à celui qui,
Pour toi nous inonde le cœur
Qu’il t’a réclamé et t’a ravi au nôtre.
Papi, tu n’es plus avec nous sur terre,
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
En fait, rien de cela, face à ce flot de sentiments
Qui, chaque jour davantage regorge tout mon être pour toi,
Oui, rien de cela ne m’importe :
Que tu me vois, m’écoutes et n’entendes ou non.
L’essentiel pour moi, une fois de plus
C’est de revivre pour moi ton amour
Ainsi que le mien à ton endroit,
Avec pour témoin, faute de ta présence,
Dieu et le monde entier.
Il s’agit donc de la preuve la plus tangible
De l’amour si grand d’un fils pour son père
Que même la mort n’a pu le porter à s’en défaire
Bien que sans savoir quoi en faire maintenant
Sinon que le verser sur du papier et à autrui en parler.
Je m’adonne donc à le vivre et à le revivre
Ce qui me traverse pour toi papa, comme si tu étais là,
A toute heure et à chaque instant, à côté de moi
Et ce, le plus abondamment que possible
Sans m’importer que cela à plus d’un
Puisse paraitre insensé et même ridicule.
A travers de toi mes plus beaux souvenirs ;
A travers tes rêves, tes objectifs ;
A travers tes principes et à travers de la vie,
Ta conception, ta vision et ta philosophie ;
Papi tu continueras à vivre tant que je suis en vie.
Ainsi, aujourd’hui, permets-moi,
Bien que tu ne sois plus d’ici,
Mais par l’amour vrai si grand,
Avec toi qui pour toujours m’unit,
Te dire mon habituel « Joyeux Anniversaire Papi »
Qui aurait imaginé que tu ne serais parmi nous,
Pour ainsi célébrer tes 71 ans d’existence sur terre
Avec nous tes enfants qui tellement t’aimons ?
Mais, en ce qu’il parait,
L’amour de la providence pour toi
Est tellement supérieur à celui qui,
Pour toi nous inonde le cœur
Qu’il t’a réclamé et t’a ravi au nôtre.
Papi, tu n’es plus avec nous sur terre,
C’est donc pour personne un secret.
J’ignore réellement où tu es,
Où tu te retrouves, comment tu te sens,
Ce que tu fais.
Je ne sais, là où tu te trouves, si tu me vois,
Si tu m’entends, si tu peux m’écouter
Ou encore mes vers pour toi lire,
Mais, j’écris quand même.
En fait, rien de cela, face à ce flot de sentiments
Qui, chaque jour davantage regorge tout mon être pour toi,
Oui, rien de cela ne m’importe :
Que tu me vois, m’écoutes et n’entendes ou non.
L’essentiel pour moi, une fois de plus
C’est de revivre pour moi ton amour
Ainsi que le mien à ton endroit,
Avec pour témoin, faute de ta présence,
Dieu et le monde entier.
Il s’agit donc de la preuve la plus tangible
De l’amour si grand d’un fils pour son père
Que même la mort n’a pu le porter à s’en défaire
Bien que sans savoir quoi en faire maintenant
Sinon que le verser sur du papier et à autrui en parler.
Je m’adonne donc à le vivre et à le revivre
Ce qui me traverse pour toi papa, comme si tu étais là,
A toute heure et à chaque instant, à côté de moi
Et ce, le plus abondamment que possible
Sans m’importer que cela à plus d’un
Puisse paraitre insensé et même ridicule.
A travers de toi mes plus beaux souvenirs,
A travers tes rêves, tes objectifs,
A travers tes principes et à travers de la vie,
Ta conception, ta vision et ta philosophie,
Papi tu continueras à vivre tant que je suis en vie.
Ainsi, aujourd’hui, permets-moi,
Bien que tu ne sois plus d’ici,
Mais par l’amour vrai si grand,
Avec toi qui pour toujours m’unit,
Te dire mon habituel « Joyeux Anniversaire Papi »
Camilingue
Camilingue@Yahoo.ca
PostScriptum
Qui d’autre te dire papi sinon que ton absence mon cœur brise. Je me demande s’il a quelqu’un ou quelque chose au monde à réparer les dégâts qu’en moi ton départ a causes. Tu me manques énormément papi ; je ne cesserai jamais de t’aimer. Et rien ne pourra m’empêcher chaque 20 janvier de te souhaiter : « Joyeux Anniversaire Papi »
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Poème en Phonétique
papi, ty nε plysz- avεk nu syʁ teʁə,
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ʁjɛ̃ kə puʁ mε sɑ̃timɑ̃
a tɔ̃n- eɡaʁ tə lεz- εkspʁime,
kɔmə dɑ̃ tɔ̃ vivɑ̃.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ ni a ʃɑ̃ʒe,
sələmɑ̃ ty nε plys la,
fizikəmɑ̃ ɑ̃ vɥ
də sə delisə ʒuiʁ.
