Poème:Pour Ma Très Chère, Au-Delà Des Collines
A Propos du Poeme
C’est un simple assemblage de deux de mes poèmes favoris.
Le Poème
Oh ! Si la jeune amie, par-delà les collines,
Entonnait quelque chant, sorti d’une bouche divine.
Se pourrait-il que l’ode au ciel que l’on eût oncques entendu,
Puisse me donner, pour gravir la montagne, un corps assez membru ?
Assurément, ses notes montreraient assez d’ardeur,
Pour soumettre mon pitoyable corps à un sublime heur.
Mais ses mots pourraient ils seulement, outre faire éclore les fleurs,
Planter une graine de passion pouvant pousser dans un si fertile cœur ?
Je le voudrais savoir, je mettrais ma vie en jeu,
Si c’est en croyant qu’elle puisse exaucer tous ces vœux.
Comment ? Parlé-je encore trop indistinctement pour que la paix tu savoures ?
Ne sois point triste, mes mots sont certes confus mais enrobés d’amour.
Allons bon, as-tu perdu ta voix ? As-tu égaré tes dons ?
Je tends l’oreille mais ne puis percevoir quelque son.
Sont-ce tes yeux qui te font terrible défaut ?
Attendais-tu un autre sur ton vertigineux échafaud ?
Pourtant, il n’est rien qui ne puisse, par une chaleureuse étreinte, être recouvert.
Même la raison égarée face à tes yeux sombres, abyssaux comme la mer.
Tes somptueuses vocalises mettraient à mal l’homme sensé le plus grégaire,
Alors, sur l’heure, apprenons chère colombe, à l’un l’autre nous plaire.
Avant que l’inspiration ne s’échappe, avant que les nuages ne pleurent.
Avant que la si précieuse ardeur ne se heurte au tant redouté malheur.
Je désire plus que toute chose chère sainte, à goûter au bonheur.
Mais je ne peux, même avec tout le courage des Dieux,
Me résoudre à dompter la flamme de ses yeux.
Comme par une tiède nuit d’été, un léger matin d’hiver,
La beauté me transit, il y a peu que je puisse faire.
Las ! Faut-il que tu paraisses si intouchable !
Qu’une irrationnelle frayeur s’empare de ce cœur minable ?
Ne suis-je donc pas digne d’une once de bonheur ?
Pour que les Dieux et mon propre corps se jouent ainsi de mon malheur ?
De l’audace, je n’en ai point.
Pas même un soupçon de courage pour, jusqu’à toi arpenter le chemin.
Celui que j’aperçois derrière les collines, protégé par les arbres denses,
Celui qui pour moi est jonché de mines et que j’imagine immense.
Je le trouve tortueux, le voyage fastidieux,
Mais les pavés sont solides et les oiseaux sont heureux.
La route et large, ma vision étriquée,
Ton cœur et assaillible, le mien oppressé,
Ton âme est aimable, la mienne apeurée,
Mon dessein minable n’est pas d’être aimé.
Entonnait quelque chant, sorti d’une bouche divine.
Se pourrait-il que l’ode au ciel que l’on eût oncques entendu,
Puisse me donner, pour gravir la montagne, un corps assez membru ?
Assurément, ses notes montreraient assez d’ardeur,
Pour soumettre mon pitoyable corps à un sublime heur.
Mais ses mots pourraient ils seulement, outre faire éclore les fleurs,
Planter une graine de passion pouvant pousser dans un si fertile cœur ?
Je le voudrais savoir, je mettrais ma vie en jeu,
Si c’est en croyant qu’elle puisse exaucer tous ces vœux.
Comment ? Parlé-je encore trop indistinctement pour que la paix tu savoures ?
Ne sois point triste, mes mots sont certes confus mais enrobés d’amour.
Allons bon, as-tu perdu ta voix ? As-tu égaré tes dons ?
Je tends l’oreille mais ne puis percevoir quelque son.
