Prose:Lettre À Nvn
La Prose
Très Chère Nvn,
T’écrire est toujours un moment particulier pour moi tellement mon esprit est rempli de nos souvenirs, tous plus intenses et inoubliables les uns que les autres.
Tu a été et tu resteras la femme pour qui mes sentiments ont passé un cap que je n’imaginais pas qu’il était possible d’atteindre. Moi qui avais pensé avoir aimé avant toi, je me suis rendu compte que le mot « aimer » n’avait un sens que lorsqu’il était associé à toi, à nous.
Tu vas peut-être trouver cela ridicule… Après un peu plus de deux ans sans nouvelle de toi, il n’y a pas une journée où je n’ai pas pensé à toi. Chaque soir en fermant les yeux, au moins l’une des pensées qui me traversent l’esprit t’est destinée.
Je voudrais rêver de toi, de nous, juste rêver de pouvoir frôler ta peau et de goûter à nouveau à la sensation de mes doigts sur ton corps, parce que nous, c’était cela, c’était le contact permanent d’une partie de notre corps avec une partie du corps de l’autre. Alors je pense fort à toi et j’espère te voir à travers mes rêves à défaut de pouvoir vivre l’amour vrai, l’amour profond, l’amour tout simplement.
Je n’arrive plus à écrire de poésie, ce n’est pas faute d’avoir essayé pourtant. Il est vrai que j’ai essayé d’autres histoires après toi, Lorsque je relis mes poèmes, ceux qui parlent de toi et de nous sont certainement, sans la moindre hésitation, mes préférés. « La valse folle » que j’ai dansée avec toi est sans aucun doute le plus réussi selon mon avis et je ne pourrais peut-être jamais faire mieux. Et après quelques essais ces deux dernières années, j’ai préféré laisser tomber.
Mais j’avais envie de t’écrire et alors je le fais sans règles, sans ver, sans strophe et juste avec les mots qui se présentent à moi, sans réfléchir aux rimes qui pourraient faire joli dans mon poème. Je préfère te parler de mon cœur au tien pour te faire comprendre à quel point tu comptes pour moi. Je l’écris au présent parce que ce n’est pas ton absence qui change quoi que ce soit. La place que tu as gagnée dans mon cœur, elle restera la tienne et l’amour que nous avons eu l’un pour l’autre restera éternel. Tu seras toujours quelque part dans mon présent. J’aurais aimé que tu y sois sous une autre forme mais je me contente pour l’instant de mes souvenirs pour te faire exister dans mon présent.
Tu sais, j’ai espéré mille fois que tu débarques à nouveau chez moi, avec ton sourire et tes yeux un peu gênés, dirigés vers le sol… C’était ta façon de me montrer que tu étais un peu désolée de ton précèdent départ. J’aurais voulu revivre ce moment une dernière fois et que tu me dises que cela ne se reproduira plus jamais et que maintenant tu étais sûre de toi. C’est tout ce que j’attendais et c’est certainement tout ce que j’attends encore aujourd’hui.
Il m’a fallu du temps mais je me suis rendu compte de certaines choses comme mon manque de patience, mon insistance par rapport à la vitesse d’évolution de notre relation, … Je t’en ai demandé peut-être un peu beaucoup et c’est à travers une relation plus récente que j’ai compris cela étant donné que je l’ai vécu dans le rôle que tu avais lors de notre histoire. En effet, je me suis retrouvé avec une femme qui s’est complètement oubliée pour moi, dépendante affective et qui me mettait une pression involontairement car elle m’aimait et avait peur de me perdre. Cela a provoqué plein de maladresses de sa part qui m’ont plutôt donné envie de respirer, de prendre la fuite.
Depuis 2023, j’ai fait ce qu’il faut pour effacer mon problème de dépendance affective et je remarque que j’arrive enfin à être moi, me faire respecter, imposer mes envies, mes besoins. Je ne souffre plus de cette dépendance affective. Au lieu de vivre en attendant le prochain moment avec la personne avec qui je suis, je vis ma vie et puis je vois ces moments comme des petits + qui viennent s’ajouter à ce que je vis de beau. Je m’arrange pour embellir mes journées, m’occuper en prenant du plaisir.
Tu sais, avant toi, je n’avais plus « aimé » depuis presque 10 ans. Et comme je l’ai écrit plus haut, l’amour que je t’ai porté était tellement plus puissant que l’amour que j’ai pu porter à qui que ce soit. J’avais évidemment peur de te perdre et à force d’avoir eu peur, je t’ai finalement perdue, ou plutôt, je t’ai fait partir et on s’est perdus. Je pense sincèrement qu’on se méritait l’un l’autre et qu’on est passés à côté de ce que la vie ne peut offrir qu’une seule fois. Je suis incapable de dire que je pourrai encore un jour aimer quelqu’un autant que je t’ai aimée tellement cela me parait inimaginable.
Je continue à penser à toi.
Ce texte a été modifié car ma situation a changé. J’ai décidé de mettre de l’ordre dans ma vie et de ne plus faire espérer la personne avec qui j’étais. Je sais que nous ne pouvions aller au bout et c’était une question de temps.
vn, tu es et restera le plus grand amour de ma vie. Merci pour ces moments magiques vécus ensemble et à bientôt je l’espère.
A toi,
PS : un deuxième texte est en cours d’écriture
T’écrire est toujours un moment particulier pour moi tellement mon esprit est rempli de nos souvenirs, tous plus intenses et inoubliables les uns que les autres.
