Texte:D’une Fille À Sa Mère…

J’sais que tu espères que n’je rate pas ma chance, avant que sonne le glas.
Parce que tu tiens à moi, et d’une certaine manière devenir mère fut ta délivrance,
Pour pouvoir partir, t’échapper plus loin de leurs façons de médire.
Ils ne l’ont jamais compris, la façon du pourquoi t’es partis…
Même si moi je sais… que dans ton cœur d’artichaut, tu saignais trop fort pour y rester.
La famille c’est tout un monde, qui embrigade et puis te range dans une autre de leurs cases.
En faisant des projets d’avenir, ils n’avaient pas pris le temps de regarder l’heure,
Que toi, petite fleur tu voulais un simple geste de tendresse…

Je sais bien, que t’en à bavé, tous au long de ses années
Même si je te fais de la misère, tu restes.
Tes bras grands ouverts, me donne la force de le faire
Un pas dans le rand monde.
Celui que t’a jamais eu le droit de voir, personne n’était à tes côtés…

Mais moi qui vis en immature, comme en tant de survie,
Tu restes dans mes yeux, coincés dans l’angle mort
Me dit que ça ira mieux, avant que je m’endorme…
Je ne suis pas encore femme, du moins dans ma tête
N’ayant pas vécu tes drames, mais voyant la femme forte.

Des mensonges et des tromperies qu’on t’a dites,
Toi, qui reste fléchie, droite comme un pic.
Si, j’avoue seulement aujourd’hui, que ce modèle m’a fait rêver…
De nos jours, la fissure de nos histoires passées
Créer du conflit entre nous,
D’une mère au grand caractère devant son enfant,
D’une fille qui aimés trop cette maman,
Ce dont, j’ai prié devant la madone, c’est te voir en santé

Si ça devient trop, rassure-toi, je suis là,
Prendre ton relais, sera un cadeau pour moi
Je t’en prie ma belle maman, avec ton cœur trop grand,
Ne sois plus blessée en restant à mes côtés,
Je porte tes arrières, t’en souviens-tu ?