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Poème:Le Violoniste Misérable (10 Partie)

Le Poème

… Trois mois après, Pergot a achevé la composition de « rien n’est insupportable ». Il montera sur scène demain, à Paris.
Vers le début de la soirée, Jules apparut seul sur scène pour la première fois de sa vie ; il produit une grande surprenne au public. Amine y assistait secret.
09 : 44 minutes étaient la durée du morceau et durant, il traduit une notation rapide pour Amine, l’œuvre s’approche au plus prés de son être, mais qui toujours autre, échoue au sujet qui tente de le joindre à sa propre voix, tandis que la vision d’Amine indépendante, invente sans servitude, et recommence à inventer toute seule, comme le faisait depuis jadis ; rime à rime, chaque fois différente et singulière.
Ainsi, parce que se lier tumultueusement avec Jules, ne lui convenait plus, aussi bien, peut-être mieux, de renoncer pas autant à son amour homosexuelle. Mais la présence et la compréhension d’Amine satisfaisait d’abord les besoins constants de Jules, auxquels il désirait initialement lui dédier le morceau.
La situation de Jules lui semble cette fois très caractéristique : ayant avant une forme vielle de composer, trop romanesque et imaginaire, il risque tantôt de se trouver submergé et dominé par la modernité. Il pense offrir aux spectateurs une sonorité d’un homme libertin et complexe et énigmatique, ce qui ne l’empêche pas de posséder la simplicité dans sa musique.
Si l’on se concentre sur l’histoire des deux hommes, et on la met en relation avec le nouveau violon de Jules qui produise malheur, mélancolie ; l’histoire elle-même. Que fait ? L’histoire est le mal, la musique est la beauté. C’est extraire la beauté du mal *. Composer la beauté musicale par le malheur du compositeur. —qui doit être malheureux, déjà un innovant est toujours malheureux, c’est bien évident—. Une harmonieuse finesse entre deux éléments, tous deux essentiels, et aucun d’eux ne peut être sans l’autre.
Peut-être le sens de la beauté s’éclaira plus en connaissant son opposé (le mal) objet et méthode (le mal) , cette approximation négative de la beauté ouvre la probabilité du questionnement sur cette antithèse. (Le mal) ne représente pas seulement le contradictoire de la beauté, mais sa condition, son introduction, son fondement. C’est comme si la beauté n’excite jamais sans mal. Le mal est son étoffe d’existence, sa matière vivante.
Il a emporté la musique jusqu’au gouffre, il manœuvra la musique comme local de questionnement, où il ne s’arrêta pas devant la question de : comment composer un beau morceau ? Et quelles sont les particularités de la beauté dans la musique ? Mais il approfondit sa pensée jusqu’à la question de : quelle est la condition de la beauté dans la musique, quelle est la condition de la beauté en générale ? Quelle est sa fondation ? C’est le mal.
Ce qui réinvente le beau à partir du mal, renoue avec le mal à l’âme de Jules pour un fait beau, la musique. Ici, c’est une affirmation de la romance baudelairienne, qui se renvoie à un autre art et s’affirme en autre véracité ; un peu moins, ce qui n’est déjà pas mal.
—La transformation de la manière mentionnée, de la poésie à la musique, n’exclue pas le cadre premier et moderne, le cadre baudelairien—
Cette force, ce mal que lui laisse l’ancienne passion de vivre au contact d’un homme « rien n’est insupportable » le traduit. L’adhésion à son système d’archet insolite, jointe à une certaine redondance, collabore à rendre claire univoque, la signification du message musical. La loi de la musique est celle des autres arts, à laquelle la sensibilité de l’innovant est le message que transmette son art, qui est à la fois sa façon de communiquer. Voilà un type de communication joli et capital.
Devant ce signifié, non univoque pour les spectateurs, la première phase du processus de compréhension
Leurs offre quelque chose de triste, de malheureux à blesser leur cœur, et mette en jeu les tristes souvenirs, peut-être une rupture avec l’amant ou la maîtresse, le mari ou l’épouse… plusieurs vraisemblables sont là, prêts à fondre en larmes, mais les laisse satisfait et insatisfaits.
Jules achève le morceau, il descendit l’archet et le violon ; et dans le tonnerre d’applaudissements ; comme soulevé par un pouvoir magique, et en un geste nerveux, Amine traversa en courant le public, monta sur scène et sauta sur lui, ses lèvres pressèrent impatiemment vers Jules, et serra son corps contre lui. Ce fut un baiser violent et triste, ce fut comme un cri de mort qui se leva soudain du tombeau. Voici la seconde compréhension, la vraie, qui produit un grand étonnement chez le public, qui sifflera, grognera et aboiera aussitôt.
Cependant, Amine le lâcha et lui dit :
-Un chef-d’œuvre comme cela à partir de la joie ? —il se peut— je n’en ai vu, ni jamais fais.
Je la comprends, elle traduit une vision souvent mélancolique qui n’a aucun fondement, ni raison, ni solution valable à ses maux ; l’harmonie du sentiment avec la musique, l’attention du nouveau à la
Technique. Une cohérence d’effets savamment calculé. La musique qui ne s’est jamais connue de quelque chose plus profonde, plus littéraire, rien que ses fonctions traditionnelles, habituelles, vieillies à mon avis. Nous sommes la voie du futur. Je t’aime aussi fort que je n’en ai jamais aimer personne.
—Ils s’embrassent encore une fois, et ils descendirent la scène, la main de Jules sur son épaule—
Au-delà de la passion homosexuelle qui s’est noué, là sur scène, devant le public et entre deux hommes de musique ; il y’a bien eu un longe et agressif dialogue au tribunal, fondé sur une offense aux gens, à une société qui entrave et condamne l’homosexualité. Ils menèrent un grand débat sur ce phénomène. Enfin, le ministre de l’Intérieur a affirmé la protection du citoyen français et de sa morale par l’Etat. L’homosexualité… C’est un signe de recul très fort qui invalide les efforts des jeunes dans le sens des libertés et droits individuels. On a décidé de condamné les deux musiciens pour un an de prison. L’événement sur scène était d’autant normal pour les hommes de lettres, de musique et de peinture. Mais non, surtout pas tout ces gens, il y en a quelque uns rigoureux comme Flaubert, qui maudit l’événement dans le journal. — Amine et Jules sont traînés dans la boue par la presse— —Flaubert parle à Amine dans sa première visite à lui, au prison— -Vous êtes des déchus ! Une fois que vous êtes innovants, vous vous révoltez sur la société, vous vous amuser à scandaliser par vôtres cravates. Pourquoi ? Je sais ce que tu vas me répondre : on venge notre misère. C’est toujours la même chose. Faites ce que vous voulez, gardez votre homosexualité, vivez à deux hommes, vous en avez toute la liberté, mais s’il vous plait n’obligez pas les gens d’être comme vous, et surtout les jeunes. Ce n’est pas juste, c’est inepte. Tu finiras mal. –comment ça ? –C’est moi qui dois poser la question : comment ça ? Tu défends la liberté, mais tu veux généraliser ta différence, ton choix à toi. Chacun pour soi s’il te plait. –je ne comprends pas. –… deux enfants jouaient ensemble, une fille et un garçon, la fille a dit : je veux jouer à la poupée, tu joueras avec moi. Le garçon répondit : non, je veux jouer à la voiture, tu joueras avec moi. Ils commencèrent à se disputer. La fille à la poupée, le garçon à la voiture, chacun d’eux veut imposer son choix sur l’autre. La fille prit conscience que cette dispute ne mènera à rien, et trouva une bonne résolution et lui dit : tu joueras à la voiture et moi à la poupée. (Il ne faut pas généraliser. Chacun pour soi, et la liberté pour tous. ) Je vais te donner un autre exemple pour que tu me comprennes. Tu es un arbre dans la forêt, mais tu es différent des autres arbres, tu es un peu courber, les autres sont debout. Un poète par exemple veux décrire cette forêt et tu es une nature de cette dernière ; il ne va pas te discuter pourquoi tu es comme ça, tu dois être comme les autres arbres, ou pourquoi tu excite déjà… etc. il va te décrire comme tu es, on te respecte comme tu es. Il ne va pas falloir que tu sois comme les autres arbres, et les autres arbres ne doivent pas êtres comme toi, sinon pourquoi tu existes déjà. Ce que je veux te dire : Il faut respecter la diversité.
—Le violoniste comprend que Jules a raison, il est convaincu devant son cerveau, mais il s’offre à l’appétence de négation— -Tu m’avais dis que je dois lire Rimbaud. -ça alors, je t’ai dis de lire ses poèmes, sa vie est autre chose. Tu ne me comprends jamais pas. —il se lève fou de rage et sans le saluer, il quitta le lieu—
Il ne s’arrête pas en effet de souligner des plans, lorsqu’il gagne le besoin de venger ce qui dans son pays ne se dit jamais, ne s’écrit pas ; Le sujet est tellement tabou dans le monde arabe qu’il n’y a pas de mot pour désigner l’homosexualité. Commencer par l’étranger, le pouvoir, puis l’Arabie lui semble une bonne façon. L’affirmation de son identité, marocaine ne se révèle jamais, personne ne le sait rien que Flaubert, haïssant un pays qui est le sien, mais voulant à la fois la révéler après sa sorti. Ce besoin, crois-il, s’est décidé. Il parlait d’une liberté qui suffoque.
Durant, puisqu’ils ne pouvaient plus se voir, Amine et Jules échangeaient en cachette des lettres, à la prison :

Jules,
Voici presque une semaine que mon ciel est pur, je ne compose plus. Je suis malheureux, trop malheureux, un mauvais fléau ; ce dernier m’est obligé, tu le sais. Je crois pouvoir dire que j’ai toujours défendu la liberté, mais maintenant je suis las, faible devant le pouvoir des gouvernants.
Je suis emprisonné pour une homosexualité qui est ma nature, ma vérité ; que je dois révéler.
Je sais pourquoi je suis suffoqué maintenant, car bien souvent nous étions peu à défendre nos droits tous, notre liberté.
Ami ! Plusieurs idées sont renversées dans ma tête, ma vie bascule énormément. Je passe les nuits à radoter. Jules ! Ô Jules, cela me navre beaucoup.
Saches que je tiens absolument à empêcher que cela puisse se reproduire. Que le peuple change un peu.
Nous voyagerons dans plusieurs pays quand on sortira, c’est la bonne voie.

Écris-moi prochainement, je t’en prie.
Amine
Cher grande âme,
J’ai le grand plaisir de te lire. Je pense comprendre ton objectif, tu as raison, je suis avec toi.
J’ai aperçus tout ce temps que j’ai passé avec toi, un mal de vivre et un bon de vivre dans une relation tumultueuse et différente, fondée sur une liberté d’opinion, de pensée et d’acte — Passer à une pensée, c’est passer à un acte—
Il n’y a quand même pas beaucoup une foule de problèmes ici ? Résistes et profites du temps. Il ne nous reste pas beaucoup avant de sortir.
Nous sortirons et nous mènerons la société à bonne fin, cela doit prendre du temps, mais il le faut.

Ma cordialité.
Jules Pergot

Amine attendait le facteur pour une lettre de Flaubert, qui arriva quelques mois après leur dernière réunion. Flaubert sait très bien la raison d’Amine, il assembla un conseil ; où le penseur lui ayant intelligemment reproché sa faiblesse.
—Il lit—
Mon fils,
Je sais ce que tu as pensé, ce que tu penses et ce que tu vas penser. Je veux poser une question : si on permet l’homosexualité, tu vivras heureux et tranquille ? Je sais que tu ne sécheras la réponse, parce que tes raisons sont encore confuses, tu es jeune, tu es fou. Vous chercher d’êtres autres pour se différencier et vivre la passion loin de la servitude des traditions, de la logique ou tout simplement de la nature, vous voulez alors fauter contre la loi de la vie. Mon cher, je dis un seul conseil et j’arrête d’écrire. Le bonheur est la tentation de la chose, si l’on réalise cette chose, tout deviendra normal et ennuyant ; vis ta tentation, mais n’espère jamais te satisfaire après la résolution.
Flaubert
Cependant, amine s’était rendu célèbre chez les libertins par son intrépidité, et on l’eut jugé libre de régner de sa nature, dit la chronique : un peu cruel. Apres quelques mois de l’emprisonnement des deux hommes, ayant encouragé les homosexuels de France, qui commencent sitôt à organiser des manifestations, La révolution s’étendit particulièrement à Paris, où une cohue d’homosexuels vinrent se ranger derrière l’intérêt d’Amine et Jules, qui défendent les droits des homosexuels. Ils sont prêt à le suivre partout où il voudrait les conduire. L’état se vit forcer de punir un peu sévèrement ces malfaiteurs, dit la chronique « des lâches aux cœurs faibles. » Plusieurs arrestations d’homosexuels ont eu lieu.
Peu de temps après, ayant consommé un an à la prison, Amine et Jules, en sortant da la geôle, se rencontrèrent devant la porte de la prison. Pour lui résister, Jules posa la face gauche de sa tête sur le mur, le médita du regard le plus considérable, le plus triste de son être, il ne pouvait pas s’approcher de lui devant brèche, dont les portes étaient demeurées ouvertes ; par la crainte du supplice, il tua son envie après avoir été plus tuée par les garants une fois, battu, fatigué et prêt à s’évanouir ; il faillit perdre la vie dedans, et ne se détacha qu’avec peine et couvert de blessures. A force de se salir beaucoup, ses cheveux étaient devenues noirs après qu’ils étaient marrons éclairés. Jules manqua tellement Amine, qu’il fut prés de passer le serré contre lui et l’embrasser ; mais il fut détourné de ces combinaisons de la vengeance qui brûle dans son cœur, de son avenir, et surtout par le torture qu’il allait rejoindre une seconde fois, s’il s’approche de lui. Ils demeuraient là, sans s’assembler, sans parler quand un gardien de la porte, qui était conscient de la nature d’accusation des deux hommes, et ce qu’elle a produit de confusions chez le peuple, fut énervé : -Quelle race de lâches êtes vous donc ? —Des mots s’emballent furieusement de la bouche d’Amine— -c’est nous qui doivent poser cette question, mais au moins nous serons plus polis. - partez de là, maintenant, sinon je vous montre si peu favorable envers moi que je vous tue de mon arme et sauver non-seulement un grand nombre de jeunes, mais un peuple. –Va-y, tu feras, tires sur moi. Vas-y ! —il leva son arme, tantôt il tire— une cause si chère exciterait l’homme le plus mort au monde à se lancer dans le sacrifie pour une personne qu’il aime. Allongé, le brave Jules, ses yeux étincelaient l’espace qui l’entoure, il avait plus besoin d’Amine que d’un dieu. Il lui Caressa la joue d’une main tremblante : -tu es joli ! Et ayant toujours la main sur lui, il pense, mais il ne peut plus parler, sa main tombe. Jules n’était plus. Amine resta paralysé devant le cadavre, il méditait cette mort méchante pour tous le gens, il avait peur, il était triste, quelque chose d’abstrait lui déchirait l’estomac, toujours paralysé, deux larmes coulèrent de ses deux yeux ruisselets, pleurnichardes. Je voyais du feu et de la peine, je voyais de la tristesse tremblotait ses lèvres, de la vengeance serrait sa main. Il se croyait le coupable de ce crime, il se croyait perdu sans Jules… en fait je ne sais pas à quoi il pensait, il était juste paralysé. C’est tout. L’ambulance transmette Jules, la police amène le coupable et Amine encore paralysé dans sa place devant la placette de Jules déjà partit. La nouvelle se répand dans tout le monde, le musicien Jules a été assassinée par le gardien de la prison, dont il était prisonnier.
Flaubert et Amine, se promenant dans la forêt **, embaumant, voient un arbre à branches hautes, mais une de ses branche était longue et courbée jusqu’au sol, des enfants s’accrochent, jouent, grimpent, s’assoient, s’allongent sur le bois baissé. –Cet arbre est différent des autres, gentil, il tend la main aux enfants pour jouer : comme je tends la mienne aux gens, aux jeunes pour défendre notre liberté tous. –Tu dis n’importe quoi, cette arbre pousse les enfants à sourire, à profiter du temps, toi tu pousses les jeunes à mourir vivants, à être écroués, à perdre leurs temps à défendre une servitude tangible. Tu aurais été très bien si tu n’été pas montré Guy, ne pas tuer Jules. Ne pas pousser l’arme d’un STUPIDE tuer un innovant ! -Pour vivre, il faut être quelqu’un… quelqu’un différent. Il faut avoir une différence pour être ! Il faut avoir une vérité ! Ne pas avoir peur de montrer la vérité ! -Tu as montré LA MERDE ! —Amine commença à pleurer, pleurer du fond. Flaubert le prit dans sa poitrine, émouvant, et l’embrassa par le crâne—
Amine ne restait que rarement à la maison, il passait d’une rue à l’autre, d’un boulevard à l’autre, et sans doute d’une cigarette à l’autre, d’une bouteille à l’autre… etc. Sans musique, sans occupation intellectuelle, sans Jules, il ne faisait que trainer rien d’autre. Il sombre toujours dans l’ivrognerie et va, une cigarette dans la main, devant la prison se paralyser devant le cadavre de l’amant qui n’est plus là, devant l’inspiration qui n’est plus là. Il commence à pleurer, pleurer, crier, sans arrêt. –je ne te laisse pas parce que je t’aime. Quelques-uns disent qu’il est fou. Mais ce qu’il y a de certain, c’est qu’il ne musique plus. Au fond, depuis la mort de Jules, il considéra sa vie sans but, sans aucun objectif. Jules n’était plus, amine était Jules, amine n’était plus aussi. Il vivait mort. Le violoniste décida de continuer dans la voie du malheur, le mal sans trop d’abstrait, de gouffres ; le malheur simplement, mathématiquement : sans extraire ni beauté, ni musique. Triste sèchement. Il faisait froid, puis le printemps de la musique, puis un beau jour chaud : il trainait toujours ivrogne dans les rues, la cigarette dans la main, sa façon de fumer était devenu malhabile, pleurnicharde, sa main troublait toujours, ses yeux pleins de fleuves, il fumait beaucoup, beaucoup, comme si son oubli dépendait de cette fumée. Il bascule à lourd, il partait faire des tours à la maison de Jules, à son ancienne adresse ; il ne la reconnu plus, ni la rue, ni l’immeuble, ni l’appartement qui enleva sa jeunesse. (… ) Souvent il lui arrivait, de passer la nuit dehors, retouchant la présence de l’amant, il vivait avec lui de l’air du temps. Il le cherchait, il l’imaginait, encore vivant, jeune, fou comme jadis. Il souhaitait un temps qui ne veut plus rien dire du tout. Dans les cafés, ils étaient quelques uns qui goutaient un café crème, souriants. Les autres passaient, chaleureux et tranquille. Eh bien que miséreux, Amine passait devant eux, misérable et triste. Ils cessaient sitôt d’y prétendre qu’il méritait à cause de sa réputation qui s’était détruite, mais devant eux, à portée immédiate de leur sensibilité ; se produit un sentiment triste, aussitôt flambe en eux une souffrance déchirante. Flaubert, dans le supplice aussi de l’état de son fils. Au premier, il croyait que cette attitude été pourtant pour Amine normal, une tristesse qui durera des journées, des semaines peut-être, puis il n y a plus rien. Mais peu à peu, ça a exagéré. Flaubert se perdit jour après jour et commença à prendre au sérieux la maladie d’Amine. Il décida à la fin de l’amener chez un psychologue pour l’aider. Rien ne changea. Que t’arrive-il donc joli violoniste ? Que fais-tu donc trainer fou, maladroit dans les rues, la cigarette dans la main et la robe toute mal en ordre ? Qu’arrive-il à ta chair, plus froide qu’un cadavre, rouge comme l’enfer aux coins des paupières ? Amine, blond Amine, ne crois-tu plus à la liberté, maintenant que tu loues un homme qui n’est plus, tu es le sujet d’une passion morte ! Pourquoi avait-tu tant défendu une liberté qui t’enchaine maintenant. Ah ! Pauvre Amine, cette liberté que tu prétends liberté enlève ta jeunesse ; cesse donc ! Tu entends dans le monde hurler les extrémistes de religions, hurler les extrémistes marxiste, tu es comme eux l’homosexuel qui hurle son choix pour le généraliser sur tout le monde : vous êtes les mêmes. Tu ne sais rien de la liberté.
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Poeme de La Vagabonde

