Poème:Le Patriarche De La Joie De Vivre
Le Poème
Au printemps, ce philosophe de la joie arrivé au monde.
Cet homme honnête plein de beaux souvenirs,
Passionné par sa ville natale que la nature défendre,
Avec ses plages d’eau douce et les chants de la pluie !
Là, il a vécu avec la ferveur d’un guerrier immortel ;
Dédié à votre noble mission de père et citoyen.
Quelqu’un qu’aimait la danse, la musique et les parfums,
Mais aussi a souffert la perte de son amour éternel.
Il était le matin d’été quand le messager divin a annoncé
Qu’il y aurait un ciel plus bleu pour orner son oratoire,
Où son corps se reposerait, complètement sans douleur
Sous les regards indiscrets de milliards d’étoiles…
Tout à coup, il a été pris sous les accords des divins chants,
Suit il voie dans les bras tendres d’anges lumineux.
Ce patriarche a fait le dernier voyage, serein et sans plaintes,
En reniant la souffrance avec sa philosophie d’être heureux.
Il est revenu à votre passé jusqu’au moment dernier,
Là, où jadis était son nid familial, l’ancienne maison ;
Point de rencontre des poètes et des bohèmes du quartier
Qu’aux années 60 était l’épicerie « La maison Thompson. »
Fermé à la fin des années 70 et rénové plus tard.
Ce recoin familier où il a vécu ses meilleurs jours,
Du côté vos enfants aimés, jusqu’au départ,
Quand sa vie a s’est effacée, la tristesse la partout !
« Patriarche de la joie de vivre » pas de souffrance !
Les fleurs de ses enseignements fleurissent encore,
Dans souvenirs des moments joyeux et sonores,
Même s’ils soient déjà affaiblis par son absence.
Dans nos réminiscences, au soleil couchant.
Il restera sur la scène de la vie et de la liberté,
Dans les nuits au clair de lune, et sur la mer au matin.
Donc ce béni sera le plus adoré, pour l’éternité !
Cet homme honnête plein de beaux souvenirs,
Passionné par sa ville natale que la nature défendre,
Avec ses plages d’eau douce et les chants de la pluie !
Là, il a vécu avec la ferveur d’un guerrier immortel ;
Dédié à votre noble mission de père et citoyen.
Quelqu’un qu’aimait la danse, la musique et les parfums,
Mais aussi a souffert la perte de son amour éternel.
Il était le matin d’été quand le messager divin a annoncé
Qu’il y aurait un ciel plus bleu pour orner son oratoire,
Où son corps se reposerait, complètement sans douleur
Sous les regards indiscrets de milliards d’étoiles…
Tout à coup, il a été pris sous les accords des divins chants,
Suit il voie dans les bras tendres d’anges lumineux.
Ce patriarche a fait le dernier voyage, serein et sans plaintes,
En reniant la souffrance avec sa philosophie d’être heureux.
Il est revenu à votre passé jusqu’au moment dernier,
Là, où jadis était son nid familial, l’ancienne maison ;
Point de rencontre des poètes et des bohèmes du quartier
Qu’aux années 60 était l’épicerie « La maison Thompson. »
Fermé à la fin des années 70 et rénové plus tard.
Ce recoin familier où il a vécu ses meilleurs jours,
Du côté vos enfants aimés, jusqu’au départ,
Quand sa vie a s’est effacée, la tristesse la partout !
« Patriarche de la joie de vivre » pas de souffrance !
Les fleurs de ses enseignements fleurissent encore,
Dans souvenirs des moments joyeux et sonores,
Même s’ils soient déjà affaiblis par son absence.
Dans nos réminiscences, au soleil couchant.
Il restera sur la scène de la vie et de la liberté,
Dans les nuits au clair de lune, et sur la mer au matin.
Donc ce béni sera le plus adoré, pour l’éternité !
PostScriptum
Dédié à mon père qui a été enlevé par le messager divin le 7 juillet 2012.
