Texte:Toujours Là,

Je suis toujours la petite gamine perdue, esquivant les passants
Dans les allées du magasin, en cherchant ma mère sans boussole à la main.
J’ai vite compris que les liens maternelle aller vers d’autres au loin,
La mienne la fait sans s’arrêter, sans m’attendre, elle à continuer sa route sans se soucier de moi ou de quelqu’un d’autres…

En grandissant j’ai cherché son affection, constatant sa préférence vers d’autres addictions.
Le mal qui gronde dehors, entre dans la maison…
J’ai continué ma route, jusqu’à croisé le chemin d’une personne disant savoir aimer,
De la bonne manière j’imagine, sans en attendre plus mais avec méfiance, j’y suis tombé.
Le jeu de la séduction tient sur une balance dont la conclusion est que sois-tu y trouve ta chance,
Ou bien c’est toi qui vas en payer l’addition.

J’ai grandi en arrêtant de pleurer, de souffrir, cachant tout ce qui me grignotes de l’intérieur.

Et puis, épreuves après épreuves l’on ré affronte ses peurs.
Piégés, sans nul par où aller, recueillie des années de galères qui me traine en arrières, Et je revois les occasions que j’ai manquées, les événements que j’ai loupés pour elle, pour eux, pour moi.
Je suis née un jour de tempête, froid et glacés peu être un premier signe.

Beaucoup viennent faire couler leurs peines éprouver depuis longtemps, qu’écrire et le seul moyen d’en exorciser la cause… Je ne suis pas de ceux-là, m’épancher sur le clavier ne montre rien de ma peine, ne reflète pas la justesse du mal.

De mes mots et de mes écrits que j’inscris ici,
M’en sers pour comprendre l’origine du néant dans ma poitrine, surement aussi réconforter l’enfant sans boussole, pour enfin trouver le moyen d’y pardonner quelqu’un…