Sont-ce tes yeux qui te font terrible défaut ?
Attendais-tu un autre sur ton vertigineux échafaud ?
Pourtant, il n’est rien qui ne puisse, par une chaleureuse étreinte, être recouvert.
Même la raison égarée face à tes yeux sombres, abyssaux comme la mer.
Tes somptueuses vocalises mettraient à mal l’homme sensé le plus grégaire,
Alors, sur l’heure, apprenons chère colombe, à l’un l’autre nous plaire.
Avant que l’inspiration ne s’échappe, avant que les nuages ne pleurent.
Avant que la si précieuse ardeur ne se heurte au tant redouté malheur.
Je désire plus que toute chose chère sainte, à goûter au bonheur.
Mais je ne peux, même avec tout le courage des Dieux,
Me résoudre à dompter la flamme de ses yeux.
Comme par une tiède nuit d’été, un léger matin d’hiver,
La beauté me transit, il y a peu que je puisse faire.
Las ! Faut-il que tu paraisses si intouchable !
Qu’une irrationnelle frayeur s’empare de ce cœur minable ?
Ne suis-je donc pas digne d’une once de bonheur ?
Pour que les Dieux et mon propre corps se jouent ainsi de mon malheur ?
De l’audace, je n’en ai point.
Pas même un soupçon de courage pour, jusqu’à toi arpenter le chemin.
Celui que j’aperçois derrière les collines, protégé par les arbres denses,
Celui qui pour moi est jonché de mines et que j’imagine immense.
Je le trouve tortueux, le voyage fastidieux,
Mais les pavés sont solides et les oiseaux sont heureux.
La route et large, ma vision étriquée,
Ton cœur et assaillible, le mien oppressé,
Ton âme est aimable, la mienne apeurée,
Mon dessein minable n’est pas d’être aimé.
PostScriptum
L’amour c’est compliqué, tellement complexe que j’en perds la raison principale et la conséquence que j’espérais. Il n’est pas un jour qui passe sans qu'il me fasse vaciller, sans que je doute de mes propres sentiments.

Poète Juane Camier
Juane Camier a publié sur le site 27 écrits. Juane Camier est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil du poète Juane CamierSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Pour Ma Très Chère, Au-Delà Des Collines
oh=si=la=jeu=ne=a=mie=par=de=là=les=col=li=nes 14en=ton=nait=quel=que=chant=sor=ti=du=ne=bou=che=di=vine 14
se=pour=rait=til=que=lodeau=ciel=que=lon=eût=onc=ques=enten=du 14
puisse=me=don=ner=pour=gra=vir=la=mon=tagne=un=corps=as=sez=mem=bru 16
as=su=ré=ment=ses=no=tes=mon=tre=raient=as=sez=dar=deur 14
pour=soumet=tre=mon=pi=toya=ble=corps=à=un=su=bli=me=heur 14
mais=ses=mots=pour=raient=ils=seule=ment=outre=fai=reé=clore=les=fleurs 14
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je=le=vou=drais=sa=voir=je=met=trais=ma=vie=en=jeu 13
