Poème:Baumier
Le Poème
L’Afrique est occupée et balkanisée depuis des siècles
L’Afrique est animalisée et souillée depuis les aventures conquérantes de ces explorateurs
Elle est humiliée et dépecée depuis le débarquement de ces missionnaires soumis à un Fils de Dieu marchand d’esclaves nègres
Aucun apôtre n’avait la peau sombre d’un négroïde calciné par le soleil
Aucun porte-parole du messie chrétien n’était de culture subsaharienne
Faut-il croire que dans leur Paradis céleste le caucasoïde soit le seul élu choisi pour goûter à la miséricorde christique et aux grâces divines de la vie éternelle ?
Faut-il croire que la peau noire soit celle du diable l’Empereur damné de leur Enfer ?
Le malheureux sale nègre condamné à être maudit par ce bienveillant mystérieux créateur spectateur
Par ce responsable miséricordieux coupable du chaos qu’il aurait créé dès la genèse d’une humanité qui a paradoxalement débuté en Afrique
Ce continent abrite des bases militaires coloniales et négrophobes depuis des siècles
Ses terres sont sous le contrôle des puissances occidentales depuis des siècles
Les dirigeants africains luttent pour la gloire des colons étrangers depuis les pseudos indépendances de leur réservoir de matières premières
Pour les suprémacistes impérialistes les Africains sont des parasites indésirables
Un troupeau de sales nègres sauvages
De vulgaires occupants à éliminer de leur propre écosystème
Les pays africains sont des camps de concentration soumis au vandalisme du néocolonialisme
La tyrannie xénophobe du capitalisme efface les cauchemars de ces jeunes qui rêvent de fuir la misère grâce à la pénitence de l’immigration clandestine
Le Sahara et la Méditerranée sont des témoins oculaires spectateurs de la désolation de tous ces migrants qui s’éteignent sous leurs yeux impuissants
La nostalgie de l’Empire a mutilé l’avenir de cette jeunesse aliénée
Leurs opérations militaires ont des dénominations de prédation agressive
L’Afrotisme doit remplacer le panafricanisme qui a longtemps été parrainé par un troupeau de négriers négroïdes ennemis de leurs origines
La déchéance panafricaine à l’urgence des pressions capitalistes
Les nègres domestiques sont en service depuis les premières traques d’esclaves noirs
En Afrique le nazisme monétaire à des beaux jours car Adolf Hitler n’est toujours pas mort
La patrie des lumières esclavagistes pille ses richesses sans remords
Les nègres victimaires dictateurs finissent à la cour pénale internationale pour des crimes contre l’humanité commis par les forces coloniales sur leur territoire
Les négroïdes serviles d’Afrique subsaharienne sont-ils réellement des êtres humains ?
Comment font-ils pour accepter la sauvagerie civilisationnelle de l’occident dans le berceau de l’humanité ?
Comment font-ils pour se prosterner devant Jésus-Christ le fils imaginaire de leur invention divine ?
Comment font-ils pour se soumettre au dogme esclavagiste de Mahomet le pédophile conquérant ?
Les traditions et les rituels spirituels africains sont devenus diaboliques pour tous ces chrétiens et musulmans à la peau mélaninée
Toujours pas soumis au Vatican ni à la Mecque
Mes genoux rebelles ne fléchiront jamais devant Jéhovah et Allah
Ces divinités chimériques étaient où pendant les traites négrières qui ont déshumanisé ma couleur ?
Les autels des cultes religieux qui me rapprochent de la force universelle sont installés dans les tréfonds des forêts africaines
L’Afrique est animalisée et souillée depuis les aventures conquérantes de ces explorateurs
Elle est humiliée et dépecée depuis le débarquement de ces missionnaires soumis à un Fils de Dieu marchand d’esclaves nègres
Aucun apôtre n’avait la peau sombre d’un négroïde calciné par le soleil
Aucun porte-parole du messie chrétien n’était de culture subsaharienne
Faut-il croire que dans leur Paradis céleste le caucasoïde soit le seul élu choisi pour goûter à la miséricorde christique et aux grâces divines de la vie éternelle ?
