Poème:Quelque Chose De Grand.

J’ai toujours voulu faire de ma vie quelque chose de grand,
Quelque chose de merveilleux, de sublime et de particulier.
Quelque chose pour offrir à ceux-là qui en ont le plus besoin,
Quelque chose pour le salut et la gloire de l’humanité.

Oui, j’ai grand rêvé de ma vie transcendances et magnificence.
Tout au long de mon existence, à une envie si dévorante,
Un désir acharné, un dessein d’une telle divinité et un tel destin,
Je n’y ai point renoncé, car il n’y a pas comment m’y échapper.

J’ai en vain tout essayé : la littérature, les arts plastiques :
La peinture, la sculpture et céramique ; les arts dramatiques,
L’architecture, la philosophie, l’art et la culture, en général,
La vie associative et communautaire, et enfin la politique,
Au second degré, sans aucune structure organisée intégrer.

Dieu merci, bien que plus grande que mes propres réussites,
Ce sentiment de continuer à chercher la moindre opportunité,
Pouvant me permettre de faire ce quelque chose de si grand,
Il ne m’a point lâché des yeux, m’apprivoise et désintoxique.

Sans en aucune occasion frôler la prostitution,
Ni de mon esprit, ni de mon cœur, ni de mon corps,
Ni de mon âme, sans que mes convictions jamais ne chancellent
Même pas devant les offres alléchantes de carrière professionnelle,
De poste politique de haut rang ni de fortunes les plus assurées.

Pour rien de l’existence je ne renoncerai à mon essence,
Ni de mes forces, ni de mes faiblesses, ni de ma noblesse,
Ni encore moins de mon humilité et de ma sagesse.
Oui, pour rien au monde, jamais ne me priverai de mon essence.

Car, j’ai beau scruter dans mon cœur et dans mes pensées,
En vue de voir ce qui était le plus appropriée,
Tel un culte de gloire à l’humilité, salut de l’humanité,
C’est ce que j’ai fini par remarquer que j’ai pu faire,
De ma vie en grandeur d’âme et en humilité de cœur.

Et d’un tel acquis, je ne m’en priverai pour rien au monde !