Tu a été et tu resteras la femme pour qui mes sentiments ont passé un cap que je n’imaginais pas qu’il était possible d’atteindre. Moi qui avais pensé avoir aimé avant toi, je me suis rendu compte que le mot « aimer » n’avait un sens que lorsqu’il était associé à toi, à nous.
Tu vas peut-être trouver cela ridicule… Après un peu plus de deux ans sans nouvelle de toi, il n’y a pas une journée où je n’ai pas pensé à toi. Chaque soir en fermant les yeux, au moins l’une des pensées qui me traversent l’esprit t’est destinée.
Je voudrais rêver de toi, de nous, juste rêver de pouvoir frôler ta peau et de goûter à nouveau à la sensation de mes doigts sur ton corps, parce que nous, c’était cela, c’était le contact permanent d’une partie de notre corps avec une partie du corps de l’autre. Alors je pense fort à toi et j’espère te voir à travers mes rêves à défaut de pouvoir vivre l’amour vrai, l’amour profond, l’amour tout simplement.
Je n’arrive plus à écrire de poésie, ce n’est pas faute d’avoir essayé pourtant. Il est vrai que j’ai essayé d’autres histoires après toi, Lorsque je relis mes poèmes, ceux qui parlent de toi et de nous sont certainement, sans la moindre hésitation, mes préférés. « La valse folle » que j’ai dansée avec toi est sans aucun doute le plus réussi selon mon avis et je ne pourrais peut-être jamais faire mieux. Et après quelques essais ces deux dernières années, j’ai préféré laisser tomber.
Mais j’avais envie de t’écrire et alors je le fais sans règles, sans ver, sans strophe et juste avec les mots qui se présentent à moi, sans réfléchir aux rimes qui pourraient faire joli dans mon poème. Je préfère te parler de mon cœur au tien pour te faire comprendre à quel point tu comptes pour moi. Je l’écris au présent parce que ce n’est pas ton absence qui change quoi que ce soit. La place que tu as gagnée dans mon cœur, elle restera la tienne et l’amour que nous avons eu l’un pour l’autre restera éternel. Tu seras toujours quelque part dans mon présent. J’aurais aimé que tu y sois sous une autre forme mais je me contente pour l’instant de mes souvenirs pour te faire exister dans mon présent.
Tu sais, j’ai espéré mille fois que tu débarques à nouveau chez moi, avec ton sourire et tes yeux un peu gênés, dirigés vers le sol… C’était ta façon de me montrer que tu étais un peu désolée de ton précèdent départ. J’aurais voulu revivre ce moment une dernière fois et que tu me dises que cela ne se reproduira plus jamais et que maintenant tu étais sûre de toi. C’est tout ce que j’attendais et c’est certainement tout ce que j’attends encore aujourd’hui.
Il m’a fallu du temps mais je me suis rendu compte de certaines choses comme mon manque de patience, mon insistance par rapport à la vitesse d’évolution de notre relation, … Je t’en ai demandé peut-être un peu beaucoup et c’est à travers une relation plus récente que j’ai compris cela étant donné que je l’ai vécu dans le rôle que tu avais lors de notre histoire. En effet, je me suis retrouvé avec une femme qui s’est complètement oubliée pour moi, dépendante affective et qui me mettait une pression involontairement car elle m’aimait et avait peur de me perdre. Cela a provoqué plein de maladresses de sa part qui m’ont plutôt donné envie de respirer, de prendre la fuite.
Depuis 2023, j’ai fait ce qu’il faut pour effacer mon problème de dépendance affective et je remarque que j’arrive enfin à être moi, me faire respecter, imposer mes envies, mes besoins. Je ne souffre plus de cette dépendance affective. Au lieu de vivre en attendant le prochain moment avec la personne avec qui je suis, je vis ma vie et puis je vois ces moments comme des petits + qui viennent s’ajouter à ce que je vis de beau. Je m’arrange pour embellir mes journées, m’occuper en prenant du plaisir.
Tu sais, avant toi, je n’avais plus « aimé » depuis presque 10 ans. Et comme je l’ai écrit plus haut, l’amour que je t’ai porté était tellement plus puissant que l’amour que j’ai pu porter à qui que ce soit. J’avais évidemment peur de te perdre et à force d’avoir eu peur, je t’ai finalement perdue, ou plutôt, je t’ai fait partir et on s’est perdus. Je pense sincèrement qu’on se méritait l’un l’autre et qu’on est passés à côté de ce que la vie ne peut offrir qu’une seule fois. Je suis incapable de dire que je pourrai encore un jour aimer quelqu’un autant que je t’ai aimée tellement cela me parait inimaginable.
Je continue à penser à toi.
Ce texte a été modifié car ma situation a changé. J’ai décidé de mettre de l’ordre dans ma vie et de ne plus faire espérer la personne avec qui j’étais. Je sais que nous ne pouvions aller au bout et c’était une question de temps.
vn, tu es et restera le plus grand amour de ma vie. Merci pour ces moments magiques vécus ensemble et à bientôt je l’espère.