Poète Printemps
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Syllabes Hyphénique: Le Patriarche De La Joie De Vivre
au=prin=temps=ce=phi=lo=so=phe=de=la=joie=ar=ri=vé=au=monde 16cet=hom=me=hon=nê=te=plein=de=beaux=sou=ve=nirs 12
pas=sion=né=par=sa=vil=le=na=tale=que=la=na=tu=re=dé=fendre 16
a=vec=ses=pla=ges=deau=dou=ce=et=les=chants=de=la=pluie 14
là=il=a=vé=cu=a=vec=la=fer=veur=dun=guer=rier=im=mor=tel 16
dé=di=é=à=vo=tre=no=ble=mis=sion=de=pè=re=et=ci=toyen 16
quel=quun=quai=mait=la=dan=se=la=mu=si=que=et=les=par=fum=s 16
mais=aus=si=a=souf=fert=la=per=te=de=son=a=mour=é=ter=nel 16
il=é=tait=le=ma=tin=dé=té=quand=le=mes=sa=ger=di=vin=a=an=non=cé 19
quil=y=au=rait=un=ciel=plus=bleu=pour=or=ner=son=o=ra=toi=re 16
où=son=corps=se=re=po=se=rait=com=plè=te=ment=sans=dou=leur 15
sous=les=re=gards=in=dis=crets=de=mil=liards=dé=toi=les 13
tout=à=coup=il=a=é=té=pris=sous=les=ac=cords=des=di=vins=chants 16
suit=il=voie=dans=les=bras=ten=dres=dan=ges=lu=mi=neux 13
ce=pa=triar=che=a=fait=le=der=nier=voy=age=se=rein=et=sans=plaintes 16
en=re=niant=la=souf=francea=vec=sa=phi=lo=so=phie=dê=tre=heu=reux 16
il=est=re=ve=nu=à=vo=tre=pas=sé=jus=quau=mo=ment=der=nier 16
là=où=ja=dis=é=tait=son=nid=fa=mi=lial=lan=cien=ne=mai=son 16
point=de=ren=contre=des=po=è=tes=et=des=bo=hè=mes=du=quar=tier 16
quaux=an=nées=soixan=te=é=tait=lé=pi=ce=rie=la=mai=son=thomp=son 16
fer=mé=à=la=fin=des=an=nées=soixante=dix=et=ré=no=vé=plus=tard 16
ce=re=coin=fa=mi=li=er=où=il=a=vé=cu=ses=meil=leurs=jours 16
du=cô=té=vos=en=fants=ai=més=jus=quau=dé=part 12
quand=sa=vie=a=sest=ef=fa=cée=la=tris=tes=se=la=par=tout 15
pa=triar=che=de=la=joie=de=vi=vre=pas=de=souf=fran=ce 15
les=fleurs=de=ses=en=sei=gne=ments=fleu=ris=sent=en=co=re 14
dans=sou=ve=nirs=des=mo=ments=joy=eux=et=so=no=res 13
mê=me=sils=soient=dé=jà=af=fai=blis=par=son=ab=sen=ce 14
dans=nos=ré=mi=nis=cen=ces=au=so=leil=cou=chant 12
il=res=te=ra=sur=la=s=cène=de=la=vieet=de=la=li=ber=té 16
dans=les=nuits=au=clair=de=lu=ne=et=sur=la=mer=au=ma=tin 15
donc=ce=bé=ni=se=ra=le=plus=a=do=ré=pour=lé=ter=ni=té 16
Phonétique : Le Patriarche De La Joie De Vivre
o pʁɛ̃tɑ̃, sə filozɔfə də la ʒwa aʁive o mɔ̃də.sεt ɔmə ɔnεtə plɛ̃ də bo suvəniʁ,
pasjɔne paʁ sa vilə natalə kə la natyʁə defɑ̃dʁə,
avεk sε plaʒə do dusə e lε ʃɑ̃ də la plɥi !
la, il a veky avεk la fεʁvœʁ dœ̃ ɡeʁje imɔʁtεl,
dedje a vɔtʁə nɔblə misjɔ̃ də pεʁə e sitwajɛ̃.
kεlkœ̃ kεmε la dɑ̃sə, la myzikə e lε paʁfœ̃,
mεz- osi a sufεʁ la pεʁtə də sɔ̃n- amuʁ etεʁnεl.
il etε lə matɛ̃ dete kɑ̃ lə mesaʒe divɛ̃ a anɔ̃se
kil i oʁε œ̃ sjεl plys blø puʁ ɔʁne sɔ̃n- ɔʁatwaʁə,
u sɔ̃ kɔʁ sə ʁəpozəʁε, kɔ̃plεtəmɑ̃ sɑ̃ dulœʁ
su lε ʁəɡaʁdz- ɛ̃diskʁε də miljaʁd detwalə…
tut- a ku, il a ete pʁi su lεz- akɔʁd dε divɛ̃ ʃɑ̃,
sɥi il vwa dɑ̃ lε bʁa tɑ̃dʁə- dɑ̃ʒə lyminø.
