Poème:Orage

Voici éclate l’orage, ses éclairs de feu, enflamme le ciel.
Puis vint la pluie, qui soulève les odeurs de l’asphalte, la terre, les plantes.
Tonne bruyamment après chaque flamboyant éclairs la pluie tambourine aux carreaux.
Le spectacle de l’eau qui ruisselle sur la route et dans les rigoles.
Puis tout devient calme, le vent vient nous porté les odeurs marines.
Dans mes narines c’est la fête, l’impression d’être à la mer, imaginé les mouettes au dessus de moi.
Cela me renvoi aux souvenirs de mon enfance, ou je traînais mes pieds dans le sable mouillé.
Ou je traînais pêcher les crabes, les bulots et les coques, la belle époque !
Après cette pêche on sentais l’odeur dégagé par notre cuisine, l’oignon rissolé, le vin blanc, le persil.
Les pâtes qui dansaient joyeusement dans la grande casserole bouillonnante.
Puis on préparer les grandes assiettes et les poubelles de table, une ambiance collégiale.
Le bonheur d’être ensemble de partager chaque été, nos pêches, nos aventures.
Les boursouflures laisser par les belle méduses, celle qu’on ne pouvait voir telle elles étaient miniatures !
On avait fière allure avec nos sceaux remplis qui gigotaient en tout sens !
Merci le vent de me porter tant de souvenirs !