Poème:Histoire De L Oublier

Ça c’est passé l’an dernier, sur l’île de Montréal, un jour de mars juste après les vacances scolaire. cette journée était parfaite, le soleil brillait, il n’y avait aucun nuage, et tout les enfants étaient dehors à jouer ensemble dans la neige qui restait.
Une personne cependant, était enfermée dans sa chambre les rideaux fermées et lumières tamisés. cette personne c’était Sarah Martel. elle avait alors 15 ans. cette journée elle ne l’a trouvait pas du tout si belle car quelques jours au paravant, elle avait perdu quelque chose de très précieux avec son petit-ami qui l’avait plaqué la journée même. cette chose si précieuse était sa virginitée. mais pourquoi son petit-ami l’avait-il laissé ? ? simplement parce que c’était un jeune imbécil qui aimait bien ce jouer des autres. il voulait avoir du plaisir ! Et bien il l’a eu ! puisque la virginitée d’une personne est quelque chose qu’on ne peut reprendre, il fallait bien lui enlever quelque chose n’est-ce pas ? ! c’est ce que Sarah avait l’intention de faire, elle allait lui enlever quelque chose d’aussi précieux que ce qu’il lui avait pris !
Donc elle était dans sa chambre à planifier ce moment qu’elle attendait avec impatience ! elle avait tout prévu, le lieux, le moment, etc… ! ce jour arriva ! elle avait pris une réservation au resto pour ses parents et avait lancé une invitation à son ex qu’il ne pouvait refusé : tu n’oubliera jamais cette soirée !
Il arrivea enfin, les deux jeunes prirent place dans la chambre de Sarah. Elle tamisa les lumières puis commença à aguicher son cher invité ! elle dançait et se dénudait devant lui. Au moment ou elle déboutonnait le pantalon du jeune homme, elle sortit de sous son lit, une seringue pleine d’un tranquillisant que son père utilisait pour ses patients à l’hopital. elle planta le tranquilisant dans la cuisse de son invité et sortit ensuite un scalpel (il est pratique d’avoir un père chirurgien ! ) elle ouvrit le ventre du garçon sans touché aucun organe vital. ensuite, elle déposa dans la plaie un peu d’alcool à d’ésinfecter, quelques allumettes en feu (l’alcool attisa le feu bien entendu ! ! ) ensuite elle le recousu, alla dans le garage, pris le vieux sécateur non-éguisé de son père, retourna dans sa chambre et coupa d’un coup sec ce qu’il y a de plus précieux chez ce jeune homme, sa queu ! il va s’en dire que le tranquilisant arrêta quelques heures après, juste au moment où le garçon se réveilla dans un arrêt d’autobus car il avait perdu connaissance ! ! ! imaginez vous son visage lorsqu’il ira à la salle de bain !