Faut-il croire que la peau noire soit celle du diable l’Empereur damné de leur Enfer ?
Le malheureux sale nègre condamné à être maudit par ce bienveillant mystérieux créateur spectateur
Par ce responsable miséricordieux coupable du chaos qu’il aurait créé dès la genèse d’une humanité qui a paradoxalement débuté en Afrique
Ce continent abrite des bases militaires coloniales et négrophobes depuis des siècles
Ses terres sont sous le contrôle des puissances occidentales depuis des siècles
Les dirigeants africains luttent pour la gloire des colons étrangers depuis les pseudos indépendances de leur réservoir de matières premières
Pour les suprémacistes impérialistes les Africains sont des parasites indésirables
Un troupeau de sales nègres sauvages
De vulgaires occupants à éliminer de leur propre écosystème
Les pays africains sont des camps de concentration soumis au vandalisme du néocolonialisme
La tyrannie xénophobe du capitalisme efface les cauchemars de ces jeunes qui rêvent de fuir la misère grâce à la pénitence de l’immigration clandestine
Le Sahara et la Méditerranée sont des témoins oculaires spectateurs de la désolation de tous ces migrants qui s’éteignent sous leurs yeux impuissants
La nostalgie de l’Empire a mutilé l’avenir de cette jeunesse aliénée
Leurs opérations militaires ont des dénominations de prédation agressive
L’Afrotisme doit remplacer le panafricanisme qui a longtemps été parrainé par un troupeau de négriers négroïdes ennemis de leurs origines
La déchéance panafricaine à l’urgence des pressions capitalistes
Les nègres domestiques sont en service depuis les premières traques d’esclaves noirs
En Afrique le nazisme monétaire à des beaux jours car Adolf Hitler n’est toujours pas mort
La patrie des lumières esclavagistes pille ses richesses sans remords
Les nègres victimaires dictateurs finissent à la cour pénale internationale pour des crimes contre l’humanité commis par les forces coloniales sur leur territoire
Les négroïdes serviles d’Afrique subsaharienne sont-ils réellement des êtres humains ?
Comment font-ils pour accepter la sauvagerie civilisationnelle de l’occident dans le berceau de l’humanité ?
Comment font-ils pour se prosterner devant Jésus-Christ le fils imaginaire de leur invention divine ?
Comment font-ils pour se soumettre au dogme esclavagiste de Mahomet le pédophile conquérant ?
Les traditions et les rituels spirituels africains sont devenus diaboliques pour tous ces chrétiens et musulmans à la peau mélaninée
Toujours pas soumis au Vatican ni à la Mecque
Mes genoux rebelles ne fléchiront jamais devant Jéhovah et Allah
Ces divinités chimériques étaient où pendant les traites négrières qui ont déshumanisé ma couleur ?
