Texte:Athéna, Est-Elle Éternelle
Le Texte
Toi, l’ange perdu, jolie bichette
D’Oran et de Marseille la belle
Chaude et caresses tempêtes
Épargne-moi les cicatrices, ô ciel
Et Athéna, est-elle éternelle ?
Dysharmonie, sera t-elle passagère ?
Dans ce ballet de black-out du désert
Où se jouent les regards qui se toisent,
Sphinx de nos étreintes en ombres chinoises
Entre engourdis
Esprit dégourdi,
Frissons d’hiver,
Au cœur d’enfer
Le black-out nous semble promis
Épargne-moi les cicatrices, leur appel
Trop de pulsion---Et Athéna, est-elle éternelle ?
Cupidon, lui, est le beau joueur sensuel
Douceur d’un regard, obscurément subtil,
Sphinx des étreintes, fantôme fragile.
Dans ce givre figé, l’éclat s’envole,
L’aube embrase mon cœur qui s’affole.
Les étoiles étaient divines et éclatées
Épargne-moi les cicatrices, cet appel
Alors, est-ce qu’Athéna est éternelle ?
Mais de l’ivoire figé en clair-obscur,
Ton regard murmure des éclats d’azur,
Souffle d’or, mystère qu’est en sursis
L’aube incendie mon cœur et défie la nuit,
Les étoiles se fendent… renaît l’infini.
Épargne-moi les cicatrices, cet appel
Mais tu vas trop loin pour mon cœur caramel
J’ai fermé la porte de notre chant à ritournelle.
Athéna, dans l’art est armée, est-elle éternelle ?
D’Oran et de Marseille la belle
Chaude et caresses tempêtes
Épargne-moi les cicatrices, ô ciel
Et Athéna, est-elle éternelle ?
Dysharmonie, sera t-elle passagère ?
Dans ce ballet de black-out du désert
Où se jouent les regards qui se toisent,
Sphinx de nos étreintes en ombres chinoises
Entre engourdis
Esprit dégourdi,
Frissons d’hiver,
Au cœur d’enfer
Le black-out nous semble promis
Épargne-moi les cicatrices, leur appel
Trop de pulsion---Et Athéna, est-elle éternelle ?
Cupidon, lui, est le beau joueur sensuel
Douceur d’un regard, obscurément subtil,
Sphinx des étreintes, fantôme fragile.
Dans ce givre figé, l’éclat s’envole,
L’aube embrase mon cœur qui s’affole.
Les étoiles étaient divines et éclatées
Épargne-moi les cicatrices, cet appel
Alors, est-ce qu’Athéna est éternelle ?
Mais de l’ivoire figé en clair-obscur,
Ton regard murmure des éclats d’azur,
Souffle d’or, mystère qu’est en sursis
L’aube incendie mon cœur et défie la nuit,
Les étoiles se fendent… renaît l’infini.
Épargne-moi les cicatrices, cet appel
Mais tu vas trop loin pour mon cœur caramel
J’ai fermé la porte de notre chant à ritournelle.
Athéna, dans l’art est armée, est-elle éternelle ?
Écrivain Patkadéka
Patkadéka a publié sur le site 38 écrits. Patkadéka est membre du site depuis l'année 2025.Lire le profil de l'auteur poète PatkadékaSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Athéna, Est-Elle Éternelle
twa, lɑ̃ʒə pεʁdy, ʒɔli biʃεtədɔʁɑ̃ e də maʁsεjə la bεllə
ʃodə e kaʁesə tɑ̃pεtə
epaʁɲə mwa lε sikatʁisə, o sjεl
e atena, εt- εllə etεʁnεllə ?
diʃaʁmɔni, səʁa te εllə pasaʒεʁə ?
dɑ̃ sə balε də blak u dy dezεʁ
u sə ʒue lε ʁəɡaʁd ki sə twaze,
sfɛ̃ks də noz- etʁɛ̃təz- ɑ̃n- ɔ̃bʁə- ʃinwazə
ɑ̃tʁə ɑ̃ɡuʁdi
εspʁi deɡuʁdi,
fʁisɔ̃ divεʁ,
o kœʁ dɑ̃fe
lə blak u nu sɑ̃blə pʁɔmi
epaʁɲə mwa lε sikatʁisə, lœʁ apεl
tʁo də pylsjɔ̃ e atena, εt- εllə etεʁnεllə ?
kypidɔ̃, lɥi, ε lə bo ʒuœʁ sɑ̃sɥεl
dusœʁ dœ̃ ʁəɡaʁ, ɔpskyʁemɑ̃ sybtil,
sfɛ̃ks dεz- etʁɛ̃tə, fɑ̃tomə fʁaʒilə.
dɑ̃ sə ʒivʁə fiʒe, lekla sɑ̃vɔlə,
lobə ɑ̃bʁazə mɔ̃ kœʁ ki safɔlə.
lεz- etwaləz- etε divinəz- e eklate
epaʁɲə mwa lε sikatʁisə, sεt apεl
alɔʁ, ε sə katena εt- etεʁnεllə ?
mε də livwaʁə fiʒe ɑ̃ klεʁ ɔpskyʁ,
tɔ̃ ʁəɡaʁ myʁmyʁə dεz- ekla dazyʁ,
suflə dɔʁ, mistεʁə kεt- ɑ̃ syʁsi
lobə ɛ̃sɑ̃di mɔ̃ kœʁ e defi la nɥi,
lεz- etwalə sə fɑ̃de… ʁənε lɛ̃fini.
epaʁɲə mwa lε sikatʁisə, sεt apεl
mε ty va tʁo lwɛ̃ puʁ mɔ̃ kœʁ kaʁamεl
ʒε fεʁme la pɔʁtə də nɔtʁə ʃɑ̃ a ʁituʁnεllə.
atena, dɑ̃ laʁ εt- aʁme, εt- εllə etεʁnεllə ?
Récompense
Commentaire Sur La Poesie

02/12/2025 11:38Printemps
Vraiment, seul l’art immortalise ! Quel beau poème !
Texte Amour
Du 02/12/2025 09:13
L'écrit contient 213 mots qui sont répartis dans 4 strophes.