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Poème:Pourquoi Les Hommes Sont-Ils Violents ?

Le Poème

Peut-être parce que l’avenir est incertain, et que le système lui-même est violent.
Or, tout avenir est à venir donc incertain. Et tout système est violent, car il impose à tous la même chose, et donc fait bien fi des individus, au sens de personnalités ; ce qui est reçu souvent comme une injustice, un irrespect et une intolérance quant à la vraie vie, qui est celles des individus.
L’identité devient une nécessité accrue et une valeur porteuse de rébellion. Il ne faut pas confondre personnalité et identité. Qui dit identité dit « personnalité identique » avec d’autres identités. Or, qui dit personnalité, ne dit pas forcément identité identique avec d’autres personnalités, mais bel et bien entité en soi différente, cohabitant avec d’autres.
Le fait que beaucoup de choses soient des freins et des injures à la personnalité, contribue à davantage de recherche d’identités : c’est ce qu’on appelle le communautarisme. Et le communautarisme n’est pas forcément qu’une affaire de moeurs, ou que quelque chose de visible ; il commence dans le cerveau, et il devient constitutif, là où l’individu devrait faire place davantage à sa personnalité, c’est à dire à son caractère, sa spontanéité, sa souplesse et largesse d’esprit, sa créativité, son imagination, son humour, afin d’être « vraiment quelqu’un ».
Les egos sont frustrés, bloqués, privés de fluidité. La violence devient légitime et source d’inspiration. Le système « triomphe » ; les gens sont ravis, servis et asservis. La fuite des cerveaux vient de commencer ; l’homme du troisième type est pour bientôt.
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Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Pourquoi Les Hommes Sont-Ils Violents ?peut=tê=tre=par=ce=que=la=ve=nir=est=in=cer=tain=et=que=le=sys=tè=me=lui=mê=me=est=violent 24
or=tout=ave=nir=est=à=ve=nir=donc=in=cer=tain=et=tout=sys=tè=meest=vio=lent=car=il=im=po=se=à=tous=la=mê=me=cho=se=et=donc=fait=bien=fi=des=in=di=vi=dus=au=sens=de=per=son=na=li=tés=ce=qui=est=re=çu=sou=vent=com=me=u=ne=in=jus=ti=ce=un=ir=res=pect=et=u=ne=in=to=lé=ran=ce=quant=à=la=vraie=vie=qui=est=cel=les=des=in=di=vi=dus 90
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Phonétique : Pourquoi Les Hommes Sont-Ils Violents ?pø tεtʁə paʁsə kə lavəniʁ εt- ɛ̃sεʁtɛ̃, e kə lə sistεmə lɥi mεmə ε vjɔle.
ɔʁ, tut- avəniʁ εt- a vəniʁ dɔ̃k ɛ̃sεʁtɛ̃. e tu sistεmə ε vjɔle, kaʁ il ɛ̃pozə a tus la mεmə ʃozə, e dɔ̃k fε bjɛ̃ fi dεz- ɛ̃dividys, o sɑ̃s də pεʁsɔnalite, sə ki ε ʁəsy suvɑ̃ kɔmə ynə ɛ̃ʒystisə, œ̃n- iʁεspε e ynə ɛ̃tɔleʁɑ̃sə kɑ̃ a la vʁε vi, ki ε sεllə dεz- ɛ̃dividys.
lidɑ̃tite dəvjɛ̃ ynə nesesite akʁy e ynə valœʁ pɔʁtøzə də ʁebεlljɔ̃. il nə fo pa kɔ̃fɔ̃dʁə pεʁsɔnalite e idɑ̃tite. ki di idɑ̃tite dit « pεʁsɔnalite idɑ̃tikə » avεk dotʁəz- idɑ̃tite. ɔʁ, ki di pεʁsɔnalite, nə di pa fɔʁsemɑ̃ idɑ̃tite idɑ̃tikə avεk dotʁə- pεʁsɔnalite, mε bεl e bjɛ̃ ɑ̃tite ɑ̃ swa difeʁɑ̃tə, kɔabitɑ̃ avεk dotʁə.
lə fε kə boku də ʃozə swae dε fʁɛ̃z- e dεz- ɛ̃ʒyʁəz- a la pεʁsɔnalite, kɔ̃tʁibɥ a davɑ̃taʒə də ʁəʃεʁʃə didɑ̃tite : sε sə kɔ̃n- apεllə lə kɔmynotaʁismə. e lə kɔmynotaʁismə nε pa fɔʁsemɑ̃ kynə afεʁə də mœʁ, u kə kεlkə ʃozə də viziblə, il kɔmɑ̃sə dɑ̃ lə sεʁvo, e il dəvjɛ̃ kɔ̃stitytif, la u lɛ̃dividy dəvʁε fεʁə plasə davɑ̃taʒə a sa pεʁsɔnalite, sεt- a diʁə a sɔ̃ kaʁaktεʁə, sa spɔ̃taneite, sa suplεsə e laʁʒεsə dεspʁi, sa kʁeativite, sɔ̃n- imaʒinasjɔ̃, sɔ̃n- ymuʁ, afɛ̃ dεtʁə « vʁεmɑ̃ kεlkyn ».
lεz- əɡo sɔ̃ fʁystʁe, blɔke, pʁive də flɥidite. la vjɔlɑ̃sə dəvjɛ̃ leʒitimə e suʁsə dɛ̃spiʁasjɔ̃. lə sistεmə « tʁjɔ̃fə », lε ʒɑ̃ sɔ̃ ʁavi, sεʁviz- e asεʁvi. la fɥitə dε sεʁvo vjɛ̃ də kɔmɑ̃se, lɔmə dy tʁwazjεmə tipə ε puʁ bjɛ̃to.
Syllabes Phonétique : Pourquoi Les Hommes Sont-Ils Violents ?pø=tε=tʁə=paʁ=sə=kə=la=və=niʁ=ε=tɛ̃=sεʁ=tɛ̃=e=kə=lə=sis=tε=mə=lɥi=mε=mə=ε=vj=ɔ=le 26
ɔʁ=tu=tavə=niʁ=ε=ta=və=niʁ=dɔ̃k=ɛ̃=sεʁ=tɛ̃=e=tu=sis=tε=məε=vjɔ=le=kaʁ=il=ɛ̃=po=zə=a=tus=la=mε=mə=ʃo=zə=e=dɔ̃k=fε=bjɛ̃=fi=dε=zɛ̃=di=vi=dys=o=sɑ̃s=də=pεʁ=sɔ=na=li=te=sə=ki=ε=ʁə=sy=su=vɑ̃=kɔ=mə=y=nə=ɛ̃=ʒys=ti=sə=œ̃=ni=ʁεs=pε=e=y=nə=ɛ̃=tɔ=le=ʁɑ̃=sə=kɑ̃=a=la=vʁε=vi=ki=ε=sεllə=dε=zɛ̃=di=vi=dys 89
li=dɑ̃=ti=te=də=vjɛ̃=ynə=ne=se=si=te=a=kʁy=e=y=nə=va=lœʁ=pɔʁ=tø=zə=də=ʁe=bεl=ljɔ̃=il=nə=fo=pa=kɔ̃=fɔ̃=dʁə=pεʁ=sɔ=na=li=te=e=i=dɑ̃=ti=te=ki=di=i=dɑ̃=ti=te=dit=pεʁ=sɔ=na=li=te=i=dɑ̃=ti=kə=a=vεk=do=tʁə=zi=dɑ̃=ti=te=ɔʁ=ki=di=pεʁ=sɔ=na=li=te=nə=di=pa=fɔʁ=se=mɑ̃=i=dɑ̃=ti=te=i=dɑ̃=ti=kəa=vεk=do=tʁə=pεʁ=sɔ=na=li=te=mε=bεl=e=bjɛ̃=ɑ̃=ti=te=ɑ̃=swa=di=fe=ʁɑ̃=tə=kɔ=a=bi=tɑ̃=a=vεk=dotʁə 116
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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
14/09/2012 16:07Pendantce