A toi,
PS : un deuxième texte est en cours d’écriture
Poète Jeromebx
Jeromebx a publié sur le site 2 écrits. Jeromebx est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil du poète JeromebxSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Lettre À Nvn
très=chè=re=n=v=n 6té=crireest=tou=jours=un=mo=ment=par=ti=cu=li=er=pour=moi=tel=le=ment=mon=es=prit=est=rem=pli=de=nos=sou=ve=nirs=tous=plus=in=ten=ses=et=i=nou=bli=a=bles=les=uns=que=les=au=tres 45
tu=a=é=té=et=tu=res=te=ras=la=fem=me=pour=qui=mes=sen=timents=ont=pas=sé=un=cap=que=je=ni=ma=gi=nais=pas=quil=é=tait=pos=si=ble=dat=tein=dre=moi=qui=a=vais=pen=sé=a=voir=ai=mé=a=vant=toi=je=me=suis=ren=du=comp=te=que=le=mot=ai=mer=na=vait=un=sens=que=lors=quil=é=tait=as=so=ci=é=à=toi=à=nous 80
tu=vas=peut=tê=tre=trou=ver=ce=la=ri=di=cu=le=a=près=un=peu=plus=de=deux=ans=sans=nou=vel=le=de=toi=il=ny=a=pas=u=ne=jour=née=où=je=nai=pas=pen=sé=à=toi=cha=que=soir=en=fer=mant=les=yeux=au=moins=lu=ne=des=pen=sées=qui=me=tra=ver=sent=les=prit=test=des=ti=née 69
je=vou=drais=rê=ver=de=toi=de=nous=jus=te=rê=ver=de=pou=voir=frô=ler=ta=peau=et=de=goû=ter=à=nou=veau=à=la=sen=sa=ti=on=de=mes=doigts=sur=ton=corps=par=ce=que=nous=cé=tait=ce=la=cé=tait=le=con=tact=per=manent=du=ne=par=tie=de=no=tre=corps=a=vec=u=ne=par=tie=du=corps=de=lau=tre=alors=je=pen=se=fort=à=toi=et=jes=pè=re=te=voir=à=tra=vers=mes=rê=ves=à=dé=faut=de=pou=voir=vi=vre=la=mour=vrai=la=mour=pro=fond=la=mour=tout=sim=ple=ment 113
je=nar=rive=plus=à=é=cri=re=de=poé=sie=ce=nest=pas=fau=te=da=voir=es=sayé=pour=tant=il=est=vrai=que=jai=es=sayé=dau=tres=his=toi=res=a=près=toi=lors=que=je=re=lis=mes=po=è=mes=ceux=qui=par=lent=de=toi=et=de=nous=sont=cer=tai=ne=ment=sans=la=moin=dre=hé=si=ta=tion=mes=pré=fé=rés=la=val=se=fol=le=que=jai=dan=sée=a=vec=toi=est=sans=au=cun=dou=te=le=plus=réus=si=se=lon=mon=a=vis=et=je=ne=pour=rais=peut=tê=tre=ja=mais=fai=re=mieux=et=a=près=quel=ques=es=sais=ces=deux=der=niè=res=an=nées=jai=pré=fé=ré=lais=ser=tom=ber 134
mais=ja=vais=en=vie=de=té=crireet=a=lors=je=le=fais=sans=règles=sans=ver=sans=stro=pheet=jus=tea=vec=les=mots=qui=se=présen=tent=à=moi=sans=ré=flé=chir=aux=ri=mes=qui=pour=raient=fai=re=jo=li=dans=mon=po=ème=je=pré=fè=re=te=par=ler=de=mon=cœur=au=tien=pour=te=fai=re=com=pren=dre=à=quel=point=tu=comp=tes=pour=moi=je=lé=cris=au=pré=sent=par=ce=que=ce=nest=pas=ton=ab=sen=ce=qui=chan=ge=quoi=que=ce=soit=la=pla=ce=que=tu=as=ga=gnée=dans=mon=cœur=el=le=res=te=ra=la=tien=ne=et=la=mour=que=nous=a=vons=eu=lun=pour=lau=tre=res=te=ra=é=ter=nel=tu=se=ras=tou=jours=quel=que=part=dans=mon=pré=sent=jau=rais=ai=mé=que=tu=y=sois=sous=u=ne=au=tre=for=me=mais=je=me=con=ten=te=pour=lins=tant=de=mes=sou=ve=nirs=pour=te=fai=re=exis=ter=dans=mon=présent 186
tu=sais=jai=es=pé=ré=mil=le=fois=que=tu=dé=bar=ques=à=nou=veau=chez=moi=a=vec=ton=sou=ri=re=et=tes=y=eux=un=peu=gê=nés=di=ri=gés=vers=le=sol=cé=tait=ta=fa=çon=de=me=mon=trer=que=tu=é=tais=un=peu=dé=so=lée=de=ton=pré=cè=dent=dé=part=jau=rais=vou=lu=re=vi=vre=ce=mo=ment=u=ne=der=niè=re=fois=et=que=tu=me=di=ses=que=ce=la=ne=se=re=pro=dui=ra=plus=ja=mais=et=que=main=te=nant=tu=é=tais=sû=re=de=toi=cest=tout=ce=que=jat=ten=dais=et=cest=cer=tai=ne=ment=tout=ce=que=jat=tends=en=co=re=au=jourd=hui 134