Poète La Vagabonde

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Le Violoniste Misérable (10 Partie)trois=mois=a=près=per=got=a=ache=vé=la=com=po=si=tion=de=rien=nest=in=sup=por=ta=ble=il=mon=te=ra=sur=s=cè=ne=de=main=à=pa=ris 36
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zé=ro=neuf=qua=rante=qua=tre=mi=nu=tes=é=taient=la=du=rée=du=mor=ceau=et=du=rant=il=tra=duit=u=ne=no=ta=tion=ra=pi=de=pour=a=mi=ne=lœu=vre=sap=pro=cheau=plus=prés=de=son=ê=tre=mais=qui=tou=jours=au=tre=é=choue=au=su=jet=qui=ten=te=de=le=join=dre=à=sa=pro=pre=voix=tan=dis=que=la=vi=sion=da=mi=ne=in=dé=pen=dan=te=in=ven=te=sans=ser=vi=tu=de=et=re=com=men=ce=à=in=ven=ter=tou=te=seu=le=com=me=le=fai=sait=de=puis=ja=dis=ri=me=à=ri=me=cha=que=fois=dif=fé=ren=te=et=sin=gu=lière 130
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peut=têtre=le=sens=de=la=beau=té=sé=clai=ra=plus=en=con=nais=sant=son=op=po=sé=le=mal=ob=jet=et=mé=tho=de=le=mal=cet=teap=proxi=ma=tion=né=ga=ti=ve=de=la=beau=té=ou=vre=la=pro=ba=bi=li=té=du=ques=ti=on=ne=ment=sur=cet=te=an=ti=thèse=le=mal=ne=re=pré=sen=te=pas=seu=le=ment=le=con=tra=dic=toi=re=de=la=beau=té=mais=sa=con=di=tion=son=in=tro=duc=tion=son=fon=de=ment=cest=com=me=si=la=beau=té=nex=ci=te=ja=mais=sans=mal=le=mal=est=son=é=tof=fe=dexis=ten=ce=sa=ma=tiè=re=vi=vante 128
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ce=qui=réinven=te=le=beau=à=par=tir=du=mal=re=nouea=vec=le=mal=à=lâ=me=de=ju=les=pour=un=fait=beau=la=mu=sique=ici=cest=u=ne=af=fir=ma=tion=de=la=ro=man=ce=bau=de=lai=rien=ne=qui=se=ren=voie=à=un=au=tre=art=et=saf=fir=me=en=au=tre=vé=ra=ci=té=un=peu=moins=ce=qui=nest=dé=jà=pas=mal 77
—=la=trans=for=ma=tion=de=la=ma=nière=men=ti=on=née=de=la=poé=sieà=la=mu=si=que=nex=clue=pas=le=ca=dre=pre=mier=et=mo=der=ne=le=ca=dre=bau=de=lai=rien— 41
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de=vant=ce=si=gni=fié=non=u=ni=vo=que=pour=les=s=pec=ta=teurs=la=pre=mière=pha=se=du=pro=ces=sus=de=com=pré=hen=sion 31
leurs=of=fre=quel=que=chose=de=tris=te=de=malheu=reux=à=bles=ser=leur=cœur=et=met=teen=jeu=les=tris=tes=sou=ve=nirs=peut=tê=tre=u=ne=rup=tu=re=a=vec=la=mant=ou=la=maî=tres=se=le=ma=ri=ou=lé=pou=se=plu=sieurs=vrai=sem=bla=bles=sont=là=prêts=à=fon=dre=en=lar=mes=mais=les=lais=se=sa=tis=fait=et=in=sa=tis=faits 78
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ce=pen=dant=a=mine=le=lâ=cha=et=lui=dit 11
un=chef=dœuvre=com=me=ce=la=à=par=tir=de=la=joie=—il=se=peut—=je=nen=ai=vu=ni=ja=mais=fais 24
je=la=com=prends=el=le=tra=duit=une=vi=sion=sou=vent=mé=lan=co=li=que=qui=na=au=cun=fon=de=ment=ni=rai=son=ni=so=lu=tion=va=la=bleà=ses=maux=lhar=mo=nie=du=sen=ti=ment=a=vec=la=mu=si=que=lat=ten=ti=on=du=nou=veau=à=la 59
tech=nique=une=co=héren=ce=def=fets=sa=vam=ment=cal=cu=lé=la=mu=si=que=qui=ne=sest=ja=mais=con=nue=de=quel=que=cho=se=plus=pro=fon=de=plus=lit=té=rai=re=rien=que=ses=fonc=tions=tra=di=tion=nel=les=ha=bi=tuel=les=vieillies=à=mon=a=vis=nous=som=mes=la=voie=du=fu=tur=je=tai=meaus=si=fort=que=je=nen=ai=ja=mais=ai=mer=per=sonne 81
—ils=sem=brassent=en=co=reu=ne=fois=et=ils=des=cen=di=rent=la=s=cè=ne=la=main=de=ju=les=sur=son=é=pau=le— 28
au=de=là=de=la=pas=sion=ho=mo=sexuel=le=qui=sest=noué=là=sur=s=cène=de=vant=le=pu=blic=et=en=tre=deux=hom=mes=de=mu=si=que=il=ya=bien=eu=un=lon=geet=a=gres=sif=dia=lo=gue=au=tri=bu=nal=fon=dé=sur=u=ne=of=fen=se=aux=gens=à=u=ne=so=cié=té=qui=en=tra=ve=et=con=dam=ne=lho=mo=sexua=li=té=ils=me=nè=rent=un=grand=dé=bat=sur=ce=phé=no=mène=en=fin=le=mi=nis=tre=de=lin=té=rieur=a=af=fir=mé=la=pro=tec=tion=du=ci=toyen=fran=çais=et=de=sa=mo=ra=le=par=le=tat=lho=mo=sexua=li=té=cest=un=si=gne=de=re=cul=très=fort=qui=in=va=li=de=les=ef=forts=des=jeu=nes=dans=le=sens=des=li=ber=tés=et=droits=in=di=vi=duels=on=a=dé=ci=dé=de=con=dam=né=les=deux=mu=si=ciens=pour=un=an=de=pri=son=lé=vé=ne=ment=sur=s=cè=ne=é=tait=dau=tant=nor=mal=pour=les=hom=mes=de=let=tres=de=mu=si=que=et=de=pein=tu=re=mais=non=sur=tout=pas=tout=ces=gens=il=y=en=a=quel=que=uns=ri=gou=reux=com=me=flau=bert=qui=mau=dit=lé=vé=ne=ment=dans=le=jour=nal=—=a=mi=ne=et=ju=les=sont=traî=nés=dans=la=boue=par=la=pres=se—=—=flau=bert=par=le=à=a=mi=ne=dans=sa=pre=miè=re=vi=si=te=à=lui=au=pri=son—=vous=ê=tes=des=dé=chus=u=ne=fois=que=vous=ê=tes=in=no=vants=vous=vous=ré=vol=tez=sur=la=so=ci=é=té=vous=vous=a=mu=ser=à=s=can=da=li=ser=par=vô=tres=cra=vates=pour=quoi=je=sais=ce=que=tu=vas=me=ré=pon=dre=on=ven=ge=no=tre=mi=sère=cest=tou=jours=la=mê=me=chose=fai=tes=ce=que=vous=vou=lez=gar=dez=vo=tre=ho=mo=sexua=li=té=vi=vez=à=deux=hom=mes=vous=en=a=vez=tou=te=la=li=ber=té=mais=sil=vous=plait=no=bli=gez=pas=les=gens=dê=tre=com=me=vous=et=sur=tout=les=jeunes=ce=nest=pas=jus=te=cest=i=nepte=tu=fi=ni=ras=mal=com=ment=ça=cest=moi=qui=dois=po=ser=la=ques=tion=com=ment=ça=tu=dé=fends=la=li=ber=té=mais=tu=veux=gé=né=ra=li=ser=ta=dif=fé=ren=ce=ton=choix=à=toi=cha=cun=pour=soi=sil=te=plait=je=ne=com=prends=pas=deux=en=fants=jou=aient=en=sem=ble=u=ne=fille=et=un=gar=çon=la=fille=a=dit=je=veux=jouer=à=la=pou=pée=tu=joue=ras=a=vec=moi=le=gar=çon=ré=pon=dit=non=je=veux=jouer=à=la=voi=tu=re=tu=joue=ras=a=vec=moi=ils=com=men=cè=rent=à=se=dis=pu=ter=la=fille=à=la=pou=pée=le=gar=çon=à=la=voi=tu=re=cha=cun=deux=veut=im=po=ser=son=choix=sur=lautre=la=fille=prit=cons=cien=ce=que=cet=te=dis=pu=te=ne=mè=ne=ra=à=rien=et=trou=va=u=ne=bon=ne=ré=so=lu=ti=on=et=lui=dit=tu=joue=ras=à=la=voi=tu=re=et=moi=à=la=pou=pée=il=ne=faut=pas=gé=né=ra=li=ser=cha=cun=pour=soi=et=la=li=ber=té=pour=tous=je=vais=te=don=ner=un=au=tre=exem=ple=pour=que=tu=me=com=prennes=tu=es=un=ar=bre=dans=la=fo=rêt=mais=tu=es=dif=fé=rent=des=au=tres=ar=bres=tu=es=un=peu=cour=ber=les=au=tres=sont=de=bout=un=po=è=te=par=exem=ple=veux=dé=cri=re=cet=te=fo=rêt=et=tu=es=u=ne=na=tu=re=de=cet=te=der=niè=re=il=ne=va=pas=te=dis=cu=ter=pour=quoi=tu=es=com=me=ça=tu=dois=ê=tre=com=me=les=au=tres=ar=bres=ou=pour=quoi=tu=ex=ci=te=dé=jà=èt=cé=té=ra=il=va=te=dé=cri=re=com=me=tu=es=on=te=res=pec=te=com=me=tu=es=il=ne=va=pas=fal=loir=que=tu=sois=com=me=les=au=tres=ar=bres=et=les=au=tres=ar=bres=ne=doi=vent=pas=ê=tres=com=me=toi=si=non=pour=quoi=tu=exis=tes=dé=jà=ce=que=je=veux=te=di=re=il=faut=res=pec=ter=la=di=ver=si=té 816
—=le=vio=lo=niste=com=prend=que=ju=les=a=rai=son=il=est=con=vain=cu=de=vant=son=cer=veau=mais=il=sof=freà=lap=pé=ten=ce=de=né=ga=tion—=tu=ma=vais=dis=que=je=dois=li=re=rim=baud=ça=a=lors=je=tai=dis=de=li=re=ses=po=è=mes=sa=vie=est=au=tre=chose=tu=ne=me=com=prends=ja=mais=pas=—il=se=lè=ve=fou=de=ra=ge=et=sans=le=sa=luer=il=quit=ta=le=lieu— 91
il=ne=sar=rête=pas=en=ef=fet=de=sou=li=gner=des=plans=lors=quil=ga=gne=le=be=soin=de=ven=ger=ce=qui=dans=son=pa=ys=ne=se=dit=ja=mais=ne=sé=crit=pas=le=su=jet=est=tel=le=ment=ta=bou=dans=le=mon=dea=ra=be=quil=ny=a=pas=de=mot=pour=dé=si=gner=lho=mo=sexua=li=té=com=men=cer=par=lé=tran=ger=le=pou=voir=puis=la=ra=bie=lui=sem=ble=u=ne=bon=ne=fa=çon=laf=fir=ma=tion=de=son=i=den=ti=té=ma=ro=cai=ne=ne=se=ré=vè=le=ja=mais=per=son=ne=ne=le=sait=rien=que=flau=bert=haïs=sant=un=pa=ys=qui=est=le=sien=mais=vou=lant=à=la=fois=la=ré=vé=ler=a=près=sa=sor=ti=ce=be=soin=crois=il=sest=dé=ci=dé=il=par=lait=du=ne=li=ber=té=qui=suf=foque 167
du=rant=puis=quils=ne=pou=vaient=plus=se=voir=a=mineet=ju=les=é=chan=geaient=en=ca=chet=te=des=let=tres=à=la=pri=son 28

ju=les 2
voi=ci=pres=queune=se=mai=ne=que=mon=ciel=est=pur=je=ne=com=po=se=plus=je=suis=malheu=reux=trop=mal=heu=reux=un=mau=vais=flé=au=ce=der=nier=mest=o=bli=gé=tu=le=sais=je=crois=pou=voir=di=re=que=jai=tou=jours=dé=fen=du=la=li=ber=té=mais=main=te=nant=je=suis=las=fai=ble=de=vant=le=pou=voir=des=gou=ver=nants 76
je=suis=em=pri=son=né=pour=une=ho=mo=sexua=li=té=qui=est=ma=na=tu=re=ma=vé=ri=té=que=je=dois=ré=vé=ler 29
je=sais=pour=quoi=je=suis=suf=fo=qué=mainte=nant=car=bien=sou=vent=nous=é=tions=peu=à=dé=fen=dre=nos=droits=tous=no=tre=li=ber=té 31
a=mi=plu=sieurs=i=dées=sont=ren=ver=sées=dans=ma=tête=ma=vie=bas=cu=leé=nor=mé=ment=je=pas=se=les=nuits=à=ra=do=ter=ju=les=ô=ju=les=ce=la=me=na=vre=beau=coup 42
saches=que=je=tiens=ab=so=lu=ment=à=em=pê=cher=que=ce=la=puis=se=se=re=pro=duire=que=le=peu=ple=chan=geun=peu 28
nous=voy=age=rons=dans=plu=sieurs=pa=ys=quand=on=sor=ti=ra=cest=la=bon=ne=voie 19