mεz- o fɔ̃ də mwa mεmə,
ɑ̃ mɔ̃ kœʁ e dɑ̃ mɔ̃n- εspʁi,
ty ε plys kə ʒamε vivɑ̃,
ʒə nə tə vwa pa mε, ʒə tə sɑ̃s.
ty ε ɔmnipʁezɑ̃, paʁtu u ʒə pasə ty i ε,
ty mə sɥi, e mε pa esε də lε ɡide
tεllə ynə sybdivizjɔ̃ də lamuʁ divɛ̃,
il ɑ̃n- ε də mεmə
puʁ tus sø kə ty εmə.
oʒuʁdɥi səʁε e lε tɔ̃n- anivεʁsεʁə,
djø səl sε kɔ̃bjɛ̃ sə ʒuʁ la ʒə latɑ̃dε,
ʒə mapʁεtεz- a tə fεʁə a fεte avεk twa
kɔmə ʒamεz- ɔ̃ nə lavε fε avɑ̃
ʒavε suεte kil swa puʁ twa, œ̃ ʒuʁ inubljablə.
mεz- ela, djø, dɑ̃ sɔ̃ desɛ̃ puʁ nu
ɛ̃si, puʁ sε ʁεzɔ̃ pεʁsɔnεllə, nə la vuly.
ɛ̃kapablə də sypɔʁte sə pʁezɑ̃ si tʁistə,
il nə mə ʁεstə plys ko tɑ̃ ʁəmɔ̃te
e ʁəvivʁə lə pase puʁ mjøz- apʁeɑ̃de lə fytyʁ.
lə pʁezɑ̃ mε tʁo ʃɔkɑ̃, tʁo sovaʒə,
ʒə naʁivə pa vʁεmɑ̃ a lə dɔ̃pte.
ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ dεtʁə ɑ̃ tʁɛ̃ də ʁεve,
œ̃ ʁεvə də fɔʁ movε ɡu, œ̃ koʃəmaʁ.
mɔ̃ djø fε kœ̃ ʒuʁ ʒə mə ʁevεjə,
kə ʒə vwa kə tu səla ε lwɛ̃ dεtʁə vʁε.
mεz- a kɑ̃ sə famøz- e sakʁe ʒuʁ ?
səlɥi ki nu fəʁa nu ʁəvwaʁ,
kɔ̃ pɥisə sə pʁɑ̃dʁə dɑ̃ lε bʁa,
sə diʁə mytɥεllmɑ̃ kɔ̃bjɛ̃ ɔ̃ sεmə
dœ̃n- amuʁ si fɔʁ, mε si tɑ̃dʁə.
œ̃n- amuʁ kə mεmə la mɔʁ na sy vɛ̃kʁə,
œ̃n- amuʁ o symɔm də lεkspʁesjɔ̃,
dε sɑ̃timɑ̃, mεmə lε plys viʁylɑ̃,
œ̃ ʁa də maʁe damuʁ,
œ̃n- amuʁ ɑ̃ kʁy, œ̃n- amuʁ ɑ̃n- eʁypsjɔ̃.
ɑ̃n- efε, oʒuʁdɥi dimɑ̃ʃə vɛ̃ ʒɑ̃vje dø milə ɥit
nu ʁapεllə tus tε pʁoʃə ta nεsɑ̃sə.
ki oʁε imaʒine kə ty nə səʁε paʁmi nu,
puʁ ɛ̃si selebʁe tε swasɑ̃tə e ɔ̃zə ɑ̃ dεɡzistɑ̃sə syʁ teʁə
avεk nu tεz- ɑ̃fɑ̃ ki tεllmɑ̃ tεmɔ̃ ?
mε, ɑ̃ sə kil paʁε,
lamuʁ də la pʁɔvidɑ̃sə puʁ twa
ε tεllmɑ̃ sypeʁjœʁ a səlɥi ki,
puʁ twa nuz- inɔ̃də lə kœʁ
kil ta ʁeklame e ta ʁavi o notʁə.