si=cest=en=croy=ant=quel=le=puis=se=exau=cer=tous=ces=vœux 14
comment=par=lé=jeen=core=trop=in=dis=tinc=te=ment=pour=que=la=paix=tu=sa=voures 18
ne=sois=point=triste=mes=mots=sont=certes=con=fus=mais=en=ro=bés=da=mour 16
al=lons=bon=as=tu=per=du=ta=voix=as=tu=é=ga=ré=tes=dons 16
je=tends=lo=rei=lle=mais=ne=puis=per=ce=voir=quel=que=son 14
sont=ce=tes=y=eux=qui=te=font=ter=ri=ble=dé=faut 13
at=ten=dais=tu=un=autre=sur=ton=ver=ti=gi=neux=é=cha=faud 15
pour=tant=il=nest=rien=qui=ne=puisse=par=une=cha=leu=reu=seé=treinte=ê=tre=re=cou=vert 20
même=la=rai=son=é=ga=rée=fa=ceà=tes=yeux=sombres=a=bys=saux=comme=la=mer 18
tes=somp=tueuses=vo=ca=lises=met=traient=à=mal=lhomme=sen=sé=le=plus=gré=gaire 17
a=lors=sur=lheure=ap=pre=nons=chère=co=lombe=à=lun=lau=tre=nous=plaire 16
avant=que=lins=pi=ra=tion=ne=sé=chap=pe=a=vant=que=les=nu=ages=ne=pleurent 18
avant=que=la=si=pré=cieusear=deur=ne=se=heur=teau=tant=re=dou=té=malheur 16
je=dé=sire=plus=que=toute=chose=chè=re=sain=te=à=goû=ter=au=bon=heur 17
mais=je=ne=peux=même=a=vec=tout=le=cou=ra=ge=des=dieux 14
me=ré=sou=dre=à=domp=ter=la=flam=me=de=ses=y=eux 14
comme=par=une=tiède=nuit=dé=té=un=lé=ger=ma=tin=dhi=ver 14
la=beau=té=me=tran=sit=il=y=a=peu=que=je=puisse=faire 14
las=faut=til=que=tu=pa=rais=ses=si=in=tou=cha=ble 13
quune=ir=ra=tion=nel=le=frayeur=sem=pare=de=ce=cœur=mi=nable 14
ne=suis=je=donc=pas=di=gne=du=ne=on=ce=de=bon=heur 14
pour=que=les=dieux=et=mon=propre=corps=se=jouent=ain=si=de=mon=malheur 15
de=lau=da=ce=je=nen=ai=point 8
pas=mêmeun=soup=çon=de=cou=rage=pour=jus=quà=toi=ar=pen=ter=le=che=min 17
ce=lui=que=ja=per=çois=der=rière=les=col=lines=pro=té=gé=par=les=ar=bres=denses 19
ce=lui=qui=pour=moi=est=jon=ché=de=mines=et=que=ji=ma=gi=neim=mense 17
je=le=trou=ve=tor=tu=eux=le=voy=a=ge=fas=ti=dieux 14
mais=les=pa=vés=sont=so=lides=et=les=oi=seaux=sont=heu=reux 14
la=rou=te=et=lar=ge=ma=vi=si=on=é=tri=quée 13
ton=cœur=et=as=sail=li=ble=le=mien=op=pres=sé 12
ton=â=me=est=ai=ma=ble=la=mien=ne=a=peu=rée 13
mon=des=sein=mi=na=ble=nest=pas=dê=tre=ai=mé 12
Phonétique : Pour Ma Très Chère, Au-Delà Des Collines
ɔ ! si la ʒənə ami, paʁ dəla lε kɔlinə,ɑ̃tɔnε kεlkə ʃɑ̃, sɔʁti dynə buʃə divinə.
sə puʁʁε til kə lɔdə o sjεl kə lɔ̃n- y ɔ̃kz- ɑ̃tɑ̃dy,
pɥisə mə dɔne, puʁ ɡʁaviʁ la mɔ̃taɲə, œ̃ kɔʁz- ase mɑ̃bʁy ?
asyʁemɑ̃, sε nɔtə mɔ̃tʁəʁε ase daʁdœʁ,
puʁ sumεtʁə mɔ̃ pitwajablə kɔʁz- a œ̃ syblimə œʁ.
mε sε mo puʁʁε il sələmɑ̃, utʁə fεʁə eklɔʁə lε flœʁ,
plɑ̃te ynə ɡʁεnə də pasjɔ̃ puvɑ̃ puse dɑ̃z- œ̃ si fεʁtilə kœʁ ?
