Poème:Vision

Tout d’un coup tout s’obscurci,
Dans cette salle où quelques temps plus tôt on m’avait introduit.
Je me recroqueville sur moi même terrorisée,
Quand une lumière feutré fait son entrée.

Mes yeux peu habitué a cette soudaine clarté,
Ne distingue pas de suite que c’est un rideau qui est éclairé.
Un de ses vieux rideau comme on en fait plus,
A la fois doux et matte recouvrant une vaste étendue.

Et puis la lumière s’intensifie,
De quelques-unes de ses sœurs, elle a l’appuie.
Le rideau massif s’entrouvre,
Et c’est un couloir sans fin que l’on découvre.

Dans cette espace révélé par le rideau,
Apparais un homme, il est jeune et beaux.
Mon cœur palpite,
Quand il s’installe derrière son pupitre.

Il commence a parler avec grande éloquence
Et quelques demoiselles ayant fait leur entrée esquisse une danse.
Un rythme lent, délicat, et enjoué se fait entendre
Il parcourt la salle et tous ses méandres.

Et puis l’espace d’un instant tout s’accélère,
Je me retrouve moi-même sous les lumières.
Mais ce n’est hélas qu’une impression,
Ma tête est envahit de tous ses sons.

Le temps semble passer plus vite,
Et je me sens totalement inédite.
Je pense n’être plus comme avant,
Je suis celle dont l’histoire est joué juste devant.

Et puis tout prend finalement fin,
Je soupir de contentement sur les coussins.
On m’avait dit que le théâtre c’était magnifique,
Mais je ne m’attendais pas a une choses si atypique.

J’ai eu grand peine a sortir de la salle,
Il fallait que je revienne c’était vital.
Au théâtre ce fut ma première journée,
Je ne risque pas de l’oublier…