papi, ty nε plysz- avεk nu syʁ teʁə,
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ də səla, fasə a sə flo də sɑ̃timɑ̃
ki, ʃakə ʒuʁ davɑ̃taʒə ʁəɡɔʁʒə tu mɔ̃n- εtʁə puʁ twa,
ui, ʁjɛ̃ də səla nə mɛ̃pɔʁtə :
kə ty mə vwa, mekutəz- e nɑ̃tɑ̃dəz- u nɔ̃.
lesɑ̃sjεl puʁ mwa, ynə fwa də plys
sε də ʁəvivʁə puʁ mwa tɔ̃n- amuʁ
ɛ̃si kə lə mjɛ̃ a tɔ̃n- ɑ̃dʁwa,
avεk puʁ temwɛ̃, fotə də ta pʁezɑ̃sə,
djø e lə mɔ̃də ɑ̃tje.
il saʒi dɔ̃k də la pʁəvə la plys tɑ̃ʒiblə
də lamuʁ si ɡʁɑ̃ dœ̃ fis puʁ sɔ̃ pεʁə
kə mεmə la mɔʁ na py lə pɔʁte a sɑ̃ defεʁə
bjɛ̃ kə sɑ̃ savwaʁ kwa ɑ̃ fεʁə mɛ̃tənɑ̃
sinɔ̃ kə lə vεʁse syʁ dy papje e a otʁɥi ɑ̃ paʁle.
ʒə madɔnə dɔ̃k a lə vivʁə e a lə ʁəvivʁə
sə ki mə tʁavεʁsə puʁ twa papa, kɔmə si ty etε la,
a tutə œʁ e a ʃakə ɛ̃stɑ̃, a kote də mwa
e sə, lə plysz- abɔ̃damɑ̃ kə pɔsiblə
sɑ̃ mɛ̃pɔʁte kə səla a plys dœ̃
pɥisə paʁεtʁə ɛ̃sɑ̃se e mεmə ʁidikylə.
a tʁavεʁ də twa mε plys bo suvəniʁ,
a tʁavεʁ tε ʁεvə, tεz- ɔbʒεktif,
a tʁavεʁ tε pʁɛ̃sipəz- e a tʁavεʁ də la vi,
ta kɔ̃sεpsjɔ̃, ta vizjɔ̃ e ta filozɔfi,
papi ty kɔ̃tinɥəʁaz- a vivʁə tɑ̃ kə ʒə sɥiz- ɑ̃ vi.
ɛ̃si, oʒuʁdɥi, pεʁmε mwa,
bjɛ̃ kə ty nə swa plys disi,
mε paʁ lamuʁ vʁε si ɡʁɑ̃,
avεk twa ki puʁ tuʒuʁ myni,
tə diʁə mɔ̃-abitɥəl « ʒwajøz- anivεʁsεʁə papi »
ki oʁε imaʒine kə ty nə səʁε paʁmi nu,
puʁ ɛ̃si selebʁe tε swasɑ̃tə e ɔ̃zə ɑ̃ dεɡzistɑ̃sə syʁ teʁə
avεk nu tεz- ɑ̃fɑ̃ ki tεllmɑ̃ tεmɔ̃ ?
mε, ɑ̃ sə kil paʁε,
lamuʁ də la pʁɔvidɑ̃sə puʁ twa
ε tεllmɑ̃ sypeʁjœʁ a səlɥi ki,
puʁ twa nuz- inɔ̃də lə kœʁ
kil ta ʁeklame e ta ʁavi o notʁə.
papi, ty nε plysz- avεk nu syʁ teʁə,
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ də səla, fasə a sə flo də sɑ̃timɑ̃
ki, ʃakə ʒuʁ davɑ̃taʒə ʁəɡɔʁʒə tu mɔ̃n- εtʁə puʁ twa,
ui, ʁjɛ̃ də səla nə mɛ̃pɔʁtə :
kə ty mə vwa, mekutəz- e nɑ̃tɑ̃dəz- u nɔ̃.
lesɑ̃sjεl puʁ mwa, ynə fwa də plys
sε də ʁəvivʁə puʁ mwa tɔ̃n- amuʁ
ɛ̃si kə lə mjɛ̃ a tɔ̃n- ɑ̃dʁwa,
avεk puʁ temwɛ̃, fotə də ta pʁezɑ̃sə,
djø e lə mɔ̃də ɑ̃tje.
il saʒi dɔ̃k də la pʁəvə la plys tɑ̃ʒiblə
də lamuʁ si ɡʁɑ̃ dœ̃ fis puʁ sɔ̃ pεʁə
kə mεmə la mɔʁ na py lə pɔʁte a sɑ̃ defεʁə
bjɛ̃ kə sɑ̃ savwaʁ kwa ɑ̃ fεʁə mɛ̃tənɑ̃
sinɔ̃ kə lə vεʁse syʁ dy papje e a otʁɥi ɑ̃ paʁle.