é=cris=moi=pro=chaine=ment=je=ten=prie 9
a=mine 2
cher=grande=â=me 4
jai=le=grand=plai=sir=de=te=lire=je=pense=com=pren=dre=ton=ob=jec=tif=tu=as=rai=son=je=suis=a=vec=toi 26
jai=a=per=çus=tout=ce=temps=que=jai=pas=sé=a=vec=toi=un=mal=de=vivreet=un=bon=de=vi=vre=dans=u=ne=re=la=tion=tu=mul=tueu=se=et=dif=fé=ren=te=fon=dée=sur=u=ne=li=ber=té=do=pi=nion=de=pen=sée=et=dac=te=—=pas=ser=à=u=ne=pen=sée=cest=pas=ser=à=un=ac=te— 70
il=ny=a=quand=même=pas=beau=coup=u=ne=fou=le=de=pro=blè=mes=i=ci=ré=sis=tes=et=pro=fi=tes=du=temps=il=ne=nous=res=te=pas=beau=coup=a=vant=de=sor=tir 40
nous=sor=ti=rons=et=nous=mène=rons=la=so=cié=té=à=bon=ne=fin=ce=la=doit=pren=dre=du=temps=mais=il=le=faut 27

ma=cor=dia=li=té 5
jules=per=got 3

a=mineat=ten=dait=le=fac=teur=pour=u=ne=let=tre=de=flau=bert=qui=ar=ri=va=quel=ques=mois=a=près=leur=der=niè=re=réu=nion=flau=bert=sait=très=bien=la=rai=son=da=mi=ne=il=as=sem=bla=un=con=seil=où=le=pen=seur=lui=ayant=in=tel=li=gem=ment=re=pro=ché=sa=fai=blesse 65
—il=lit— 2
mon=fils 2
je=sais=ce=que=tu=as=pen=sé=ce=que=tu=penses=et=ce=que=tu=vas=pen=ser=je=veux=po=ser=u=ne=ques=tion=si=on=per=met=lho=mo=sexua=li=té=tu=vi=vras=heu=reux=et=tran=quille=je=sais=que=tu=ne=sé=che=ras=la=ré=pon=se=par=ce=que=tes=rai=sons=sont=en=co=re=con=fu=ses=tu=es=jeu=ne=tu=es=fou=vous=cher=cher=dê=tres=au=tres=pour=se=dif=fé=ren=cier=et=vi=vre=la=pas=sion=loin=de=la=ser=vi=tu=de=des=tra=di=tions=de=la=lo=gi=queou=tout=sim=ple=ment=de=la=na=tu=re=vous=vou=lez=a=lors=fau=ter=con=tre=la=loi=de=la=vie=mon=cher=je=dis=un=seul=con=seil=et=jar=rê=te=dé=crire=le=bon=heur=est=la=ten=ta=tion=de=la=cho=se=si=lon=ré=a=li=se=cet=te=cho=se=tout=de=vien=dra=nor=mal=et=en=nuy=ant=vis=ta=ten=ta=tion=mais=nes=pè=re=ja=mais=te=sa=tis=fai=re=a=près=la=ré=so=lu=tion 203
flau=bert 2
ce=pen=dant=a=mine=sé=tait=ren=du=cé=lè=bre=chez=les=li=ber=tins=par=son=in=tré=pi=di=té=et=on=leut=ju=gé=li=bre=de=ré=gner=de=sa=na=tu=re=dit=la=chro=ni=que=un=peu=cruel=apres=quel=ques=mois=de=lem=pri=son=ne=ment=des=deux=hom=mes=ayant=en=cou=ra=gé=les=ho=mo=sexuels=de=fran=ce=qui=com=men=cent=si=tôt=à=or=ga=ni=ser=des=ma=ni=fes=ta=tions=la=ré=vo=lu=ti=on=sé=ten=dit=par=ti=cu=liè=re=ment=à=pa=ris=où=u=ne=co=hue=dho=mo=sexuels=vin=rent=se=ran=ger=der=riè=re=lin=té=rêt=da=mi=neet=ju=les=qui=dé=fen=dent=les=droits=des=ho=mo=sexuels=ils=sont=prêt=à=le=sui=vre=par=tout=où=il=vou=drait=les=con=duire=lé=tat=se=vit=for=cer=de=pu=nir=un=peu=sé=vè=re=ment=ces=mal=fai=teurs=dit=la=chro=ni=que=des=lâ=ches=aux=cœurs=faibles=plu=sieurs=ar=res=ta=tions=d=ho=mo=sexuels=ont=eu=lieu 201
peu=de=temps=a=près=ayant=con=som=mé=un=an=à=la=pri=son=a=mineet=ju=les=en=sor=tant=da=la=geô=le=se=ren=con=trè=rent=de=vant=la=por=te=de=la=pri=son=pour=lui=ré=sis=ter=ju=les=po=sa=la=fa=ce=gau=che=de=sa=tê=te=sur=le=mur=le=mé=di=ta=du=re=gard=le=plus=con=si=dé=ra=ble=le=plus=tris=te=de=son=ê=tre=il=ne=pou=vait=pas=sap=pro=cher=de=lui=de=vant=brè=che=dont=les=por=tes=é=taient=de=meu=rées=ou=ver=tes=par=la=crain=te=du=sup=pli=ce=il=tua=son=en=vie=a=près=a=voir=é=té=plus=tuée=par=les=ga=rants=u=ne=fois=bat=tu=fa=ti=gué=et=prêt=à=sé=va=nouir=il=faillit=per=dre=la=vie=de=dans=et=ne=se=dé=ta=cha=qua=vec=pei=ne=et=cou=vert=de=bles=su=res=a=for=ce=de=se=sa=lir=beau=coup=ses=che=veux=é=taient=de=ve=nues=noirs=a=près=quils=é=taient=mar=rons=é=clai=rés=ju=les=man=qua=tel=le=ment=a=mi=ne=quil=fut=prés=de=pas=ser=le=ser=ré=con=tre=lui=et=lem=bras=ser=mais=il=fut=dé=tour=né=de=ces=com=bi=nai=sons=de=la=ven=gean=ce=qui=brû=le=dans=son=cœur=de=son=a=ve=nir=et=sur=tout=par=le=tor=tu=re=quil=al=lait=re=join=dre=u=ne=se=con=de=fois=sil=sap=pro=che=de=lui=ils=de=meu=raient=là=sans=sas=sem=bler=sans=par=ler=quand=un=gar=dien=de=la=por=te=qui=é=tait=cons=cient=de=la=na=tu=re=dac=cu=sa=ti=on=des=deux=hom=mes=et=ce=quel=le=a=pro=duit=de=con=fu=sions=chez=le=peu=ple=fut=é=ner=vé=quel=le=ra=ce=de=lâ=ches=ê=tes=vous=donc=—=des=mots=sem=bal=lent=fu=rieu=se=ment=de=la=bou=che=da=mi=ne—=cest=nous=qui=doi=vent=po=ser=cet=te=ques=tion=mais=au=moins=nous=se=rons=plus=po=lis=par=tez=de=là=main=te=nant=si=non=je=vous=mon=tre=si=peu=fa=vo=ra=ble=en=vers=moi=que=je=vous=tue=de=mon=ar=me=et=sau=ver=non=seu=le=ment=un=grand=nom=bre=de=jeu=nes=mais=un=peuple=va=y=tu=fe=ras=ti=res=sur=moi=vas=y=—il=le=va=son=ar=me=tan=tôt=il=ti=re—=u=ne=cau=se=si=chè=re=ex=ci=te=rait=lhom=me=le=plus=mort=au=mon=de=à=se=lan=cer=dans=le=sa=cri=fie=pour=u=ne=per=son=ne=quil=aime=al=lon=gé=le=bra=ve=ju=les=ses=yeux=é=tin=ce=laient=les=pa=ce=qui=len=tou=re=il=a=vait=plus=be=soin=da=mi=ne=que=dun=dieu=il=lui=ca=res=sa=la=joue=du=ne=main=trem=blan=te=tu=es=jo=li=et=ay=ant=tou=jours=la=main=sur=lui=il=pen=se=mais=il=ne=peut=plus=par=ler=sa=main=tombe=ju=les=né=tait=plus=a=mi=ne=res=ta=pa=ra=ly=sé=de=vant=le=ca=da=vre=il=mé=di=tait=cet=te=mort=mé=chan=te=pour=tous=le=gens=il=a=vait=peur=il=é=tait=tris=te=quel=que=cho=se=dabs=trait=lui=dé=chi=rait=les=to=mac=tou=jours=pa=ra=ly=sé=deux=lar=mes=cou=lè=rent=de=ses=deux=y=eux=ruis=se=lets=pleur=ni=chardes=je=vo=yais=du=feu=et=de=la=pei=ne=je=vo=yais=de=la=tris=tes=se=trem=blo=tait=ses=lè=vres=de=la=ven=gean=ce=ser=rait=sa=main=il=se=cro=yait=le=cou=pa=ble=de=ce=cri=me=il=se=cro=yait=per=du=sans=ju=les=en=fait=je=ne=sais=pas=à=quoi=il=pen=sait=il=é=tait=jus=te=pa=ra=ly=sé=cest=tout=lam=bu=lan=ce=trans=met=te=ju=les=la=po=li=ce=a=mè=ne=le=cou=pa=ble=et=a=mi=ne=en=co=re=pa=ra=ly=sé=dans=sa=pla=ce=de=vant=la=pla=cet=te=de=ju=les=dé=jà=par=tit=la=nou=vel=le=se=ré=pand=dans=tout=le=mon=de=le=mu=si=cien=ju=les=a=é=té=as=sas=si=née=par=le=gar=dien=de=la=pri=son=dont=il=é=tait=pri=son=nier 807
flau=bert=et=a=mine=se=pro=me=nant=dans=la=fo=rêt=as=té=ris=queas=té=ris=que=em=bau=mant=voient=un=ar=bre=à=bran=ches=hau=tes=mais=u=ne=de=ses=bran=che=é=tait=lon=gue=et=cour=bée=jus=quau=sol=des=en=fants=sac=cro=chent=jouent=grim=pent=sas=soient=sal=lon=gent=sur=le=bois=bais=sé=cet=ar=bre=est=dif=fé=rent=des=au=tres=gen=til=il=tend=la=main=aux=en=fants=pour=jouer=com=me=je=tends=la=mien=ne=aux=gens=aux=jeu=nes=pour=dé=fen=dre=no=tre=li=ber=té=tous=tu=dis=nim=por=te=quoi=cet=te=ar=bre=pous=se=les=en=fants=à=sou=ri=re=à=pro=fi=ter=du=temps=toi=tu=pous=ses=les=jeu=nes=à=mou=rir=vi=vants=à=ê=tre=é=croués=à=per=dre=leurs=temps=à=dé=fen=dre=u=ne=ser=vi=tu=de=tan=gible=tu=au=rais=é=té=très=bien=si=tu=né=té=pas=mon=tré=guy=ne=pas=tuer=ju=les=ne=pas=pous=ser=lar=me=dun=stu=pi=de=tuer=un=in=no=vant=pour=vi=vre=il=faut=ê=tre=quel=quun=quel=quun=dif=fé=rent=il=faut=a=voir=u=ne=dif=fé=ren=ce=pour=ê=tre=il=faut=a=voir=u=ne=vé=ri=té=ne=pas=a=voir=peur=de=mon=trer=la=vé=ri=té=tu=as=mon=tré=la=mer=de=—a=mi=ne=com=men=ça=à=pleu=rer=pleu=rer=du=fond=flau=bert=le=prit=dans=sa=poi=tri=ne=é=mou=vant=et=lem=bras=sa=par=le=crâ=ne— 293
a=mine=ne=res=tait=que=ra=re=ment=à=la=mai=son=il=pas=sait=du=ne=rueà=lau=tre=dun=bou=le=vard=à=lau=tre=et=sans=dou=te=du=ne=ci=ga=ret=te=à=lau=tre=du=ne=bou=tei=lle=à=lau=tre=èt=cé=té=ra=sans=mu=si=que=sans=oc=cu=pa=tion=in=tel=lec=tuel=le=sans=ju=les=il=ne=fai=sait=que=trai=ner=rien=dautre=il=som=bre=tou=jours=dans=li=vro=gne=rie=et=va=u=ne=ci=ga=ret=te=dans=la=main=de=vant=la=pri=son=se=pa=ra=ly=ser=de=vant=le=ca=da=vre=de=la=mant=qui=nest=plus=là=de=vant=lins=pi=ra=ti=on=qui=nest=plus=là=il=com=men=ce=à=pleu=rer=pleu=rer=crier=sans=ar=rêt=je=ne=te=lais=se=pas=par=ce=que=je=taime=quel=ques=uns=di=sent=quil=est=fou=mais=ce=quil=y=a=de=cer=tain=cest=quil=ne=mu=si=que=plus=au=fond=de=puis=la=mort=de=ju=les=il=con=si=dé=ra=sa=vie=sans=but=sans=au=cun=ob=jec=tif=ju=les=né=tait=plus=a=mi=ne=é=tait=ju=les=a=mi=ne=né=tait=plus=aus=si=il=vi=vait=mort=le=vio=lo=nis=te=dé=ci=da=de=con=ti=nuer=dans=la=voie=du=malheur=le=mal=sans=trop=dabs=trait=de=gouf=fres=le=mal=heur=sim=ple=ment=ma=thé=ma=ti=que=ment=sans=ex=trai=re=ni=beau=té=ni=mu=sique=tris=te=sè=che=ment=il=fai=sait=froid=puis=le=prin=temps=de=la=mu=si=que=puis=un=beau=jour=chaud=il=trai=nait=tou=jours=i=vro=gne=dans=les=rues=la=ci=ga=ret=te=dans=la=main=sa=fa=çon=de=fu=mer=é=tait=de=ve=nu=mal=ha=bile=pleur=ni=char=de=sa=main=trou=blait=tou=jours=ses=yeux=pleins=de=fleu=ves=il=fu=mait=beau=coup=beau=coup=com=me=si=son=ou=bli=dé=pen=dait=de=cet=te=fu=mée=il=bas=cu=le=à=lourd=il=par=tait=fai=re=des=tours=à=la=mai=son=de=ju=les=à=son=an=ci=en=ne=a=dres=se=il=ne=la=re=con=nu=plus=ni=la=rue=ni=lim=meu=ble=ni=lap=par=te=ment=qui=en=le=va=sa=jeu=nesse=sou=vent=il=lui=ar=ri=vait=de=pas=ser=la=nuit=de=hors=re=tou=chant=la=pré=sen=ce=de=la=mant=il=vi=vait=a=vec=lui=de=lair=du=temps=il=le=cher=chait=il=li=ma=gi=nait=en=co=re=vi=vant=jeu=ne=fou=com=me=ja=dis=il=sou=hai=tait=un=temps=qui=ne=veut=plus=rien=di=re=du=tout=dans=les=ca=fés=ils=é=taient=quel=ques=uns=qui=gou=taient=un=ca=fé=crè=me=sou=riants=les=au=tres=pas=saient=cha=leu=reux=et=tran=quille=eh=bien=que=mi=sé=reux=a=mi=ne=pas=sait=de=vant=eux=mi=sé=ra=ble=et=triste=ils=ces=saient=si=tôt=dy=pré=ten=dre=quil=mé=ri=tait=à=cau=se=de=sa=ré=pu=ta=ti=on=qui=sé=tait=dé=trui=te=mais=de=vant=eux=à=por=tée=im=mé=dia=te=de=leur=sen=si=bi=li=té=se=pro=duit=un=sen=ti=ment=tris=te=aus=si=tôt=flam=be=en=eux=u=ne=souf=fran=ce=dé=chi=rante=flau=bert=dans=le=sup=pli=ce=aus=si=de=lé=tat=de=son=fils=au=pre=mier=il=cro=yait=que=cet=te=at=ti=tu=de=é=té=pour=tant=pour=a=mi=ne=nor=mal=u=ne=tris=tes=se=qui=du=re=ra=des=jour=nées=des=se=mai=nes=peut=tê=tre=puis=il=n=y=a=plus=rien=mais=peu=à=peu=ça=a=exa=gé=ré=flau=bert=se=per=dit=jour=a=près=jour=et=com=men=ça=à=pren=dre=au=sé=rieux=la=ma=la=die=da=mine=il=dé=ci=da=à=la=fin=de=la=me=ner=chez=un=psy=cho=lo=gue=pour=lai=der=rien=ne=chan=gea=que=tar=ri=ve=il=donc=jo=li=vio=lo=nis=te=que=fais=tu=donc=trai=ner=fou=ma=la=droit=dans=les=rues=la=ci=ga=ret=te=dans=la=main=et=la=ro=be=tou=te=mal=en=or=dre=quar=ri=ve=il=à=ta=chair=plus=froi=de=quun=ca=da=vre=rou=ge=com=me=len=fer=aux=coins=des=pau=piè=res=a=mi=ne=blond=a=mi=ne=ne=crois=tu=plus=à=la=li=ber=té=main=te=nant=que=tu=loues=un=hom=me=qui=nest=plus=tu=es=le=su=jet=du=ne=pas=sion=mor=te=pour=quoi=a=vait=tu=tant=dé=fen=du=u=ne=li=ber=té=qui=ten=chai=ne=main=te=nant=ah=pau=vre=a=mi=ne=cet=te=li=ber=té=que=tu=pré=tends=li=ber=té=en=lè=ve=ta=jeu=nes=se=ces=se=donc=tu=en=tends=dans=le=mon=de=hur=ler=les=ex=tré=mis=tes=de=re=li=gions=hur=ler=les=ex=tré=mis=tes=marxis=te=tu=es=com=me=eux=l=ho=mo=sexuel=qui=hur=le=son=choix=pour=le=gé=né=ra=li=ser=sur=tout=le=mon=de=vous=ê=tes=les=mêmes=tu=ne=sais=rien=de=la=li=ber=té 963
Phonétique : Le Violoniste Misérable (10 Partie)… tʁwa mwaz- apʁε, pεʁɡo a aʃəve la kɔ̃pozisjɔ̃ də « ʁjɛ̃ nεt- ɛ̃sypɔʁtablə ». il mɔ̃təʁa syʁ sεnə dəmɛ̃, a paʁi.
vεʁ lə deby də la swaʁe, ʒyləz- apaʁy səl syʁ sεnə puʁ la pʁəmjεʁə fwa də sa vi, il pʁɔdɥi ynə ɡʁɑ̃də syʁpʁεnə o pyblik. aminə i asistε sεkʁε.
zeʁo nəf : kaʁɑ̃tə katʁə minytəz- etε la dyʁe dy mɔʁso e dyʁɑ̃, il tʁadɥi ynə nɔtasjɔ̃ ʁapidə puʁ aminə, lœvʁə sapʁoʃə o plys pʁe də sɔ̃n- εtʁə, mε ki tuʒuʁz- otʁə, eʃu o syʒε ki tɑ̃tə də lə ʒwɛ̃dʁə a sa pʁɔpʁə vwa, tɑ̃di kə la vizjɔ̃ daminə ɛ̃depɑ̃dɑ̃tə, ɛ̃vɑ̃tə sɑ̃ sεʁvitydə, e ʁəkɔmɑ̃sə a ɛ̃vɑ̃te tutə sələ, kɔmə lə fəzε dəpɥi ʒadi, ʁimə a ʁimə, ʃakə fwa difeʁɑ̃tə e sɛ̃ɡyljεʁə.
ɛ̃si, paʁsə kə sə lje tymyltɥøzəmɑ̃ avεk ʒylə, nə lɥi kɔ̃vənε plys, osi bjɛ̃, pø tεtʁə mjø, də ʁənɔ̃se pa otɑ̃ a sɔ̃n- amuʁ omosεksɥεllə. mε la pʁezɑ̃sə e la kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ daminə satisfəzε dabɔʁ lε bəzwɛ̃ kɔ̃stɑ̃ də ʒylə, okεlz- il deziʁε inisjaləmɑ̃ lɥi dedje lə mɔʁso.
la sitɥasjɔ̃ də ʒylə lɥi sɑ̃blə sεtə fwa tʁε kaʁakteʁistikə : εjɑ̃ avɑ̃ ynə fɔʁmə vjεllə də kɔ̃poze, tʁo ʁɔmanεskə e imaʒinεʁə, il ʁiskə tɑ̃to də sə tʁuve sybmεʁʒe e dɔmine paʁ la mɔdεʁnite. il pɑ̃sə ɔfʁiʁ o spεktatœʁz- ynə sonoʁite dœ̃n- ɔmə libεʁtɛ̃ e kɔ̃plεksə e eniɡmatikə, sə ki nə lɑ̃pεʃə pa də pɔsede la sɛ̃plisite dɑ̃ sa myzikə.
si lɔ̃ sə kɔ̃sɑ̃tʁə syʁ listwaʁə dε dø ɔmə, e ɔ̃ la mεt ɑ̃ ʁəlasjɔ̃ avεk lə nuvo vjɔlɔ̃ də ʒylə ki pʁɔdɥizə malœʁ, melɑ̃kɔli, listwaʁə εllə mεmə. kə fε ? listwaʁə ε lə mal, la myzikə ε la bote. sεt- εkstʁεʁə la bote dy mal asteʁiskə. kɔ̃poze la bote myzikalə paʁ lə malœʁ dy kɔ̃pozitœʁ. ki dwa εtʁə maləʁø, deʒa œ̃n- inɔvɑ̃ ε tuʒuʁ maləʁø, sε bjɛ̃ evidεnt. ynə-aʁmɔnjøzə finεsə ɑ̃tʁə døz- elemɑ̃, tus døz- esɑ̃sjεl, e okœ̃ dø nə pø εtʁə sɑ̃ lotʁə.
pø tεtʁə lə sɑ̃s də la bote seklεʁa plysz- ɑ̃ kɔnεsɑ̃ sɔ̃n- ɔpoze (lə mal) ɔbʒε e metɔdə (lə mal) , sεtə apʁɔksimasjɔ̃ neɡativə də la bote uvʁə la pʁɔbabilite dy kεstjɔnəmɑ̃ syʁ sεtə ɑ̃titεzə. (lə mal) nə ʁəpʁezɑ̃tə pa sələmɑ̃ lə kɔ̃tʁadiktwaʁə də la bote, mε sa kɔ̃disjɔ̃, sɔ̃n- ɛ̃tʁɔdyksjɔ̃, sɔ̃ fɔ̃dəmɑ̃. sε kɔmə si la bote nεksitə ʒamε sɑ̃ mal. lə mal ε sɔ̃n- etɔfə dεɡzistɑ̃sə, sa matjεʁə vivɑ̃tə.
il a ɑ̃pɔʁte la myzikə ʒysko ɡufʁə, il manœvʁa la myzikə kɔmə lɔkal də kεstjɔnəmɑ̃, u il nə saʁεta pa dəvɑ̃ la kεstjɔ̃ də : kɔmɑ̃ kɔ̃poze œ̃ bo mɔʁso ? e kεllə sɔ̃ lε paʁtikylaʁite də la bote dɑ̃ la myzikə ? mεz- il apʁɔfɔ̃di sa pɑ̃se ʒyska la kεstjɔ̃ də : kεllə ε la kɔ̃disjɔ̃ də la bote dɑ̃ la myzikə, kεllə ε la kɔ̃disjɔ̃ də la bote ɑ̃ ʒeneʁalə ? kεllə ε sa fɔ̃dasjɔ̃ ? sε lə mal.
sə ki ʁeɛ̃vɑ̃tə lə bo a paʁtiʁ dy mal, ʁənu avεk lə mal a lamə də ʒylə puʁ œ̃ fε bo, la myzikə. isi, sεt- ynə afiʁmasjɔ̃ də la ʁɔmɑ̃sə bodəlεʁjεnə, ki sə ʁɑ̃vwa a œ̃n- otʁə aʁ e safiʁmə ɑ̃n- otʁə veʁasite, œ̃ pø mwɛ̃, sə ki nε deʒa pa mal.
la tʁɑ̃sfɔʁmasjɔ̃ də la manjεʁə mɑ̃sjɔne, də la pɔezi a la myzikə, nεksklɥ pa lə kadʁə pʁəmje e mɔdεʁnə, lə kadʁə bodəlεʁjən
sεtə fɔʁsə, sə mal kə lɥi lεsə lɑ̃sjεnə pasjɔ̃ də vivʁə o kɔ̃takt dœ̃n- ɔmə « ʁjɛ̃ nεt- ɛ̃sypɔʁtablə » lə tʁadɥi. ladezjɔ̃ a sɔ̃ sistεmə daʁʃε ɛ̃sɔlitə, ʒwɛ̃tə a ynə sεʁtεnə ʁədɔ̃dɑ̃sə, kɔlabɔʁə a ʁɑ̃dʁə klεʁə ynivɔkə, la siɲifikasjɔ̃ dy mesaʒə myzikal. la lwa də la myzikə ε sεllə dεz- otʁəz- aʁ, a lakεllə la sɑ̃sibilite də linɔvɑ̃ ε lə mesaʒə kə tʁɑ̃smεtə sɔ̃n- aʁ, ki εt- a la fwa sa fasɔ̃ də kɔmynike. vwala œ̃ tipə də kɔmynikasjɔ̃ ʒɔli e kapital.
dəvɑ̃ sə siɲifje, nɔ̃ ynivɔkə puʁ lε spεktatœʁ, la pʁəmjεʁə fazə dy pʁɔsesys də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃
lœʁz- ɔfʁə kεlkə ʃozə də tʁistə, də maləʁøz- a blese lœʁ kœʁ, e mεtə ɑ̃ ʒø lε tʁistə suvəniʁ, pø tεtʁə ynə ʁyptyʁə avεk lamɑ̃ u la mεtʁεsə, lə maʁi u lepuzə… plyzjœʁ vʁεsɑ̃blablə sɔ̃ la, pʁεz- a fɔ̃dʁə ɑ̃ laʁmə, mε lε lεsə satisfε e ɛ̃satisfε.
ʒyləz- aʃεvə lə mɔʁso, il desɑ̃di laʁʃε e lə vjɔlɔ̃, e dɑ̃ lə tɔneʁə daplodisəmɑ̃, kɔmə suləve paʁ œ̃ puvwaʁ maʒikə, e ɑ̃n- œ̃ ʒεstə nεʁvø, aminə tʁavεʁsa ɑ̃ kuʁɑ̃ lə pyblik, mɔ̃ta syʁ sεnə e sota syʁ lɥi, sε lεvʁə- pʁesεʁe ɛ̃pasjamɑ̃ vεʁ ʒylə, e seʁa sɔ̃ kɔʁ kɔ̃tʁə lɥi. sə fy œ̃ bεze vjɔle e tʁistə, sə fy kɔmə œ̃ kʁi də mɔʁ ki sə ləva sudɛ̃ dy tɔ̃bo. vwasi la səɡɔ̃də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃, la vʁε, ki pʁɔdɥi œ̃ ɡʁɑ̃t- etɔnəmɑ̃ ʃe lə pyblik, ki sifləʁa, ɡʁɔɲəʁa e abwaəʁa osito.
səpɑ̃dɑ̃, aminə lə laʃa e lɥi di :
œ̃ ʃεf dœvʁə kɔmə səla a paʁtiʁ də la ʒwa ? il sə pøt ʒə nɑ̃n- ε vy, ni ʒamε fε.
ʒə la kɔ̃pʁɑ̃, εllə tʁadɥi ynə vizjɔ̃ suvɑ̃ melɑ̃kɔlikə ki na okœ̃ fɔ̃dəmɑ̃, ni ʁεzɔ̃, ni sɔlysjɔ̃ valablə a sε mo, laʁmɔni dy sɑ̃timɑ̃ avεk la myzikə, latɑ̃sjɔ̃ dy nuvo a la
tεknikə. ynə kɔeʁɑ̃sə defε savamɑ̃ kalkyle. la myzikə ki nə sε ʒamε kɔnɥ də kεlkə ʃozə plys pʁɔfɔ̃də, plys liteʁεʁə, ʁjɛ̃ kə sε fɔ̃ksjɔ̃ tʁadisjɔnεllə, abitɥεllə, vjεjiz- a mɔ̃n- avi. nu sɔmə la vwa dy fytyʁ. ʒə tεmə osi fɔʁ kə ʒə nɑ̃n- ε ʒamεz- εme pεʁsɔnə.
ils sɑ̃bʁase ɑ̃kɔʁə ynə fwa, e il desɑ̃diʁe la sεnə, la mɛ̃ də ʒylə syʁ sɔ̃n- epolə
o dəla də la pasjɔ̃ omosεksɥεllə ki sε nue, la syʁ sεnə, dəvɑ̃ lə pyblik e ɑ̃tʁə dø ɔmə də myzikə, il ia bjɛ̃ y œ̃ lɔ̃ʒə e aɡʁesif djalɔɡ o tʁibynal, fɔ̃de syʁ ynə ɔfɑ̃sə o ʒɑ̃, a ynə sɔsjete ki ɑ̃tʁavə e kɔ̃damnə lomosεksɥalite. il mənεʁe œ̃ ɡʁɑ̃ deba syʁ sə fenɔmεnə. ɑ̃fɛ̃, lə ministʁə də lɛ̃teʁjœʁ a afiʁme la pʁɔtεksjɔ̃ dy sitwajɛ̃ fʁɑ̃sεz- e də sa mɔʁalə paʁ ləta. lomosεksɥalite… sεt- œ̃ siɲə də ʁəkyl tʁε fɔʁ ki ɛ̃validə lεz- efɔʁ dε ʒənə dɑ̃ lə sɑ̃s dε libεʁtez- e dʁwaz- ɛ̃dividɥεl. ɔ̃n- a deside də kɔ̃damne lε dø myzisjɛ̃ puʁ œ̃n- ɑ̃ də pʁizɔ̃. levenəmɑ̃ syʁ sεnə etε dotɑ̃ nɔʁmal puʁ lεz- ɔmə də lεtʁə, də myzikə e də pɛ̃tyʁə. mε nɔ̃, syʁtu pa tu sε ʒɑ̃, il i ɑ̃n- a kεlkə œ̃ ʁiɡuʁø kɔmə flobεʁ, ki modi levenəmɑ̃ dɑ̃ lə ʒuʁnal. aminə e ʒylə sɔ̃ tʁεne dɑ̃ la bu paʁ la pʁesə flobεʁ paʁlə a aminə dɑ̃ sa pʁəmjεʁə vizitə a lɥi, o pʁizɔn vuz- εtə dε deʃys ! ynə fwa kə vuz- εtəz- inɔvɑ̃, vu vu ʁevɔlte syʁ la sɔsjete, vu vuz- amyze a skɑ̃dalize paʁ votʁə- kʁavatə. puʁkwa ? ʒə sε sə kə ty va mə ʁepɔ̃dʁə : ɔ̃ vɑ̃ʒə nɔtʁə mizεʁə. sε tuʒuʁ la mεmə ʃozə. fεtə sə kə vu vule, ɡaʁde vɔtʁə omosεksɥalite, vivez- a dø ɔmə, vuz- ɑ̃n- ave tutə la libεʁte, mε sil vu plε nɔbliʒe pa lε ʒɑ̃ dεtʁə kɔmə vu, e syʁtu lε ʒənə. sə nε pa ʒystə, sεt- inεptə. ty finiʁa mal. kɔmɑ̃ sa ? sε mwa ki dwa poze la kεstjɔ̃ : kɔmɑ̃ sa ? ty defɑ̃ la libεʁte, mε ty vø ʒeneʁalize ta difeʁɑ̃sə, tɔ̃ ʃwa a twa. ʃakœ̃ puʁ swa sil tə plε. ʒə nə kɔ̃pʁɑ̃ pa. … døz- ɑ̃fɑ̃ ʒuε ɑ̃sɑ̃blə, ynə fijə e œ̃ ɡaʁsɔ̃, la fijə a di : ʒə vø ʒue a la pupe, ty ʒuəʁaz- avεk mwa. lə ɡaʁsɔ̃ ʁepɔ̃di : nɔ̃, ʒə vø ʒue a la vwatyʁə, ty ʒuəʁaz- avεk mwa. il kɔmɑ̃sεʁe a sə dispyte. la fijə a la pupe, lə ɡaʁsɔ̃ a la vwatyʁə, ʃakœ̃ dø vø ɛ̃poze sɔ̃ ʃwa syʁ lotʁə. la fijə pʁi kɔ̃sjɑ̃sə kə sεtə dispytə nə mεnəʁa a ʁjɛ̃, e tʁuva ynə bɔnə ʁezɔlysjɔ̃ e lɥi di : ty ʒuəʁaz- a la vwatyʁə e mwa a la pupe. (il nə fo pa ʒeneʁalize. ʃakœ̃ puʁ swa, e la libεʁte puʁ tus. ) ʒə vε tə dɔne œ̃n- otʁə εɡzɑ̃plə puʁ kə ty mə kɔ̃pʁεnə. ty ε œ̃n- aʁbʁə dɑ̃ la fɔʁε, mε ty ε difeʁɑ̃ dεz- otʁəz- aʁbʁə, ty ε œ̃ pø kuʁbe, lεz- otʁə- sɔ̃ dəbu. œ̃ pɔεtə paʁ εɡzɑ̃plə vø dekʁiʁə sεtə fɔʁε e ty ε ynə natyʁə də sεtə dεʁnjεʁə, il nə va pa tə diskyte puʁkwa ty ε kɔmə sa, ty dwaz- εtʁə kɔmə lεz- otʁəz- aʁbʁə, u puʁkwa ty εksitə deʒa… εtseteʁa. il va tə dekʁiʁə kɔmə ty ε, ɔ̃ tə ʁεspεktə kɔmə ty ε. il nə va pa falwaʁ kə ty swa kɔmə lεz- otʁəz- aʁbʁə, e lεz- otʁəz- aʁbʁə- nə dwave pa εtʁə- kɔmə twa, sinɔ̃ puʁkwa ty εɡzistə deʒa. sə kə ʒə vø tə diʁə : il fo ʁεspεkte la divεʁsite.
lə vjɔlɔnistə kɔ̃pʁɑ̃ kə ʒyləz- a ʁεzɔ̃, il ε kɔ̃vɛ̃ky dəvɑ̃ sɔ̃ sεʁvo, mεz- il sɔfʁə a lapetɑ̃sə də neɡasjɔn ty mavε di kə ʒə dwa liʁə ʁɛ̃bo. sa alɔʁ, ʒə tε di də liʁə sε pɔεmə, sa vi εt- otʁə ʃozə. ty nə mə kɔ̃pʁɑ̃ ʒamε pa. il sə lεvə fu də ʁaʒə e sɑ̃ lə salɥe, il kita lə ljø
il nə saʁεtə pa ɑ̃n- efε də suliɲe dε plɑ̃, lɔʁskil ɡaɲə lə bəzwɛ̃ də vɑ̃ʒe sə ki dɑ̃ sɔ̃ pεi nə sə di ʒamε, nə sekʁi pa, lə syʒε ε tεllmɑ̃ tabu dɑ̃ lə mɔ̃də aʁabə kil ni a pa də mo puʁ deziɲe lomosεksɥalite. kɔmɑ̃se paʁ letʁɑ̃ʒe, lə puvwaʁ, pɥi laʁabi lɥi sɑ̃blə ynə bɔnə fasɔ̃. lafiʁmasjɔ̃ də sɔ̃n- idɑ̃tite, maʁɔkεnə nə sə ʁevεlə ʒamε, pεʁsɔnə nə lə sε ʁjɛ̃ kə flobεʁ, ajsɑ̃ œ̃ pεi ki ε lə sjɛ̃, mε vulɑ̃ a la fwa la ʁevele apʁε sa sɔʁti. sə bəzwɛ̃, kʁwaz- il, sε deside. il paʁlε dynə libεʁte ki syfɔkə.
dyʁɑ̃, pɥiskil nə puvε plys sə vwaʁ, aminə e ʒyləz- eʃɑ̃ʒε ɑ̃ kaʃεtə dε lεtʁə, a la pʁizɔ̃ :