Les autels des cultes religieux qui me rapprochent de la force universelle sont installés dans les tréfonds des forêts africaines
Poète Yramabiff
Yramabiff a publié sur le site 66 écrits. Yramabiff est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil du poète YramabiffSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Baumier
la=fri=que=est=oc=cu=pée=et=bal=ka=ni=sée=de=puis=des=si=è=cles 18la=fri=queest=a=ni=ma=li=sée=et=souillée=de=puis=les=aven=tu=res=con=qué=ran=tes=de=ces=ex=plo=ra=teurs 26
elleest=hu=mi=li=ée=et=dépe=cée=de=puis=le=dé=bar=que=ment=de=ces=mis=sion=naires=sou=mis=à=un=fils=de=dieu=mar=chand=des=claves=nègres 32
au=cun=a=pô=tre=na=vait=la=peau=som=bre=dun=né=groï=de=cal=ci=né=par=le=so=leil 22
au=cun=por=te=pa=ro=le=du=mes=sie=chré=tien=né=tait=de=cul=tu=re=sub=sa=ha=rien=ne 23
faut=til=croire=que=dans=leur=pa=ra=dis=céles=te=le=cau=ca=soï=de=soit=le=seul=é=lu=choi=si=pour=goû=ter=à=la=mi=sé=ri=corde=chris=ti=queet=aux=grâ=ces=di=vi=nes=de=la=vieé=ter=nel=le 47
faut=til=croi=re=que=la=peau=noi=re=soit=cel=le=du=di=a=ble=lem=pe=reur=dam=né=de=leur=en=fer 25
le=malheu=reux=sale=nègre=con=dam=né=à=être=mau=dit=par=ce=bien=veillant=mys=té=rieux=cré=a=teur=s=pec=ta=teur 26
par=ce=res=pon=sable=mi=sé=ri=cor=dieux=cou=pable=du=chaos=quil=au=rait=créé=dès=la=ge=nèse=du=ne=hu=ma=ni=té=qui=a=pa=ra=doxa=le=ment=dé=bu=té=en=a=frique 41
ce=con=tinent=a=bri=te=des=ba=ses=mi=li=tai=res=co=lo=nia=les=et=né=gro=pho=bes=de=puis=des=siècles 26
ses=ter=res=sont=sous=le=con=trô=le=des=puis=san=ces=oc=ci=den=ta=les=de=puis=des=si=è=cles 24
les=di=ri=geants=a=fri=cains=lut=tent=pour=la=gloire=des=co=lons=é=tran=gers=de=puis=les=p=seu=dos=in=dépen=dances=de=leur=ré=ser=voir=de=ma=tiè=res=pre=mières 38
pour=les=su=pré=ma=cis=tes=im=pé=ria=lis=tes=les=a=fri=cains=sont=des=pa=ra=si=tes=in=dé=si=rables 26
un=trou=peau=de=sa=les=nè=gres=sau=va=ges 11
de=vul=gai=res=oc=cu=pants=à=é=li=mi=ner=de=leur=pro=pre=é=co=sys=tè=me 21
les=pa=ys=a=fri=cains=sont=des=camps=de=concen=tra=tion=sou=mis=au=van=da=lis=me=du=néo=co=lo=nia=lisme 26
la=ty=ran=nie=xé=no=phobe=du=ca=pi=ta=lisme=ef=face=les=cau=che=mars=de=ces=jeu=nes=qui=rê=vent=de=fu=ir=la=mi=sè=re=grâ=ceà=la=pé=ni=ten=ce=de=lim=mi=gra=tion=clan=des=tine 47
le=sa=ha=ra=et=la=mé=di=ter=ra=née=sont=des=té=moins=o=cu=laires=s=pec=ta=teurs=de=la=dé=so=la=tion=de=tous=ces=mi=grants=qui=sé=teignent=sous=leurs=yeux=im=puis=sants 42
