Poème:Queue

Sans Le savoir, j’ai semé la haine
Autour de moi comme à l’intérieur de moi-m’aime
La haine, la haine… peut-être pas
M’est la crainte et le désintéressement, sure mentirais-je
A moi m’aime ? Aile, qui ne m’aime pas autant que l’ILlusion
Fait allusion au Temps qui passe certes hainement en moi même
Je suis toujours pareil, je ne change pas
Je m’apitoie sous un châpiteau, Ô château d’eau
Ah Sheitan sans en faire ! Je suis pauvre, moche et idiot
Je suis un château d’Oh, une tour d’y voir sans yeux !
Un joli chapeau ! Un chignon teigneux !
Et je cours, le bras devant sans le vent, sang savoir m’aimer
Sang qui rigole jaune, connement, puis vert, puis turquoise
Puis bleu, puis violet, puis rouge ! Ah comme je m’ignore !
La passion me dévore, mais sais-tune banane
La raison me sublime, mais s’éteint raisin
Et jusque dans la prunelle de mes oeufs,
Je ne vois queue