ʒylə,
vwasi pʁεskə ynə səmεnə kə mɔ̃ sjεl ε pyʁ, ʒə nə kɔ̃pozə plys. ʒə sɥi maləʁø, tʁo maləʁø, œ̃ movε fleo, sə dεʁnje mεt- ɔbliʒe, ty lə sε. ʒə kʁwa puvwaʁ diʁə kə ʒε tuʒuʁ defɑ̃dy la libεʁte, mε mɛ̃tənɑ̃ ʒə sɥi las, fεblə dəvɑ̃ lə puvwaʁ dε ɡuvεʁnɑ̃.
ʒə sɥiz- ɑ̃pʁizɔne puʁ ynə omosεksɥalite ki ε ma natyʁə, ma veʁite, kə ʒə dwa ʁevele.
ʒə sε puʁkwa ʒə sɥi syfɔke mɛ̃tənɑ̃, kaʁ bjɛ̃ suvɑ̃ nuz- esjɔ̃ pø a defɑ̃dʁə no dʁwa tus, nɔtʁə libεʁte.
ami ! plyzjœʁz- ide sɔ̃ ʁɑ̃vεʁse dɑ̃ ma tεtə, ma vi baskylə enɔʁmemɑ̃. ʒə pasə lε nɥiz- a ʁadɔte. ʒylə ! o ʒylə, səla mə navʁə boku.
saʃə kə ʒə tjɛ̃z- absɔlymɑ̃ a ɑ̃pεʃe kə səla pɥisə sə ʁəpʁɔdɥiʁə. kə lə pəplə ʃɑ̃ʒə œ̃ pø.
nu vwajaʒəʁɔ̃ dɑ̃ plyzjœʁ pεi kɑ̃t- ɔ̃ sɔʁtiʁa, sε la bɔnə vwa.