la=nos=tal=gie=de=lem=pi=re=a=mu=ti=lé=la=ve=nir=de=cet=te=jeu=nes=se=a=li=é=née 25
leurs=o=pé=ra=ti=ons=mi=li=tai=res=ont=des=dé=no=mi=na=tions=de=pré=da=ti=on=a=gres=si=ve 26
la=fro=tisme=doit=rem=pla=cer=le=pa=na=fri=ca=nisme=qui=a=long=temps=é=té=par=rai=né=par=un=trou=peau=de=né=griers=né=groï=des=enne=mis=de=leurs=o=ri=gines 39
la=dé=ché=an=ce=pa=na=fri=cai=ne=à=lur=gen=ce=des=pres=si=ons=ca=pi=ta=lis=tes 23
les=nè=gres=do=mes=ti=ques=sont=en=ser=vi=ce=de=puis=les=pre=mi=è=res=tra=ques=des=cla=ves=noirs 25
en=a=fri=que=le=na=zis=me=mo=né=tai=re=à=des=beaux=jours=car=a=dolf=hit=ler=nest=tou=jours=pas=mort 26
la=pa=trie=des=lu=mi=è=res=es=cla=va=gis=tes=pi=lle=ses=ri=ches=ses=sans=re=mords 22
les=nègres=vic=ti=maires=dic=ta=teurs=fi=nissent=à=la=cour=pé=na=lein=ter=na=tio=na=le=pour=des=cri=mes=con=tre=lhu=ma=ni=té=com=mis=par=les=for=ces=co=lo=nia=les=sur=leur=ter=ri=toire 46
les=né=groï=des=ser=vi=les=da=fri=que=sub=sa=ha=rien=ne=sont=tils=réel=le=ment=des=ê=tres=hu=mains 25
comment=font=tils=pour=ac=cep=ter=la=sau=vage=rie=ci=vi=li=sa=tion=nel=le=de=loc=cident=dans=le=ber=ceau=de=lhu=ma=ni=té 30
comment=font=tils=pour=se=pros=ter=ner=de=vant=jé=sus=christ=le=fils=i=ma=gi=naire=de=leur=in=ven=tion=di=vine 26
comment=font=tils=pour=se=soumet=treau=dog=me=es=cla=va=gis=te=de=ma=ho=met=le=pé=do=phi=le=con=qué=rant 26
les=tra=di=tions=et=les=ri=tuels=s=pi=ri=tuels=a=fri=cains=sont=de=ve=nus=dia=bo=li=ques=pour=tous=ces=chré=tiens=et=mu=sul=mans=à=la=peau=mé=la=ni=née 39
tou=jours=pas=sou=mis=au=va=ti=can=ni=à=la=mecque 13
mes=ge=noux=re=bel=les=ne=flé=chi=ront=ja=mais=de=vant=jé=ho=vah=et=al=lah 20
ces=di=vi=ni=tés=chi=mé=ri=ques=é=taient=où=pen=dant=les=traites=né=grières=qui=ont=dé=shu=ma=ni=sé=ma=cou=leur 28
les=au=tels=des=cul=tes=re=li=gieux=qui=me=rap=prochent=de=la=for=ceu=ni=ver=sel=le=sont=ins=tal=lés=dans=les=tré=fonds=des=fo=rêts=a=fri=caines 35
Phonétique : Baumier
lafʁikə εt- ɔkype e balkanize dəpɥi dε sjεkləlafʁikə εt- animalize e suje dəpɥi lεz- avɑ̃tyʁə kɔ̃keʁɑ̃tə də sεz- εksplɔʁatœʁ
εllə ε ymilje e depəse dəpɥi lə debaʁkəmɑ̃ də sε misjɔnεʁə sumiz- a œ̃ fis də djø maʁʃɑ̃ dεsklavə nεɡʁə
okœ̃ apotʁə navε la po sɔ̃bʁə dœ̃ neɡʁɔidə kalsine paʁ lə sɔlεj
okœ̃ pɔʁtə paʁɔlə dy mesi kʁetjɛ̃ netε də kyltyʁə sybsaaʁjεnə
fo til kʁwaʁə kə dɑ̃ lœʁ paʁadi selεstə lə kokazɔidə swa lə səl ely ʃwazi puʁ ɡute a la mizeʁikɔʁdə kʁistikə e o ɡʁasə divinə də la vi etεʁnεllə ?
fo til kʁwaʁə kə la po nwaʁə swa sεllə dy djablə lɑ̃pəʁœʁ damne də lœʁ ɑ̃fe ?
