Poème:Le Pouvoir De La Dentelle Rose

Le pouvoir de la dentelle rose m’amène vers un ciel avec une pensée dramatique de charme épousée par la volonté de l’homme. J’ai baissé toutes mes armes. je suis un guerrier qui voit le temps passer avec un souffle de mon cœur je retrouve le goût savoureux de ces nectarines perchées au dessous de tes yeux en demandant à la soif de mes lèvres de les baptiser par un parfum des anges.

Ta chevelure est une lyre avec des notes qui touchent mon âme à chaque fois que tu la caresses avec tes doigts…
Au paradis des grands-mères, j’ai haussé la voix. Grandiose est votre beauté ! la promesse est-elle une allumette ou une bougie éternelle ? Je garde toujours mon délire pour écrire et rappeler à ma grand-mère que ma passion s’est transformée en une biche qui bondit dans mon coeur en me regardant joyeusement avec passion.

Ô vous les esprits lointains êtes-vous là pour me consoler ? Perdu dans le brouillard occupé par votre fantôme…
Au nom du ciel, de la terre et de la mer soufflez cette voile pour que je puisse m’endormir avec joie. Regardez mes mains, s’il vous plaît, je suis maudit, oui, je sais. Mais d’où vient cette musique, le paradis m’atteint-il ? Oui j’ai reconnu cette main, je dois m’en aller, s’il vous plaît, je suis coincé dans le même marais depuis longtemps, avec des oiseaux morts.

Je vous salue, qu’aimeriez-vous boire ? Rien, je vous en supplie… mais une petite goutte pour réchauffer mon coeur. Voici du miel savoureux, cultivé par des abeilles du paradis… lesquelles ? Je l’ai trouvé à côté de mon berceau, ils m’ont chanté la joie de ne jamais finir… Je m’en vais, je suis là, j’y suis.
Au nom de la dentelle rouge, ma sueur s’est transformée en un vin rosé pour chatouiller mes pensées, je suis ivre et je ne me rends plus compte de ce que je ressens, j’ai bu la voix de ton cœur qui se soulevait timidement de la peur du châtiment…

Regarde mes mains, qu’es ce que tu voix dans ces lignes tracées autour de mes doigts ? je vois ton sourire éclatant dans mes mains… je te vois te basculer avec la lune pour éclairer ma nuit… les étoiles ont peur de toi, ont peur de la madone quand elle chante avec une voix douce angélique, qui émeut les chœurs des monstres pour les attendrir…
Toi, oui toi… réveille toi ! on y va

Ton lyre fondu dans ta chevelure, on y va…