Prose:Folie

Aussi différent que l’autre,
Aussi raisonnable que celui-ci.
Une vague déferle,
Sur un organe gorgé de sang.
La tornade a balayé,
Toutes les illuminations
La démence entre en jeux.
Saute de case en case.
Se balance sur la corde de vie.
Se cacher, derrière un semblant de raison.
La mettre en évidence,
Pour ne pas troubler.
La vision du monde,
Est floue, taché et sourde.
L’importance n’est plus rien,
Les valeurs ne sont plus que paroles.
L’envie doit être sans cesse redonnée.
Des robots accomplissant leur tâches.
Un dérèglement, est tout s’effondre.
Oublier ce contrat de vie.
Préférer être dans son corps,
Plongé dans ses pensées,
Même futile et incohérente.
Les projecteurs ne sont pas sur nous.
Les seules lumières sont celle des lampadaires du soir.
Éclairant un bout de route seulement.
Laissant des vides dans le noir.
S’arrêtant aux limites, les toucher.
Cependant ne pas pouvoir les détournées.
Trop stricts, trop de peur.
L’obéissance est un devoir,
Apprendre, répété ses instructions.
A telle points, que l’esprit,
Les récite sans conscience.
être abruti de la vie,
Être exciter par la mort.
Essayer de se noyer,
Boire pour s’étouffer.
Mais les moyens ne nous laisse pas.
Toujours ramener a cette horreur.
Obligé de se gaver de ces produits,
Qui nous font oublier.
Parler à l’autre,
Revivre ses cauchemars.
Apaise un temps,
Puis sans actions nous reviens.
Nous redonne à cette dérision,
Nous sacrifie à cette illusion.
Illusion, parfois clair comme sombre.
Douce ou bien rugueuse.
Agréable si on donne soumission.
Une punition si résistance est faîte.
Juger comme fou,
Est pourtant être le seul a avoir une raison.
Le seul a avoir connu un moment de lucidité.
Comparer à tous ses juristes,
Puritain et automatisé.
Par ses dément du monde,
Qui ont crée la folie.
Qui l’ont étendu.
Et qui on n’ont fait une loi.
De respect et de vie.