Poème:La Mort

Le jour où ma femme est morte
Je vécu ces instant sans elle très péniblement
Toutes mes pensées n’allaient que vers elle
La Belle était morte il fallait l’accepter

Tous les jours, je déposais des fleurs
Sur sa tombe et je lui écrivait des mots,
Des lettres enflammées qu’elle ne lira jamais.
Je mettais ces mots dans une bouteille en verre bleue

Celle-ci je la jetais droit dans l’océan
Elle se confondait ainsi
Avec le bleue turquoise de la mer
Et le papier avec l’écume des vagues

Des vagues qui reviennent toujours sur le sable
Comme moi je reviens toujours sur le passé
Pour me rappeller nos souvenirs
Ceux que je partageais avec une femme exeptionnelle

La mer n’était rien d’autre pour moi
Que les milliers de larmes que je versais
En pensant à elle, ma bien aimée
La retrouverai-je un jour ?

Nos chemins avaient toujours suivis la meme destinée
Celui de la vie et bientot celui de la mort
J’allais désormais la rejoindre
J’étais assez haut pour voir l’horizon

Le coucher de soleil était couleur pastel
Ces rayons là, je les ai perçu avec le cœur
Un appel de ma femme qui m’invitaient à la rejoindre
Le soleil se coucha et je m’en allai avec lui.