il=ma=fal=lu=du=temps=mais=je=me=suis=ren=du=comp=te=de=cer=taines=choses=comme=mon=man=que=de=pa=tien=ce=mon=in=sis=tan=ce=par=rap=port=à=la=vi=tes=se=dé=vo=lu=tion=de=no=tre=re=la=tion=je=ten=ai=de=man=dé=peut=tê=treun=peu=beau=coup=et=cest=à=tra=vers=u=ne=re=la=tion=plus=ré=cen=te=que=jai=com=pris=ce=la=é=tant=don=né=que=je=lai=vé=cu=dans=le=rô=le=que=tu=a=vais=lors=de=no=tre=his=toire=en=ef=fet=je=me=suis=re=trou=vé=a=vec=u=ne=fem=me=qui=sest=com=plè=te=ment=ou=bli=ée=pour=moi=dé=pen=dan=teaf=fec=ti=veet=qui=me=met=tait=u=ne=pres=sion=in=vo=lon=tai=re=ment=car=elle=mai=mait=et=a=vait=peur=de=me=perdre=ce=la=a=pro=vo=qué=plein=de=ma=la=dres=ses=de=sa=part=qui=mont=plu=tôt=don=né=en=vie=de=res=pi=rer=de=pren=dre=la=fuite 194
de=puis=deux=mille=vingt=trois=jai=fait=ce=quil=faut=pour=ef=fa=cer=mon=pro=blème=de=dépen=dan=ceaf=fec=ti=veet=je=re=mar=que=que=jar=riveen=fin=à=ê=tre=moi=me=fai=re=res=pec=ter=im=po=ser=mes=en=vies=mes=be=soins=je=ne=souf=fre=plus=de=cet=te=dé=pen=dan=ce=af=fec=tive=au=lieu=de=vi=vre=en=at=ten=dant=le=pro=chain=mo=ment=a=vec=la=per=son=ne=a=vec=qui=je=suis=je=vis=ma=vie=et=puis=je=vois=ces=mo=ments=com=me=des=pe=tits=pluss=qui=vien=nent=sa=jou=ter=à=ce=que=je=vis=de=beau=je=mar=ran=ge=pour=em=bel=lir=mes=jour=nées=moc=cu=per=en=pre=nant=du=plai=sir 142
tu=sais=a=vant=toi=je=na=vais=plus=ai=mé=de=puis=pres=que=dix=ans=et=comme=je=lai=é=crit=plus=haut=la=mour=que=je=tai=por=té=é=tait=tel=le=ment=plus=puis=sant=que=la=mour=que=jai=pu=por=ter=à=qui=que=ce=soit=ja=vais=é=vi=dem=ment=peur=de=te=per=dreet=à=force=da=voir=eu=peur=je=tai=fi=nale=ment=per=due=ou=plu=tôt=je=tai=fait=par=tir=et=on=sest=per=dus=je=pen=se=sin=cè=re=ment=quon=se=mé=ri=tait=lun=lau=treet=quon=est=pas=sés=à=cô=té=de=ce=que=la=vie=ne=peut=of=frir=quu=ne=seu=le=fois=je=suis=in=ca=pa=ble=de=di=re=que=je=pour=rai=en=co=reun=jour=ai=mer=quel=quun=au=tant=que=je=tai=ai=mée=tel=le=ment=ce=la=me=pa=rait=i=ni=ma=gi=nable 167
je=con=ti=nue=à=pen=ser=à=toi 9
ce=tex=te=a=é=té=mo=di=fi=é=car=ma=si=tua=ti=on=a=chan=gé=jai=dé=ci=dé=de=met=tre=de=lor=dre=dans=ma=vie=et=de=ne=plus=fai=re=es=pé=rer=la=per=son=ne=a=vec=qui=jé=tais=je=sais=que=nous=ne=pou=vi=ons=al=ler=au=bout=et=cé=tait=u=ne=ques=ti=on=de=temps 72
v=n=tu=es=et=res=te=ra=le=plus=grand=a=mour=de=ma=vie=mer=ci=pour=ces=mo=ments=ma=gi=ques=vé=cus=en=sem=ble=et=à=bien=tôt=je=les=pè=re 38
a=toi 2
p=s=un=deuxi=è=me=tex=te=est=en=cours=dé=cri=tu=re 15
Phonétique : Lettre À Nvn
tʁε ʃεʁə εn ve εn,tekʁiʁə ε tuʒuʁz- œ̃ mɔmɑ̃ paʁtikylje puʁ mwa tεllmɑ̃ mɔ̃n- εspʁi ε ʁɑ̃pli də no suvəniʁ, tus plysz- ɛ̃tɑ̃səz- e inubljablə lεz- œ̃ kə lεz- otʁə.
ty a ete e ty ʁεstəʁa la famə puʁ ki mε sɑ̃timɑ̃z- ɔ̃ pase œ̃ kap kə ʒə nimaʒinε pa kil etε pɔsiblə datɛ̃dʁə. mwa ki avε pɑ̃se avwaʁ εme avɑ̃ twa, ʒə mə sɥi ʁɑ̃dy kɔ̃tə kə lə mɔt « εməʁ » navε œ̃ sɑ̃s kə lɔʁskil etε asɔsje a twa, a nu.
ty va pø tεtʁə tʁuve səla ʁidikylə… apʁεz- œ̃ pø plys də døz- ɑ̃ sɑ̃ nuvεllə də twa, il ni a pa ynə ʒuʁne u ʒə nε pa pɑ̃se a twa. ʃakə swaʁ ɑ̃ fεʁmɑ̃ lεz- iø, o mwɛ̃ lynə dε pɑ̃se ki mə tʁavεʁse lεspʁi tε dεstine.
ʒə vudʁε ʁεve də twa, də nu, ʒystə ʁεve də puvwaʁ fʁole ta po e də ɡute a nuvo a la sɑ̃sasjɔ̃ də mε dwa syʁ tɔ̃ kɔʁ, paʁsə kə nu, setε səla, setε lə kɔ̃takt pεʁmane dynə paʁti də nɔtʁə kɔʁz- avεk ynə paʁti dy kɔʁ də lotʁə. alɔʁ ʒə pɑ̃sə fɔʁ a twa e ʒεspεʁə tə vwaʁ a tʁavεʁ mε ʁεvəz- a defo də puvwaʁ vivʁə lamuʁ vʁε, lamuʁ pʁɔfɔ̃, lamuʁ tu sɛ̃pləmɑ̃.