ʒə madɔnə dɔ̃k a lə vivʁə e a lə ʁəvivʁə
sə ki mə tʁavεʁsə puʁ twa papa, kɔmə si ty etε la,
a tutə œʁ e a ʃakə ɛ̃stɑ̃, a kote də mwa
e sə, lə plysz- abɔ̃damɑ̃ kə pɔsiblə
sɑ̃ mɛ̃pɔʁte kə səla a plys dœ̃
pɥisə paʁεtʁə ɛ̃sɑ̃se e mεmə ʁidikylə.
a tʁavεʁ də twa mε plys bo suvəniʁ,
a tʁavεʁ tε ʁεvə, tεz- ɔbʒεktif,
a tʁavεʁ tε pʁɛ̃sipəz- e a tʁavεʁ də la vi,
ta kɔ̃sεpsjɔ̃, ta vizjɔ̃ e ta filozɔfi,
papi ty kɔ̃tinɥəʁaz- a vivʁə tɑ̃ kə ʒə sɥiz- ɑ̃ vi.
ɛ̃si, oʒuʁdɥi, pεʁmε mwa,
bjɛ̃ kə ty nə swa plys disi,
mε paʁ lamuʁ vʁε si ɡʁɑ̃,
avεk twa ki puʁ tuʒuʁ myni,
tə diʁə mɔ̃-abitɥəl « ʒwajøz- anivεʁsεʁə papi »
kamilɛ̃ɡ
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ʁjɛ̃ kə puʁ mε sɑ̃timɑ̃
a tɔ̃n- eɡaʁ tə lεz- εkspʁime,
kɔmə dɑ̃ tɔ̃ vivɑ̃.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ ni a ʃɑ̃ʒe,
sələmɑ̃ ty nε plys la,
fizikəmɑ̃ ɑ̃ vɥ
də sə delisə ʒuiʁ.
mεz- o fɔ̃ də mwa mεmə,
ɑ̃ mɔ̃ kœʁ e dɑ̃ mɔ̃n- εspʁi,
ty ε plys kə ʒamε vivɑ̃,
ʒə nə tə vwa pa mε, ʒə tə sɑ̃s.
ty ε ɔmnipʁezɑ̃, paʁtu u ʒə pasə ty i ε,
ty mə sɥi, e mε pa esε də lε ɡide
tεllə ynə sybdivizjɔ̃ də lamuʁ divɛ̃,
il ɑ̃n- ε də mεmə
puʁ tus sø kə ty εmə.
oʒuʁdɥi səʁε e lε tɔ̃n- anivεʁsεʁə,
djø səl sε kɔ̃bjɛ̃ sə ʒuʁ la ʒə latɑ̃dε,
ʒə mapʁεtεz- a tə fεʁə a fεte avεk twa
kɔmə ʒamεz- ɔ̃ nə lavε fε avɑ̃
ʒavε suεte kil swa puʁ twa, œ̃ ʒuʁ inubljablə.
mεz- ela, djø, dɑ̃ sɔ̃ desɛ̃ puʁ nu
ɛ̃si, puʁ sε ʁεzɔ̃ pεʁsɔnεllə, nə la vuly.
ɛ̃kapablə də sypɔʁte sə pʁezɑ̃ si tʁistə,
il nə mə ʁεstə plys ko tɑ̃ ʁəmɔ̃te
e ʁəvivʁə lə pase puʁ mjøz- apʁeɑ̃de lə fytyʁ.
lə pʁezɑ̃ mε tʁo ʃɔkɑ̃, tʁo sovaʒə,
ʒə naʁivə pa vʁεmɑ̃ a lə dɔ̃pte.
ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ dεtʁə ɑ̃ tʁɛ̃ də ʁεve,
œ̃ ʁεvə də fɔʁ movε ɡu, œ̃ koʃəmaʁ.
mɔ̃ djø fε kœ̃ ʒuʁ ʒə mə ʁevεjə,
kə ʒə vwa kə tu səla ε lwɛ̃ dεtʁə vʁε.
mεz- a kɑ̃ sə famøz- e sakʁe ʒuʁ ?
səlɥi ki nu fəʁa nu ʁəvwaʁ,
kɔ̃ pɥisə sə pʁɑ̃dʁə dɑ̃ lε bʁa,
sə diʁə mytɥεllmɑ̃ kɔ̃bjɛ̃ ɔ̃ sεmə
dœ̃n- amuʁ si fɔʁ, mε si tɑ̃dʁə.
œ̃n- amuʁ kə mεmə la mɔʁ na sy vɛ̃kʁə,
œ̃n- amuʁ o symɔm də lεkspʁesjɔ̃,
dε sɑ̃timɑ̃, mεmə lε plys viʁylɑ̃,
œ̃ ʁa də maʁe damuʁ,
œ̃n- amuʁ ɑ̃ kʁy, œ̃n- amuʁ ɑ̃n- eʁypsjɔ̃.
ɑ̃n- efε, oʒuʁdɥi dimɑ̃ʃə vɛ̃ ʒɑ̃vje dø milə ɥit
nu ʁapεllə tus tε pʁoʃə ta nεsɑ̃sə.
ki oʁε imaʒine kə ty nə səʁε paʁmi nu,
puʁ ɛ̃si selebʁe tε swasɑ̃tə e ɔ̃zə ɑ̃ dεɡzistɑ̃sə syʁ teʁə
avεk nu tεz- ɑ̃fɑ̃ ki tεllmɑ̃ tεmɔ̃ ?
mε, ɑ̃ sə kil paʁε,
lamuʁ də la pʁɔvidɑ̃sə puʁ twa
ε tεllmɑ̃ sypeʁjœʁ a səlɥi ki,
puʁ twa nuz- inɔ̃də lə kœʁ
kil ta ʁeklame e ta ʁavi o notʁə.
papi, ty nε plysz- avεk nu syʁ teʁə,
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ də səla, fasə a sə flo də sɑ̃timɑ̃
ki, ʃakə ʒuʁ davɑ̃taʒə ʁəɡɔʁʒə tu mɔ̃n- εtʁə puʁ twa,
ui, ʁjɛ̃ də səla nə mɛ̃pɔʁtə :
kə ty mə vwa, mekutəz- e nɑ̃tɑ̃dəz- u nɔ̃.
lesɑ̃sjεl puʁ mwa, ynə fwa də plys
sε də ʁəvivʁə puʁ mwa tɔ̃n- amuʁ
ɛ̃si kə lə mjɛ̃ a tɔ̃n- ɑ̃dʁwa,
avεk puʁ temwɛ̃, fotə də ta pʁezɑ̃sə,
djø e lə mɔ̃də ɑ̃tje.
il saʒi dɔ̃k də la pʁəvə la plys tɑ̃ʒiblə
də lamuʁ si ɡʁɑ̃ dœ̃ fis puʁ sɔ̃ pεʁə
kə mεmə la mɔʁ na py lə pɔʁte a sɑ̃ defεʁə
bjɛ̃ kə sɑ̃ savwaʁ kwa ɑ̃ fεʁə mɛ̃tənɑ̃
sinɔ̃ kə lə vεʁse syʁ dy papje e a otʁɥi ɑ̃ paʁle.
ʒə madɔnə dɔ̃k a lə vivʁə e a lə ʁəvivʁə
sə ki mə tʁavεʁsə puʁ twa papa, kɔmə si ty etε la,
a tutə œʁ e a ʃakə ɛ̃stɑ̃, a kote də mwa
e sə, lə plysz- abɔ̃damɑ̃ kə pɔsiblə
sɑ̃ mɛ̃pɔʁte kə səla a plys dœ̃
pɥisə paʁεtʁə ɛ̃sɑ̃se e mεmə ʁidikylə.
a tʁavεʁ də twa mε plys bo suvəniʁ,
a tʁavεʁ tε ʁεvə, tεz- ɔbʒεktif,
a tʁavεʁ tε pʁɛ̃sipəz- e a tʁavεʁ də la vi,
ta kɔ̃sεpsjɔ̃, ta vizjɔ̃ e ta filozɔfi,
papi ty kɔ̃tinɥəʁaz- a vivʁə tɑ̃ kə ʒə sɥiz- ɑ̃ vi.
