Prose:Le Système Éducatif Aux Prises Avec L’interface.
La Prose
Introduction générale.
« J’ose proposer au lecteur une métaphore didactique qui permette à l’enseignant d’enseigner moins et à l’élève d’apprendre plus. » Cominius, Didactica Magna.
La vie sociale a connu un bond titanesque dans le cours de l’histoire moderne. Les technos du numérique a eu un gain de terrain tout azimut vers la dernière décennie du siècle précédent. Une onde de choc s’est fait sentir dans le champ éducatif qui accuse un retard retentissant avec ses retombées pédagogiques sur l’apprentissage, la vie psychique, comportementale des jeunes en panne de repères. En voilà les principales caractéristiques de ces avatars.
élève-sujet/Élève-citoyen :
Cette dichotomie lexicale nous place en situation comparatiste d’une école traditionnelle encore loin de satisfaire les besoins de son public qui patauge dans un conformisme. infondé mettant sous cape les attentes de ses sujets mal à l’aise dans une situation précaire.
Dans le premier cas de figure, l’institution scolaire a épousé une pédagogie répressive favorisant la grammaire normative, les faits de langue centrés sur l’écrit. L’enseignant y jouait un rôle prépondérant. A ce titre, il tenait l’essentiel du savoir, une source éminente des connaissances livresques, académiques. Cette suprématie d’un savoir abstrait pour l’essentiel fait souffrir les ados scolarisés en panne de compréhension profonde. Ce rapport vertical a fait des élèves un simple réceptacle d’infos pigées mécaniquement (sujets automates) . Un pot à fleurs plein de mots qui sonnent sans signification efficiente. Certainement la théorie behavioriste de l’école américaine, le conditionnement de Pavlov (école russe) étaient de mise ; ajoutons à cela l’approche structuraliste. Cette école était caractérisée par la mécanisation des faits de langue sans tenir compte du contexte social sur l’apprentissage. Exclusion totale de potentialités de l’enfant.
Élève-citoyen- participatif :
Cette approche est dite démocratique car elle met en ligne de compte les besoins sociaux, émotionnels, psychiques du destinataire. Dite interactionnelle, elle prend appui sur le milieu extra-scolaire influencé par le développement de la socio-linguistique, la psychologie et la neurologie. Corollairement, l’enfant occupe une place centrale en opération éducative riche de ses éléments nouveaux dont l’interface. La souplesse de l’enseignement fait de lui un maillon actif, un acteur participatif de la construction du savoir. Une marge de liberté est conquise sur le pouvoir des connaissances abstraites. Le décloisonnement des disciplines est devenu le fer de lance boostant les reformes pédagogiques. On dit que tous les arts s’ouvrent sur eux-mêmes pour ne personnalité ouverte, équilibrée, ayant le bon sens de cultiver t l’analyse objective.
-La linguistique de l’énonciation a eu une empreinte sur la révolution scolaire en accordant à la communication, le dialogue en contexte hors-scolaire a eu sa part de lion dans l’éducation. La spontanéité fait bonne figure ; les faits de langue, le vocabulaire sont subordonnés à la communication. L’apprenant se voit doter d’intérêt auparavant négligé.
-L’approche cognitive fait irruption, donne ses fruits en raison de son intérêt pour les représentations des choses que se fait l’apprenant sur son environnement ; bref le sens des mots reçus sera extrait de lui-même, de l’intérieur, non du milieu ambiant c’est dire extrinsèque. Se basant essentiellement sur le principe suivant : catégories thématique- sémantique-linguitique-
-L’analyse du discours (présence de je et tu) privilégie la perspective globale de la progression cognitive, c’est dire que le sens n’est pas enfermé dans une structure restreinte (école structuraliste) ou une phrase autonome mais elle dépend des séquences supérieures du texte ou discours. On tient compte de la place du scripteur, du locutaire ou récepteur du message ; aussi des conditions de la communication. Ce courant de pensée privilégie la grammaire du texte. Le sens est disséminés dans la globalité de l’énoncé dépassant la frantière phrastique.
