Poème:Comme Un Doute…

Les mots ne me viennent plus autant qu’avant,
Ce moment qui m’était presque devenue familier, m’échappe
J’avais cette petite voix, elle me dit que je rêve, que l’aube n’arrivera que quand mes yeux seront ouverts
Et que ça ne sert à rien de courir, car tu as déjà perdus
La seule personne qui compte… .
Rassure-toi, les vents contraires d’une certaines façons te protège, il garde ta place.
C’est à bout de force, que tu serres la coupe de feu
Incertain, ton avenir est comme l’eau, glissante
Où es-tu ? Où es-tu ? Que fais-tu ?
Promet une moindre victoire.
Tu ne vois même pas tes propres peurs, imbue, qui défile,
Crois-tu en valoir la peine ?
Et elle t’atteindra, jusqu’à ton sang qui rester jusqu’ici froid.
Où est passée ta tête des bons jours,
Et tu n’as pas changé,
C’est dommage, l’espace d’un instant tous étaient sauvage,
Le courage t’a donné la force, tu as reculé.
Absent, tu t’emmures, et perd, le toi qui es en vie.
Haï ce regard, c’est silence, c’est absurdité…
Le bout du tunnel est proche, mais en sera-t-il la fin ou le commencement… ?