Univers de poésie d'un auteur

Prose:Faisons Le Deuil

La Prose

Le drame de ceux-là qu’on croit tout, ou presque tout maîtriser.
La tendance générale de mon entourage familial, en passant par mon cercle d’amis, pour aboutir à mon univers professionnel, font de moi dans la majeure partie des cas, si ce n’est un grand homme, le plus que possible m’en rapprochent. Cependant, je résiste encore croire qu’une telle épithète me sied à la perfection. Si dans l’échelle d’estime de certains j’oscille entre l’ouverture d’esprit, la sagesse, la générosité, la sincérité et la loyauté, pour d’autres ma sphère gravitationnelle en termes de qualité se situe dans les parages de la pureté de cœur, la grandeur d’âme, la force et la puissance de l’esprit, la détermination, la force de volonté, la passion et l’obstination pour ce en quoi je crois avec la plus ferme conviction. Pour d’autres au contraire, dont particulièrement celle qui a été ma meilleure amie durant environ 13 ans, ma fiancée pendant 3 ans, mon épouse, tout au moins légalement durant 6 ans, laquelle on pourrait aisément accorder le bénéfice de l’exploration et de la maîtrise de mon univers, oui pour elle, je suis d’un conservatisme et extrémiste invétérés, avec un sens de censure exagérée, combinés à une prétention dérangeante, une mégalomanie fatigante, un narcissisme classique pervers. En d’autres termes, un monstre sans attachement et sans coeur. Y a-t-il une lueur de vérité dans cela ? Très Sincèrement je ne répondrai y à affirmative ni à la négative. Je laisserai le soin à mes seuls vrais et uniques juges, à savoir dieu est ma conscience, de prononcer le verdict qu’ils estiment approprié à mon cas… Ainsi, dans ce tohu bohu de sentiments parvenus au stade le plus crucial de leur manifestation, il ne nous reste plus aucune autre alternative que le deuil. Aussi dur pour l’un que pour l’autre cela s’avère encore. Oui faisons le deuil de cette cauchemardesque relation encore nos cœurs en captivité, si virilement même après si longtemps de séparation. Par un sublime l’exercice d’éclipse de mon égo, auquel toi-même tu a initié au terme du cheminement vers notre séparation, je veux publiquement te demander pardon. Pardon pour tout le mal que je t’ai inconsciemment infligée. Pardon pour avoir livrée à tout bout de champ à l’abandon alors que je t’avais promis et juré de rester à tes côtés, dans les bons comme dans les mauvais moments. Pardon de n’avoir pas été fidèle et loyal à l’un de plus grands sacrements, celui de notre union éternelle.
Vidons une bonne fois pour toutes nos contentieux d’amoureux, enterrons nos haches de querelle d’immaturité. Oublions nos de déboires et nos mésaventures dont nous avions été tous deux incapables de contourner. Chacun son chemin, chacun son destin, partons à la conquête sans équivoque d’un nouveau lendemain capable de nous procurer la félicité tel que rêvé. Soyons donc heureux chacun de son côté.
Sur ce, je ne peux que mes plus sincères et profonds sentiments de gratitude t’exprimer. Nous nous sommes consacrés une très forte part de notre jeunesse à notre vie à deux, malheureusement cela n’a pas entre nous fonctionné. Aujourd’hui cela me fait une drôle d’idée d’assister impuissant au au triste mais révoltant spectacle de nos séparation. Mais hélas, il n’y a plus rien à sauver. Attelons-nous donc à la contemplation et exploration de nouveaux horizons, sans amertume, sans frustration ni regret. Aussi rappelons-nous qu’un seul nous a été destiné. Raccrochons-nous y et dès lors décidons-nous à être heureux chacun de son côté.
Merci d’avoir sonné en moi les germes virulents de la quête du bonheur à travers la si périlleuse et merveilleuses aventures de la vie à deux. Merci de porter au plus profond de toi-même infailliblement la hantise d’une femme qui ne cherche qu’à être aimée et à se sentir véritablement aimée et choyé. En dehors de laquelle, quelque immaculé, immense, profond et puissant que puisse être dans un couple l’amour, il est carrément et littéralement voué à l’échec, sans l’ardeur la passion partagée, la compassion éprouvée et la complicité assumée.
Du débâcle de notre vie à deux, je t’assure ma part de leçon en avoir tiré. Désormais je m’engage à ne plus briser le cœur d’aucune autre femme.
C’est bien dommage que l’amour ait gâché une si belle, si pure, si saine, si profonde, si forte et si saine amitié.