-L’approche interactionniste se réfère à un énoncé particulier qui tire sa raison d’être dans
contexte de la situation, nous songeons en l’occurrence à la linguistique énonciative :
contexte et la situation, nous songeons en l’occurrence à la linguistique de l’énonciation : présence des actants avec leurs attitudes particulières, leurs intentions.
Ainsi, le savoir se construit- il à partir de l’expérience personnelle, des connaissances antérieures, le pré-requis au sujet parlant en quête d’adaptation de situations concordantes pour accéder à la découverte progressive de la nouvelle situation au niveau de l’out put ou la réception est mise en relief dans la fonction conative (niveau du contact) du discours selon Emile Benveniste, éminent linguiste de l’interaction dans l’enseignement.
CONCLUSION GÉNÉRALE :
Pour mettre en exergue une approche cognitiviste moderne, l’école doit faire peau neuve devant son public en crise de personnalité, de communication efficace, de compréhension raisonnée pour mener à bon port sa tache humaine de premier ordre reléguant à l’innovation, aux initiatives personnelles un rôle prépondérent. Autrement dit, une école qui sait séduire par les moyens numériques, langage du siècle en cours. Une approche communicative pluridimentionnelle est capable de jouer ce rôle majeur avec le concours de la société civile parce que l’éducation est une opération complexe à plusieurs facettes. (sciences de l’éducation est au pluriel) L’imaginaire libère aussi les potentiels dissimulés l’énergie créative des apprenants passionnés par la communication et le butinage numérique faisant irruption avec les tablettes, le IPhone.
L’idéal dans cet enseignement étant : un prof. qui enseigne moins, un élève qui apprend davantage dans une atmosphère de confiance pérenne. Les opérateurs dans le créneau doivent se battre bec et ongles dans le sens du bonheur collectif afin que s’établisse une harmonie entre l’école et la société. C’est l’éducation au plaisir qui favorise la mobilisation de l’apprentissage.
La jeunesse, une bombe à retardement à entretenir continuellement pour préserver la société d’un éclatement imminent de paysage scolaire menacé de dégradation.
Cette approche est dite démocratique car elle prend en compte les besoins sociaux, émotionnels, psychiques côté réception de message. Dite interactionnelle, elle prend appui sur le milieu extra-scolaire influencé par le développement de la socio-linguistique, la psychologie et la neurologie. Corollairement, l’enfant occupe une place centrale en opération éducative riche de ses éléments nouveaux avec google. La souplesse de l’enseignement fait de lui un maillon actif, un acteur participatif de la construction du savoir. Une marge de liberté est conquise sur le pouvoir des connaissances abstraites. Le décloisonnement des disciplines est devenu le fer de lance boostant les reformes pédagogiques. On dit que tous les arts s’ouvrent sur eux-mêmes pour cultiver une personnalité ouverte, équilibrée, citoyenne en harmonie avec le milieu social et associatif.
« J’ose proposer au lecteur une métaphore didactique qui permette à l’enseignant d’enseigner moins et à l’élève d’apprendre plus. » Cominius, Didactica Magna.
La vie sociale a connu un bond titanesque dans le cours de l’histoire moderne. Les technos du numérique a eu un gain de terrain tout azimut vers la dernière décennie du siècle précédent. Une onde de choc s’est fait sentir dans le champ éducatif qui accuse un retard retentissant avec ses retombées pédagogiques sur l’apprentissage, la vie psychique, comportementale des jeunes en panne de repères. En voilà les principales caractéristiques de ces avatars.
élève-sujet/Élève-citoyen :
Cette dichotomie lexicale nous place en situation comparatiste d’une école traditionnelle encore loin de satisfaire les besoins de son public qui patauge dans un conformisme. infondé mettant sous cape les attentes de ses sujets mal à l’aise dans une situation précaire.