lə maləʁø salə nεɡʁə kɔ̃damne a εtʁə modi paʁ sə bjɛ̃vεjɑ̃ misteʁjø kʁeatœʁ spεktatœʁ
paʁ sə ʁεspɔ̃sablə mizeʁikɔʁdjø kupablə dy ʃao kil oʁε kʁee dε la ʒənεzə dynə ymanite ki a paʁadɔksaləmɑ̃ debyte ɑ̃n- afʁikə
sə kɔ̃tine abʁitə dε bazə militεʁə kɔlɔnjaləz- e neɡʁɔfɔbə dəpɥi dε sjεklə
sε teʁə- sɔ̃ su lə kɔ̃tʁolə dε pɥisɑ̃səz- ɔksidɑ̃talə dəpɥi dε sjεklə
lε diʁiʒɑ̃z- afʁikɛ̃ lyte puʁ la ɡlwaʁə dε kɔlɔ̃z- etʁɑ̃ʒe dəpɥi lε psødoz- ɛ̃depɑ̃dɑ̃sə də lœʁ ʁezεʁvwaʁ də matjεʁə pʁəmjεʁə
puʁ lε sypʁemasistəz- ɛ̃peʁjalistə lεz- afʁikɛ̃ sɔ̃ dε paʁazitəz- ɛ̃deziʁablə
œ̃ tʁupo də salə nεɡʁə- sovaʒə
də vylɡεʁəz- ɔkypɑ̃z- a elimine də lœʁ pʁɔpʁə ekozistεmə
lε pεiz- afʁikɛ̃ sɔ̃ dε kɑ̃ də kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃ sumiz- o vɑ̃dalismə dy neɔkɔlɔnjalismə
la tiʁani ksenɔfɔbə dy kapitalismə efasə lε koʃəmaʁ də sε ʒənə ki ʁεve də fɥiʁ la mizεʁə ɡʁasə a la penitɑ̃sə də limiɡʁasjɔ̃ klɑ̃dεstinə
lə saaʁa e la mediteʁane sɔ̃ dε temwɛ̃z- ɔkylεʁə spεktatœʁ də la dezɔlasjɔ̃ də tus sε miɡʁɑ̃ ki setεɲe su lœʁz- iøz- ɛ̃pɥisɑ̃
la nɔstalʒi də lɑ̃piʁə a mytile lavəniʁ də sεtə ʒənεsə aljene
lœʁz- ɔpeʁasjɔ̃ militεʁəz- ɔ̃ dε denɔminasjɔ̃ də pʁedasjɔ̃ aɡʁesivə
lafʁɔtismə dwa ʁɑ̃plase lə panafʁikanismə ki a lɔ̃tɑ̃z- ete paʁεne paʁ œ̃ tʁupo də neɡʁje neɡʁɔidəz- εnəmi də lœʁz- ɔʁiʒinə
la deʃeɑ̃sə panafʁikεnə a lyʁʒɑ̃sə dε pʁesjɔ̃ kapitalistə
lε nεɡʁə- dɔmεstik sɔ̃t- ɑ̃ sεʁvisə dəpɥi lε pʁəmjεʁə tʁak dεsklavə nwaʁ
ɑ̃n- afʁikə lə nazismə mɔnetεʁə a dε bo ʒuʁ kaʁ adɔlf itle nε tuʒuʁ pa mɔʁ
la patʁi dε lymjεʁəz- εsklavaʒistə pijə sε ʁiʃesə sɑ̃ ʁəmɔʁd
lε nεɡʁə- viktimεʁə diktatœʁ finise a la kuʁ penalə ɛ̃tεʁnasjɔnalə puʁ dε kʁimə kɔ̃tʁə lymanite kɔmi paʁ lε fɔʁsə- kɔlɔnjalə syʁ lœʁ teʁitwaʁə
lε neɡʁɔidə sεʁvilə dafʁikə sybsaaʁjεnə sɔ̃ til ʁeεllmɑ̃ dεz- εtʁə- ymɛ̃ ?
kɔmɑ̃ fɔ̃ til puʁ aksεpte la sovaʒəʁi sivilizasjɔnεllə də lɔksidɑ̃ dɑ̃ lə bεʁso də lymanite ?