Malgré nos véritables sentiments l’un pour l’autre, tournons la page. Puisque nous avons ensemble décidé de tourner la page, de notre si grand amour, faisons en le deuil.
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Poeme de Camilingue@Yahoo.ca

Poète Camilingue@Yahoo.ca

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Faisons Le Deuille=dra=me=de=ceux=là=quon=croit=tout=ou=pres=que=tout=maî=tri=ser 16
la=ten=dance=gé=né=rale=de=mon=en=tou=rage=fa=mi=lial=en=pas=sant=par=mon=cer=cle=da=mis=pour=a=bou=tir=à=mon=u=ni=vers=pro=fes=sion=nel=font=de=moi=dans=la=ma=jeu=re=par=tie=des=cas=si=ce=nest=un=grand=hom=me=le=plus=que=pos=si=ble=men=rap=prochent=ce=pen=dant=je=ré=sis=teen=co=re=croi=re=quu=ne=tel=leé=pi=thè=te=me=sied=à=la=per=fec=tion=si=dans=lé=chel=le=des=ti=me=de=cer=tains=jos=cilleen=tre=lou=ver=tu=re=des=prit=la=sa=ges=se=la=gé=né=ro=si=té=la=sin=cé=ri=té=et=la=loyau=té=pour=dau=tres=ma=sphè=re=gra=vi=ta=tion=nel=le=en=ter=mes=de=qua=li=té=se=si=tue=dans=les=pa=ra=ges=de=la=pu=re=té=de=cœur=la=gran=deur=dâ=me=la=for=ce=et=la=puis=san=ce=de=les=prit=la=dé=ter=mi=na=tion=la=for=ce=de=vo=lon=té=la=pas=sion=et=lobs=ti=na=tion=pour=ce=en=quoi=je=crois=a=vec=la=plus=fer=me=con=vic=tion=pour=dau=tres=au=con=trai=re=dont=par=ti=cu=liè=re=ment=cel=le=qui=a=é=té=ma=meilleu=re=a=mie=du=rant=en=vi=ron=trei=ze=ans=ma=fian=cée=pen=dant=trois=ans=mon=é=pou=se=tout=au=moins=lé=ga=le=ment=du=rant=six=ans=la=quel=le=on=pour=rait=ai=sé=ment=ac=cor=der=le=bé=né=fi=ce=de=lex=plo=ra=tion=et=de=la=maî=tri=se=de=mon=u=ni=vers=oui=pour=elle=je=suis=dun=con=ser=va=tis=me=et=ex=tré=mis=te=in=vé=té=rés=a=vec=un=sens=de=cen=su=re=exa=gé=rée=com=bi=nés=à=u=ne=pré=ten=ti=on=dé=ran=gean=te=u=ne=mé=ga=lo=ma=nie=fa=ti=gan=te=un=nar=cis=sis=me=clas=si=que=per=vers=en=dau=tres=ter=mes=un=mons=tre=sans=at=ta=che=ment=et=sans=coeur=y=a=til=u=ne=lueur=de=vé=ri=té=dans=ce=la=très=sin=cè=re=ment=je=ne=ré=pon=drai=y=à=af=fir=ma=ti=ve=ni=à=la=né=ga=tive=je=lais=se=rai=le=soin=à=mes=seuls=vrais=et=u=ni=ques=ju=ges=à=sa=voir=dieu=est=ma=cons=cien=ce=de=pro=non=cer=le=ver=dict=quils=es=ti=ment=ap=pro=prié=à=mon=cas=ain=si=dans=ce=to=hu=bo=hu=de=sen=ti=ments=par=ve=nus=au=sta=de=le=plus=cru=cial=de=leur=ma=ni=fes=ta=tion=il=ne=nous=res=te=plus=au=cu=ne=au=tre=al=ter=na=ti=ve=que=le=deuil=aus=si=dur=pour=lun=que=pour=lau=tre=ce=la=sa=vè=re=en=core=oui=fai=sons=le=deuil=de=cet=te=cau=che=mar=des=que=re=la=ti=on=en=co=re=nos=cœurs=en=cap=ti=vi=té=si=vi=ri=le=ment=mê=me=a=près=si=long=temps=de=sé=pa=ra=tion=par=un=su=bli=me=lexer=ci=ce=dé=clip=se=de=mon=é=go=au=quel=toi=mê=me=tu=a=i=ni=tié=au=ter=me=du=che=mi=ne=ment=vers=no=tre=sé=pa=ra=tion=je=veux=pu=bli=que=ment=te=de=man=der=par=don=par=don=pour=tout=le=mal=que=je=tai=in=cons=ciem=ment=in=fli=gée=par=don=pour=a=voir=li=vrée=à=tout=bout=de=champ=à=la=ban=don=a=lors=que=je=ta=vais=pro=mis=et=ju=ré=de=res=ter=à=tes=cô=tés=dans=les=bons=com=me=dans=les=mau=vais=mo=ments=par=don=de=na=voir=pas=é=té=fi=dè=le=et=loyal=à=lun=de=plus=grands=sa=cre=ments=ce=lui=de=no=tre=u=nion=é=ter=nelle 714