Dans le premier cas de figure, l’institution scolaire a épousé une pédagogie répressive favorisant la grammaire normative, les faits de langue centrés sur l’écrit. L’enseignant y jouait un rôle prépondérant. A ce titre, il tenait l’essentiel du savoir, une source éminente des connaissances livresques, académiques. Cette suprématie d’un savoir abstrait pour l’essentiel fait souffrir les ados scolarisés en panne de compréhension profonde. Ce rapport vertical a fait des élèves un simple réceptacle d’infos pigées mécaniquement (sujets automates) . Un pot à fleurs plein de mots qui sonnent sans signification efficiente. Certainement la théorie behavioriste de l’école américaine, le conditionnement de Pavlov (école russe) étaient de mise ; ajoutons à cela l’approche structuraliste. Cette école était caractérisée par la mécanisation des faits de langue sans tenir compte du contexte social sur l’apprentissage. Exclusion totale de potentialités de l’enfant.
Élève-citoyen- participatif :
Cette approche est dite démocratique car elle met en ligne de compte les besoins sociaux, émotionnels, psychiques du destinataire. Dite interactionnelle, elle prend appui sur le milieu extra-scolaire influencé par le développement de la socio-linguistique, la psychologie et la neurologie. Corollairement, l’enfant occupe une place centrale en opération éducative riche de ses éléments nouveaux dont l’interface. La souplesse de l’enseignement fait de lui un maillon actif, un acteur participatif de la construction du savoir. Une marge de liberté est conquise sur le pouvoir des connaissances abstraites. Le décloisonnement des disciplines est devenu le fer de lance boostant les reformes pédagogiques. On dit que tous les arts s’ouvrent sur eux-mêmes pour ne personnalité ouverte, équilibrée, ayant le bon sens de cultiver t l’analyse objective.
-La linguistique de l’énonciation a eu une empreinte sur la révolution scolaire en accordant à la communication, le dialogue en contexte hors-scolaire a eu sa part de lion dans l’éducation. La spontanéité fait bonne figure ; les faits de langue, le vocabulaire sont subordonnés à la communication. L’apprenant se voit doter d’intérêt auparavant négligé.
-L’approche cognitive fait irruption, donne ses fruits en raison de son intérêt pour les représentations des choses que se fait l’apprenant sur son environnement ; bref le sens des mots reçus sera extrait de lui-même, de l’intérieur, non du milieu ambiant c’est dire extrinsèque. Se basant essentiellement sur le principe suivant : catégories thématique- sémantique-linguitique-
-L’analyse du discours (présence de je et tu) privilégie la perspective globale de la progression cognitive, c’est dire que le sens n’est pas enfermé dans une structure restreinte (école structuraliste) ou une phrase autonome mais elle dépend des séquences supérieures du texte ou discours. On tient compte de la place du scripteur, du locutaire ou récepteur du message ; aussi des conditions de la communication. Ce courant de pensée privilégie la grammaire du texte. Le sens est disséminés dans la globalité de l’énoncé dépassant la frantière phrastique.
-L’approche interactionniste se réfère à un énoncé particulier qui tire sa raison d’être dans
contexte de la situation, nous songeons en l’occurrence à la linguistique énonciative :
contexte et la situation, nous songeons en l’occurrence à la linguistique de l’énonciation : présence des actants avec leurs attitudes particulières, leurs intentions.
Ainsi, le savoir se construit- il à partir de l’expérience personnelle, des connaissances antérieures, le pré-requis au sujet parlant en quête d’adaptation de situations concordantes pour accéder à la découverte progressive de la nouvelle situation au niveau de l’out put ou la réception est mise en relief dans la fonction conative (niveau du contact) du discours selon Emile Benveniste, éminent linguiste de l’interaction dans l’enseignement.
CONCLUSION GÉNÉRALE :
Pour mettre en exergue une approche cognitiviste moderne, l’école doit faire peau neuve devant son public en crise de personnalité, de communication efficace, de compréhension raisonnée pour mener à bon port sa tache humaine de premier ordre reléguant à l’innovation, aux initiatives personnelles un rôle prépondérent. Autrement dit, une école qui sait séduire par les moyens numériques, langage du siècle en cours. Une approche communicative pluridimentionnelle est capable de jouer ce rôle majeur avec le concours de la société civile parce que l’éducation est une opération complexe à plusieurs facettes. (sciences de l’éducation est au pluriel) L’imaginaire libère aussi les potentiels dissimulés l’énergie créative des apprenants passionnés par la communication et le butinage numérique faisant irruption avec les tablettes, le IPhone.