ʒə naʁivə plysz- a ekʁiʁə də pɔezi, sə nε pa fotə davwaʁ esεje puʁtɑ̃. il ε vʁε kə ʒε esεje dotʁə- istwaʁəz- apʁε twa, lɔʁskə ʒə ʁəli mε pɔεmə, sø ki paʁle də twa e də nu sɔ̃ sεʁtεnəmɑ̃, sɑ̃ la mwɛ̃dʁə ezitasjɔ̃, mε pʁefeʁe. « la valsə fɔlə » kə ʒε dɑ̃se avεk twa ε sɑ̃z- okœ̃ dutə lə plys ʁeysi səlɔ̃ mɔ̃n- aviz- e ʒə nə puʁʁε pø tεtʁə ʒamε fεʁə mjø. e apʁε kεlkz- esε sε dø dεʁnjεʁəz- ane, ʒε pʁefeʁe lεse tɔ̃be.
mε ʒavεz- ɑ̃vi də tekʁiʁə e alɔʁ ʒə lə fε sɑ̃ ʁεɡlə, sɑ̃ vεʁ, sɑ̃ stʁɔfə e ʒystə avεk lε mo ki sə pʁezɑ̃te a mwa, sɑ̃ ʁefleʃiʁ o ʁimə ki puʁʁε fεʁə ʒɔli dɑ̃ mɔ̃ pɔεmə. ʒə pʁefεʁə tə paʁle də mɔ̃ kœʁ o tjɛ̃ puʁ tə fεʁə kɔ̃pʁɑ̃dʁə a kεl pwɛ̃ ty kɔ̃tə puʁ mwa. ʒə lekʁiz- o pʁezɑ̃ paʁsə kə sə nε pa tɔ̃n- absɑ̃sə ki ʃɑ̃ʒə kwa kə sə swa. la plasə kə ty a ɡaɲe dɑ̃ mɔ̃ kœʁ, εllə ʁεstəʁa la tjεnə e lamuʁ kə nuz- avɔ̃z- y lœ̃ puʁ lotʁə ʁεstəʁa etεʁnεl. ty səʁa tuʒuʁ kεlkə paʁ dɑ̃ mɔ̃ pʁezɑ̃. ʒoʁεz- εme kə ty i swa suz- ynə otʁə fɔʁmə mε ʒə mə kɔ̃tɑ̃tə puʁ lɛ̃stɑ̃ də mε suvəniʁ puʁ tə fεʁə εɡziste dɑ̃ mɔ̃ pʁezɑ̃.
ty sε, ʒε εspeʁe milə fwa kə ty debaʁkz- a nuvo ʃe mwa, avεk tɔ̃ suʁiʁə e tεz- iøz- œ̃ pø ʒεne, diʁiʒe vεʁ lə sɔl… setε ta fasɔ̃ də mə mɔ̃tʁe kə ty etεz- œ̃ pø dezɔle də tɔ̃ pʁesεde depaʁ. ʒoʁε vuly ʁəvivʁə sə mɔmɑ̃ ynə dεʁnjεʁə fwaz- e kə ty mə dizə kə səla nə sə ʁəpʁɔdɥiʁa plys ʒamεz- e kə mɛ̃tənɑ̃ ty etε syʁə də twa. sε tu sə kə ʒatɑ̃dεz- e sε sεʁtεnəmɑ̃ tu sə kə ʒatɑ̃z- ɑ̃kɔʁə oʒuʁdɥi.
il ma faly dy tɑ̃ mε ʒə mə sɥi ʁɑ̃dy kɔ̃tə də sεʁtεnə ʃozə kɔmə mɔ̃ mɑ̃kə də pasjɑ̃sə, mɔ̃n- ɛ̃sistɑ̃sə paʁ ʁapɔʁ a la vitεsə devɔlysjɔ̃ də nɔtʁə ʁəlasjɔ̃, … ʒə tɑ̃n- ε dəmɑ̃de pø tεtʁə œ̃ pø boku e sεt- a tʁavεʁz- ynə ʁəlasjɔ̃ plys ʁesɑ̃tə kə ʒε kɔ̃pʁi səla etɑ̃ dɔne kə ʒə lε veky dɑ̃ lə ʁolə kə ty avε lɔʁ də nɔtʁə istwaʁə. ɑ̃n- efε, ʒə mə sɥi ʁətʁuve avεk ynə famə ki sε kɔ̃plεtəmɑ̃ ublje puʁ mwa, depɑ̃dɑ̃tə afεktivə e ki mə mεtε ynə pʁesjɔ̃ ɛ̃vɔlɔ̃tεʁəmɑ̃ kaʁ εllə mεmε e avε pœʁ də mə pεʁdʁə. səla a pʁɔvɔke plɛ̃ də maladʁesə də sa paʁ ki mɔ̃ plyto dɔne ɑ̃vi də ʁεspiʁe, də pʁɑ̃dʁə la fɥitə.
dəpɥi dø milə vɛ̃t- tʁwa, ʒε fε sə kil fo puʁ efase mɔ̃ pʁɔblεmə də depɑ̃dɑ̃sə afεktivə e ʒə ʁəmaʁkə kə ʒaʁivə ɑ̃fɛ̃ a εtʁə mwa, mə fεʁə ʁεspεkte, ɛ̃poze mεz- ɑ̃vi, mε bəzwɛ̃. ʒə nə sufʁə plys də sεtə depɑ̃dɑ̃sə afεktivə. o ljø də vivʁə ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃ lə pʁoʃɛ̃ mɔmɑ̃ avεk la pεʁsɔnə avεk ki ʒə sɥi, ʒə vis ma vi e pɥi ʒə vwa sε mɔmɑ̃ kɔmə dε pəti plys ki vjεne saʒute a sə kə ʒə vis də bo. ʒə maʁɑ̃ʒə puʁ ɑ̃bεlliʁ mε ʒuʁne, mɔkype ɑ̃ pʁənɑ̃ dy plεziʁ.
