Poème:Elisa

Petites boucles châtains
Qui ravis tous mes matins
Petite bouille d’amour
Que j’admire tous les jours
Petite fille jolie
Que j’aime à l’infini

Je te quémande des câlins
Tu te pends à mon cou
Je te caresse les mains
Tu me fais plein d’bisous

Ta peau douce comme un bébé
Me donne envie d’te croquer
Ma petite princesse à moi
Merci d’être là
Te contempler dormir
Me fait enormement plaisir
Je ne peux me détacher de toi
Tu es une partie de moi

Bientôt la fête des mères
Je t’amènerai en mer
On voguera sur les eaux
Tu verras comme ce s’ra beau
Du vent, du soleil, des remous
Tout cela, rien que pour nous

Tu m’offriras un collier d’nouilles
Et j’aurai l’air d’une andouille
Je serai émue devant ce si bel objet
Que tu auras confectionné
Juste pour moi, ta maman adorée

Il n’existe pas assez de superlatif
Pour parler de toi
Je reste donc, contemplative
A observer mon mini-moi

Lorsque tu pleures
Mon cœur se meurt
Je ne peux accepter
Que tu sois attristée
Je mets, alors, mon nez rouge
Et de suite, tu approuves
Tu m’offres un grand sourire
Et je te fais des grimaces, les pires
Rien que pour t’entendre rire

Un amour inconditionnel
Que celui d’une mère
Il restera éternel
En aucun cas, un amour éphémère
C’est inscrit dans mon sang
Que je t’aimerai, jusqu’à la fin des temps