Poème:Faire L’eponge

Se regarder, au travers du miroir.
Passer, l’éponge et se voir trouble.
Regarder, l’air ahuri le temps d’une seconde ce visage d’éponge.
Chaque jour, à s’épauler soit même.
Faire rire, pour se sentir plus vivent.
Oublier, les soucis d’un jour et se mettre à sourire.
Pourquoi, tant d’éponge à problème.
Le regard vif, les mots durs il va affronter le monde.
Ouvrir, les yeux et voir ce que les autres deviennent.
Comme, si chacun avait son éponge, ses amis, ses passions.
J’ai trouvé, la mienne dans le désespoir du monde humain.
A ramasser, les soucis de certain lendemain.
Moi pessimiste, vous rêver moi qui croit temps apporter.
Etre triste, je ne peux plus car faut-il avoir perdu l’esprit.
A se retrouver, le temps d’une absence, déboussoler car le monde ne nous convient pas.
Retenir ses larmes, les sécher en coin.
On ne joue, pas simplement avec ses soucis.
Ou souhaite juste prendre ses apparences.
Pour ne pas, se dire qu’on avait tort être là.
Outre, les difficultés mentales, les fausses rencontres qui ne dure qu’une nuit
La sensation, être envahie ne dure qu’une soirée, le temps de l’absence
Le vide, commence à se crée car ta patience veux se dissiper
Cocktail explosif, de non-sens et de physique percement d’ennui
Demain, s’en ira faire cavalier seul.