L’idéal dans cet enseignement étant : un prof. qui enseigne moins, un élève qui apprend davantage dans une atmosphère de confiance pérenne. Les opérateurs dans le créneau doivent se battre bec et ongles dans le sens du bonheur collectif afin que s’établisse une harmonie entre l’école et la société. C’est l’éducation au plaisir qui favorise la mobilisation de l’apprentissage.
La jeunesse, une bombe à retardement à entretenir continuellement pour préserver la société d’un éclatement imminent de paysage scolaire menacé de dégradation.
Cette approche est dite démocratique car elle prend en compte les besoins sociaux, émotionnels, psychiques côté réception de message. Dite interactionnelle, elle prend appui sur le milieu extra-scolaire influencé par le développement de la socio-linguistique, la psychologie et la neurologie. Corollairement, l’enfant occupe une place centrale en opération éducative riche de ses éléments nouveaux avec google. La souplesse de l’enseignement fait de lui un maillon actif, un acteur participatif de la construction du savoir. Une marge de liberté est conquise sur le pouvoir des connaissances abstraites. Le décloisonnement des disciplines est devenu le fer de lance boostant les reformes pédagogiques. On dit que tous les arts s’ouvrent sur eux-mêmes pour cultiver une personnalité ouverte, équilibrée, citoyenne en harmonie avec le milieu social et associatif.
Poète Sedeck
Sedeck a publié sur le site 84 écrits. Sedeck est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète SedeckSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Le Système Éducatif Aux Prises Avec L’interface.
ɛ̃tʁɔdyksjɔ̃ ʒeneʁalə.« ʒozə pʁɔpoze o lεktœʁ ynə metafɔʁə didaktikə ki pεʁmεtə a lɑ̃sεɲɑ̃ dɑ̃sεɲe mwɛ̃z- e a lelεvə dapʁɑ̃dʁə plys. » kɔminjys, didaktika maɲa.
la vi sɔsjalə a kɔny œ̃ bɔ̃ titanεskə dɑ̃ lə kuʁ də listwaʁə mɔdεʁnə. lε tεkno dy nymeʁikə a y œ̃ ɡɛ̃ də teʁɛ̃ tut- azimy vεʁ la dεʁnjεʁə desεni dy sjεklə pʁesedɑ̃. ynə ɔ̃də də ʃɔk sε fε sɑ̃tiʁ dɑ̃ lə ʃɑ̃ edykatif ki akyzə œ̃ ʁətaʁ ʁətɑ̃tisɑ̃ avεk sε ʁətɔ̃be pedaɡɔʒik syʁ lapʁɑ̃tisaʒə, la vi psiʃikə, kɔ̃pɔʁtəmɑ̃talə dε ʒənəz- ɑ̃ panə də ʁəpεʁə. ɑ̃ vwala lε pʁɛ̃sipalə kaʁakteʁistik də sεz- avataʁ.
elεvə syʒε slaʃ elεvə sitwajɛ̃ :
sεtə diʃɔtɔmi lεksikalə nu plasə ɑ̃ sitɥasjɔ̃ kɔ̃paʁatistə dynə ekɔlə tʁadisjɔnεllə ɑ̃kɔʁə lwɛ̃ də satisfεʁə lε bəzwɛ̃ də sɔ̃ pyblik ki patoʒə dɑ̃z- œ̃ kɔ̃fɔʁmismə. ɛ̃fɔ̃de mεtɑ̃ su kapə lεz- atɑ̃tə də sε syʒε mal a lεzə dɑ̃z- ynə sitɥasjɔ̃ pʁekεʁə.
