Poème:Idocd Ou Idée De Dieu Ou Celle Du Diable

En effet, je le sais,
C’est à la fois curieux et intrigant.
Plus d’un se demande
Ce que cela bien vouloir dire IDOCD.
Ben je vous dirai tout simplement
Sans trop d’intrigue ni de tergiversation :
« L’Idée de Dieu ou celle du Diable »
Que j’ai choisi de mettre en abréviation
En guise à ce petit texte de titrage,
Sans pour autant m’adonner à l’outrage
Ne se voulant malgré lui, qu’un rarissime poème,
Sans aucune velléité d’abasourdir intriguer les gens
Ni de tournoiement perplexe de la mes lecture.
Alors, en route vers une promenade
A travers l’univers perplexe de la spiritualité
Via ma poésie, vrai gabarie de ma vie la philosophie.
Je vous en invite à son exploration,
Sans perte de temps.
Après tout, je peux témoigner de par moi-même
De la véracité de l’existence, quelque part
Enfouie dans les confins de l’univers, d’une entité déique,
Responsable du chaos organisé que s’avère la création.
Tout en rejetant d’un tour de main,
Celle du hasard ou du bing bang
Dont la promotion est très répandue
De la part de certains hautains.

Cependant, ce dont plus d’un ignore,
Ou tout simplement n’y prêtent pas attention,
Et dont moi-même j’en suis certain
Et en plus en demeure plus que convaincu,
C’est qu’à l’origine, et aujourd’hui plus que jamais,
Sa manifestation n’est nulle part ailleurs qu’en nous.
Tout comme il est le cas pour son complément d’ailleurs !
D’un sommeil tendre et suspicieux ils nichent en nous,
Avec l’esprit toujours aux aguets,
En attente de l’occasion propice,
Par le biais d’un soubresaut en nous d’humeur
Pour répandre de leurs actions la rumeur
Qui ne tardera pas à se convertir en un fait concret
Et provoquer quant aux autre la stupeur.
Dès lors, ils ne se taisent plus
Et cessent d’être voués à l’inaction.
Ils s’expriment donc au gré de nos sentiments les plus profonds
Ainsi qu’à celui de nos tempéraments agréables ou chiants,
Pour se faire sentir dans nos plus petites actions et nos moindres gestes.
Car nos cœurs et nos pensées ils habitent en état de gestation et/ou latent.
Ainsi donc, selon qu’on les nourrisse ou les néglige,
Ils ’s’incubent, jusqu’à parvenir à l’éclosion.
Dès lors, il n’y a plus de frein à leur évolution.
Selon qu’on sollicite ou non leur service et contribution,
Peu importent nos frustrations ou nos distractions,
Au moment opportun ils répondront toujours présents,
Il reste donc à nous de savoir auquel des deux
Donner le dessus ou le dessous, en un mot la priorité,
Car depuis la nuit des temps,
L’idée de Dieu ou celle du Diable
A toujours habite l’homme dans une dualité
De la spiritualité en toute rivalité.

11/06/2016
Camilingue