kɔmɑ̃ fɔ̃ til puʁ sə pʁɔstεʁne dəvɑ̃ ʒezys kʁist lə fisz- imaʒinεʁə də lœʁ ɛ̃vɑ̃sjɔ̃ divinə ?
kɔmɑ̃ fɔ̃ til puʁ sə sumεtʁə o dɔɡmə εsklavaʒistə də maɔmε lə pedɔfilə kɔ̃keʁɑ̃ ?
lε tʁadisjɔ̃z- e lε ʁitɥεl spiʁitɥεlz- afʁikɛ̃ sɔ̃ dəvənys djabɔlik puʁ tus sε kʁetjɛ̃z- e myzylmɑ̃z- a la po melanine
tuʒuʁ pa sumiz- o vatikɑ̃ ni a la mεk
mε ʒənu ʁəbεllə nə fleʃiʁɔ̃ ʒamε dəvɑ̃ ʒeɔva e ala
sε divinite ʃimeʁikz- etε u pɑ̃dɑ̃ lε tʁεtə neɡʁjεʁə ki ɔ̃ dezymanize ma kulœʁ ?
lεz- otεl dε kyltə ʁəliʒjø ki mə ʁapʁoʃe də la fɔʁsə ynivεʁsεllə sɔ̃t- ɛ̃stale dɑ̃ lε tʁefɔ̃ dε fɔʁεz- afʁikεnə
Syllabes Phonétique : Baumier
la=fʁi=kə=ε=tɔ=ky=pe=e=bal=ka=ni=ze=dəp=ɥi=dε=sj=ε=klə 18la=fʁikəε=ta=ni=ma=li=ze=e=su=je=dəp=ɥi=lε=za=vɑ̃tyʁə=kɔ̃=ke=ʁɑ̃=tə=də=sε=zεk=spl=ʁa=tœʁ 25
εlləε=y=mi=lje=e=de=pə=se=dəp=ɥilə=de=baʁkə=mɑ̃də=sε=mi=sjɔ=nε=ʁə=su=mi=za=œ̃=fis=də=djø=maʁ=ʃɑ̃=dεs=kla=və=nεɡʁə 31
o=kœ̃=a=po=tʁə=na=vε=la=po=sɔ̃=bʁə=dœ̃=ne=ɡʁɔ=i=də=kal=si=ne=paʁ=lə=sɔ=lεj 23
o=kœ̃=pɔʁ=tə=pa=ʁɔ=lə=dy=me=si=kʁe=tj=ɛ̃=ne=tε=də=kyl=ty=ʁə=syb=sa=a=ʁjε=nə 24
fo=til=kʁwaʁə=kə=dɑ̃=lœʁ=pa=ʁa=dise=lεstə=lə=ko=ka=zɔ=i=də=swa=lə=səl=e=ly=ʃwa=zi=puʁ=ɡu=te=a=la=mi=ze=ʁi=kɔʁ=də=kʁis=ti=kəe=o=ɡʁa=sə=di=vi=nə=də=la=vi=e=tεʁnεllə 47
fo=til=kʁwa=ʁə=kə=la=po=nwa=ʁə=swa=sεl=lə=dy=dja=blə=lɑ̃=pə=ʁœʁ=dam=ne=də=lœʁ=ɑ̃=fe 24
lə=malə=ʁøsalə=nε=ɡʁə=kɔ̃=dan=a=ε=tʁə=mo=di=paʁ=sə=bjɛ̃=vε=jɑ̃=mis=te=ʁjø=kʁe=a=tœʁ=spεk=ta=tœʁ 26
paʁsə=ʁεs=pɔ̃sablə=mi=ze=ʁi=kɔʁ=djø=ku=pa=blə=dy=ʃa=o=kil=o=ʁε=kʁe=e=dε=la=ʒə=nε=zə=dy=nəy=ma=ni=te=ki=a=pa=ʁa=dɔk=sa=lə=mɑ̃=de=by=te=ɑ̃nafʁikə 41
