Texte:Onirisme

Mon cœur n’a pas cessé de soupirer ;
La tendresse ne s’est juste envolée.
L’intuition a soufflé d’un air discret
Un espoir que même la peur n’a pu enlever ;

Un agent destructeur du stress,
Une pensée que l’esprit a vite captée ;
Un secret pour goûter à l’allégresse,
Une folie à laquelle je devrais m’adapter.

Écoutez, j’ai fait un rêve sans pareil !
Le genre de rêves sur lequel
L’on ferait jusqu’à couler des larmes réelles,
Lors de s’en séparer à l’heure du réveil.

Imaginez, j’ai enfin quitté le sommeil ;
La merveille se dissolvait déjà telle une sucette ;
Mais aléatoirement je suis tombé sur ce concept,
Et j’eus du mal à croire que ce fut réel.

J’ai cru être toujours dans mon rêve partiel,
Pourtant c’est là même le sens du fameux concept :
L’Oniris que l’intuition m’a soufflé d’un ton net
M’a permis de voler jusqu’au-delà de mes ailes !

J’ai ainsi pris mon rêve pour une réalité,
Afin d’adapter mon âme à une noble folie ;
Afin d’arriver à rédiger ce qu’ici tu lis,
Et de raviver l’étincelle de mon prochain été.