ekʁi mwa pʁoʃεnəmɑ̃, ʒə tɑ̃ pʁi.
aminə
ʃεʁ ɡʁɑ̃də amə,
ʒε lə ɡʁɑ̃ plεziʁ də tə liʁə. ʒə pɑ̃sə kɔ̃pʁɑ̃dʁə tɔ̃n- ɔbʒεktif, ty a ʁεzɔ̃, ʒə sɥiz- avεk twa.
ʒε apεʁsys tu sə tɑ̃ kə ʒε pase avεk twa, œ̃ mal də vivʁə e œ̃ bɔ̃ də vivʁə dɑ̃z- ynə ʁəlasjɔ̃ tymyltɥøzə e difeʁɑ̃tə, fɔ̃de syʁ ynə libεʁte dɔpinjɔ̃, də pɑ̃se e daktə pase a ynə pɑ̃se, sε pase a œ̃n- aktə
il ni a kɑ̃ mεmə pa boku ynə fulə də pʁɔblεməz- isi ? ʁezistəz- e pʁɔfitə dy tɑ̃. il nə nu ʁεstə pa boku avɑ̃ də sɔʁtiʁ.
nu sɔʁtiʁɔ̃z- e nu mεnəʁɔ̃ la sɔsjete a bɔnə fɛ̃, səla dwa pʁɑ̃dʁə dy tɑ̃, mεz- il lə fo.