ʒə lə vudʁε savwaʁ, ʒə mεtʁε ma vi ɑ̃ ʒø,
si sεt- ɑ̃ kʁwajɑ̃ kεllə pɥisə εɡzose tus sε veyks.
kɔmɑ̃ ? paʁle ʒə ɑ̃kɔʁə tʁo ɛ̃distɛ̃ktəmɑ̃ puʁ kə la pε ty savuʁə ?
nə swa pwɛ̃ tʁistə, mε mo sɔ̃ sεʁtə- kɔ̃fy mεz- ɑ̃ʁɔbe damuʁ.
alɔ̃ bɔ̃, a ty pεʁdy ta vwa ? a ty eɡaʁe tε dɔ̃ ?
ʒə tɑ̃ lɔʁεjə mε nə pɥi pεʁsəvwaʁ kεlkə sɔ̃.
sɔ̃ sə tεz- iø ki tə fɔ̃ teʁiblə defo ?
atɑ̃dε ty œ̃n- otʁə syʁ tɔ̃ vεʁtiʒinøz- eʃafo ?
puʁtɑ̃, il nε ʁjɛ̃ ki nə pɥisə, paʁ ynə ʃaləʁøzə etʁɛ̃tə, εtʁə ʁəkuvεʁ.
mεmə la ʁεzɔ̃ eɡaʁe fasə a tεz- iø sɔ̃bʁə, abiso kɔmə la mεʁ.
tε sɔ̃ptɥøzə vɔkalizə mεtʁε a mal lɔmə sɑ̃se lə plys ɡʁeɡεʁə,
alɔʁ, syʁ lœʁ, apʁənɔ̃ ʃεʁə kɔlɔ̃bə, a lœ̃ lotʁə nu plεʁə.
avɑ̃ kə lɛ̃spiʁasjɔ̃ nə seʃapə, avɑ̃ kə lε nɥaʒə nə pləʁe.
avɑ̃ kə la si pʁesjøzə aʁdœʁ nə sə œʁtə o tɑ̃ ʁədute malœʁ.
ʒə deziʁə plys kə tutə ʃozə ʃεʁə sɛ̃tə, a ɡute o bɔnœʁ.
mε ʒə nə pø, mεmə avεk tu lə kuʁaʒə dε djø,
mə ʁezudʁə a dɔ̃pte la flamə də sεz- iø.
kɔmə paʁ ynə tjεdə nɥi dete, œ̃ leʒe matɛ̃ divεʁ,
la bote mə tʁɑ̃zi, il i a pø kə ʒə pɥisə fεʁə.
las ! fo til kə ty paʁεsə si ɛ̃tuʃablə !
kynə iʁasjɔnεllə fʁεjœʁ sɑ̃paʁə də sə kœʁ minablə ?
nə sɥi ʒə dɔ̃k pa diɲə dynə ɔ̃sə də bɔnœʁ ?
puʁ kə lε djøz- e mɔ̃ pʁɔpʁə kɔʁ sə ʒue ɛ̃si də mɔ̃ malœʁ ?
də lodasə, ʒə nɑ̃n- ε pwɛ̃.
pa mεmə œ̃ supsɔ̃ də kuʁaʒə puʁ, ʒyska twa aʁpɑ̃te lə ʃəmɛ̃.
səlɥi kə ʒapεʁswa dəʁjεʁə lε kɔlinə, pʁɔteʒe paʁ lεz- aʁbʁə- dɑ̃sə,
səlɥi ki puʁ mwa ε ʒɔ̃ʃe də minəz- e kə ʒimaʒinə imɑ̃sə.
ʒə lə tʁuvə tɔʁtɥø, lə vwajaʒə fastidjø,
mε lε pave sɔ̃ sɔlidəz- e lεz- wazo sɔ̃ œʁø.
la ʁutə e laʁʒə, ma vizjɔ̃ etʁike,
tɔ̃ kœʁ e asajiblə, lə mjɛ̃ ɔpʁese,
tɔ̃n- amə εt- εmablə, la mjεnə apəʁe,
mɔ̃ desɛ̃ minablə nε pa dεtʁə εme.