ɛ̃si, oʒuʁdɥi, pεʁmε mwa,
bjɛ̃ kə ty nə swa plys disi,
mε paʁ lamuʁ vʁε si ɡʁɑ̃,
avεk twa ki puʁ tuʒuʁ myni,
tə diʁə mɔ̃-abitɥəl « ʒwajøz- anivεʁsεʁə papi »
ki oʁε imaʒine kə ty nə səʁε paʁmi nu,
puʁ ɛ̃si selebʁe tε swasɑ̃tə e ɔ̃zə ɑ̃ dεɡzistɑ̃sə syʁ teʁə
avεk nu tεz- ɑ̃fɑ̃ ki tεllmɑ̃ tεmɔ̃ ?
mε, ɑ̃ sə kil paʁε,
lamuʁ də la pʁɔvidɑ̃sə puʁ twa
ε tεllmɑ̃ sypeʁjœʁ a səlɥi ki,
puʁ twa nuz- inɔ̃də lə kœʁ
kil ta ʁeklame e ta ʁavi o notʁə.
papi, ty nε plysz- avεk nu syʁ teʁə,
sε dɔ̃k puʁ pεʁsɔnə œ̃ sεkʁε.
ʒiɲɔʁə ʁeεllmɑ̃ u ty ε,
u ty tə ʁətʁuvə, kɔmɑ̃ ty tə sɑ̃s,
sə kə ty fε.
ʒə nə sε, la u ty tə tʁuvə, si ty mə vwa,
si ty mɑ̃tɑ̃, si ty pø mekute
u ɑ̃kɔʁə mε vεʁ puʁ twa liʁə,
mε, ʒekʁi kɑ̃ mεmə.
ɑ̃ fε, ʁjɛ̃ də səla, fasə a sə flo də sɑ̃timɑ̃
ki, ʃakə ʒuʁ davɑ̃taʒə ʁəɡɔʁʒə tu mɔ̃n- εtʁə puʁ twa,
ui, ʁjɛ̃ də səla nə mɛ̃pɔʁtə :
kə ty mə vwa, mekutəz- e nɑ̃tɑ̃dəz- u nɔ̃.
lesɑ̃sjεl puʁ mwa, ynə fwa də plys
sε də ʁəvivʁə puʁ mwa tɔ̃n- amuʁ
ɛ̃si kə lə mjɛ̃ a tɔ̃n- ɑ̃dʁwa,
avεk puʁ temwɛ̃, fotə də ta pʁezɑ̃sə,
djø e lə mɔ̃də ɑ̃tje.
il saʒi dɔ̃k də la pʁəvə la plys tɑ̃ʒiblə
də lamuʁ si ɡʁɑ̃ dœ̃ fis puʁ sɔ̃ pεʁə
kə mεmə la mɔʁ na py lə pɔʁte a sɑ̃ defεʁə
bjɛ̃ kə sɑ̃ savwaʁ kwa ɑ̃ fεʁə mɛ̃tənɑ̃
sinɔ̃ kə lə vεʁse syʁ dy papje e a otʁɥi ɑ̃ paʁle.
ʒə madɔnə dɔ̃k a lə vivʁə e a lə ʁəvivʁə
sə ki mə tʁavεʁsə puʁ twa papa, kɔmə si ty etε la,
a tutə œʁ e a ʃakə ɛ̃stɑ̃, a kote də mwa
e sə, lə plysz- abɔ̃damɑ̃ kə pɔsiblə
sɑ̃ mɛ̃pɔʁte kə səla a plys dœ̃
pɥisə paʁεtʁə ɛ̃sɑ̃se e mεmə ʁidikylə.
a tʁavεʁ də twa mε plys bo suvəniʁ,
a tʁavεʁ tε ʁεvə, tεz- ɔbʒεktif,
a tʁavεʁ tε pʁɛ̃sipəz- e a tʁavεʁ də la vi,
ta kɔ̃sεpsjɔ̃, ta vizjɔ̃ e ta filozɔfi,
papi ty kɔ̃tinɥəʁaz- a vivʁə tɑ̃ kə ʒə sɥiz- ɑ̃ vi.
ɛ̃si, oʒuʁdɥi, pεʁmε mwa,
bjɛ̃ kə ty nə swa plys disi,
mε paʁ lamuʁ vʁε si ɡʁɑ̃,
avεk twa ki puʁ tuʒuʁ myni,
tə diʁə mɔ̃-abitɥəl « ʒwajøz- anivεʁsεʁə papi »
kamilɛ̃ɡ