ma kɔʁdjalite.
ʒylə pεʁɡo

aminə atɑ̃dε lə faktœʁ puʁ ynə lεtʁə də flobεʁ, ki aʁiva kεlk mwaz- apʁε lœʁ dεʁnjεʁə ʁeynjɔ̃. flobεʁ sε tʁε bjɛ̃ la ʁεzɔ̃ daminə, il asɑ̃bla œ̃ kɔ̃sεj, u lə pɑ̃sœʁ lɥi εjɑ̃ ɛ̃tεlliʒamɑ̃ ʁəpʁoʃe sa fεblεsə.
il lit
mɔ̃ fis,
ʒə sε sə kə ty a pɑ̃se, sə kə ty pɑ̃səz- e sə kə ty va pɑ̃se. ʒə vø poze ynə kεstjɔ̃ : si ɔ̃ pεʁmε lomosεksɥalite, ty vivʁaz- œʁøz- e tʁɑ̃kjə ? ʒə sε kə ty nə seʃəʁa la ʁepɔ̃sə, paʁsə kə tε ʁεzɔ̃ sɔ̃t- ɑ̃kɔʁə kɔ̃fyzə, ty ε ʒənə, ty ε fu. vu ʃεʁʃe dεtʁəz- otʁə- puʁ sə difeʁɑ̃sje e vivʁə la pasjɔ̃ lwɛ̃ də la sεʁvitydə dε tʁadisjɔ̃, də la lɔʒikə u tu sɛ̃pləmɑ̃ də la natyʁə, vu vulez- alɔʁ fote kɔ̃tʁə la lwa də la vi. mɔ̃ ʃεʁ, ʒə di œ̃ səl kɔ̃sεj e ʒaʁεtə dekʁiʁə. lə bɔnœʁ ε la tɑ̃tasjɔ̃ də la ʃozə, si lɔ̃ ʁealizə sεtə ʃozə, tu dəvjɛ̃dʁa nɔʁmal e ɑ̃nyiɑ̃, vis ta tɑ̃tasjɔ̃, mε nεspεʁə ʒamε tə satisfεʁə apʁε la ʁezɔlysjɔ̃.
flobεʁ
səpɑ̃dɑ̃, aminə setε ʁɑ̃dy selεbʁə ʃe lε libεʁtɛ̃ paʁ sɔ̃n- ɛ̃tʁepidite, e ɔ̃ ly ʒyʒe libʁə də ʁeɲe də sa natyʁə, di la kʁɔnikə : œ̃ pø kʁyεl. apʁə- kεlk mwa də lɑ̃pʁizɔnəmɑ̃ dε dø ɔmə, εjɑ̃ ɑ̃kuʁaʒe lεz- omosεksɥεl də fʁɑ̃sə, ki kɔmɑ̃se sito a ɔʁɡanize dε manifεstasjɔ̃, la ʁevɔlysjɔ̃ setɑ̃di paʁtikyljεʁəmɑ̃ a paʁi, u ynə kɔɥ domosεksɥεl vɛ̃ʁe sə ʁɑ̃ʒe dəʁjεʁə lɛ̃teʁε daminə e ʒylə, ki defɑ̃de lε dʁwa dεz- omosεksɥεl. il sɔ̃ pʁε a lə sɥivʁə paʁtu u il vudʁε lε kɔ̃dɥiʁə. leta sə vit fɔʁse də pyniʁ œ̃ pø sevεʁəmɑ̃ sε malfεtœʁ, di la kʁɔnikə « dəs laʃəz- o kœʁ fεblə. » plyzjœʁz- aʁεstasjɔ̃ domosεksɥεlz- ɔ̃ y ljø.
pø də tɑ̃z- apʁε, εjɑ̃ kɔ̃sɔme œ̃n- ɑ̃ a la pʁizɔ̃, aminə e ʒylə, ɑ̃ sɔʁtɑ̃ da la ʒolə, sə ʁɑ̃kɔ̃tʁεʁe dəvɑ̃ la pɔʁtə də la pʁizɔ̃. puʁ lɥi ʁeziste, ʒylə poza la fasə ɡoʃə də sa tεtə syʁ lə myʁ, lə medita dy ʁəɡaʁ lə plys kɔ̃sideʁablə, lə plys tʁistə də sɔ̃n- εtʁə, il nə puvε pa sapʁoʃe də lɥi dəvɑ̃ bʁεʃə, dɔ̃ lε pɔʁtəz- etε dəməʁez- uvεʁtə, paʁ la kʁɛ̃tə dy syplisə, il tɥa sɔ̃n- ɑ̃vi apʁεz- avwaʁ ete plys tye paʁ lε ɡaʁɑ̃z- ynə fwa, baty, fatiɡe e pʁε a sevanuiʁ, il faji pεʁdʁə la vi dədɑ̃, e nə sə detaʃa kavεk pεnə e kuvεʁ də blesyʁə. a fɔʁsə də sə saliʁ boku, sε ʃəvøz- etε dəvənɥ nwaʁz- apʁε kilz- etε maʁɔ̃z- eklεʁe. ʒylə mɑ̃ka tεllmɑ̃ aminə, kil fy pʁe də pase lə seʁe kɔ̃tʁə lɥi e lɑ̃bʁase, mεz- il fy detuʁne də sε kɔ̃binεzɔ̃ də la vɑ̃ʒɑ̃sə ki bʁylə dɑ̃ sɔ̃ kœʁ, də sɔ̃n- avəniʁ, e syʁtu paʁ lə tɔʁtyʁə kil alε ʁəʒwɛ̃dʁə ynə səɡɔ̃də fwa, sil sapʁoʃə də lɥi. il dəməʁε la, sɑ̃ sasɑ̃ble, sɑ̃ paʁle kɑ̃t- œ̃ ɡaʁdjɛ̃ də la pɔʁtə, ki etε kɔ̃sjɑ̃ də la natyʁə dakyzasjɔ̃ dε dø ɔmə, e sə kεllə a pʁɔdɥi də kɔ̃fyzjɔ̃ ʃe lə pəplə, fy enεʁve : kεllə ʁasə də laʃəz- εtə vu dɔ̃k ? dəs mo sɑ̃bale fyʁjøzəmɑ̃ də la buʃə daminə sε nu ki dwave poze sεtə kεstjɔ̃, mεz- o mwɛ̃ nu səʁɔ̃ plys pɔli. paʁte də la, mɛ̃tənɑ̃, sinɔ̃ ʒə vu mɔ̃tʁə si pø favɔʁablə ɑ̃vεʁ mwa kə ʒə vu tɥ də mɔ̃n- aʁmə e sove nɔ̃ sələmɑ̃ œ̃ ɡʁɑ̃ nɔ̃bʁə də ʒənə, mεz- œ̃ pəplə. va i, ty fəʁa, tiʁə syʁ mwa. va i ! il ləva sɔ̃n- aʁmə, tɑ̃to il tiʁə ynə kozə si ʃεʁə εksitəʁε lɔmə lə plys mɔʁ o mɔ̃də a sə lɑ̃se dɑ̃ lə sakʁifi puʁ ynə pεʁsɔnə kil εmə. alɔ̃ʒe, lə bʁavə ʒylə, sεz- iøz- etɛ̃səlε lεspasə ki lɑ̃tuʁə, il avε plys bəzwɛ̃ daminə kə dœ̃ djø. il lɥi kaʁesa la ʒu dynə mɛ̃ tʁɑ̃blɑ̃tə : ty ε ʒɔli ! e εjɑ̃ tuʒuʁ la mɛ̃ syʁ lɥi, il pɑ̃sə, mεz- il nə pø plys paʁle, sa mɛ̃ tɔ̃bə. ʒylə netε plys. aminə ʁεsta paʁalize dəvɑ̃ lə kadavʁə, il meditε sεtə mɔʁ meʃɑ̃tə puʁ tus lə ʒɑ̃, il avε pœʁ, il etε tʁistə, kεlkə ʃozə dabstʁε lɥi deʃiʁε lεstɔmak, tuʒuʁ paʁalize, dø laʁmə- kulεʁe də sε døz- iø ʁɥisəlε, pləʁniʃaʁdə. ʒə vwajε dy fø e də la pεnə, ʒə vwajε də la tʁistεsə tʁɑ̃blɔtε sε lεvʁə, də la vɑ̃ʒɑ̃sə seʁε sa mɛ̃. il sə kʁwajε lə kupablə də sə kʁimə, il sə kʁwajε pεʁdy sɑ̃ ʒylə… ɑ̃ fε ʒə nə sε pa a kwa il pɑ̃sε, il etε ʒystə paʁalize. sε tu. lɑ̃bylɑ̃sə tʁɑ̃smεtə ʒylə, la pɔlisə amεnə lə kupablə e aminə ɑ̃kɔʁə paʁalize dɑ̃ sa plasə dəvɑ̃ la plasεtə də ʒylə deʒa paʁti. la nuvεllə sə ʁepɑ̃ dɑ̃ tu lə mɔ̃də, lə myzisjɛ̃ ʒyləz- a ete asasine paʁ lə ɡaʁdjɛ̃ də la pʁizɔ̃, dɔ̃ il etε pʁizɔnje.
flobεʁ e aminə, sə pʁɔmənɑ̃ dɑ̃ la fɔʁε asteʁiskə asteʁiskə, ɑ̃bomɑ̃, vwae œ̃n- aʁbʁə a bʁɑ̃ʃə-otə, mεz- ynə də sε bʁɑ̃ʃə etε lɔ̃ɡ e kuʁbe ʒysko sɔl, dεz- ɑ̃fɑ̃ sakʁoʃe, ʒue, ɡʁɛ̃pe, saswae, salɔ̃ʒe syʁ lə bwa bεse. sεt aʁbʁə ε difeʁɑ̃ dεz- otʁə, ʒɑ̃til, il tɑ̃ la mɛ̃ oz- ɑ̃fɑ̃ puʁ ʒue : kɔmə ʒə tɑ̃ la mjεnə o ʒɑ̃, o ʒənə puʁ defɑ̃dʁə nɔtʁə libεʁte tus. ty di nɛ̃pɔʁtə kwa, sεtə aʁbʁə pusə lεz- ɑ̃fɑ̃z- a suʁiʁə, a pʁɔfite dy tɑ̃, twa ty pusə lε ʒənəz- a muʁiʁ vivɑ̃, a εtʁə ekʁue, a pεʁdʁə lœʁ tɑ̃z- a defɑ̃dʁə ynə sεʁvitydə tɑ̃ʒiblə. ty oʁεz- ete tʁε bjɛ̃ si ty nete pa mɔ̃tʁe ɡi, nə pa tɥe ʒylə. nə pa puse laʁmə dœ̃ stypidə tɥe œ̃n- inɔvɑ̃ ! puʁ vivʁə, il fo εtʁə kεlkœ̃… kεlkœ̃ difeʁɑ̃. il fo avwaʁ ynə difeʁɑ̃sə puʁ εtʁə ! il fo avwaʁ ynə veʁite ! nə pa avwaʁ pœʁ də mɔ̃tʁe la veʁite ! ty a mɔ̃tʁe la mεʁdə ! aminə kɔmɑ̃sa a pləʁe, pləʁe dy fɔ̃. flobεʁ lə pʁi dɑ̃ sa pwatʁinə, emuvɑ̃, e lɑ̃bʁasa paʁ lə kʁanə
aminə nə ʁεstε kə ʁaʁəmɑ̃ a la mεzɔ̃, il pasε dynə ʁy a lotʁə, dœ̃ buləvaʁ a lotʁə, e sɑ̃ dutə dynə siɡaʁεtə a lotʁə, dynə butεjə a lotʁə… εtseteʁa. sɑ̃ myzikə, sɑ̃z- ɔkypasjɔ̃ ɛ̃tεllεktɥεllə, sɑ̃ ʒylə, il nə fəzε kə tʁεne ʁjɛ̃ dotʁə. il sɔ̃bʁə tuʒuʁ dɑ̃ livʁɔɲəʁi e va, ynə siɡaʁεtə dɑ̃ la mɛ̃, dəvɑ̃ la pʁizɔ̃ sə paʁalize dəvɑ̃ lə kadavʁə də lamɑ̃ ki nε plys la, dəvɑ̃ lɛ̃spiʁasjɔ̃ ki nε plys la. il kɔmɑ̃sə a pləʁe, pləʁe, kʁje, sɑ̃z- aʁε. ʒə nə tə lεsə pa paʁsə kə ʒə tεmə. kεlkz- œ̃ dize kil ε fu. mε sə kil i a də sεʁtɛ̃, sε kil nə myzikə plys. o fɔ̃, dəpɥi la mɔʁ də ʒylə, il kɔ̃sideʁa sa vi sɑ̃ byt, sɑ̃z- okœ̃ ɔbʒεktif. ʒylə netε plys, aminə etε ʒylə, aminə netε plysz- osi. il vivε mɔʁ. lə vjɔlɔnistə desida də kɔ̃tinɥe dɑ̃ la vwa dy malœʁ, lə mal sɑ̃ tʁo dabstʁε, də ɡufʁə, lə malœʁ sɛ̃pləmɑ̃, matematikəmɑ̃ : sɑ̃z- εkstʁεʁə ni bote, ni myzikə. tʁistə sεʃəmɑ̃. il fəzε fʁwa, pɥi lə pʁɛ̃tɑ̃ də la myzikə, pɥiz- œ̃ bo ʒuʁ ʃo : il tʁεnε tuʒuʁz- ivʁɔɲə dɑ̃ lε ʁy, la siɡaʁεtə dɑ̃ la mɛ̃, sa fasɔ̃ də fyme etε dəvəny malabilə, pləʁniʃaʁdə, sa mɛ̃ tʁublε tuʒuʁ, sεz- iø plɛ̃ də fləvə, il fymε boku, boku, kɔmə si sɔ̃n- ubli depɑ̃dε də sεtə fyme. il baskylə a luʁ, il paʁtε fεʁə dε tuʁz- a la mεzɔ̃ də ʒylə, a sɔ̃n- ɑ̃sjεnə adʁεsə, il nə la ʁəkɔny plys, ni la ʁy, ni liməblə, ni lapaʁtəmɑ̃ ki ɑ̃ləva sa ʒənεsə. (… ) suve il lɥi aʁivε, də pase la nɥi dəɔʁ, ʁətuʃɑ̃ la pʁezɑ̃sə də lamɑ̃, il vivε avεk lɥi də lεʁ dy tɑ̃. il lə ʃεʁʃε, il limaʒinε, ɑ̃kɔʁə vivɑ̃, ʒənə, fu kɔmə ʒadi. il suεtε œ̃ tɑ̃ ki nə vø plys ʁjɛ̃ diʁə dy tu. dɑ̃ lε kafe, ilz- etε kεlkz- œ̃ ki ɡutε œ̃ kafe kʁεmə, suʁjɑ̃. lεz- otʁə- pasε, ʃaləʁøz- e tʁɑ̃kjə. ε bjɛ̃ kə mizeʁø, aminə pasε dəvɑ̃ ø, mizeʁablə e tʁistə. il sesε sito di pʁetɑ̃dʁə kil meʁitε a kozə də sa ʁepytasjɔ̃ ki setε detʁɥitə, mε dəvɑ̃ ø, a pɔʁte imedjatə də lœʁ sɑ̃sibilite, sə pʁɔdɥi œ̃ sɑ̃timɑ̃ tʁistə, osito flɑ̃bə ɑ̃n- øz- ynə sufʁɑ̃sə deʃiʁɑ̃tə. flobεʁ, dɑ̃ lə syplisə osi də leta də sɔ̃ fis. o pʁəmje, il kʁwajε kə sεtə atitydə ete puʁtɑ̃ puʁ aminə nɔʁmal, ynə tʁistεsə ki dyʁəʁa dε ʒuʁne, dε səmεnə pø tεtʁə, pɥiz- il εn i a plys ʁjɛ̃. mε pø a pø, sa a εɡzaʒeʁe. flobεʁ sə pεʁdi ʒuʁ apʁε ʒuʁ e kɔmɑ̃sa a pʁɑ̃dʁə o seʁjø la maladi daminə. il desida a la fɛ̃ də laməne ʃez- œ̃ psikɔlɔɡ puʁ lεde. ʁjɛ̃ nə ʃɑ̃ʒa. kə taʁivə il dɔ̃k ʒɔli vjɔlɔnistə ? kə fε ty dɔ̃k tʁεne fu, maladʁwa dɑ̃ lε ʁy, la siɡaʁεtə dɑ̃ la mɛ̃ e la ʁɔbə tutə mal ɑ̃n- ɔʁdʁə ? kaʁivə il a ta ʃεʁ, plys fʁwadə kœ̃ kadavʁə, ʁuʒə kɔmə lɑ̃fe o kwɛ̃ dε popjεʁə ? aminə, blɔ̃t- aminə, nə kʁwa ty plysz- a la libεʁte, mɛ̃tənɑ̃ kə ty lwz- œ̃n- ɔmə ki nε plys, ty ε lə syʒε dynə pasjɔ̃ mɔʁtə ! puʁkwa avε ty tɑ̃ defɑ̃dy ynə libεʁte ki tɑ̃ʃεnə mɛ̃tənɑ̃. a ! povʁə aminə, sεtə libεʁte kə ty pʁetɑ̃ libεʁte ɑ̃lεvə ta ʒənεsə, sεsə dɔ̃k ! ty ɑ̃tɑ̃ dɑ̃ lə mɔ̃də yʁle lεz- εkstʁemistə də ʁəliʒjɔ̃, yʁle lεz- εkstʁemistə maʁksistə, ty ε kɔmə ø lomosεksɥεl ki yʁlə sɔ̃ ʃwa puʁ lə ʒeneʁalize syʁ tu lə mɔ̃də : vuz- εtə lε mεmə. ty nə sε ʁjɛ̃ də la libεʁte.
Syllabes Phonétique : Le Violoniste Misérable (10 Partie)tʁwa=mwa=za=pʁε=pεʁ=ɡo=a=aʃə=ve=la=kɔ̃=po=zi=sjɔ̃=də=ʁjɛ̃=nε=tɛ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=il=mɔ̃=tə=ʁa=syʁ=sε=nə=də=mɛ̃=a=pa=ʁi 35
vεʁlə=de=by=də=la=swa=ʁe=ʒy=lə=za=pa=ʁy=səl=syʁ=sε=nə=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=də=sa=vi=il=pʁɔd=ɥi=y=nə=ɡʁɑ̃=də=syʁ=pʁε=nəo=py=blik=a=mi=nə=i=a=sis=tε=sε=kʁε 46
ze=ʁo=nəf=ka=ʁɑ̃tə=ka=tʁə=mi=ny=tə=ze=tε=la=dyʁe=dy=mɔʁ=so=e=dy=ʁɑ̃=il=tʁad=ɥi=y=nə=nɔ=ta=sjɔ̃=ʁa=pi=də=puʁ=a=mi=nə=lœ=vʁə=sa=pʁo=ʃəo=plys=pʁe=də=sɔ̃=nε=tʁə=mε=ki=tu=ʒuʁ=zo=tʁə=e=ʃu=o=sy=ʒε=ki=tɑ̃=tə=də=lə=ʒwɛ̃=dʁə=a=sa=pʁɔ=pʁə=vwa=tɑ̃=di=kə=la=vi=zjɔ̃=da=mi=nə=ɛ̃=de=pɑ̃=dɑ̃=tə=ɛ̃=vɑ̃=tə=sɑ̃=sεʁ=vi=ty=də=e=ʁə=kɔ=mɑ̃=sə=a=ɛ̃=vɑ̃=te=tu=tə=sə=lə=kɔ=mə=lə=fə=zε=dəp=ɥi=ʒa=di=ʁi=mə=a=ʁi=mə=ʃa=kə=fwa=di=fe=ʁɑ̃=tə=e=sɛ̃=ɡy=ljεʁə 129
ɛ̃=si=paʁsə=kə=sə=lje=ty=myl=tɥø=zə=mɑ̃=a=vεk=ʒy=lə=nə=lɥi=kɔ̃=və=nε=plys=o=si=bjɛ̃=pø=tε=tʁə=mjø=də=ʁə=nɔ̃=se=pa=o=tɑ̃=a=sɔ̃=na=muʁ=o=mo=sεk=sɥεllə=mε=la=pʁe=zɑ̃=səe=la=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=da=mi=nə=sa=tis=fə=zε=da=bɔʁ=lε=bə=zwɛ̃=kɔ̃s=tɑ̃=də=ʒy=lə=o=kεl=zil=de=zi=ʁε=i=ni=sja=lə=mɑ̃=lɥi=de=dje=lə=mɔʁ=so 87
la=sit=ɥa=sjɔ̃də=ʒy=lə=lɥi=sɑ̃=blə=sε=tə=fwa=tʁε=ka=ʁak=te=ʁis=ti=kə=ε=jɑ̃=a=vɑ̃=y=nə=fɔʁ=mə=vjεllə=də=kɔ̃=po=ze=tʁo=ʁɔ=ma=nεs=kəe=i=ma=ʒi=nε=ʁə=il=ʁis=kə=tɑ̃=to=də=sə=tʁu=ve=syb=mεʁ=ʒe=e=dɔ=mi=ne=paʁ=la=mɔ=dεʁ=ni=te=il=pɑ̃=sə=ɔ=fʁiʁ=o=spεk=ta=tœʁ=zy=nə=so=no=ʁi=te=dœ̃=nɔ=mə=li=bεʁ=tɛ̃=e=kɔ̃=plεk=sə=e=e=niɡ=ma=ti=kə=sə=ki=nə=lɑ̃=pε=ʃə=pa=də=pɔ=se=de=la=sɛ̃=pli=si=te=dɑ̃=sa=my=zikə 115
si=lɔ̃sə=kɔ̃=sɑ̃=tʁə=syʁ=lis=twa=ʁə=dε=dø=ɔ=mə=e=ɔ̃=la=mεt=ɑ̃=ʁə=la=sjɔ̃=a=vεk=lə=nu=vo=vjɔ=lɔ̃=də=ʒy=lə=ki=pʁɔd=ɥi=zə=ma=lœʁ=me=lɑ̃=kɔ=li=lis=twa=ʁəεllə=mε=mə=kə=fε=lis=twa=ʁə=ε=lə=mal=la=my=zi=kə=ε=la=bo=te=sε=tεk=stʁε=ʁə=la=bo=te=dy=mal=as=te=ʁis=kə=kɔ̃=po=ze=la=bo=te=my=zi=ka=lə=paʁ=lə=ma=lœʁ=dy=kɔ̃=po=zi=tœʁ=ki=dwa=ε=tʁə=ma=lə=ʁø=de=ʒa=œ̃=ni=nɔ=vɑ̃=ε=tu=ʒuʁ=ma=lə=ʁø=sε=bjɛ̃=e=vi=dεnt=y=nə-aʁ=mɔ=njø=zə=fi=nε=sə=ɑ̃=tʁə=dø=ze=le=mɑ̃=tus=dø=ze=sɑ̃=sjεl=e=o=kœ̃=dø=nə=pø=ε=tʁə=sɑ̃=lotʁə 148
pø=tεtʁə=lə=sɑ̃s=də=la=bo=te=se=klε=ʁa=plys=zɑ̃=kɔ=nε=sɑ̃=sɔ̃=nɔ=po=ze=lə=mal=ɔb=ʒε=e=me=tɔ=də=lə=mal=sε=təa=pʁɔk=si=ma=sjɔ̃=ne=ɡa=ti=və=də=la=bo=te=u=vʁə=la=pʁɔ=ba=bi=li=te=dy=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=syʁ=sε=tə=ɑ̃=ti=tε=zə=lə=mal=nə=ʁə=pʁe=zɑ̃=tə=pa=sə=lə=mɑ̃=lə=kɔ̃=tʁa=dik=twa=ʁə=də=la=bo=te=mε=sa=kɔ̃=di=sjɔ̃=sɔ̃=nɛ̃=tʁɔ=dyk=sjɔ̃=sɔ̃=fɔ̃=də=mɑ̃=sε=kɔ=mə=si=la=bo=te=nεk=si=tə=ʒa=mε=sɑ̃=mal=lə=mal=ε=sɔ̃=ne=tɔ=fə=dεɡ=zis=tɑ̃=sə=sa=ma=tjε=ʁə=vi=vɑ̃tə 130
il=a=ɑ̃=pɔʁ=te=la=my=zikə=ʒys=ko=ɡu=fʁə=il=ma=nœ=vʁa=la=my=zi=kə=kɔ=mə=lɔ=kal=də=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=u=il=nə=sa=ʁε=ta=pa=də=vɑ̃=la=kεs=tjɔ̃=də=kɔ=mɑ̃=kɔ̃=po=ze=œ̃=bo=mɔʁ=so=e=kεllə=sɔ̃=lε=paʁ=ti=ky=la=ʁi=te=də=la=bo=te=dɑ̃=la=my=zi=kə=mε=zil=a=pʁɔ=fɔ̃=di=sa=pɑ̃=se=ʒys=ka=la=kεs=tjɔ̃=də=kεl=ləε=la=kɔ̃=di=sjɔ̃=də=la=bo=te=dɑ̃=la=my=zi=kə=kεl=lə=ε=la=kɔ̃=di=sjɔ̃=də=la=bo=te=ɑ̃=ʒe=ne=ʁa=lə=kεl=lə=ε=sa=fɔ̃=da=sjɔ̃=sε=lə=mal 126
sə=ki=ʁe=ɛ̃=vɑ̃tə=lə=bo=a=paʁ=tiʁ=dy=mal=ʁə=nu=a=vεk=lə=mal=a=la=mə=də=ʒy=lə=puʁ=œ̃=fε=bo=la=my=zi=kə=i=si=sε=ty=nəa=fiʁ=ma=sjɔ̃=də=la=ʁɔ=mɑ̃=sə=bo=də=lε=ʁjε=nə=ki=sə=ʁɑ̃=vwa=a=œ̃=no=tʁə=aʁ=e=sa=fiʁ=mə=ɑ̃=no=tʁə=ve=ʁa=si=te=œ̃=pø=mwɛ̃=sə=ki=nε=de=ʒa=pa=mal 80
la=tʁɑ̃s=fɔʁ=ma=sjɔ̃də=la=ma=njε=ʁə=mɑ̃=sjɔ=ne=də=la=pɔ=e=zi=a=la=my=zi=kə=nεksklɥ=pa=lə=ka=dʁə=pʁə=mje=e=mɔ=dεʁ=nə=lə=ka=dʁə=bo=də=lε=ʁjən 40
sεtə=fɔʁ=sə=sə=mal=kə=lɥi=lε=sə=lɑ̃=sjε=nə=pa=sjɔ̃=də=vi=vʁəo=kɔ̃=takt=dœ̃=nɔ=mə=ʁjɛ̃=nε=tɛ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=lə=tʁad=ɥi=la=de=zjɔ̃=a=sɔ̃=sis=tε=mə=daʁ=ʃε=ɛ̃=sɔ=li=tə=ʒwɛ̃=tə=a=y=nə=sεʁ=tε=nə=ʁə=dɔ̃=dɑ̃=sə=kɔ=la=bɔ=ʁə=a=ʁɑ̃=dʁə=klε=ʁə=y=ni=vɔ=kə=la=si=ɲi=fi=ka=sjɔ̃=dy=me=sa=ʒə=my=zi=kal=la=lwa=də=la=my=zi=kə=ε=sεllə=dε=zo=tʁə=zaʁ=a=la=kεl=lə=la=sɑ̃=si=bi=li=te=də=li=nɔ=vɑ̃=ε=lə=me=sa=ʒə=kə=tʁɑ̃s=mε=tə=sɔ̃=naʁ=ki=ε=ta=la=fwa=sa=fa=sɔ̃=də=kɔ=my=ni=ke=vwa=la=œ̃=ti=pə=də=kɔ=my=ni=ka=sjɔ̃=ʒɔ=li=e=ka=pi=tal 152
də=vɑ̃sə=si=ɲi=fje=nɔ̃=y=ni=vɔ=kə=puʁ=lε=spεk=ta=tœʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fa=zə=dy=pʁɔ=se=sys=də=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃ 30
lœʁ=zɔfʁə=kεl=kə=ʃo=zə=də=tʁis=tə=də=ma=lə=ʁø=za=ble=se=lœʁ=kœʁ=e=mε=təɑ̃=ʒø=lε=tʁis=tə=su=və=niʁ=pø=tε=tʁə=y=nə=ʁyp=ty=ʁə=a=vεk=la=mɑ̃=u=la=mε=tʁε=sə=lə=ma=ʁi=u=le=pu=zə=ply=zjœʁ=vʁε=sɑ̃=bla=blə=sɔ̃=la=pʁε=za=fɔ̃=dʁə=ɑ̃=laʁ=mə=mε=lε=lε=sə=sa=tis=fε=e=ɛ̃=sa=tis=fε 79
ʒylə=za=ʃε=və=lə=mɔʁ=so=il=de=sɑ̃=di=laʁ=ʃε=e=lə=vjɔ=lɔ̃=e=dɑ̃=lə=tɔ=ne=ʁə=da=plo=di=sə=mɑ̃=kɔ=mə=su=lə=ve=paʁ=œ̃=pu=vwaʁ=ma=ʒi=kə=e=ɑ̃=nœ̃=ʒεs=tə=nεʁ=vø=a=mi=nə=tʁa=vεʁ=sa=ɑ̃=ku=ʁɑ̃=lə=py=blik=mɔ̃=ta=syʁ=sε=nəe=so=ta=syʁ=lɥi=sε=lε=vʁə=pʁe=sε=ʁe=ɛ̃=pa=sja=mɑ̃=vεʁ=ʒy=lə=e=se=ʁa=sɔ̃=kɔʁ=kɔ̃=tʁə=lɥi=sə=fy=œ̃=bε=ze=vjɔ=le=e=tʁis=tə=sə=fy=kɔ=mə=œ̃=kʁi=də=mɔʁ=ki=sə=lə=va=su=dɛ̃=dy=tɔ̃=bo=vwa=si=la=sə=ɡɔ̃=də=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=la=vʁε=ki=pʁɔd=ɥi=œ̃=ɡʁɑ̃=te=tɔ=nə=mɑ̃=ʃe=lə=py=blik=ki=si=flə=ʁa=ɡʁɔ=ɲə=ʁa=e=a=bwa=ə=ʁa=o=si=to 156
sə=pɑ̃=dɑ̃=a=minə=lə=la=ʃa=e=lɥi=di 11
œ̃=ʃεf=dœ=vʁə=kɔmə=sə=la=a=paʁ=tiʁ=də=la=ʒwa=il=sə=pøt=ʒə=nɑ̃=nε=vy=ni=ʒa=mε=fε 24
ʒə=la=kɔ̃=pʁɑ̃=εl=lə=tʁad=ɥi=ynə=vi=zjɔ̃=su=vɑ̃=me=lɑ̃=kɔ=li=kə=ki=na=o=kœ̃=fɔ̃=də=mɑ̃=ni=ʁε=zɔ̃=ni=sɔ=ly=sjɔ̃=va=la=bləa=sε=mo=laʁ=mɔ=ni=dy=sɑ̃=ti=mɑ̃=a=vεk=la=my=zi=kə=la=tɑ̃=sjɔ̃=dy=nu=vo=a=la 58
tεk=nikə=y=nə=kɔ=e=ʁɑ̃=sə=de=fε=sa=va=mɑ̃=kal=ky=le=la=my=zi=kə=ki=nə=sε=ʒa=mε=kɔ=nəɥ=də=kεl=kə=ʃo=zə=plys=pʁɔ=fɔ̃=də=plys=li=te=ʁε=ʁə=ʁjɛ̃=kə=sε=fɔ̃k=sjɔ̃=tʁa=di=sjɔ=nεllə=a=bit=ɥεl=lə=vjε=ji=za=mɔ̃=na=vi=nu=sɔ=mə=la=vwa=dy=fy=tyʁ=ʒə=tε=məo=si=fɔʁ=kə=ʒə=nɑ̃=nε=ʒa=mε=zε=me=pεʁ=sɔnə 83
ils=sɑ̃=bʁase=ɑ̃=kɔ=ʁəy=nə=fwa=e=il=de=sɑ̃=di=ʁe=la=sε=nə=la=mɛ̃=də=ʒy=lə=syʁ=sɔ̃=ne=polə 26
odə=la=də=la=pa=sjɔ̃=o=mo=sεk=sɥεllə=ki=sε=nu=e=la=syʁ=sε=nə=də=vɑ̃=lə=py=blik=e=ɑ̃=tʁə=dø=ɔ=mə=də=my=zi=kə=il=i=a=bjɛ̃=y=œ̃=lɔ̃=ʒəe=a=ɡʁe=sif=dja=lɔɡ=o=tʁi=by=nal=fɔ̃=de=syʁ=y=nə=ɔ=fɑ̃=sə=o=ʒɑ̃=a=y=nə=sɔ=sje=te=ki=ɑ̃=tʁa=və=e=kɔ̃=dam=nə=lo=mo=sεk=sɥa=li=te=il=mə=nε=ʁe=œ̃=ɡʁɑ̃=de=ba=syʁ=sə=fe=nɔ=mε=nə=ɑ̃=fɛ̃=lə=mi=nis=tʁə=də=lɛ̃=te=ʁjœʁ=a=a=fiʁ=me=la=pʁɔ=tεk=sjɔ̃=dy=si=twa=jɛ̃=fʁɑ̃=sε=ze=də=sa=mɔ=ʁa=lə=paʁ=lə=ta=lo=mo=sεk=sɥa=li=te=sε=tœ̃=si=ɲə=də=ʁə=kyl=tʁε=fɔʁ=ki=ɛ̃=va=li=də=lε=ze=fɔʁ=dε=ʒə=nə=dɑ̃=lə=sɑ̃s=dε=li=bεʁ=te=ze=dʁwa=zɛ̃=di=vid=ɥεl=ɔ̃=na=de=si=de=də=kɔ̃=dan=lε=dø=my=zi=sjɛ̃=puʁ=œ̃=nɑ̃=də=pʁi=zɔ̃=le=ve=nə=mɑ̃=syʁ=sε=nə=e=tε=do=tɑ̃=nɔʁ=mal=puʁ=lε=zɔ=mə=də=lε=tʁə=də=my=zi=kə=e=də=pɛ̃=ty=ʁə=mε=nɔ̃=syʁ=tu=pa=tu=sε=ʒɑ̃=il=i=ɑ̃=na=kεl=kə=œ̃=ʁi=ɡu=ʁø=kɔ=mə=flo=bεʁ=ki=mo=di=le=ve=nə=mɑ̃=dɑ̃=lə=ʒuʁ=nal=a=mi=nə=e=ʒy=lə=sɔ̃=tʁε=ne=dɑ̃=la=bu=paʁ=la=pʁe=sə=flo=bεʁ=paʁ=lə=a=a=mi=nə=dɑ̃=sa=pʁə=mjε=ʁə=vi=zi=tə=a=lɥi=o=pʁi=zɔ=nə=vu=zε=tə=dε=de=ʃys=y=nə=fwa=kə=vu=zε=tə=zi=nɔ=vɑ̃=vu=vu=ʁe=vɔl=te=syʁ=la=sɔ=sje=te=vu=vu=za=my=ze=a=skɑ̃=da=li=ze=paʁ=vo=tʁə=kʁa=va=tə=puʁ=kwa=ʒə=sε=sə=kə=ty=va=mə=ʁe=pɔ̃=dʁə=ɔ̃=vɑ̃=ʒə=nɔ=tʁə=mi=zε=ʁə=sε=tu=ʒuʁ=la=mε=mə=ʃo=zə=fε=tə=sə=kə=vu=vu=le=ɡaʁ=de=vɔ=tʁə=o=mo=sεk=sɥa=li=te=vi=ve=za=dø=ɔ=mə=vu=zɑ̃=na=ve=tu=tə=la=li=bεʁ=te=mε=sil=vu=plε=nɔ=bli=ʒe=pa=lε=ʒɑ̃=dε=tʁə=kɔ=mə=vu=e=syʁ=tu=lε=ʒə=nə=sə=nε=pa=ʒys=tə=sε=ti=nεp=tə=ty=fi=ni=ʁa=mal=kɔ=mɑ̃=sa=sε=mwa=ki=dwa=po=ze=la=kεs=tjɔ̃=kɔ=mɑ̃=sa=ty=de=fɑ̃=la=li=bεʁ=te=mε=ty=vø=ʒe=ne=ʁa=li=ze=ta=di=fe=ʁɑ̃=sə=tɔ̃=ʃwa=a=twa=ʃa=kœ̃=puʁ=swa=sil=tə=plε=ʒə=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=pa=dø=zɑ̃=fɑ̃=ʒu=ε=ɑ̃=sɑ̃=blə=y=nə=fi=jə=e=œ̃=ɡaʁ=sɔ̃=la=fi=jə=a=di=ʒə=vø=ʒu=e=a=la=pu=pe=ty=ʒu=ə=ʁa=za=vεk=mwa=lə=ɡaʁ=sɔ̃=ʁe=pɔ̃=di=nɔ̃=ʒə=vø=ʒu=e=a=la=vwa=ty=ʁə=ty=ʒu=ə=ʁa=za=vεk=mwa=il=kɔ=mɑ̃=sε=ʁe=a=sə=dis=py=te=la=fi=jə=a=la=pu=pe=lə=ɡaʁ=sɔ̃=a=la=vwa=ty=ʁə=ʃa=kœ̃=dø=vø=ɛ̃=po=ze=sɔ̃=ʃwa=syʁ=lo=tʁə=la=fi=jə=pʁi=kɔ̃=sjɑ̃=sə=kə=sε=tə=dis=py=tə=nə=mε=nə=ʁa=a=ʁjɛ̃=e=tʁu=va=y=nə=bɔ=nə=ʁe=zɔ=ly=sjɔ̃=e=lɥi=di=ty=ʒu=ə=ʁa=za=la=vwa=ty=ʁə=e=mwa=a=la=pu=pe=il=nə=fo=pa=ʒe=ne=ʁa=li=ze=ʃa=kœ̃=puʁ=swa=e=la=li=bεʁ=te=puʁ=tus=ʒə=vε=tə=dɔ=ne=œ̃=no=tʁə=εɡ=zɑ̃=plə=puʁ=kə=ty=mə=kɔ̃=pʁε=nə=ty=ε=œ̃=naʁ=bʁə=dɑ̃=la=fɔ=ʁε=mε=ty=ε=di=fe=ʁɑ̃=dε=zo=tʁə=zaʁ=bʁə=ty=ε=œ̃=pø=kuʁ=be=lε=zo=tʁə=sɔ̃=də=bu=œ̃=pɔ=ε=tə=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=vø=de=kʁi=ʁə=sε=tə=fɔ=ʁε=e=ty=ε=y=nə=na=ty=ʁə=də=sε=tə=dεʁ=njε=ʁə=il=nə=va=pa=tə=dis=ky=te=puʁ=kwa=ty=ε=kɔ=mə=sa=ty=dwa=zε=tʁə=kɔ=mə=lε=zo=tʁə=zaʁ=bʁə=u=puʁ=kwa=ty=εk=si=tə=de=ʒa=εt=se=te=ʁa=il=va=tə=de=kʁi=ʁə=kɔ=mə=ty=ε=ɔ̃=tə=ʁεs=pεk=tə=kɔ=mə=ty=ε=il=nə=va=pa=fa=lwaʁ=kə=ty=swa=kɔ=mə=lε=zo=tʁə=zaʁ=bʁə=e=lε=zo=tʁə=zaʁ=bʁə=nə=dwa=ve=pa=ε=tʁə=kɔ=mə=twa=si=nɔ̃=puʁ=kwa=ty=εɡ=zis=tə=de=ʒa=sə=kə=ʒə=vø=tə=di=ʁə=il=fo=ʁεs=pεk=te=la=di=vεʁ=si=te 834
lə=vjɔ=lɔ=nistə=kɔ̃=pʁɑ̃=kə=ʒy=lə=za=ʁε=zɔ̃=il=ε=kɔ̃=vɛ̃=ky=də=vɑ̃=sɔ̃=sεʁ=vo=mε=zil=sɔ=fʁəa=la=pe=tɑ̃=sə=də=ne=ɡa=sjɔ=nə=ty=ma=vε=di=kə=ʒə=dwa=li=ʁə=ʁɛ̃=bo=sa=a=lɔʁ=ʒə=tε=di=də=li=ʁə=sε=pɔ=ε=mə=sa=vi=ε=to=tʁə=ʃo=zə=ty=nə=mə=kɔ̃=pʁɑ̃=ʒa=mε=pa=il=sə=lε=və=fu=də=ʁa=ʒə=e=sɑ̃=lə=sal=ɥe=il=ki=ta=lə=ljø 92
il=nə=sa=ʁεtə=pa=ɑ̃=ne=fε=də=su=li=ɲe=dε=plɑ̃=lɔʁ=skil=ɡa=ɲə=lə=bə=zwɛ̃=də=vɑ̃=ʒe=sə=ki=dɑ̃=sɔ̃=pε=i=nə=sə=di=ʒa=mε=nə=se=kʁi=pa=lə=sy=ʒε=ε=tεl=lmɑ̃=ta=bu=dɑ̃=lə=mɔ̃=dəa=ʁa=bə=kil=ni=a=pa=də=mo=puʁ=de=zi=ɲe=lo=mo=sεk=sɥa=li=te=kɔ=mɑ̃=se=paʁ=le=tʁɑ̃=ʒe=lə=pu=vwaʁ=pɥi=la=ʁa=bi=lɥi=sɑ̃=blə=y=nə=bɔ=nə=fa=sɔ̃=la=fiʁ=ma=sjɔ̃=də=sɔ̃=ni=dɑ̃=ti=te=ma=ʁɔ=kε=nə=nə=sə=ʁe=vε=lə=ʒa=mε=pεʁ=sɔ=nə=nə=lə=sε=ʁjɛ̃=kə=flo=bεʁ=aj=sɑ̃=œ̃=pε=i=ki=ε=lə=sjɛ̃=mε=vu=lɑ̃=a=la=fwa=la=ʁe=ve=le=a=pʁε=sa=sɔʁ=ti=sə=bə=zwɛ̃=kʁwa=zil=sε=de=si=de=il=paʁ=lε=dy=nə=li=bεʁ=te=ki=sy=fɔkə 167
dy=ʁɑ̃=pɥis=kil=nə=pu=vε=plys=sə=vwaʁ=a=minəe=ʒy=lə=ze=ʃɑ̃=ʒε=ɑ̃=ka=ʃε=tə=dε=lε=tʁə=a=la=pʁi=zɔ̃ 28