sə patʁjaʁʃə a fε lə dεʁnje vwajaʒə, səʁɛ̃ e sɑ̃ plɛ̃tə,
ɑ̃ ʁənjɑ̃ la sufʁɑ̃sə avεk sa filozɔfi dεtʁə œʁø.
il ε ʁəvəny a vɔtʁə pase ʒysko mɔmɑ̃ dεʁnje,
la, u ʒadiz- etε sɔ̃ nid familjal, lɑ̃sjεnə mεzɔ̃,
pwɛ̃ də ʁɑ̃kɔ̃tʁə dε pɔεtəz- e dε bɔεmə dy kaʁtje
koz- ane swasɑ̃tə etε lepisəʁjə « la mεzɔ̃ tɔ̃psɔ̃. »
fεʁme a la fɛ̃ dεz- ane swasɑ̃tə diz- e ʁenɔve plys taʁ.
sə ʁəkwɛ̃ familje u il a veky sε mεjœʁ ʒuʁ,
dy kote voz- ɑ̃fɑ̃z- εme, ʒysko depaʁ,
kɑ̃ sa vi a sεt- efase, la tʁistεsə la paʁtu !
« patʁjaʁʃə də la ʒwa də vivʁə » pas də sufʁɑ̃sə !
lε flœʁ də sεz- ɑ̃sεɲəmɑ̃ fləʁise ɑ̃kɔʁə,
dɑ̃ suvəniʁ dε mɔmɑ̃ ʒwajøz- e sonoʁə,
mεmə sil swae deʒa afεbli paʁ sɔ̃n- absɑ̃sə.
dɑ̃ no ʁeminisɑ̃sə, o sɔlεj kuʃɑ̃.
il ʁεstəʁa syʁ la sεnə də la vi e də la libεʁte,
dɑ̃ lε nɥiz- o klεʁ də lynə, e syʁ la mεʁ o matɛ̃.
dɔ̃k sə beni səʁa lə plysz- adɔʁe, puʁ letεʁnite !
Syllabes Phonétique : Le Patriarche De La Joie De Vivre
o=pʁɛ̃=tɑ̃=sə=fi=lo=zɔ=fə=də=la=ʒwa=a=ʁi=ve=o=mɔ̃də 16sεt=ɔ=mə=ɔ=nε=tə=plɛ̃=də=bo=su=və=niʁ 12
pa=sjɔ=ne=paʁ=sa=vilə=na=ta=lə=kə=la=na=ty=ʁə=de=fɑ̃dʁə 16
a=vεk=sε=pla=ʒə=do=du=sə=e=lε=ʃɑ̃=də=la=plɥi 14
la=il=a=ve=ky=a=vεk=la=fεʁ=vœʁ=dœ̃=ɡe=ʁje=i=mɔʁ=tεl 16
de=dje=a=vɔ=tʁə=nɔ=blə=mi=sjɔ̃=də=pε=ʁə=e=si=twa=jɛ̃ 16
kεl=kœ̃=kε=mε=la=dɑ̃=sə=la=my=zi=kə=e=lε=paʁ=fœ̃ 15
mε=zo=si=a=su=fεʁ=la=pεʁ=tə=də=sɔ̃=na=muʁ=e=tεʁ=nεl 16
il=e=tεlə=ma=tɛ̃=de=te=kɑ̃lə=me=sa=ʒe=di=vɛ̃=a=a=nɔ̃se 16
kil=i=o=ʁε=œ̃=sjεl=plys=blø=puʁ=ɔʁ=ne=sɔ̃=nɔ=ʁa=twa=ʁə 16
u=sɔ̃=kɔʁ=sə=ʁə=po=zə=ʁε=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=sɑ̃=du=lœ=ʁə 16
su=lε=ʁə=ɡaʁ=dzɛ̃=dis=kʁε=də=mi=ljaʁd=de=twa=lə 13
tu=ta=ku=il=a=e=te=pʁi=su=lε=za=kɔʁd=dε=di=vɛ̃=ʃɑ̃ 16
sɥi=il=vwa=dɑ̃=lε=bʁa=tɑ̃=dʁə=dɑ̃=ʒə=ly=mi=nø 13
sə=pa=tʁjaʁʃə=a=fε=lə=dεʁ=nje=vwa=ja=ʒə=sə=ʁɛ̃=e=sɑ̃=plɛ̃tə 16
ɑ̃ʁə=njɑ̃=la=su=fʁɑ̃=səa=vεk=sa=fi=lo=zɔ=fi=dε=tʁə=œ=ʁø 16
il=ε=ʁə=və=ny=a=vɔ=tʁə=pa=se=ʒys=ko=mɔ=mɑ̃=dεʁ=nje 16
la=u=ʒa=di=ze=tε=sɔ̃=nid=fa=mi=ljal=lɑ̃=sjε=nə=mε=zɔ̃ 16
pwɛ̃də=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=dε=pɔ=ε=tə=ze=dε=bɔ=ε=mə=dy=kaʁ=tje 16
