Poème:Tel Que Tu Es !

Je te voudrais ma Michelle
Mais hélas elle est d’Obama,
Le pilier et vraie Big-Mama,
Lui ayant suscité l’étincelle
Pour de la vie gravir l’échelle.

Je te voudrais ma Juliette
Tout en étant ton Romeo
Bravant d’intrépide rodéo ;
Y compris les aléas de la météo
Nous mettant le cœur en miette
Et au K. O.

Je t’ai voulue
A mes lubies soumise
Sans humeur farfelue ;
Nous sommes sous mise.

On s’est noyé dans la mine grise.
La vie à deux en a sa part de surprise !
Aujourd’hui je réalise qui tu es,
De notre enchantement sur le lit du décès
Il en incombe à chacun sa part de succès.

J’te voulais ma Michelle
Hélas je n’ai point été ton Obama
His sweet unshakable Big-Mama,
Lui permettant de gravir du succès l’échelle.

Je te voulais ma Juliette
Sans avoir été ton Romeo
On s’est soumis aux aléas de la météo
Et notre vie s’est changée en un affreux rodéo ;
De notre amour il n’en reste que miette.

Il a fallu que cela arrive,
Que nos sentiments intrépides se vouent à la dérive
Pour que je te veuille pour qui tu es ;
(Tel que tu es) .
T’aimer sans rien t’exiger
Ni d’intention te faire de procès
Ou encore mon amour te mesurer.

Je ne veux plus ton accès à mon monde te limiter,
Mon univers attèle-toi enfin à l’explorer.
Je veux sortir de moi pour aller vers toi
Voire me priver de moi rien que pour toi.

Il a fallu entre nous ces trois mois de séparation
Pour qu’en moi résonne ta nette représentation.
J’en suis conscient de nous deux les imperfections
A leur comble faisaient le lot de nos lamentations.
Point de relation hors confrontation ni conciliation !

Malgré l’un de l’autre nos fausses impressions
Ainsi que les mauvaises interprétations,
A toutes épreuves sont nos solides liaisons
Quoique nous fassions
On est l’un pour l’autre la prédilection.

Je te veux pour de vrai ma femme
Celle qui mon âme fait prendre flamme.
Je te veux la mère de mes enfants.
Soyons en d’authentique conquérants.

Je te veux madame Etienne
Totalement et uniquement mienne.
Tu es ma Ven
I don’t feel any more in pain.

Toi ma Pelottie
J’t’en supplie
Lâche pas
Suis mes pas,
Accompagne-moi
Reste avec moi.

Que les obstacles de la vie durant
Vers le succès nous servent de pont
Car tu es à la fois Etienne et Dupont
Nous devons en être plus que conscients.

Je sais que nous n’avions pas été patients
Ni l’un envers l’autre tolérant.
Et cela a failli nous coûter notre amour
Il nous faut lui en refaçonner le glamour.

Je te demande pardon
De t’avoir livrée à l’abandon
Et pour tout le mal que je t’ai fait.
Maintenant je le sais
Je suis loin d’être parfait.

Je suis sûr que tu me sied.
Sur ce, je m’assied.
Si pour nous aimer nous nous voulons parfaits
Nous ne nous aimerons suffisamment jamais.

Je m’en réjouis
Qu’aujourd’hui
Autant que moi tu le sais.
Je t’aime mon amour
Depuis toujours et pour toujours.
Tel que tu es
Sans d’intention te faire de procès.

Ma vie je la veux partager avec toi à jamais !
Autant que moi maintenant tu le sais.
Je t’ai aimée depuis toujours
Et je t’aimerai pour toujours !