sə=kɔ̃=ti=ne=abʁitə=dε=bazə=mi=li=tε=ʁə=kɔ=lɔ=nja=lə=ze=ne=ɡʁɔ=fɔ=bə=dəp=ɥi=dε=sjεklə 24
sε=te=ʁə=sɔ̃=su=lə=kɔ̃=tʁo=lə=dε=pɥi=sɑ̃=sə=zɔk=si=dɑ̃=ta=lə=dəp=ɥi=dε=sj=ε=klə 24
lε=di=ʁi=ʒɑ̃=za=fʁi=kɛ̃=ly=te=puʁ=la=ɡlwaʁə=dε=kɔ=lɔ̃=ze=tʁɑ̃=ʒe=dəp=ɥi=lε=psø=do=zɛ̃=de=pɑ̃dɑ̃sə=də=lœʁ=ʁe=zεʁ=vwaʁ=də=ma=tjε=ʁə=pʁə=mjεʁə 37
puʁ=lε=sy=pʁe=ma=sistə=zɛ̃=pe=ʁja=lis=tə=lε=za=fʁi=kɛ̃=sɔ̃=dε=pa=ʁa=zi=tə=zɛ̃=de=ziʁablə 24
œ̃=tʁu=po=də=sa=lə=nε=ɡʁə=so=va=ʒə 11
də=vyl=ɡε=ʁə=zɔ=ky=pɑ̃=za=e=li=mi=ne=də=lœ=ʁə=pʁɔ=pʁə=e=ko=zis=tε=mə 22
lε=pε=i=za=fʁi=kɛ̃=sɔ̃dεkɑ̃də=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=su=mi=zo=vɑ̃=da=lis=mə=dy=ne=ɔ=kɔ=lɔ=njalismə 24
la=ti=ʁa=ni=kse=nɔfɔbə=dy=ka=pi=ta=lis=məe=fasə=lε=ko=ʃə=maʁ=də=sε=ʒə=nə=ki=ʁε=ve=də=fɥ=iʁ=la=mi=zε=ʁə=ɡʁa=səa=la=pe=ni=tɑ̃=sə=də=li=mi=ɡʁa=sjɔ̃=klɑ̃dεstinə 44
lə=sa=a=ʁa=e=la=me=di=te=ʁa=ne=sɔ̃=dε=te=mwɛ̃=zɔkylεʁə=spεk=ta=tœʁ=də=la=de=zɔ=la=sjɔ̃=də=tus=sε=mi=ɡʁɑ̃=ki=se=tε=ɲe=su=lœʁ=ziø=zɛ̃p=ɥi=sɑ̃ 40
la=nɔs=tal=ʒi=də=lɑ̃=pi=ʁə=a=my=ti=le=la=və=niʁ=də=sε=tə=ʒə=nε=sə=a=lje=ne 24
lœʁ=zɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=mi=li=tε=ʁə=zɔ̃=dε=de=nɔ=mi=na=sjɔ̃=də=pʁe=da=sjɔ̃=a=ɡʁe=si=və 24
lafʁɔtismə=dwa=ʁɑ̃=pla=se=lə=pa=na=fʁi=ka=nis=mə=ki=a=lɔ̃=tɑ̃=ze=te=pa=ʁε=ne=paʁ=œ̃=tʁu=po=də=ne=ɡʁje=ne=ɡʁɔ=i=də=zε=nə=mi=də=lœʁ=zɔʁiʒinə 38
la=de=ʃe=ɑ̃=sə=pa=na=fʁi=kε=nə=a=lyʁ=ʒɑ̃=sə=dε=pʁe=sj=ɔ̃=ka=pi=ta=lis=tə 23
lε=nε=ɡʁə=dɔ=mεs=tik=sɔ̃=tɑ̃=sεʁ=vi=sə=dəp=ɥi=lε=pʁə=mj=ε=ʁə=tʁak=dεs=kla=və=nwaʁ 23
