Poème:Garçon Virginal

Puis, avec une main faible, il a écrit :
"Je dois arrêter de rêver, j’ai presque dix-sept ans,
Forge ce grand âge pour mesurer
Je n’ai pas à me reposer dans une évocation que la sagesse a de nouveau vue
Ou dans ces histoires de tromperie ; sur la libération conditionnelle, je stuff,
Récupérer une vision que mes sourcils définissent et nettoient,
Pour couper les excréments de loft qui montent à travers le bateau de Dawn :
La maturité est-elle simplement la démangeaison de ce qui aurait pu être ?
Où un manteau idiot devrait-il être façonné ?
Ah, je suis nue et le lion se pavane les griffes sur le sable si maigre
A la rupture de la sécheresse, pèlerinage à l’éveil : faites que le poids de cette chèvre soit à moitié dépouillé ! ’

Le Père retourne son museau,
J’ai appris à connaître la normalité des rois ;
La mère fait une moue décrépite,
Je suis venu à aimer le calme qu’il apporte ;
Le frère est divisé en séparant le coulis,
Je suis venu écouter la chanson que mon coeur chante ;
La fille fait des vagues dans son gros ventre familier,
Je suis venu pour haïr l’isolement des ailes ;
Le garçon reste intact dans un combat intemporel,
Je suis venu pour immortaliser ces cicatrices,
Ses mains sont fatiguées, mais le désir fatal le voit sortir !

La coque des pensées secondaires conjecture la vue,
Sunrise est laissé dans une chaleur tentaculaire, un désordre tremblant
Et des coquilles de chair pendent des nuages ​​rouges, un délice d’ange ;
L’indignation de Melpomene est configurée dans le ciel
Et je me vois dans la vieillesse, parfaitement brillant
Et plein de jeunesse abominable, si sage mon âge peut être moins ;
Le sol a-t-il été respiré ? Ah, se prélasser comme une vierge devant la lumière !
Présenté comme un druide, un aveugle devant des agneaux sur l’herbe chaude
Je n’y ai pas pensé - j’ai commencé une partie d’artistes dans ma tête et je les ai allumés ;
Gorge et Lionskins côtoient la scènele coeur est des cendres de charnel du congrès d’un joueur

Et un manuscrit est laissé intact par un dramaturge :
C’est la mort dans l’oisiveté, la croisade du fou de la taille de Dawn,
Enveloppé dans la spéculation. La résurrection est devenue une passe quotidienne
Et les enfants sont rendus épais avec la crinière et se battent,
S’implorer pour des rugissements qui résonneraient et confesseraient
Les menteurs présents du bégaiement et de la brûlure ;
Les organes affamés et les reins lubriques
Et un amphibien peau sèche hurle sauvagement toute la nuit
Cherchant le bosquet qui l’arrêterait de l’excès périphérique
Et une caresse éthérée, qui brûle doucement dans son cuir chevelu ébréché :
Mais, un garçon nu, rougi de toute rage, le tire à travers le miroir.
Maintenant, avec une main forte, il écrit.