dɑ̃ lə pʁəmje ka də fiɡyʁə, lɛ̃stitysjɔ̃ skɔlεʁə a epuze ynə pedaɡɔʒi ʁepʁesivə favɔʁizɑ̃ la ɡʁamεʁə nɔʁmativə, lε fε də lɑ̃ɡ sɑ̃tʁe syʁ lekʁi. lɑ̃sεɲɑ̃ i ʒuε œ̃ ʁolə pʁepɔ̃deʁɑ̃. a sə titʁə, il tənε lesɑ̃sjεl dy savwaʁ, ynə suʁsə eminɑ̃tə dε kɔnεsɑ̃sə livʁεsk, akademik. sεtə sypʁemati dœ̃ savwaʁ abstʁε puʁ lesɑ̃sjεl fε sufʁiʁ lεz- ado skɔlaʁizez- ɑ̃ panə də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ pʁɔfɔ̃də. sə ʁapɔʁ vεʁtikal a fε dεz- elεvəz- œ̃ sɛ̃plə ʁesεptaklə dɛ̃fo piʒe mekanikəmεnt (syʒεz- otɔmatəs) . œ̃ po a flœʁ plɛ̃ də mo ki sɔne sɑ̃ siɲifikasjɔ̃ efisjɑ̃tə. sεʁtεnəmɑ̃ la teɔʁi bəavjɔʁistə də lekɔlə ameʁikεnə, lə kɔ̃disjɔnəmɑ̃ də pavlɔv (ekɔlə ʁysə) etε də mizə, aʒutɔ̃z- a səla lapʁoʃə stʁyktyʁalistə. sεtə ekɔlə etε kaʁakteʁize paʁ la mekanizasjɔ̃ dε fε də lɑ̃ɡ sɑ̃ təniʁ kɔ̃tə dy kɔ̃tεkstə sɔsjal syʁ lapʁɑ̃tisaʒə. εksklyzjɔ̃ tɔtalə də pɔtɑ̃sjalite də lɑ̃fɑ̃.
elεvə sitwajɛ̃ paʁtisipatif :
sεtə apʁoʃə ε ditə demɔkʁatikə kaʁ εllə mεt ɑ̃ liɲə də kɔ̃tə lε bəzwɛ̃ sɔsjo, emɔsjɔnεl, psiʃik dy dεstinatεʁə. ditə ɛ̃təʁaksjɔnεllə, εllə pʁɑ̃t- apɥi syʁ lə miljø εkstʁa skɔlεʁə ɛ̃flɥɑ̃se paʁ lə devəlɔpəmɑ̃ də la sɔsjo lɛ̃ɡɥistikə, la psikɔlɔʒi e la nəʁɔlɔʒi. kɔʁɔlεʁəmɑ̃, lɑ̃fɑ̃ ɔkypə ynə plasə sɑ̃tʁalə ɑ̃n- ɔpeʁasjɔ̃ edykativə ʁiʃə də sεz- elemɑ̃ nuvo dɔ̃ lɛ̃tεʁfasə. la suplεsə də lɑ̃sεɲəmɑ̃ fε də lɥi œ̃ majɔ̃ aktif, œ̃n- aktœʁ paʁtisipatif də la kɔ̃stʁyksjɔ̃ dy savwaʁ. ynə maʁʒə də libεʁte ε kɔ̃kizə syʁ lə puvwaʁ dε kɔnεsɑ̃səz- abstʁεtə. lə deklwazɔnəmɑ̃ dε disiplinəz- ε dəvəny lə fεʁ də lɑ̃sə bustɑ̃ lε ʁəfɔʁmə- pedaɡɔʒik. ɔ̃ di kə tus lεz- aʁ suvʁe syʁ ø mεmə puʁ nə pεʁsɔnalite uvεʁtə, ekilibʁe, εjɑ̃ lə bɔ̃ sɑ̃s də kyltive te lanalizə ɔbʒεktivə.
la lɛ̃ɡɥistikə də lenɔ̃sjasjɔ̃ a y ynə ɑ̃pʁɛ̃tə syʁ la ʁevɔlysjɔ̃ skɔlεʁə ɑ̃n- akɔʁdɑ̃ a la kɔmynikasjɔ̃, lə djalɔɡ ɑ̃ kɔ̃tεkstə ɔʁ skɔlεʁə a y sa paʁ də ljɔ̃ dɑ̃ ledykasjɔ̃. la spɔ̃taneite fε bɔnə fiɡyʁə, lε fε də lɑ̃ɡ, lə vɔkabylεʁə sɔ̃ sybɔʁdɔnez- a la kɔmynikasjɔ̃. lapʁənɑ̃ sə vwa dɔte dɛ̃teʁε opaʁavɑ̃ neɡliʒe.