vi=dons=une=bonne=fois=pour=toutes=nos=con=ten=tieux=da=mou=reux=en=ter=rons=nos=ha=ches=de=que=rel=le=dim=ma=tu=ri=té=ou=blions=nos=de=dé=boi=res=et=nos=mé=sa=ven=tu=res=dont=nous=a=vions=é=té=tous=deux=in=ca=pa=bles=de=con=tour=ner=cha=cun=son=che=min=cha=cun=son=des=tin=par=tons=à=la=con=quê=te=sans=é=qui=vo=que=dun=nou=veau=len=de=main=ca=pa=ble=de=nous=pro=cu=rer=la=fé=li=ci=té=tel=que=rê=vé=soyons=donc=heu=reux=cha=cun=de=son=cô=té 114
sur=ce=je=ne=peux=que=mes=plus=sin=cères=et=pro=fonds=sen=timents=de=gra=ti=tude=tex=pri=mer=nous=nous=som=mes=con=sa=crés=u=ne=très=for=te=part=de=no=tre=jeu=nes=seà=no=tre=vieà=deux=malheu=reu=se=ment=ce=la=na=pas=en=tre=nous=fonc=tion=né=au=jourdhui=ce=la=me=fait=u=ne=drô=le=di=dée=das=sis=ter=im=puis=sant=au=au=tris=te=mais=ré=vol=tant=s=pec=ta=cle=de=nos=sé=pa=ra=tion=mais=hé=las=il=ny=a=plus=rien=à=sau=ver=at=te=lons=nous=donc=à=la=con=tem=pla=tion=et=ex=plo=ra=tion=de=nou=veaux=ho=ri=zons=sans=a=mer=tu=me=sans=frus=tra=ti=on=ni=re=gret=aus=si=rap=pe=lons=nous=quun=seul=nous=a=é=té=des=ti=né=rac=cro=chons=nous=y=et=dès=lors=dé=ci=dons=nous=à=ê=tre=heu=reux=cha=cun=de=son=cô=té 179
mer=ci=da=voir=son=né=en=moi=les=germes=vi=rulents=de=la=quête=du=bon=heur=à=tra=vers=la=si=pé=rilleu=seet=mer=veilleu=ses=a=ven=tu=res=de=la=vieà=deux=mer=ci=de=por=ter=au=plus=pro=fond=de=toi=mê=mein=failli=ble=ment=la=han=ti=se=du=ne=fem=me=qui=ne=cher=che=quà=ê=tre=ai=mée=et=à=se=sen=tir=vé=ri=ta=ble=ment=ai=mée=et=choyé=en=dehors=de=la=quel=le=quel=que=im=ma=cu=lé=im=men=se=pro=fond=et=puis=sant=que=puis=se=ê=tre=dans=un=cou=ple=la=mour=il=est=car=ré=ment=et=lit=té=ra=le=ment=voué=à=lé=chec=sans=lar=deur=la=pas=sion=par=ta=gée=la=com=pas=sion=é=prou=vée=et=la=com=pli=ci=té=as=su=mée 155
du=dé=bâ=cle=de=notre=vieà=deux=je=tas=sure=ma=part=de=le=çon=en=a=voir=ti=ré=dé=sor=mais=je=men=ga=geà=ne=plus=bri=ser=le=cœur=dau=cuneau=tre=femme 38
cest=bien=dom=mage=que=la=mour=ait=gâ=ché=une=si=bel=le=si=pure=si=sai=ne=si=pro=fon=de=si=for=teet=si=sai=nea=mi=tié 31
mal=gré=nos=vé=ri=tables=sen=timents=lun=pour=lautre=tour=nons=la=page=puis=que=nous=a=vons=en=sem=ble=dé=ci=dé=de=tour=ner=la=pa=ge=de=no=tre=si=grand=a=mour=fai=sons=en=le=deuil 44
Phonétique : Faisons Le Deuillə dʁamə də sø la kɔ̃ kʁwa tu, u pʁεskə tu mεtʁize.