ty sε, avɑ̃ twa, ʒə navε plys « εme » dəpɥi pʁεskə diz- ɑ̃. e kɔmə ʒə lε ekʁi plys-o, lamuʁ kə ʒə tε pɔʁte etε tεllmɑ̃ plys pɥisɑ̃ kə lamuʁ kə ʒε py pɔʁte a ki kə sə swa. ʒavεz- evidamɑ̃ pœʁ də tə pεʁdʁə e a fɔʁsə davwaʁ y pœʁ, ʒə tε finaləmɑ̃ pεʁdɥ, u plyto, ʒə tε fε paʁtiʁ e ɔ̃ sε pεʁdys. ʒə pɑ̃sə sɛ̃sεʁəmɑ̃ kɔ̃ sə meʁitε lœ̃ lotʁə e kɔ̃n- ε pasez- a kote də sə kə la vi nə pø ɔfʁiʁ kynə sələ fwa. ʒə sɥiz- ɛ̃kapablə də diʁə kə ʒə puʁʁε ɑ̃kɔʁə œ̃ ʒuʁ εme kεlkœ̃ otɑ̃ kə ʒə tε εme tεllmɑ̃ səla mə paʁε inimaʒinablə.
ʒə kɔ̃tinɥ a pɑ̃se a twa.
sə tεkstə a ete mɔdifje kaʁ ma sitɥasjɔ̃ a ʃɑ̃ʒe. ʒε deside də mεtʁə də lɔʁdʁə dɑ̃ ma vi e də nə plys fεʁə εspeʁe la pεʁsɔnə avεk ki ʒetε. ʒə sε kə nu nə puvjɔ̃z- ale o bu e setε ynə kεstjɔ̃ də tɑ̃.
ve εn, ty ε e ʁεstəʁa lə plys ɡʁɑ̃t- amuʁ də ma vi. mεʁsi puʁ sε mɔmɑ̃ maʒik vekysz- ɑ̃sɑ̃blə e a bjɛ̃to ʒə lεspεʁə.
a twa,
pe εs : œ̃ døzjεmə tεkstə εt- ɑ̃ kuʁ dekʁityʁə
Syllabes Phonétique : Lettre À Nvn
tʁε=ʃε=ʁə=εn=ve=εn 6te=kʁiʁəε=tu=ʒuʁ=zœ̃=mɔ=mɑ̃=paʁ=ti=ky=lj=e=puʁ=mwa=tεl=lmɑ̃=mɔ̃=nεs=pʁi=ε=ʁɑ̃=pli=də=no=su=və=niʁ=tus=plys=zɛ̃=tɑ̃=sə=ze=i=nu=blj=a=blə=lε=zœ̃=kə=lε=zo=tʁə 44
ty=a=e=te=e=tyʁεstə=ʁa=la=famə=puʁ=ki=mε=sɑ̃=ti=mɑ̃=zɔ̃=pa=se=œ̃=kap=kə=ʒə=ni=ma=ʒi=nε=pa=kil=e=tε=pɔ=si=blə=da=tɛ̃=dʁə=mwa=ki=a=vε=pɑ̃=se=a=vwaʁ=ε=me=a=vɑ̃=twa=ʒə=mə=sɥi=ʁɑ̃=dy=kɔ̃=tə=kə=lə=mɔt=ε=məʁ=na=vε=œ̃=sɑ̃s=kə=lɔʁ=skil=e=tε=a=sɔ=sje=a=twa=a=nu 77
ty=va=pø=tεtʁə=tʁu=ve=sə=la=ʁi=di=ky=lə=a=pʁε=zœ̃=pø=plys=də=dø=zɑ̃=sɑ̃=nu=vεllə=də=twa=il=ni=a=pa=y=nə=ʒuʁ=ne=u=ʒə=nε=pa=pɑ̃=se=a=twa=ʃa=kə=swaʁ=ɑ̃=fεʁ=mɑ̃=lε=zi=ø=o=mwɛ̃=ly=nə=dε=pɑ̃=se=ki=mə=tʁa=vεʁ=se=lεs=pʁi=tε=dεs=ti=ne 68
ʒə=vu=dʁε=ʁε=ve=də=twa=də=nu=ʒys=tə=ʁε=ve=də=pu=vwaʁ=fʁo=le=ta=po=e=də=ɡu=te=a=nu=vo=a=la=sɑ̃=sa=sjɔ̃də=mε=dwa=syʁ=tɔ̃=kɔʁ=paʁsə=kə=nu=se=tεsə=la=se=tε=lə=kɔ̃=takt=pεʁ=ma=ne=dy=nə=paʁ=ti=də=nɔ=tʁə=kɔʁ=za=vεk=y=nə=paʁ=ti=dy=kɔʁ=də=lo=tʁə=a=lɔʁ=ʒə=pɑ̃=sə=fɔʁ=a=twa=e=ʒεs=pε=ʁə=tə=vwaʁ=a=tʁa=vεʁ=mε=ʁε=və=za=de=fo=də=pu=vwaʁ=vi=vʁə=la=muʁ=vʁε=la=muʁ=pʁɔ=fɔ̃=la=muʁ=tu=sɛ̃=plə=mɑ̃ 111
