Texte : Aux Premières Lueurs.
A Propos
Un modeste poème sur la vie.
Aux Premières Lueurs.
Que c’est beau la vie ;
un chant d’oiseaux matinal,
dans un ciel d’opale,
nous aimer à la folie.
Réaliser tous nos désirs,
et puis, un jour, il faudra mourir.
Alors, autant s’aimer tant qu’on vit,
s’aimer à la folie.
Vivre en osmose,
partager tant de choses ;
l’amour de la Poésie,
contempler les étoiles infinies.
Un jour il faudra mourir,
un jour il faudra partir,
vers un monde meilleur,
un monde rempli de fleurs.
Un monde merveilleux,
comme ce ciel bleu,
où volent les oiseaux chanteurs,
aux premières lueurs.
un chant d’oiseaux matinal,
dans un ciel d’opale,
nous aimer à la folie.
Réaliser tous nos désirs,
et puis, un jour, il faudra mourir.
Alors, autant s’aimer tant qu’on vit,
s’aimer à la folie.
Vivre en osmose,
partager tant de choses ;
l’amour de la Poésie,
contempler les étoiles infinies.
Un jour il faudra mourir,
un jour il faudra partir,
vers un monde meilleur,
un monde rempli de fleurs.
Un monde merveilleux,
comme ce ciel bleu,
où volent les oiseaux chanteurs,
aux premières lueurs.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
kə sε bo la vi,
œ̃ ʃɑ̃ dwazo matinal,
dɑ̃z- œ̃ sjεl dɔpalə,
nuz- εme a la fɔli.
ʁealize tus no deziʁ,
e pɥi, œ̃ ʒuʁ, il fodʁa muʁiʁ.
alɔʁ, otɑ̃ sεme tɑ̃ kɔ̃ vit,
sεme a la fɔli.
vivʁə ɑ̃n- ɔsmozə,
paʁtaʒe tɑ̃ də ʃozə,
lamuʁ də la pɔezi,
kɔ̃tɑ̃ple lεz- etwaləz- ɛ̃fini.
œ̃ ʒuʁ il fodʁa muʁiʁ,
œ̃ ʒuʁ il fodʁa paʁtiʁ,
vεʁz- œ̃ mɔ̃də mεjœʁ,
œ̃ mɔ̃də ʁɑ̃pli də flœʁ.
œ̃ mɔ̃də mεʁvεjø,
kɔmə sə sjεl blø,
u vɔle lεz- wazo ʃɑ̃tœʁ,
o pʁəmjεʁə lɥœʁ.
œ̃ ʃɑ̃ dwazo matinal,
dɑ̃z- œ̃ sjεl dɔpalə,
nuz- εme a la fɔli.
ʁealize tus no deziʁ,
e pɥi, œ̃ ʒuʁ, il fodʁa muʁiʁ.
alɔʁ, otɑ̃ sεme tɑ̃ kɔ̃ vit,
sεme a la fɔli.
vivʁə ɑ̃n- ɔsmozə,
paʁtaʒe tɑ̃ də ʃozə,
lamuʁ də la pɔezi,
kɔ̃tɑ̃ple lεz- etwaləz- ɛ̃fini.
œ̃ ʒuʁ il fodʁa muʁiʁ,
œ̃ ʒuʁ il fodʁa paʁtiʁ,
vεʁz- œ̃ mɔ̃də mεjœʁ,
œ̃ mɔ̃də ʁɑ̃pli də flœʁ.
œ̃ mɔ̃də mεʁvεjø,
kɔmə sə sjεl blø,
u vɔle lεz- wazo ʃɑ̃tœʁ,
o pʁəmjεʁə lɥœʁ.