la tɑ̃dɑ̃sə ʒeneʁalə də mɔ̃n- ɑ̃tuʁaʒə familjal, ɑ̃ pasɑ̃ paʁ mɔ̃ sεʁklə dami, puʁ abutiʁ a mɔ̃n- ynive pʁɔfesjɔnεl, fɔ̃ də mwa dɑ̃ la maʒəʁə paʁti dε ka, si sə nεt- œ̃ ɡʁɑ̃t- ɔmə, lə plys kə pɔsiblə mɑ̃ ʁapʁoʃe. səpɑ̃dɑ̃, ʒə ʁezistə ɑ̃kɔʁə kʁwaʁə kynə tεllə epitεtə mə sjε a la pεʁfεksjɔ̃. si dɑ̃ leʃεllə dεstimə də sεʁtɛ̃ ʒɔsijə ɑ̃tʁə luvεʁtyʁə dεspʁi, la saʒεsə, la ʒeneʁozite, la sɛ̃seʁite e la lwajote, puʁ dotʁə- ma sfεʁə ɡʁavitasjɔnεllə ɑ̃ tεʁmə- də kalite sə sitɥ dɑ̃ lε paʁaʒə də la pyʁəte də kœʁ, la ɡʁɑ̃dœʁ damə, la fɔʁsə e la pɥisɑ̃sə də lεspʁi, la detεʁminasjɔ̃, la fɔʁsə də vɔlɔ̃te, la pasjɔ̃ e lɔpstinasjɔ̃ puʁ sə ɑ̃ kwa ʒə kʁwaz- avεk la plys fεʁmə kɔ̃viksjɔ̃. puʁ dotʁəz- o kɔ̃tʁεʁə, dɔ̃ paʁtikyljεʁəmɑ̃ sεllə ki a ete ma mεjəʁə ami dyʁɑ̃ ɑ̃viʁɔ̃ tʁεzə ɑ̃, ma fjɑ̃se pɑ̃dɑ̃ tʁwaz- ɑ̃, mɔ̃n- epuzə, tut- o mwɛ̃ leɡaləmɑ̃ dyʁɑ̃ siz- ɑ̃, lakεllə ɔ̃ puʁʁε εzemɑ̃ akɔʁde lə benefisə də lεksplɔʁasjɔ̃ e də la mεtʁizə də mɔ̃n- ynive, ui puʁ εllə, ʒə sɥi dœ̃ kɔ̃sεʁvatismə e εkstʁemistə ɛ̃veteʁe, avεk œ̃ sɑ̃s də sɑ̃syʁə εɡzaʒeʁe, kɔ̃binez- a ynə pʁetɑ̃sjɔ̃ deʁɑ̃ʒɑ̃tə, ynə meɡalɔmani fatiɡɑ̃tə, œ̃ naʁsisismə klasikə pεʁve. ɑ̃ dotʁə- tεʁmə, œ̃ mɔ̃stʁə sɑ̃z- ataʃəmɑ̃ e sɑ̃ kœʁ. i a til ynə lɥœʁ də veʁite dɑ̃ səla ? tʁε sɛ̃sεʁəmɑ̃ ʒə nə ʁepɔ̃dʁε i a afiʁmativə ni a la neɡativə. ʒə lεsəʁε lə swɛ̃ a mε səl vʁεz- e ynik ʒyʒə, a savwaʁ djø ε ma kɔ̃sjɑ̃sə, də pʁonɔ̃se lə vεʁdikt kilz- εstime apʁɔpʁje a mɔ̃ ka… ɛ̃si, dɑ̃ sə tɔy bɔy də sɑ̃timɑ̃ paʁvənysz- o stadə lə plys kʁysjal də lœʁ manifεstasjɔ̃, il nə nu ʁεstə plysz- okynə otʁə altεʁnativə kə lə dəj. osi dyʁ puʁ lœ̃ kə puʁ lotʁə səla savεʁə ɑ̃kɔʁə. ui fəzɔ̃ lə dəj də sεtə koʃəmaʁdεskə ʁəlasjɔ̃ ɑ̃kɔʁə no kœʁz- ɑ̃ kaptivite, si viʁiləmɑ̃ mεmə apʁε si lɔ̃tɑ̃ də sepaʁasjɔ̃. paʁ œ̃ syblimə lεɡzεʁsisə deklipsə də mɔ̃n- eɡo, okεl twa mεmə ty a initje o tεʁmə dy ʃəminəmɑ̃ vεʁ nɔtʁə sepaʁasjɔ̃, ʒə vø pyblikəmɑ̃ tə dəmɑ̃de paʁdɔ̃. paʁdɔ̃ puʁ tu lə mal kə ʒə tε ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃ ɛ̃fliʒe. paʁdɔ̃ puʁ avwaʁ livʁe a tu bu də ʃɑ̃ a labɑ̃dɔ̃ alɔʁ kə ʒə tavε pʁɔmiz- e ʒyʁe də ʁεste a tε kote, dɑ̃ lε bɔ̃ kɔmə dɑ̃ lε movε mɔmɑ̃. paʁdɔ̃ də navwaʁ pa ete fidεlə e lwajal a lœ̃ də plys ɡʁɑ̃ sakʁəmɑ̃, səlɥi də nɔtʁə ynjɔ̃ etεʁnεllə.