lapʁoʃə kɔɲitivə fε iʁypsjɔ̃, dɔnə sε fʁɥiz- ɑ̃ ʁεzɔ̃ də sɔ̃n- ɛ̃teʁε puʁ lε ʁəpʁezɑ̃tasjɔ̃ dε ʃozə kə sə fε lapʁənɑ̃ syʁ sɔ̃n- ɑ̃viʁɔnəmɑ̃, bʁεf lə sɑ̃s dε mo ʁəsys səʁa εkstʁε də lɥi mεmə, də lɛ̃teʁjœʁ, nɔ̃ dy miljø ɑ̃bjɑ̃ sε diʁə εkstʁɛ̃sεkə. sə bazɑ̃ esɑ̃sjεllmɑ̃ syʁ lə pʁɛ̃sipə sɥivɑ̃ : kateɡɔʁi tematikə semɑ̃tikə lɛ̃ɡitikə
lanalizə dy diskuʁs (pʁezɑ̃sə də ʒə e ty) pʁivileʒi la pεʁspεktivə ɡlɔbalə də la pʁɔɡʁesjɔ̃ kɔɲitivə, sε diʁə kə lə sɑ̃s nε pa ɑ̃fεʁme dɑ̃z- ynə stʁyktyʁə ʁəstʁɛ̃tə (ekɔlə stʁyktyʁalistə) u ynə fʁazə otonomə mεz- εllə depɑ̃ dε sekɑ̃sə sypeʁjəʁə dy tεkstə u diskuʁ. ɔ̃ tjɛ̃ kɔ̃tə də la plasə dy skʁiptœʁ, dy lɔkytεʁə u ʁesεptœʁ dy mesaʒə, osi dε kɔ̃disjɔ̃ də la kɔmynikasjɔ̃. sə kuʁɑ̃ də pɑ̃se pʁivileʒi la ɡʁamεʁə dy tεkstə. lə sɑ̃sz- ε disemine dɑ̃ la ɡlɔbalite də lenɔ̃se depasɑ̃ la fʁɑ̃tjεʁə fʁastikə.
lapʁoʃə ɛ̃təʁaksjɔnistə sə ʁefεʁə a œ̃n- enɔ̃se paʁtikylje ki tiʁə sa ʁεzɔ̃ dεtʁə dɑ̃
kɔ̃tεkstə də la sitɥasjɔ̃, nu sɔ̃ʒɔ̃z- ɑ̃ lɔkyʁɑ̃sə a la lɛ̃ɡɥistikə enɔ̃sjativə :
kɔ̃tεkstə e la sitɥasjɔ̃, nu sɔ̃ʒɔ̃z- ɑ̃ lɔkyʁɑ̃sə a la lɛ̃ɡɥistikə də lenɔ̃sjasjɔ̃ : pʁezɑ̃sə dεz- aktɑ̃z- avεk lœʁz- atitydə paʁtikyljεʁə, lœʁz- ɛ̃tɑ̃sjɔ̃.
ɛ̃si, lə savwaʁ sə kɔ̃stʁɥi il a paʁtiʁ də lεkspeʁjɑ̃sə pεʁsɔnεllə, dε kɔnεsɑ̃səz- ɑ̃teʁjəʁə, lə pʁe ʁəkiz- o syʒε paʁlɑ̃ ɑ̃ kεtə dadaptasjɔ̃ də sitɥasjɔ̃ kɔ̃kɔʁdɑ̃tə puʁ aksede a la dekuvεʁtə pʁɔɡʁesivə də la nuvεllə sitɥasjɔ̃ o nivo də lu pyt u la ʁesεpsjɔ̃ ε mizə ɑ̃ ʁəljεf dɑ̃ la fɔ̃ksjɔ̃ kɔnativə (nivo dy kɔ̃takt) dy diskuʁ səlɔ̃ əmilə bɑ̃vənistə, emine lɛ̃ɡɥistə də lɛ̃təʁaksjɔ̃ dɑ̃ lɑ̃sεɲəmɑ̃.
