Poème:Maladie

Dans les fibres de mon etre, une douleur se cache,
Invisible, mais présente, elle ne se tait pas.
Je reve de paix, de calme et de liberté,
Fatigue et souffrance, un duo infernal,
De notes de musique, tendres et suaves, chantées.
Qui me suit partout, nuit et jour, sans faille.
Les oiseaux anges, les sirènes, les chours célestes,
Les jours sont longs, les nuits sont courtes,
Me donnent l’espoir, d’une paix qui me délivre.
La douleur me réveille, me laisse sans forces.
Je vois les oiseaux, les anges, les ailes déployées,
Je cherche un répit, un peu de paix,
Volant vers moi, pour me donner l’envie de vivre.
Mais la fibromyalgie, elle, ne me lache pas.

Je suis prisonnière, de ce corps qui me trahit,
Sur mon visage, un masque de silence,
La douleur est constante, elle ne me quitte pas.
Des notes mélodieuses, une souffrance ressentie, mais pas montrée.
Mais je refuse, de me laisser abattre,
Mais dans mon ame, un reve éternel,
Je vais continuer, à lutter, à me battre.
Une mélodie douce, un apaisement réel.
Leur chant mélodieux, un baume pour mon cour,
Je suis forte, je suis courageuse,
Me libère de mes chaines, me donne l’espoir du bonheur.
Je vais continuer, à vivre, à aimer, à espérer.
Dans ce reve, je suis libre, je suis en paix,
La fibromyalgie, elle ne me définit pas,
Les notes de musique, un remède pour mon ame en exil.
Je suis plus que cela, je suis une ame qui vit.
Je suis apaisée, je suis calme, je suis sereine,
La mélodie de la paix, me donne enfin la clé du jardin.