ko=za=ne=swa=sɑ̃tə=e=tε=le=pi=sə=ʁjə=la=mε=zɔ̃=tɔ̃p=sɔ̃ 16
fεʁ=me=a=la=fɛ̃=dε=za=ne=swasɑ̃tə=di=ze=ʁe=nɔ=ve=plys=taʁ 16
sə=ʁə=kwɛ̃=fa=mi=lj=e=u=il=a=ve=ky=sε=mε=jœʁ=ʒuʁ 16
dy=ko=te=vo=zɑ̃=fɑ̃=zε=me=ʒys=ko=de=paʁ 12
kɑ̃=sa=vi=a=sε=te=fa=se=la=tʁis=tε=sə=la=paʁ=tu 15
pa=tʁjaʁ=ʃə=də=la=ʒwa=də=vi=vʁə=pas=də=su=fʁɑ̃=sə 15
lε=flœ=ʁə=də=sε=zɑ̃=sε=ɲə=mɑ̃=flə=ʁi=se=ɑ̃=kɔʁ=ə 15
dɑ̃=su=və=niʁ=dε=mɔ=mɑ̃=ʒwa=jø=ze=so=no=ʁə 13
mε=mə=sil=swa=de=ʒa=a=fε=bli=paʁ=sɔ̃=nab=sɑ̃=sə 14
dɑ̃=no=ʁe=mi=ni=sɑ̃=sə=o=sɔ=lεj=ku=ʃɑ̃ 12
il=ʁεstə=ʁa=syʁ=la=sε=nə=də=la=vi=e=də=la=li=bεʁ=te 16
dɑ̃=lε=nɥi=zo=klεʁ=də=ly=nə=e=syʁ=la=mεʁ=o=ma=tɛ̃ 15
dɔ̃k=sə=be=ni=sə=ʁa=lə=plys=za=dɔ=ʁe=puʁ=le=tεʁ=ni=te 16
Historique des Modifications
08/08/2020 03:20
07/08/2020 20:32
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
07/08/2020 09:54Anya
Beau poème nostalgique Un départ en douceur, un être aimé qui reste dans votre cœur et dont le souvenir vous permet d apprécier les valeurs de la vie
16/08/2025 10:28Maniho
Chère Printemps,
Votre poème est une véritable ode à l’amour et à la mémoire. En vous lisant, on entend résonner non seulement la voix d’une fille aimante, mais aussi celle d’un témoin poétique qui transforme la douleur en lumière. Vous avez su rendre à votre père une éternité de tendresse à travers des images vibrantes — le ciel plus bleu, les anges lumineux, les fleurs de ses enseignements… autant de symboles qui font de lui, encore aujourd’hui, un Patriarche présent par l’esprit et par le cœur.
On ressent dans vos mots la force d’un héritage fait de joie, de danse, de musique et de valeurs profondes, que rien, pas même le temps, ne peut effacer. Votre poème, à la fois élégiaque et lumineux, est une offrande de vie, bien plus qu’un chant de deuil.
Merci de partager avec nous ce témoignage intime et universel : il nous rappelle que l’amour filiale est une flamme qui jamais ne s’éteint.
Avec émotion et respect 
Maniho
Poème Hommage
Du 07/08/2020 05:36
L'écrit contient 316 mots qui sont répartis dans 8 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.