ʒə=naʁivə=plys=za=e=kʁiʁə=də=pɔ=e=zi=sə=nε=pa=fo=tə=da=vwaʁ=e=sε=je=puʁ=tɑ̃=il=ε=vʁε=kə=ʒε=e=sε=je=do=tʁə=is=twa=ʁə=za=pʁε=twa=lɔʁ=skə=ʒə=ʁə=li=mε=pɔ=ε=mə=sø=ki=paʁ=le=də=twa=e=də=nu=sɔ̃=sεʁ=tε=nə=mɑ̃=sɑ̃=la=mwɛ̃=dʁəe=zi=ta=sjɔ̃=mε=pʁe=fe=ʁe=la=val=sə=fɔ=lə=kə=ʒε=dɑ̃=se=a=vεk=twa=ε=sɑ̃=zo=kœ̃=du=tə=lə=plys=ʁe=y=si=sə=lɔ̃=mɔ̃=na=vi=ze=ʒə=nə=puʁ=ʁε=pø=tε=tʁə=ʒa=mε=fε=ʁə=mjø=e=a=pʁε=kεl=kze=sε=sε=dø=dεʁ=njε=ʁə=za=ne=ʒε=pʁe=fe=ʁe=lε=se=tɔ̃=be 134
mε=ʒa=vεzɑ̃vidə=te=kʁi=ʁəe=a=lɔʁ=ʒə=lə=fε=sɑ̃=ʁε=ɡlə=sɑ̃=vεʁ=sɑ̃=stʁɔ=fəe=ʒys=təa=vεk=lε=mo=ki=sə=pʁe=zɑ̃=te=a=mwa=sɑ̃=ʁe=fle=ʃiʁ=o=ʁi=mə=ki=puʁ=ʁε=fε=ʁə=ʒɔ=li=dɑ̃=mɔ̃=pɔ=ε=mə=ʒə=pʁe=fε=ʁə=tə=paʁ=le=də=mɔ̃=kœʁ=o=tjɛ̃=puʁ=tə=fε=ʁə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=a=kεl=pwɛ̃=ty=kɔ̃=tə=puʁ=mwa=ʒə=le=kʁi=zo=pʁe=zɑ̃=paʁ=sə=kə=sə=nε=pa=tɔ̃=nab=sɑ̃=sə=ki=ʃɑ̃=ʒə=kwa=kə=sə=swa=la=pla=sə=kə=ty=a=ɡa=ɲe=dɑ̃=mɔ̃=kœʁ=εl=lə=ʁεs=tə=ʁa=la=tjε=nə=e=la=muʁ=kə=nu=za=vɔ̃=zy=lœ̃=puʁ=lo=tʁə=ʁεs=tə=ʁa=e=tεʁ=nεl=ty=sə=ʁa=tu=ʒuʁ=kεl=kə=paʁ=dɑ̃=mɔ̃=pʁe=zɑ̃=ʒo=ʁε=zε=me=kə=ty=i=swa=su=zy=nə=o=tʁə=fɔʁ=mə=mε=ʒə=mə=kɔ̃=tɑ̃=tə=puʁ=lɛ̃s=tɑ̃=də=mε=su=və=niʁ=puʁ=tə=fε=ʁə=εɡ=zis=te=dɑ̃=mɔ̃=pʁe=zɑ̃ 189
ty=sε=ʒε=εs=pe=ʁe=milə=fwakə=ty=de=baʁ=kza=nu=vo=ʃe=mwa=a=vεk=tɔ̃=su=ʁi=ʁəe=tε=ziø=zœ̃=pø=ʒε=ne=di=ʁi=ʒe=vεʁlə=sɔl=se=tε=ta=fa=sɔ̃=də=mə=mɔ̃=tʁe=kə=ty=e=tε=zœ̃=pø=de=zɔ=le=də=tɔ̃=pʁe=sε=de=de=paʁ=ʒo=ʁε=vu=ly=ʁə=vi=vʁə=sə=mɔ=mɑ̃=y=nə=dεʁ=njε=ʁə=fwa=ze=kə=ty=mə=di=zə=kə=sə=la=nə=sə=ʁə=pʁɔd=ɥi=ʁa=plys=ʒa=mε=ze=kə=mɛ̃=tə=nɑ̃=ty=e=tε=sy=ʁə=də=twa=sε=tu=sə=kə=ʒa=tɑ̃=dε=ze=sε=sεʁ=tε=nə=mɑ̃=tu=sə=kə=ʒa=tɑ̃=zɑ̃=kɔ=ʁəo=ʒuʁ=dɥi 127
il=ma=fa=ly=dytɑ̃mεʒə=mə=sɥi=ʁɑ̃=dy=kɔ̃=tə=də=sεʁ=tε=nə=ʃo=zə=kɔ=mə=mɔ̃=mɑ̃=kə=də=pa=sjɑ̃=sə=mɔ̃=nɛ̃=sis=tɑ̃=sə=paʁ=ʁa=pɔʁ=a=la=vi=tε=sə=de=vɔ=ly=sjɔ̃=də=nɔ=tʁə=ʁə=la=sjɔ̃=ʒə=tɑ̃=nε=də=mɑ̃=de=pø=tε=tʁəœ̃=pø=bo=ku=e=sε=ta=tʁa=vεʁ=zy=nə=ʁə=la=sjɔ̃=plys=ʁe=sɑ̃=tə=kə=ʒε=kɔ̃=pʁi=sə=la=e=tɑ̃=dɔ=ne=kə=ʒə=lε=ve=ky=dɑ̃=lə=ʁo=lə=kə=ty=a=vε=lɔʁ=də=nɔ=tʁə=is=twa=ʁə=ɑ̃=ne=fε=ʒə=mə=sɥi=ʁə=tʁu=ve=a=vεk=y=nə=fa=mə=ki=sε=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=u=blje=puʁ=mwa=de=pɑ̃=dɑ̃=təa=fεk=ti=vəe=ki=mə=mε=tε=y=nə=pʁe=sjɔ̃=ɛ̃=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=mɑ̃=kaʁ=εllə=mε=mε=e=a=vε=pœʁ=də=mə=pεʁ=dʁə=sə=la=a=pʁɔ=vɔ=ke=plɛ̃=də=ma=la=dʁe=sə=də=sa=paʁ=ki=mɔ̃=ply=to=dɔ=ne=ɑ̃=vi=də=ʁεs=pi=ʁe=də=pʁɑ̃=dʁə=la=fɥitə 195