Syllabes Phonétique : Pour Ma Très Chère, Au-Delà Des Collines
ɔ=si=la=ʒə=nə=a=mi=paʁ=də=la=lε=kɔ=li=nə 14ɑ̃=tɔ=nε=kεl=kə=ʃɑ̃=sɔʁ=ti=dy=nə=bu=ʃə=di=vinə 14
sə=puʁ=ʁε=til=kə=lɔdəo=sjεl=kə=lɔ̃=ny=ɔ̃k=zɑ̃=tɑ̃=dy 14
pɥisə=mə=dɔ=ne=puʁ=ɡʁa=viʁ=la=mɔ̃taɲə=œ̃=kɔʁ=za=se=mɑ̃=bʁy 15
a=sy=ʁe=mɑ̃=sε=nɔ=tə=mɔ̃=tʁə=ʁε=a=se=daʁ=dœʁ 14
puʁ=sumεtʁə=mɔ̃=pi=twa=ja=blə=kɔʁ=za=œ̃=sy=bli=mə=œʁ 14
mε=sε=mo=puʁ=ʁε=il=sə=lə=mɑ̃=utʁə=fε=ʁəe=klɔʁə=lε=flœʁ 15
plɑ̃=te=ynə=ɡʁεnə=də=pa=sjɔ̃=pu=vɑ̃=puse=dɑ̃=zœ̃=si=fεʁ=ti=lə=kœʁ 17
ʒə=lə=vu=dʁε=sa=vwa=ʁʒə=mε=tʁε=ma=vi=ɑ̃=ʒø 13
si=sε=tɑ̃=kʁwa=jɑ̃=kεllə=pɥisə=εɡ=zo=se=tus=sε=ve=yks 14
kɔ=mɑ̃=paʁ=le=ʒəɑ̃kɔʁə=tʁo=ɛ̃=dis=tɛ̃k=tə=mɑ̃=puʁkə=la=pε=tysavuʁə 15
nə=swa=pwɛ̃tʁistə=mε=mo=sɔ̃=sεʁtə=kɔ̃=fy=mε=zɑ̃=ʁɔ=be=da=muʁ 15
a=lɔ̃=bɔ̃=a=ty=pεʁ=dy=ta=vwa=a=ty=e=ɡa=ʁe=tε=dɔ̃ 16
ʒə=tɑ̃=lɔ=ʁε=jə=mε=nə=pɥi=pεʁ=sə=vwaʁ=kεl=kə=sɔ̃ 14
sɔ̃=sə=tε=zi=ø=ki=tə=fɔ̃=te=ʁi=blə=de=fo 13
a=tɑ̃=dε=ty=œ̃=notʁə=syʁ=tɔ̃=vεʁ=ti=ʒi=nø=ze=ʃa=fo 15
puʁ=tɑ̃=il=nε=ʁjɛ̃kinə=pɥisə=paʁ=y=nə=ʃa=lə=ʁø=zəe=tʁɛ̃=tə=ε=tʁə=ʁə=ku=vεʁ 20
mεmə=la=ʁε=zɔ̃=e=ɡa=ʁe=fa=səa=tεziøsɔ̃bʁə=a=bi=so=kɔ=mə=la=mεʁ 17
tε=sɔ̃p=tɥøzə=vɔ=kalizə=mε=tʁε=a=mal=lɔ=mə=sɑ̃=se=lə=plys=ɡʁe=ɡεʁə 17
a=lɔʁ=syʁ=lœʁ=apʁə=nɔ̃ʃεʁə=kɔ=lɔ̃=bə=a=lœ̃=lo=tʁə=nuplεʁə 14
avɑ̃kə=lɛ̃s=pi=ʁa=sjɔ̃nə=se=ʃa=pə=a=vɑ̃=kə=lε=nɥ=a=ʒə=nə=plə=ʁe 18
avɑ̃kə=la=si=pʁe=sjø=zəaʁ=dœʁ=nə=sə=œʁ=təo=tɑ̃ʁə=du=te=ma=lœʁ 16
ʒə=de=ziʁə=plys=kə=tutə=ʃozə=ʃε=ʁə=sɛ̃=tə=a=ɡu=te=o=bɔ=nœʁ 17
mεʒə=nə=pø=mε=mə=a=vεk=tu=lə=ku=ʁa=ʒə=dε=djø 14
mə=ʁe=zu=dʁə=a=dɔ̃p=te=la=fla=mə=də=sε=zi=ø 14
