Prose:Voilà Des Heures

Voilà une heure que je t’est quitter et ma tête va exploser, j’entends cette clarté mélodieuse qui me donne envie d’écrire, de t écrire. ce soir le sommeil m’oblige à rester éveillé dans se lit froid de vide, une seul lueur brille, celle de penser à toi, à mon lit qui pas plus tard qu’hier fut recouvert de ton corps magnifique, de nos corps dénudé transpirant de passion, les plus beau moment du monde. Je regarde tes mèches de cheveux posé sur le bureau, vestige de notre amour, récompense suprême de notre beau week-end. Mon cœur ce soir a tant besoin de te dire, de te dire je ne sais quoi, tout et n’importe quoi, un peu comme d’habitude, mon cœur est éperdu, éperdument amoureux de toi. Ce soir je t’écris mes sentiments, je t « écris mon insomnie, je t’écris ma vie, car sans toi ma vie ce n’est pas dormir, c’est mourir

Voilà deux heures que je t’es quitté et je ne sais plus a quoi pensé, j’ai tant fait de voyage en cent vingt minute, je suis parti d’un mercredi deux avril un soir sur un chat, puis j’ai fait un détour par le musée du louvre, les pyramides, la Joconde, les grandes salles, peut être le début d’une belle histoire. j’ai pris le rer jusqu a ce parc, premier tête a tête, deuxième roulage de pelle, quelque main par ci par la histoire de tenter, une belle première pour moi, ensuite j’ai revisiter ma chambre, la première fois des premières fois, c’est la que tous a débuter que dans ma tête sa c’est déverrouillé, c’est le début d’un long parcours, une belle autoroute direction l’histoire d’amour, j’ai marché regardant avril et mai fait de passion d’amour, sans zone d’ombre ni doute, que de la lumières et de la route, qui m’emmène vers juin, période un peu stressante, celle des examens, on parviens quand même a continué le chemin, ont s’aiment rien n’ y peu, on est heureux, tous les deux, c se qui compte dans se bas monde ;
De l’autoroute je passe a la national juillet et les résultats du baccalauréat, je t’es stressé mais tu ne comprendras pas que si j’ai pleurer c’est parce que je l’avais que si j’ai pleurer c’est parce que je t’aimer, je fus a ce moment sur le plus doux des nuages, car tu étais là prés de moi. j’ai même était au dessus de la mer direction les vacances, des vacances si folle, versailles, chez moi, surtout chez moi. et puis le mois d’août se devait être l’été mais se fut plutôt l’hiver, comme a la mer, il y avait personne car si il n’y a pas toi il n’y a personne, enfin je suis rentré de vacances dans l’avions une zone de turbulence s’annonce sur début septembre un léger trou noir pourtant révélateur car il a fait du blanc entre toi et moi mon cœur, je continue le voyage maintenant en m’endormant, je vais rêver de la suite en rêvant au lendemain, car je ne connais que le présent mais je sais que d’après mes sentiments mon lendemain ne s’envisage pas sans toi car tes la plus belle chose, la plus belle chose du monde, celle que j’aime, celle qui m’aime, celle que je fais rire, celle que je séduit, celle sans qui je ne peut survivre.

voilà trois heures que je t’es quitter et ma tête va exploser, j’ai la vue qui se brouille a force de regarder l » écran absent de tes paroles mais silencieux et donc attentifs a se que j’écris, le sommeil commence a arrivé, le sommeil me libère de se voyage plaisant a travers cette histoire, à travers mon avenir, à travers ma vie, a travers les nuages qui forme se visage qui s’appelle « helena », a travers cette lune obscure éclairant dune lueur cette pages, j y crois déjà lire « mon cœur ».

Ces quelques mots, ces quelques paragraphes, pour te dire combien suspendue a tes lèvres mes mots peuvent avoir des ailes, ces quelques lignes, ces quelques phrases pour te dire que mon amour pour toi n’a qu’une seul limite, celle de ne pas en avoir.