dəp=ɥidømilə=vɛ̃t=tʁw=ʒε=fε=sə=kil=fo=puʁ=e=fa=se=mɔ̃=pʁɔ=blε=mə=də=de=pɑ̃=dɑ̃=səa=fεk=ti=vəe=ʒə=ʁə=maʁ=kə=kə=ʒa=ʁi=vəɑ̃=fɛ̃=a=ε=tʁə=mwa=mə=fε=ʁə=ʁεs=pεk=te=ɛ̃=po=ze=mε=zɑ̃=vi=mε=bə=zwɛ̃=ʒə=nə=su=fʁə=plys=də=sε=tə=de=pɑ̃=dɑ̃=sə=a=fεk=ti=və=o=ljø=də=vi=vʁə=ɑ̃=na=tɑ̃=dɑ̃=lə=pʁo=ʃɛ̃=mɔ=mɑ̃=a=vεk=la=pεʁ=sɔ=nə=a=vεk=ki=ʒə=sɥi=ʒə=vis=ma=vi=e=pɥi=ʒə=vwa=sε=mɔ=mɑ̃=kɔ=mə=dε=pə=ti=plys=ki=vjε=ne=sa=ʒu=te=a=sə=kə=ʒə=vis=də=bo=ʒə=ma=ʁɑ̃=ʒə=puʁ=ɑ̃=bεl=liʁ=mε=ʒuʁ=ne=mɔ=ky=pe=ɑ̃=pʁə=nɑ̃=dy=plε=ziʁ 144
ty=sε=a=vɑ̃=twa=ʒə=na=vε=plys=ε=me=dəp=ɥipʁεskə=di=zɑ̃=e=kɔmə=ʒə=lε=e=kʁi=plys-o=la=muʁ=kə=ʒə=tε=pɔʁ=te=e=tε=tεl=lmɑ̃=plys=pɥi=sɑ̃=kə=la=muʁ=kə=ʒε=py=pɔʁ=te=a=ki=kə=sə=swa=ʒa=vε=ze=vi=da=mɑ̃=pœʁ=də=tə=pεʁ=dʁəe=a=fɔʁ=sə=da=vwaʁ=y=pœʁ=ʒə=tε=fi=na=lə=mɑ̃=pεʁdɥ=u=ply=to=ʒə=tε=fε=paʁ=tiʁ=e=ɔ̃=sε=pεʁ=dys=ʒə=pɑ̃=sə=sɛ̃=sε=ʁə=mɑ̃=kɔ̃=sə=me=ʁi=tε=lœ̃=lo=tʁəe=kɔ̃=nε=pa=se=za=ko=te=də=sə=kə=la=vi=nə=pø=ɔ=fʁiʁ=ky=nə=sə=lə=fwa=ʒə=sɥi=zɛ̃=ka=pa=blə=də=di=ʁə=kə=ʒə=puʁ=ʁε=ɑ̃=kɔ=ʁəœ̃=ʒuʁ=ε=me=kεl=kœ̃=o=tɑ̃=kə=ʒə=tε=ε=me=tεl=lmɑ̃=sə=la=mə=pa=ʁε=i=ni=maʒinablə 162
ʒə=kɔ̃=tinɥ=a=pɑ̃=se=a=twa 8
sə=tεk=stə=a=e=te=mɔ=di=fje=kaʁ=ma=sit=ɥa=sjɔ̃=a=ʃɑ̃=ʒe=ʒε=de=si=de=də=mε=tʁə=də=lɔʁ=dʁə=dɑ̃=ma=vi=e=də=nə=plys=fε=ʁə=εs=pe=ʁe=la=pεʁ=sɔ=nə=a=vεk=ki=ʒe=tε=ʒə=sε=kə=nu=nə=pu=vjɔ̃=za=le=o=bu=e=se=tε=y=nə=kεs=tjɔ̃=də=tɑ̃ 68
ve=εn=ty=ε=e=ʁεs=tə=ʁa=lə=plys=ɡʁɑ̃=ta=muʁ=də=ma=vi=mεʁ=si=puʁ=sε=mɔ=mɑ̃=ma=ʒik=ve=kys=zɑ̃=sɑ̃=blə=e=a=bj=ɛ̃=to=ʒə=lεs=pε=ʁə 38
a=twa 2
pe=εs=œ̃=dø=zj=ε=mə=tεk=stə=ε=tɑ̃=kuʁ=de=kʁi=ty=ʁə 16
Historique des Modifications
18/11/2025 15:25
21/08/2025 16:15
Récompense
Poesie sans commentaire

14/12/2025Poeme-France
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Prose Amour
Du 27/07/2025 23:00
L'écrit contient 993 mots qui sont répartis dans 16 strophes. Toutes les strophes sont composés de 1 vers.