Il s’agit de violence.
L’amour est violent.
L’amour est un mortier impulsif dépassant l’idée et le fait même d’hommes.
L’amour est naturel et concerne aussi les pierres, les insectes, les flaques et les arbres ...
L’amour est inhérent à tout, et existe déjà.
L’amour est ordinaire.
L’amour est quotidien,
partout, n’importe où, n’importe quand.
L’amour n’est pas la solution ; c’est ce qui existe partout, tout le temps, avec tout et tous.
Nous avons coutume de glorifier l’amour car nous ne savons pas ce que c’est.
Et c’est d’ailleurs parce que nous ne savons pas ce que c’est, que nous en sommes attirés.
L’homme est souvent attiré par ce qu’il ne connaît pas.
Beaucoup à ce sujet sont encore arrêtés à la Belle au Bois dormant.
Parce qu’ils ont peur de réellement connaître l’amour.
Dans ce cas là, l’homme est attiré par ce qu’il ne peut que vouloir, attiré par la facilité sentimentale.
Souvent l’homme cherche la solution dans ce qui lui est impossible de faire.
Or, est-il possible pour l’homme d’aimer plusse que nature ?
Oui puisque non.
Idée qui justifie alors qu’il y ait des choses à faire,
mais idée qui lui permet aussi de toujours se trouver des excuses à ses échecs ou difficultés.
Du coup l’homme stagne dans la mauvaise foi et l’hypocrisie
C’est pourquoi la plupart des histoires d’amour sont à chier.
L’homme cherche à aimer, et à résoudre son existence en aimant,
mais en vérité il ne sait et ne peut pas aimer plusse que le naturel se propose à lui.
Il n’y a pas de solution, mais l’homme n’arrivera jamais à se l’avouer.
Avec l’amour comme solution ; on reste dans l’illusion et la bêtise.
Car l’homme aime naturellement, ou n’aime pas ; ce qui reste de l’amour.
La question n’est pas celle de l’amour.
L’amour n’est pas à remettre en cause.
La question est celle de la Vie, et du malheur bienheureux comme du bonheur malheureux.

...

" J’aime parce qu’on me tue ; Je tue parce qu’on m’aime "

Auteur de Poésie
14/09/2012 19:14Pendantce

Je pense que beaucoup d’idées là sont des lieux communs, et ne sont pas assez profondes pour moi
D’autre part je pense que tu n’a pas compris ce que j’ai écrit
Ce n’est pas grave

Poème - Sans Thème -
Du 14/09/2012 15:40

L'écrit contient 263 mots qui sont répartis dans 1 strophes.