vidɔ̃z- ynə bɔnə fwa puʁ tutə no kɔ̃tɑ̃tjø damuʁø, ɑ̃teʁɔ̃ no-aʃə də kəʁεllə dimatyʁite. ubljɔ̃ no də debwaʁəz- e no mezavɑ̃tyʁə dɔ̃ nuz- avjɔ̃z- ete tus døz- ɛ̃kapablə də kɔ̃tuʁne. ʃakœ̃ sɔ̃ ʃəmɛ̃, ʃakœ̃ sɔ̃ dεstɛ̃, paʁtɔ̃z- a la kɔ̃kεtə sɑ̃z- ekivɔkə dœ̃ nuvo lɑ̃dəmɛ̃ kapablə də nu pʁɔkyʁe la felisite tεl kə ʁεve. swajɔ̃ dɔ̃k œʁø ʃakœ̃ də sɔ̃ kote.
syʁ sə, ʒə nə pø kə mε plys sɛ̃sεʁəz- e pʁɔfɔ̃ sɑ̃timɑ̃ də ɡʁatitydə tεkspʁime. nu nu sɔmə kɔ̃sakʁez- ynə tʁε fɔʁtə paʁ də nɔtʁə ʒənεsə a nɔtʁə vi a dø, maləʁøzəmɑ̃ səla na pa ɑ̃tʁə nu fɔ̃ksjɔne. oʒuʁdɥi səla mə fε ynə dʁolə dide dasiste ɛ̃pɥisɑ̃ o o tʁistə mε ʁevɔltɑ̃ spεktaklə də no sepaʁasjɔ̃. mεz- ela, il ni a plys ʁjɛ̃ a sove. atəlɔ̃ nu dɔ̃k a la kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ e εksplɔʁasjɔ̃ də nuvo ɔʁizɔ̃, sɑ̃z- amεʁtymə, sɑ̃ fʁystʁasjɔ̃ ni ʁəɡʁε. osi ʁapəlɔ̃ nu kœ̃ səl nuz- a ete dεstine. ʁakʁoʃɔ̃ nuz- i e dε lɔʁ desidɔ̃ nuz- a εtʁə œʁø ʃakœ̃ də sɔ̃ kote.
mεʁsi davwaʁ sɔne ɑ̃ mwa lε ʒεʁmə- viʁylɑ̃ də la kεtə dy bɔnœʁ a tʁavεʁ la si peʁijøzə e mεʁvεjøzəz- avɑ̃tyʁə də la vi a dø. mεʁsi də pɔʁte o plys pʁɔfɔ̃ də twa mεmə ɛ̃fajibləmɑ̃ la-ɑ̃tizə dynə famə ki nə ʃεʁʃə ka εtʁə εme e a sə sɑ̃tiʁ veʁitabləmɑ̃ εme e ʃwaje. ɑ̃ dəɔʁ də lakεllə, kεlkə imakyle, imɑ̃sə, pʁɔfɔ̃t- e pɥisɑ̃ kə pɥisə εtʁə dɑ̃z- œ̃ kuplə lamuʁ, il ε kaʁemɑ̃ e liteʁaləmɑ̃ vue a leʃεk, sɑ̃ laʁdœʁ la pasjɔ̃ paʁtaʒe, la kɔ̃pasjɔ̃ epʁuve e la kɔ̃plisite asyme.
dy debaklə də nɔtʁə vi a dø, ʒə tasyʁə ma paʁ də ləsɔ̃ ɑ̃n- avwaʁ tiʁe. dezɔʁmε ʒə mɑ̃ɡaʒə a nə plys bʁize lə kœʁ dokynə otʁə famə.
sε bjɛ̃ dɔmaʒə kə lamuʁ ε ɡaʃe ynə si bεllə, si pyʁə, si sεnə, si pʁɔfɔ̃də, si fɔʁtə e si sεnə amitje.
malɡʁe no veʁitablə sɑ̃timɑ̃ lœ̃ puʁ lotʁə, tuʁnɔ̃ la paʒə. pɥiskə nuz- avɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə deside də tuʁne la paʒə, də nɔtʁə si ɡʁɑ̃t- amuʁ, fəzɔ̃z- ɑ̃ lə dəj.