ʒy=lə 2
vwa=si=pʁεskəy=nə=sə=mε=nə=kə=mɔ̃=sjεl=ε=pyʁ=ʒə=nə=kɔ̃=po=zə=plys=ʒə=sɥi=ma=lə=ʁø=tʁo=ma=lə=ʁø=œ̃=mo=vε=fle=o=sə=dεʁ=nje=mε=tɔ=bli=ʒe=ty=lə=sε=ʒə=kʁwa=pu=vwaʁ=di=ʁə=kə=ʒε=tu=ʒuʁ=de=fɑ̃=dy=la=li=bεʁ=te=mε=mɛ̃=tə=nɑ̃=ʒə=sɥi=las=fε=blə=də=vɑ̃=lə=pu=vwaʁ=dε=ɡu=vεʁ=nɑ̃ 77
ʒə=sɥi=zɑ̃=pʁi=zɔ=ne=puʁ=ynəo=mo=sεk=sɥa=li=te=ki=ε=ma=na=ty=ʁə=ma=ve=ʁi=te=kə=ʒə=dwa=ʁe=ve=le 29
ʒə=sε=puʁ=kwaʒə=sɥi=sy=fɔ=ke=mɛ̃=tə=nɑ̃=kaʁ=bjɛ̃=su=vɑ̃=nu=ze=sjɔ̃=pø=a=de=fɑ̃=dʁə=no=dʁwa=tus=nɔ=tʁə=li=bεʁ=te 31
a=mi=ply=zjœʁ=zi=de=sɔ̃=ʁɑ̃=vεʁse=dɑ̃=ma=tε=tə=ma=vi=bas=ky=ləe=nɔʁ=me=mɑ̃=ʒə=pa=sə=lε=nɥi=za=ʁa=dɔ=te=ʒy=lə=o=ʒy=lə=sə=la=mə=na=vʁə=bo=ku 42
saʃə=kə=ʒə=tjɛ̃=zab=sɔ=ly=mɑ̃=a=ɑ̃=pε=ʃe=kə=sə=la=pɥi=sə=sə=ʁə=pʁɔd=ɥi=ʁə=kə=lə=pə=plə=ʃɑ̃=ʒəœ̃=pø 29
nu=vwa=jaʒə=ʁɔ̃=dɑ̃=ply=zjœʁ=pε=i=kɑ̃=tɔ̃=sɔʁ=ti=ʁa=sε=la=bɔ=nə=vwa 19

e=kʁi=mwa=pʁo=ʃεnə=mɑ̃=ʒə=tɑ̃=pʁi 9
a=minə 2
ʃεʁ=ɡʁɑ̃dəamə 2
ʒεlə=ɡʁɑ̃=plε=ziʁ=də=tə=li=ʁə=ʒə=pɑ̃=sə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=tɔ̃=nɔb=ʒεk=tif=ty=a=ʁε=zɔ̃=ʒə=sɥi=za=vεk=twa 27
ʒε=a=pεʁ=sys=tusə=tɑ̃=kə=ʒε=pa=se=a=vεk=twa=œ̃=mal=də=vi=vʁəe=œ̃=bɔ̃=də=vi=vʁə=dɑ̃=zy=nə=ʁə=la=sjɔ̃=ty=myl=tɥø=zə=e=di=fe=ʁɑ̃=tə=fɔ̃=de=syʁ=y=nə=li=bεʁ=te=dɔ=pi=njɔ̃=də=pɑ̃=se=e=dak=tə=pa=se=a=y=nə=pɑ̃=se=sε=pa=se=a=œ̃=nak=tə 69
il=ni=a=kɑ̃=mεmə=pa=bo=ku=y=nə=fu=lə=də=pʁɔ=blε=mə=zi=si=ʁe=zis=tə=ze=pʁɔ=fi=tə=dy=tɑ̃=il=nə=nu=ʁεs=tə=pa=bo=ku=a=vɑ̃=də=sɔʁ=tiʁ 40
nu=sɔʁ=ti=ʁɔ̃=ze=nu=mεnə=ʁɔ̃=la=sɔ=sje=te=a=bɔ=nə=fɛ̃=sə=la=dwa=pʁɑ̃=dʁə=dy=tɑ̃=mε=zil=lə=fo 27