kɔmə=paʁynə=tjε=də=nɥi=de=te=œ̃=le=ʒe=ma=tɛ̃=di=vεʁ 14
la=bo=te=mə=tʁɑ̃=zi=il=i=a=pøkə=ʒə=pɥi=sə=fεʁə 14
las=fo=til=kə=ty=pa=ʁε=sə=si=ɛ̃=tu=ʃa=blə 13
kynə=i=ʁa=sjɔ=nεllə=fʁε=jœʁ=sɑ̃=pa=ʁə=də=sə=kœʁ=minablə 14
nə=sɥi=ʒə=dɔ̃k=pa=di=ɲə=dy=nə=ɔ̃=sə=də=bɔ=nœʁ 14
puʁkə=lε=djø=ze=mɔ̃pʁɔpʁə=kɔʁ=sə=ʒu=e=ɛ̃=si=də=mɔ̃=ma=lœʁ 15
də=lo=da=sə=ʒə=nɑ̃=nε=pwɛ̃ 8
pa=mεməœ̃=sup=sɔ̃də=ku=ʁaʒə=puʁ=ʒys=ka=twa=aʁ=pɑ̃=te=lə=ʃə=mɛ̃ 16
səl=ɥikə=ʒa=pεʁ=swadə=ʁjεʁə=lε=kɔ=li=nə=pʁɔ=te=ʒe=paʁ=lε=zaʁ=bʁə=dɑ̃sə 18
səl=ɥi=ki=puʁ=mwa=ε=ʒɔ̃=ʃe=də=minə=ze=kə=ʒi=maʒinə=imɑ̃sə 15
ʒə=lə=tʁu=və=tɔʁ=tɥø=lə=vwa=ja=ʒə=fas=ti=dj=ø 14
mε=lε=pa=ve=sɔ̃=sɔ=lidə=ze=lε=zwa=zo=sɔ̃=œ=ʁø 14
la=ʁu=tə=e=laʁ=ʒə=ma=vi=zj=ɔ̃=e=tʁi=ke 13
tɔ̃=kœ=ʁə=e=a=sa=ji=blə=lə=mj=ɛ̃=ɔ=pʁe=se 14
tɔ̃=na=mə=ε=tε=ma=blə=la=mj=ε=nə=a=pə=ʁe 14
mɔ̃=de=sɛ̃=mi=na=blə=nε=pa=dε=tʁə=ε=me 12
Historique des Modifications
19/04/2022 14:59
25/05/2021 22:02
25/05/2021 21:59
Récompense
Commentaires Sur La Poesie

03/03/2021 23:35Barbegrise
Bonsoir l’ami et merci pour texte sympathique et réussi. L’assemblage que vous parlez est un dosage parfait.. Réussi et agréable en lecture. Un j’aime par conséquent bien mérité. Bravo. J’en profite cependant pour vous suggérer de lire ELISE, un poème sur la mort et la maladie d’une fillette. Le sujet étant délicat, votre avis sera très important pour moi si vous acceptez de m’ en donner votre avis.. Avec votre compréhension... Merci...

06/03/2021 19:49Printemps
Merci pour ce joli poème!
Poème Amour
Du 03/03/2021 21:04
L'écrit contient 438 mots qui sont répartis dans 11 strophes.