Syllabes Phonétique : Faisons Le Deuillə=dʁa=mə=də=sø=la=kɔ̃=kʁwa=tu=u=pʁεs=kə=tu=mε=tʁi=ze 16
latɑ̃dɑ̃sə=ʒe=ne=ʁa=lə=də=mɔ̃=nɑ̃=tu=ʁa=ʒə=fa=mi=ljal=ɑ̃=pa=sɑ̃=paʁ=mɔ̃=sεʁ=klə=da=mi=puʁ=a=bu=tiʁ=a=mɔ̃=ny=ni=ve=pʁɔ=fe=sjɔ=nεl=fɔ̃=də=mwa=dɑ̃=la=ma=ʒə=ʁə=paʁ=ti=dε=ka=si=sə=nε=tœ̃=ɡʁɑ̃=tɔ=mə=lə=plys=kə=pɔ=si=blə=mɑ̃=ʁa=pʁo=ʃe=sə=pɑ̃=dɑ̃=ʒə=ʁe=zis=təɑ̃=kɔ=ʁə=kʁwa=ʁə=ky=nə=tεlləe=pi=tε=tə=mə=sjε=a=la=pεʁ=fεk=sjɔ̃=si=dɑ̃=le=ʃεllə=dεs=ti=mə=də=sεʁ=tɛ̃=ʒɔ=si=jəɑ̃=tʁə=lu=vεʁ=ty=ʁə=dεs=pʁi=la=sa=ʒε=sə=la=ʒe=ne=ʁo=zi=te=la=sɛ̃=se=ʁi=te=e=la=lwa=jo=te=puʁ=do=tʁə=ma=sfε=ʁə=ɡʁa=vi=ta=sjɔ=nεllə=ɑ̃=tεʁ=mə=də=ka=li=te=sə=sitɥ=dɑ̃=lε=pa=ʁa=ʒə=də=la=py=ʁə=te=də=kœʁ=la=ɡʁɑ̃=dœʁ=da=mə=la=fɔʁ=sə=e=la=pɥi=sɑ̃=sə=də=lεs=pʁi=la=de=tεʁ=mi=na=sjɔ̃=la=fɔʁ=sə=də=vɔ=lɔ̃=te=la=pa=sjɔ̃=e=lɔp=sti=na=sjɔ̃=puʁ=sə=ɑ̃=kwa=ʒə=kʁwa=za=vεk=la=plys=fεʁ=mə=kɔ̃=vik=sjɔ̃=puʁ=do=tʁə=zo=kɔ̃=tʁε=ʁə=dɔ̃=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=mɑ̃=sεl=lə=ki=a=e=te=ma=mεjə=ʁə=a=mi=dy=ʁɑ̃=ɑ̃=vi=ʁɔ̃=tʁε=zə=ɑ̃=ma=fjɑ̃=se=pɑ̃=dɑ̃=tʁwa=zɑ̃=mɔ̃=ne=pu=zə=tu=to=mwɛ̃=le=ɡa=lə=mɑ̃=dy=ʁɑ̃=si=zɑ̃=la=kεl=lə=ɔ̃=puʁ=ʁε=ε=ze=mɑ̃=a=kɔʁ=de=lə=be=ne=fi=sə=də=lεk=spl=ʁa=sjɔ̃=e=də=la=mε=tʁi=zə=də=mɔ̃=ny=ni=ve=ui=puʁ=εl=lə=ʒə=sɥi=dœ̃=kɔ̃=sεʁ=va=tis=mə=e=εk=stʁ=mis=tə=ɛ̃=ve=te=ʁe=a=vεk=œ̃=sɑ̃s=də=sɑ̃=sy=ʁə=εɡ=za=ʒe=ʁe=kɔ̃=bi=ne=za=y=nə=pʁe=tɑ̃=sjɔ̃=de=ʁɑ̃=ʒɑ̃=tə=y=nə=me=ɡa=lɔ=ma=ni=fa=ti=ɡɑ̃=tə=œ̃=naʁ=si=sis=mə=kla=si=kə=pεʁ=ve=ɑ̃=do=tʁə=tεʁ=mə=œ̃=mɔ̃s=tʁə=sɑ̃=za=ta=ʃə=mɑ̃=e=sɑ̃=kœʁ=i=a=til=y=nə=lɥœʁ=də=ve=ʁi=te=dɑ̃=sə=la=tʁε=sɛ̃=sε=ʁə=mɑ̃=ʒə=nə=ʁe=pɔ̃=dʁε=i=a=a=fiʁ=ma=ti=və=ni=a=la=ne=ɡa=ti=və=ʒə=lε=sə=ʁε=lə=swɛ̃=a=mε=səl=vʁε=ze=y=nik=ʒy=ʒə=a=sa=vwaʁ=djø=ε=ma=kɔ̃=sjɑ̃=sə=də=pʁo=nɔ̃=se=lə=vεʁ=