ma=kɔʁ=dja=li=te 5
ʒylə=pεʁ=ɡo 3

a=minəa=tɑ̃=dε=lə=fak=tœʁ=puʁ=y=nə=lε=tʁə=də=flo=bεʁ=ki=a=ʁi=va=kεl=kə=mwa=za=pʁε=lœʁ=dεʁ=njε=ʁə=ʁe=y=njɔ̃=flo=bεʁ=sε=tʁε=bjɛ̃=la=ʁε=zɔ̃=da=mi=nə=il=a=sɑ̃=bla=œ̃=kɔ̃=sεj=u=lə=pɑ̃=sœʁ=lɥi=ε=jɑ̃=ɛ̃=tεl=li=ʒa=mɑ̃=ʁə=pʁo=ʃe=sa=fε=blεsə 67
il=lit 2
mɔ̃=fis 2
ʒə=sεsə=kə=ty=a=pɑ̃=se=sə=kə=ty=pɑ̃=sə=ze=sə=kə=ty=va=pɑ̃=se=ʒə=vø=po=ze=y=nə=kεs=tjɔ̃=si=ɔ̃=pεʁ=mε=lo=mo=sεk=sɥa=li=te=ty=vi=vʁa=zœ=ʁø=ze=tʁɑ̃=kjə=ʒə=sε=kə=ty=nə=se=ʃə=ʁa=la=ʁe=pɔ̃=sə=paʁ=sə=kə=tε=ʁε=zɔ̃=sɔ̃=tɑ̃=kɔ=ʁə=kɔ̃=fy=zə=ty=ε=ʒə=nə=ty=ε=fu=vu=ʃεʁ=ʃe=dε=tʁə=zo=tʁə=puʁ=sə=di=fe=ʁɑ̃=sje=e=vi=vʁə=la=pa=sjɔ̃=lwɛ̃=də=la=sεʁ=vi=ty=də=dε=tʁa=di=sjɔ̃=də=la=lɔ=ʒi=kəu=tu=sɛ̃=plə=mɑ̃=də=la=na=ty=ʁə=vu=vu=le=za=lɔʁ=fo=te=kɔ̃=tʁə=la=lwa=də=la=vi=mɔ̃=ʃεʁ=ʒə=di=œ̃=səl=kɔ̃=sεj=e=ʒa=ʁε=tə=de=kʁi=ʁə=lə=bɔ=nœʁ=ε=la=tɑ̃=ta=sjɔ̃=də=la=ʃo=zə=si=lɔ̃=ʁe=a=li=zə=sε=tə=ʃo=zə=tu=də=vjɛ̃=dʁa=nɔʁ=mal=e=ɑ̃=ny=i=ɑ̃=vis=ta=tɑ̃=ta=sjɔ̃=mε=nεs=pε=ʁə=ʒa=mε=tə=sa=tis=fε=ʁə=a=pʁε=la=ʁe=zɔ=ly=sjɔ̃ 206
flo=bεʁ 2
sə=pɑ̃=dɑ̃=a=minə=se=tε=ʁɑ̃=dy=se=lε=bʁə=ʃe=lε=li=bεʁ=tɛ̃=paʁ=sɔ̃=nɛ̃=tʁe=pi=di=te=e=ɔ̃=ly=ʒy=ʒe=li=bʁə=də=ʁe=ɲe=də=sa=na=ty=ʁə=di=la=kʁɔ=ni=kə=œ̃=pø=kʁy=εl=a=pʁə=kεl=kə=mwa=də=lɑ̃=pʁi=zɔ=nə=mɑ̃=dε=dø=ɔ=mə=ε=jɑ̃=ɑ̃=ku=ʁa=ʒe=lε=zo=mo=sεk=sɥεl=də=fʁɑ̃=sə=ki=kɔ=mɑ̃=se=si=to=a=ɔʁ=ɡa=ni=ze=dε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=la=ʁe=vɔ=ly=sjɔ̃=se=tɑ̃=di=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=mɑ̃=a=pa=ʁi=u=y=nə=kɔɥ=do=mo=sεk=sɥεl=vɛ̃=ʁe=sə=ʁɑ̃=ʒe=də=ʁjε=ʁə=lɛ̃=te=ʁε=da=mi=nəe=ʒy=lə=ki=de=fɑ̃=de=lε=dʁwa=dε=zo=mo=sεk=sɥεl=il=sɔ̃=pʁε=a=lə=sɥi=vʁə=paʁ=tu=u=il=vu=dʁε=lε=kɔ̃d=ɥi=ʁə=le=ta=sə=vit=fɔʁ=se=də=py=niʁ=œ̃=pø=se=vε=ʁə=mɑ̃=sε=mal=fε=tœʁ=di=la=kʁɔ=ni=kə=dəs=la=ʃə=zo=kœʁ=fε=blə=ply=zjœʁ=za=ʁεs=ta=sjɔ̃=do=mo=sεk=sɥεl=zɔ̃=y=ljø 207
pødə=tɑ̃=za=pʁε=ε=jɑ̃=kɔ̃=sɔ=me=œ̃=nɑ̃=a=la=pʁi=zɔ̃=a=mi=nəe=ʒy=lə=ɑ̃=sɔʁ=tɑ̃=da=la=ʒo=lə=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁε=ʁe=də=vɑ̃=la=pɔʁ=tə=də=la=pʁi=zɔ̃=puʁ=lɥi=ʁe=zis=te=ʒy=lə=po=za=la=fa=sə=ɡo=ʃə=də=sa=tε=tə=syʁ=lə=myʁ=lə=me=di=ta=dy=ʁə=ɡaʁ=lə=plys=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=lə=plys=tʁis=tə=də=sɔ̃=nε=tʁə=il=nə=pu=vε=pa=sa=pʁo=ʃe=də=lɥi=də=vɑ̃=bʁε=ʃə=dɔ̃=lε=pɔʁ=tə=ze=tε=də=mə=ʁe=zu=vεʁ=tə=paʁ=la=kʁɛ̃=tə=dy=sy=pli=sə=il=tɥa=sɔ̃=nɑ̃=vi=a=pʁε=za=vwaʁ=e=te=plys=ty=e=paʁ=lε=ɡa=ʁɑ̃=zy=nə=fwa=ba=ty=fa=ti=ɡe=e=pʁε=a=se=va=nu=iʁ=il=fa=ji=pεʁ=dʁə=la=vi=də=dɑ̃=e=nə=sə=de=ta=ʃa=ka=vεk=pε=nə=e=ku=vεʁ=də=ble=sy=ʁə=a=fɔʁ=sə=də=sə=sa=liʁ=bo=ku=sε=ʃə=vø=ze=tε=də=vənɥ=nwaʁ=za=pʁε=kil=ze=tε=ma=ʁɔ̃=ze=klε=ʁe=ʒy=lə=mɑ̃=ka=tεl=lmɑ̃=a=mi=nə=kil=fy=pʁe=də=pa=se=lə=se=ʁe=kɔ̃=tʁə=lɥi=e=lɑ̃=bʁa=se=mε=zil=fy=de=tuʁ=ne=də=sε=kɔ̃=bi=nε=zɔ̃=də=la=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=ki=bʁy=lə=dɑ̃=sɔ̃=kœʁ=də=sɔ̃=na=və=niʁ=e=syʁ=tu=paʁ=lə=tɔʁ=ty=ʁə=kil=a=lε=ʁə=ʒwɛ̃=dʁə=y=nə=sə=ɡɔ̃=də=fwa=sil=sa=pʁo=ʃə=də=lɥi=il=də=mə=ʁε=la=sɑ̃=sa=sɑ̃=ble=sɑ̃=paʁ=le=kɑ̃=tœ̃=ɡaʁ=djɛ̃=də=la=pɔʁ=tə=ki=e=tε=kɔ̃=sjɑ̃=də=la=na=ty=ʁə=da=ky=za=sjɔ̃=dε=dø=ɔ=mə=e=sə=kεllə=a=pʁɔd=ɥi=də=kɔ̃=fy=zjɔ̃=ʃe=lə=pə=plə=fy=e=nεʁ=ve=kεl=lə=ʁa=sə=də=la=ʃə=zε=tə=vu=dɔ̃k=dəs=mo=sɑ̃=ba=le=fy=ʁjø=zə=mɑ̃=də=la=bu=ʃə=da=mi=nə=sε=nu=ki=dwa=ve=po=ze=sε=tə=kεs=tjɔ̃=mε=zo=mwɛ̃=nu=sə=ʁɔ̃=plys=pɔ=li=paʁ=te=də=la=mɛ̃=tə=nɑ̃=si=nɔ̃=ʒə=vu=mɔ̃=tʁə=si=pø=fa=vɔ=ʁa=blə=ɑ̃=vεʁ=mwa=kə=ʒə=vu=tɥ=də=mɔ̃=naʁ=mə=e=so=ve=nɔ̃=sə=lə=mɑ̃=œ̃=ɡʁɑ̃=nɔ̃=bʁə=də=ʒə=nə=mε=zœ̃=pə=plə=va=i=ty=fə=ʁa=ti=ʁə=syʁ=mwa=va=i=il=lə=va=sɔ̃=naʁ=mə=tɑ̃=to=il=ti=ʁə=y=nə=ko=zə=si=ʃε=ʁə=εk=si=tə=ʁε=lɔ=mə=lə=plys=mɔʁ=o=mɔ̃=də=a=sə=lɑ̃=se=dɑ̃=lə=sa=kʁi=fi=puʁ=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=kil=ε=mə=a=lɔ̃=ʒe=lə=bʁa=və=ʒy=lə=sε=ziø=ze=tɛ̃=sə=lε=lεs=pa=sə=ki=lɑ̃=tu=ʁə=il=a=vε=plys=bə=zwɛ̃=da=mi=nə=kə=dœ̃=djø=il=lɥi=ka=ʁe=sa=la=ʒu=dy=nə=mɛ̃=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=ty=ε=ʒɔ=li=e=ε=jɑ̃=tu=ʒuʁ=la=mɛ̃=syʁ=lɥi=il=pɑ̃=sə=mε=zil=nə=pø=plys=paʁ=le=sa=mɛ̃=tɔ̃=bə=ʒy=lə=ne=tε=plys=a=mi=nə=ʁεs=ta=pa=ʁa=li=ze=də=vɑ̃=lə=ka=da=vʁə=il=me=di=tε=sε=tə=mɔʁ=me=ʃɑ̃=tə=puʁ=tus=lə=ʒɑ̃=il=a=vε=pœʁ=il=e=tε=tʁis=tə=kεl=kə=ʃo=zə=dab=stʁε=lɥi=de=ʃi=ʁε=lεs=tɔ=mak=tu=ʒuʁ=pa=ʁa=li=ze=dø=laʁ=mə=ku=lε=ʁe=də=sε=dø=zi=ø=ʁɥi=sə=lε=pləʁ=ni=ʃaʁ=də=ʒə=vwa=jε=dy=fø=e=də=la=pε=nə=ʒə=vwa=jε=də=la=tʁis=tε=sə=tʁɑ̃=blɔ=tε=sε=lε=vʁə=də=la=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=se=ʁε=sa=mɛ̃=il=sə=kʁwa=jε=lə=ku=pa=blə=də=sə=kʁi=mə=il=sə=kʁwa=jε=pεʁ=dy=sɑ̃=ʒy=lə=ɑ̃=fε=ʒə=nə=sε=pa=a=kwa=il=pɑ̃=sε=il=e=tε=ʒys=tə=pa=ʁa=li=ze=sε=tu=lɑ̃=by=lɑ̃=sə=tʁɑ̃s=mε=tə=ʒy=lə=la=pɔ=li=sə=a=mε=nə=lə=ku=pa=blə=e=a=mi=nə=ɑ̃=kɔ=ʁə=pa=ʁa=li=ze=dɑ̃=sa=pla=sə=də=vɑ̃=la=pla=sε=tə=də=ʒy=lə=de=ʒa=paʁ=ti=la=nu=vεl=lə=sə=ʁe=pɑ̃=dɑ̃=tu=lə=mɔ̃=də=lə=my=zi=sjɛ̃=ʒy=lə=za=e=te=a=sa=si=ne=paʁ=lə=ɡaʁ=djɛ̃=də=la=pʁi=zɔ̃=dɔ̃=il=e=tε=pʁi=zɔ=nje 810
flo=bεʁ=e=a=minə=sə=pʁɔ=mə=nɑ̃=dɑ̃=la=fɔ=ʁε=as=te=ʁis=kəas=te=ʁis=kə=ɑ̃=bo=mɑ̃=vwa=e=œ̃=naʁ=bʁə=a=bʁɑ̃=ʃə-o=tə=mε=zy=nə=də=sε=bʁɑ̃=ʃə=e=tε=lɔ̃ɡ=e=kuʁ=be=ʒys=ko=sɔl=dε=zɑ̃=fɑ̃=sa=kʁo=ʃe=ʒu=e=ɡʁɛ̃=pe=sa=swa=sa=lɔ̃=ʒe=syʁ=lə=bwa=bε=se=sεt=aʁ=bʁə=ε=di=fe=ʁɑ̃=dε=zo=tʁə=ʒɑ̃=til=il=tɑ̃=la=mɛ̃=o=zɑ̃=fɑ̃=puʁ=ʒu=e=kɔ=mə=ʒə=tɑ̃=la=mjε=nə=o=ʒɑ̃=o=ʒə=nə=puʁ=de=fɑ̃=dʁə=nɔ=tʁə=li=bεʁ=te=tus=ty=di=nɛ̃=pɔʁ=tə=kwa=sε=tə=aʁ=bʁə=pu=sə=lε=zɑ̃=fɑ̃=za=su=ʁi=ʁə=a=pʁɔ=fi=te=dy=tɑ̃=twa=ty=pu=sə=lε=ʒə=nə=za=mu=ʁiʁ=vi=vɑ̃=a=ε=tʁə=e=kʁu=e=a=pεʁ=dʁə=lœʁ=tɑ̃=za=de=fɑ̃=dʁə=y=nə=sεʁ=vi=ty=də=tɑ̃=ʒi=blə=ty=o=ʁε=ze=te=tʁε=bjɛ̃=si=ty=ne=te=pa=mɔ̃=tʁe=ɡi=nə=pa=tɥe=ʒy=lə=nə=pa=pu=se=laʁ=mə=dœ̃=sty=pi=də=tɥe=œ̃=ni=nɔ=vɑ̃=puʁ=vi=vʁə=il=fo=ε=tʁə=kεl=kœ̃=kεl=kœ̃=di=fe=ʁɑ̃=il=fo=a=vwaʁ=y=nə=di=fe=ʁɑ̃=sə=puʁ=ε=tʁə=il=fo=a=vwaʁ=y=nə=ve=ʁi=te=nə=pa=a=vwaʁ=pœʁ=də=mɔ̃=tʁe=la=ve=ʁi=te=ty=a=mɔ̃=tʁe=la=mεʁ=də=a=mi=nə=kɔ=mɑ̃=sa=a=plə=ʁe=plə=ʁe=dy=fɔ̃=flo=bεʁ=lə=pʁi=dɑ̃=sa=pwa=tʁi=nə=e=mu=vɑ̃=e=lɑ̃=bʁa=sa=paʁ=lə=kʁanə 296
a=minə=nə=ʁεs=tε=kə=ʁa=ʁə=mɑ̃=a=la=mε=zɔ̃=il=pa=sε=dy=nə=ʁy=a=lo=tʁə=dœ̃=bu=lə=vaʁ=a=lo=tʁə=e=sɑ̃=du=tə=dy=nə=si=ɡa=ʁε=təa=lo=tʁə=dy=nə=bu=tεjə=a=lo=tʁə=εt=se=te=ʁa=sɑ̃=my=zi=kə=sɑ̃=zɔ=ky=pa=sjɔ̃=ɛ̃=tεl=lεk=tɥεllə=sɑ̃=ʒy=lə=il=nə=fə=zε=kə=tʁε=ne=ʁjɛ̃=do=tʁə=il=sɔ̃=bʁə=tu=ʒuʁ=dɑ̃=li=vʁɔ=ɲə=ʁi=e=va=y=nə=si=ɡa=ʁε=tə=dɑ̃=la=mɛ̃=də=vɑ̃=la=pʁi=zɔ̃=sə=pa=ʁa=li=ze=də=vɑ̃=lə=ka=da=vʁə=də=la=mɑ̃=ki=nε=plys=la=də=vɑ̃=lɛ̃s=pi=ʁa=sjɔ̃=ki=nε=plys=la=il=kɔ=mɑ̃=sə=a=plə=ʁe=plə=ʁe=kʁje=sɑ̃=za=ʁε=ʒə=nə=tə=lε=sə=pa=paʁ=sə=kə=ʒə=tε=mə=kεl=kzœ̃=di=ze=kil=ε=fu=mε=sə=kil=i=a=də=sεʁ=tɛ̃=sε=kil=nə=my=zi=kə=plys=o=fɔ̃=dəp=ɥi=la=mɔʁ=də=ʒy=lə=il=kɔ̃=si=de=ʁa=sa=vi=sɑ̃=byt=sɑ̃=zo=kœ̃=ɔb=ʒεk=tif=ʒy=lə=ne=tε=plys=a=mi=nə=e=tε=ʒy=lə=a=mi=nə=ne=tε=plys=zo=si=il=vi=vε=mɔʁ=lə=vjɔ=lɔ=nis=tə=de=si=da=də=kɔ̃=tin=ɥe=dɑ̃=la=vwa=dy=ma=lœʁ=lə=mal=sɑ̃=tʁo=dab=stʁε=də=ɡu=fʁə=lə=ma=lœʁ=sɛ̃=plə=mɑ̃=ma=te=ma=ti=kə=mɑ̃=sɑ̃=zεk=stʁε=ʁə=ni=bo=te=ni=my=zi=kə=tʁis=tə=sε=ʃə=mɑ̃=il=fə=zε=fʁwa=pɥi=lə=pʁɛ̃=tɑ̃=də=la=my=zi=kə=pɥi=zœ̃=bo=ʒuʁ=ʃo=il=tʁε=nε=tu=ʒuʁ=zi=vʁɔ=ɲə=dɑ̃=lε=ʁy=la=si=ɡa=ʁε=tə=dɑ̃=la=mɛ̃=sa=fa=sɔ̃=də=fy=me=e=tε=də=və=ny=ma=la=bi=lə=pləʁ=ni=ʃaʁ=də=sa=mɛ̃=tʁu=blε=tu=ʒuʁ=sε=ziø=plɛ̃=də=flə=və=il=fy=mε=bo=ku=bo=ku=kɔ=mə=si=sɔ̃=nu=bli=de=pɑ̃=dε=də=sε=tə=fy=me=il=bas=ky=lə=a=luʁ=il=paʁ=tε=fε=ʁə=dε=tuʁ=za=la=mε=zɔ̃=də=ʒy=lə=a=sɔ̃=nɑ̃=sjε=nə=a=dʁε=sə=il=nə=la=ʁə=kɔ=ny=plys=ni=la=ʁy=ni=li=mə=blə=ni=la=paʁ=tə=mɑ̃=ki=ɑ̃=lə=va=sa=ʒə=nε=sə=su=ve=il=lɥi=a=ʁi=vε=də=pa=se=la=nɥi=də=ɔʁ=ʁə=tu=ʃɑ̃=la=pʁe=zɑ̃=sə=də=la=mɑ̃=il=vi=vε=a=vεk=lɥi=də=lεʁ=dy=tɑ̃=il=lə=ʃεʁ=ʃε=il=li=ma=ʒi=nε=ɑ̃=kɔ=ʁə=vi=vɑ̃=ʒə=nə=fu=kɔ=mə=ʒa=di=il=su=ε=tε=œ̃=tɑ̃=ki=nə=vø=plys=ʁjɛ̃=di=ʁə=dy=tu=dɑ̃=lε=ka=fe=il=ze=tε=kεl=kzœ̃=ki=ɡu=tε=œ̃=ka=fe=kʁε=mə=su=ʁjɑ̃=lε=zo=tʁə=pa=sε=ʃa=lə=ʁø=ze=tʁɑ̃=kjə=ε=bjɛ̃=kə=mi=ze=ʁø=a=mi=nə=pa=sε=də=vɑ̃=ø=mi=ze=ʁa=blə=e=tʁis=tə=il=se=sε=si=to=di=pʁe=tɑ̃=dʁə=kil=me=ʁi=tε=a=ko=zə=də=sa=ʁe=py=ta=sjɔ̃=ki=se=tε=det=ʁɥi=tə=mε=də=vɑ̃=ø=a=pɔʁ=te=i=me=dja=tə=də=lœʁ=sɑ̃=si=bi=li=te=sə=pʁɔd=ɥi=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=tʁis=tə=o=si=to=flɑ̃=bə=ɑ̃=nø=zy=nə=su=fʁɑ̃=sə=de=ʃi=ʁɑ̃=tə=flo=bεʁ=dɑ̃=lə=sy=pli=sə=o=si=də=le=ta=də=sɔ̃=fis=o=pʁə=mje=il=kʁwa=jε=kə=sε=tə=a=ti=ty=də=e=te=puʁ=tɑ̃=puʁ=a=mi=nə=nɔʁ=mal=y=nə=tʁis=tε=sə=ki=dy=ʁə=ʁa=dε=ʒuʁ=ne=dε=sə=mε=nə=pø=tε=tʁə=pɥi=zil=εn=i=a=plys=ʁjɛ̃=mε=pø=a=pø=sa=a=εɡ=za=ʒe=ʁe=flo=bεʁ=sə=pεʁ=di=ʒuʁ=a=pʁε=ʒuʁ=e=kɔ=mɑ̃=sa=a=pʁɑ̃=dʁə=o=se=ʁjø=la=ma=la=di=da=mi=nə=il=de=si=da=a=la=fɛ̃=də=la=mə=ne=ʃe=zœ̃=psi=kɔ=lɔɡ=puʁ=lε=de=ʁjɛ̃=nə=ʃɑ̃=ʒa=kə=ta=ʁi=və=il=dɔ̃k=ʒɔ=li=vjɔ=lɔ=nis=tə=kə=fε=ty=dɔ̃k=tʁε=ne=fu=ma=la=dʁwa=dɑ̃=lε=ʁy=la=si=ɡa=ʁε=tə=dɑ̃=la=mɛ̃=e=la=ʁɔ=bə=tu=tə=mal=ɑ̃=nɔʁ=dʁə=ka=ʁi=və=il=a=ta=ʃεʁ=plys=fʁwa=də=kœ̃=ka=da=vʁə=ʁu=ʒə=kɔ=mə=lɑ̃=fe=o=kwɛ̃=dε=po=pjε=ʁə=a=mi=nə=blɔ̃=ta=mi=nə=nə=kʁwa=ty=plys=za=la=li=bεʁ=te=mɛ̃=tə=nɑ̃=kə=ty=lwzœ̃=nɔ=mə=ki=nε=plys=ty=ε=lə=sy=ʒε=dy=nə=pa=sjɔ̃=mɔʁ=tə=puʁ=kwa=a=vε=ty=tɑ̃=de=fɑ̃=dy=y=nə=li=bεʁ=te=ki=tɑ̃=ʃε=nə=mɛ̃=tə=nɑ̃=a=po=vʁə=a=mi=nə=sε=tə=li=bεʁ=te=kə=ty=pʁe=tɑ̃=li=bεʁ=te=ɑ̃=lε=və=ta=ʒə=nε=sə=sε=sə=dɔ̃k=ty=ɑ̃=tɑ̃=dɑ̃=lə=mɔ̃=də=yʁ=le=lε=zεk=stʁe=mis=tə=də=ʁə=li=ʒjɔ̃=yʁ=le=lε=zεk=stʁe=mis=tə=maʁ=ksis=tə=ty=ε=kɔ=mə=ø=lo=mo=sεk=sɥεl=ki=yʁ=lə=sɔ̃=ʃwa=puʁ=lə=ʒe=ne=ʁa=li=ze=syʁ=tu=lə=mɔ̃=də=vu=zε=tə=lε=mε=mə=ty=nə=sε=ʁjɛ̃=də=la=li=bεʁ=te 966

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26/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 07/01/2014 16:43

L'écrit contient 3564 mots qui sont répartis dans 5 strophes.