ɑ̃=na=fʁikə=lə=na=zis=mə=mɔ=ne=tε=ʁəa=dε=bo=ʒuʁ=kaʁ=a=dɔlf=i=tle=nε=tu=ʒuʁ=pa=mɔʁ 24
la=pa=tʁi=dε=ly=mj=ε=ʁə=zεs=kla=va=ʒis=tə=pi=jə=sε=ʁi=ʃe=sə=sɑ̃=ʁə=mɔʁd 22
lεnεɡʁə=vik=ti=mεʁə=dik=ta=tœʁ=fi=ni=se=a=la=kuʁ=pe=na=ləɛ̃=tεʁ=na=sjɔ=na=lə=puʁ=dε=kʁi=mə=kɔ̃=tʁə=ly=ma=ni=te=kɔ=mi=paʁ=lε=fɔʁ=sə=kɔ=lɔ=nja=lə=syʁ=lœʁ=te=ʁi=twaʁə 46
lε=ne=ɡʁɔ=idə=sεʁ=vi=lə=da=fʁi=kə=syb=sa=a=ʁjε=nə=sɔ̃=til=ʁe=εl=lmɑ̃=dε=zε=tʁəy=mɛ̃ 24
kɔ=mɑ̃=fɔ̃=til=puʁ=ak=sεp=te=lasovaʒə=ʁi=si=vi=li=za=sjɔ=nεllə=də=lɔk=si=dɑ̃=dɑ̃=lə=bεʁ=so=də=ly=ma=ni=te 29
kɔ=mɑ̃=fɔ̃=til=puʁsə=pʁɔs=tεʁ=ne=də=vɑ̃=ʒe=zys=kʁist=lə=fis=zi=ma=ʒi=nεʁə=də=lœʁ=ɛ̃=vɑ̃=sjɔ̃divinə 24
kɔ=mɑ̃=fɔ̃=til=puʁsə=su=mε=tʁəo=dɔɡ=məεs=kla=vaʒistə=də=ma=ɔ=mε=lə=pe=dɔ=fi=lə=kɔ̃=ke=ʁɑ̃ 24
lε=tʁa=di=sjɔ̃=ze=lε=ʁit=ɥεl=spi=ʁit=ɥεl=za=fʁikɛ̃sɔ̃də=və=nys=dja=bɔ=lik=puʁ=tus=sε=kʁe=tjɛ̃=ze=my=zyl=mɑ̃=za=la=po=me=la=ni=ne 34
tu=ʒuʁ=pa=su=mi=zo=va=ti=kɑ̃=ni=a=la=mεk 13
mε=ʒə=nu=ʁə=bεl=lə=nə=fle=ʃi=ʁɔ̃=ʒa=mε=də=vɑ̃=ʒe=ɔ=va=e=a=la 20
sε=di=vi=ni=te=ʃi=me=ʁik=ze=tε=u=pɑ̃=dɑ̃lεtʁεtə=ne=ɡʁjε=ʁə=ki=ɔ̃=de=zy=ma=ni=ze=ma=ku=lœʁ 26
lε=zo=tεl=dε=kyl=tə=ʁə=li=ʒjøkimə=ʁa=pʁo=ʃe=də=la=fɔʁ=səy=ni=vεʁsεllə=sɔ̃=tɛ̃s=ta=le=dɑ̃=lε=tʁe=fɔ̃=dε=fɔ=ʁε=zafʁikεnə 30
Historique des Modifications
18/08/2021 16:45
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Récompense
Poesie sans commentaire
23/04/2024Poeme-France
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Poème Conviction
Du 18/08/2021 16:31
L'écrit contient 530 mots qui sont répartis dans 1 strophes.