dikt=kil=zεs=ti=me=a=pʁɔ=pʁje=a=mɔ̃=ka=ɛ̃=si=dɑ̃=sə=tɔ=y=bɔ=y=də=sɑ̃=ti=mɑ̃=paʁ=və=nys=zo=sta=də=lə=plys=kʁy=sjal=də=lœʁ=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=il=nə=nu=ʁεs=tə=plys=zo=ky=nə=o=tʁə=al=tεʁ=na=ti=və=kə=lə=dəj=o=si=dyʁ=puʁ=lœ̃=kə=puʁ=lo=tʁə=sə=la=sa=vε=ʁə=ɑ̃=kɔ=ʁə=ui=fə=zɔ̃=lə=dəj=də=sε=tə=ko=ʃə=maʁ=dεs=kə=ʁə=la=sjɔ̃=ɑ̃=kɔ=ʁə=no=kœʁ=zɑ̃=kap=ti=vi=te=si=vi=ʁi=lə=mɑ̃=mε=mə=a=pʁε=si=lɔ̃=tɑ̃=də=se=pa=ʁa=sjɔ̃=paʁ=œ̃=sy=bli=mə=lεɡ=zεʁ=si=sə=de=klip=sə=də=mɔ̃=ne=ɡo=o=kεl=twa=mε=mə=ty=a=i=ni=tje=o=tεʁ=mə=dy=ʃə=mi=nə=mɑ̃=vεʁ=nɔ=tʁə=se=pa=ʁa=sjɔ̃=ʒə=vø=py=bli=kə=mɑ̃=tə=də=mɑ̃=de=paʁ=dɔ̃=paʁ=dɔ̃=puʁ=tu=lə=mal=kə=ʒə=tε=ɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=ɛ̃=fli=ʒe=paʁ=dɔ̃=puʁ=a=vwaʁ=li=vʁe=a=tu=bu=də=ʃɑ̃=a=la=bɑ̃=dɔ̃=a=lɔʁ=kə=ʒə=ta=vε=pʁɔ=mi=ze=ʒy=ʁe=də=ʁεs=te=a=tε=ko=te=dɑ̃=lε=bɔ̃=kɔ=mə=dɑ̃=lε=mo=vε=mɔ=mɑ̃=paʁ=dɔ̃=də=na=vwaʁ=pa=e=te=fi=dε=lə=e=lwa=jal=a=lœ̃=də=plys=ɡʁɑ̃=sa=kʁə=mɑ̃=səl=ɥi=də=nɔ=tʁə=y=njɔ̃=e=tεʁnεllə 715
vidɔ̃zynə=bɔ=nə=fwa=puʁ=tu=tə=no=kɔ̃=tɑ̃=tjø=da=mu=ʁø=ɑ̃=te=ʁɔ̃=no-a=ʃə=də=kə=ʁεllə=di=ma=ty=ʁi=te=u=bljɔ̃=no=də=de=bwa=ʁə=ze=no=me=za=vɑ̃=ty=ʁə=dɔ̃=nu=za=vjɔ̃=ze=te=tus=dø=zɛ̃=ka=pa=blə=də=kɔ̃=tuʁ=ne=ʃa=kœ̃=sɔ̃=ʃə=mɛ̃=ʃa=kœ̃=sɔ̃=dεs=tɛ̃=paʁ=tɔ̃=za=la=kɔ̃=kε=tə=sɑ̃=ze=ki=vɔ=kə=dœ̃=nu=vo=lɑ̃=də=mɛ̃=ka=pa=blə=də=nu=pʁɔ=ky=ʁe=la=fe=li=si=te=tεl=kə=ʁε=ve=swa=jɔ̃=dɔ̃k=œ=ʁø=ʃa=kœ̃=də=sɔ̃=ko=te 114
syʁ=sə=ʒə=nə=pøkə=mε=plys=sɛ̃sεʁə=ze=pʁɔ=fɔ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=ɡʁa=ti=ty=də=tεk=spʁ=me=nu=nu=sɔ=mə=kɔ̃=sa=kʁe=zy=nə=tʁε=fɔʁ=tə=paʁ=də=nɔ=tʁə=ʒə=nε=səa=nɔ=tʁə=vi=a=dø=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=sə=la=na=pa=ɑ̃=tʁə=nu=fɔ̃k=sjɔ=ne=o=ʒuʁ=dɥi=