Texte:On Ne Choisit Sa Famille.

Sacrifié son bonheur,
De gré ou de force.
En faisant attention, aux gens qui nous sont proches,
Un peu plus se forcer chaque jour
Se glisser vers la lassitude
Ne plus pouvoir regarder en arrières, qu’avec des yeux brillants
Refermer son cœur, ne le rouvrir qu’en dormant.
Chaque seconde de chaque minute, à chaque heure
Penser au temps qui nous glissent des doigts
Pour mettre longtemps à cicatriser, plus surement que jamais…
L’espoir fait vivre, mais en demeures fragile
Un meurtrier invisible, venu tuer les moments mériter…
C’était nos moments qui tourne en boucles dans ma tête
Qu’aujourd’hui j’envie presque avec insistance,
Me remémorer nos souvenirs, me rapproche tant de la folie que de l’euphorie des premiers jours
Il doit, je sais, y avoir un temps pour chaque chose
Et en sois tout arrive à sa fin, un jour
Nous dire adieu était inévitable…
Ton parfum embaume toujours l’air au petit matin, pas que dans ma mémoire toute fraiche,
J’y revois tes mains et ton visage sous ce soleil,
Ta silhouette, que j’aime tant…
Oui, tout en toi, me manque.
Et sans vraiment le dire, dans les instants de silence dans ces repas de famille, j’y repense à deux fois
Faisant le choix de me priver, en sachant même que tu étais, es et serais l’amour de ma vie.
La raison à dut m’emporter, et j’en suis là.
Ni droit de montrer mon amour, à me taire pour eux…
Il y avait deux camps qui s’affronter avec moi au milieu, mon drapeau blanc en main n’y à rien changé
L’ignorance qui les avait gagnés, me forçant à plier…
Il était eux aussi tout pour moi à un moment donner, puis avec le temps, son devenu mes plus proches jurés.