sə=la=mə=fε=y=nə=dʁo=lə=di=de=da=sis=te=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=o=o=tʁis=tə=mε=ʁe=vɔl=tɑ̃=spεk=ta=klə=də=no=se=pa=ʁa=sjɔ̃=mε=ze=la=il=ni=a=plys=ʁjɛ̃=a=so=ve=a=tə=lɔ̃=nu=dɔ̃k=a=la=kɔ̃=tɑ̃=pla=sjɔ̃=e=εk=spl=ʁa=sjɔ̃=də=nu=vo=ɔ=ʁi=zɔ̃=sɑ̃=za=mεʁ=ty=mə=sɑ̃=fʁys=tʁa=sjɔ̃=ni=ʁə=ɡʁε=o=si=ʁa=pə=lɔ̃=nu=kœ̃=səl=nu=za=e=te=dεs=ti=ne=ʁa=kʁo=ʃɔ̃=nu=zi=e=dε=lɔʁ=de=si=dɔ̃=nu=za=ε=tʁə=œ=ʁø=ʃa=kœ̃=də=sɔ̃=ko=te 180
mεʁ=si=da=vwaʁ=sɔ=ne=ɑ̃=mwalεʒεʁmə=vi=ʁy=lɑ̃=də=la=kε=tə=dy=bɔ=nœʁ=a=tʁa=vεʁ=la=si=pe=ʁi=jø=zəe=mεʁ=vε=jø=zə=za=vɑ̃=ty=ʁə=də=la=vi=a=dø=mεʁ=si=də=pɔʁ=te=o=plys=pʁɔ=fɔ̃=də=twa=mε=məɛ̃=fa=ji=blə=mɑ̃=la-ɑ̃=ti=zə=dy=nə=fa=mə=ki=nə=ʃεʁ=ʃə=ka=ε=tʁəε=me=e=a=sə=sɑ̃=tiʁ=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=ε=me=e=ʃwa=je=ɑ̃=də=ɔʁ=də=la=kεllə=kεl=kə=i=ma=ky=le=i=mɑ̃=sə=pʁɔ=fɔ̃=te=pɥi=sɑ̃=kə=pɥi=sə=ε=tʁə=dɑ̃=zœ̃=ku=plə=la=muʁ=il=ε=ka=ʁe=mɑ̃=e=li=te=ʁa=lə=mɑ̃=vu=e=a=le=ʃεk=sɑ̃=laʁ=dœʁ=la=pa=sjɔ̃=paʁ=ta=ʒe=la=kɔ̃=pa=sjɔ̃=e=pʁu=ve=e=la=kɔ̃=pli=si=te=a=sy=me 160
dy=de=baklə=də=nɔtʁə=vi=a=dø=ʒə=ta=syʁə=ma=paʁ=də=lə=sɔ̃=ɑ̃=na=vwaʁ=ti=ʁe=de=zɔʁ=mε=ʒə=mɑ̃=ɡa=ʒəa=nə=plys=bʁi=ze=lə=kœʁ=do=ky=nəo=tʁə=famə 39
sε=bjɛ̃dɔmaʒə=kə=la=muʁ=ε=ɡa=ʃe=y=nə=si=bεllə=si=py=ʁə=si=sε=nə=si=pʁɔ=fɔ̃=də=si=fɔʁ=təe=si=sε=nəa=mi=tje 30
mal=ɡʁe=no=ve=ʁitablə=sɑ̃=ti=mɑ̃=lœ̃=puʁ=lotʁə=tuʁ=nɔ̃=la=pa=ʒə=pɥis=kə=nu=za=vɔ̃=zɑ̃=sɑ̃=blə=de=si=de=də=tuʁ=ne=la=pa=ʒə=də=nɔ=tʁə=si=ɡʁɑ̃=ta=muʁ=fə=zɔ̃=zɑ̃=lə=dəj 45

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Commentaire poème
29/03/2024Poeme-France
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Prose Avenir
Du 05/11/2019 00:19

L'écrit contient 802 mots qui sont répartis dans 1 strophes.