kɔ̃klyzjɔ̃ ʒeneʁalə :
puʁ mεtʁə ɑ̃n- εɡzεʁɡ ynə apʁoʃə kɔɲitivistə mɔdεʁnə, lekɔlə dwa fεʁə po nəvə dəvɑ̃ sɔ̃ pyblik ɑ̃ kʁizə də pεʁsɔnalite, də kɔmynikasjɔ̃ efikasə, də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ ʁεzɔne puʁ məne a bɔ̃ pɔʁ sa taʃə ymεnə də pʁəmje ɔʁdʁə ʁəleɡɑ̃ a linɔvasjɔ̃, oz- inisjativə pεʁsɔnεlləz- œ̃ ʁolə pʁepɔ̃deʁɑ̃. otʁəmɑ̃ di, ynə ekɔlə ki sε sedɥiʁə paʁ lε mwajɛ̃ nymeʁik, lɑ̃ɡaʒə dy sjεklə ɑ̃ kuʁ. ynə apʁoʃə kɔmynikativə plyʁidimɑ̃sjɔnεllə ε kapablə də ʒue sə ʁolə maʒœʁ avεk lə kɔ̃kuʁ də la sɔsjete sivilə paʁsə kə ledykasjɔ̃ εt- ynə ɔpeʁasjɔ̃ kɔ̃plεksə a plyzjœʁ fasεtə. (sjɑ̃sə də ledykasjɔ̃ εt- o plyʁjəl) limaʒinεʁə libεʁə osi lε pɔtɑ̃sjεl disimyle lenεʁʒi kʁeativə dεz- apʁənɑ̃ pasjɔne paʁ la kɔmynikasjɔ̃ e lə bytinaʒə nymeʁikə fəzɑ̃ iʁypsjɔ̃ avεk lε tablεtə, lə ifɔnə.
lideal dɑ̃ sεt ɑ̃sεɲəmɑ̃ etɑ̃ : œ̃ pʁɔf. ki ɑ̃sεɲə mwɛ̃, œ̃n- elεvə ki apʁɑ̃ davɑ̃taʒə dɑ̃z- ynə atmɔsfεʁə də kɔ̃fjɑ̃sə peʁεnə. lεz- ɔpeʁatœʁ dɑ̃ lə kʁeno dwave sə batʁə bεk e ɔ̃ɡlə dɑ̃ lə sɑ̃s dy bɔnœʁ kɔlεktif afɛ̃ kə setablisə ynə-aʁmɔni ɑ̃tʁə lekɔlə e la sɔsjete. sε ledykasjɔ̃ o plεziʁ ki favɔʁizə la mɔbilizasjɔ̃ də lapʁɑ̃tisaʒə.
la ʒənεsə, ynə bɔ̃bə a ʁətaʁdəmɑ̃ a ɑ̃tʁətəniʁ kɔ̃tinɥεllmɑ̃ puʁ pʁezεʁve la sɔsjete dœ̃n- eklatəmɑ̃ imine də pεizaʒə skɔlεʁə mənase də deɡʁadasjɔ̃.
sεtə apʁoʃə ε ditə demɔkʁatikə kaʁ εllə pʁɑ̃t- ɑ̃ kɔ̃tə lε bəzwɛ̃ sɔsjo, emɔsjɔnεl, psiʃik kote ʁesεpsjɔ̃ də mesaʒə. ditə ɛ̃təʁaksjɔnεllə, εllə pʁɑ̃t- apɥi syʁ lə miljø εkstʁa skɔlεʁə ɛ̃flɥɑ̃se paʁ lə devəlɔpəmɑ̃ də la sɔsjo lɛ̃ɡɥistikə, la psikɔlɔʒi e la nəʁɔlɔʒi. kɔʁɔlεʁəmɑ̃, lɑ̃fɑ̃ ɔkypə ynə plasə sɑ̃tʁalə ɑ̃n- ɔpeʁasjɔ̃ edykativə ʁiʃə də sεz- elemɑ̃ nuvoz- avεk ɡuɡlə. la suplεsə də lɑ̃sεɲəmɑ̃ fε də lɥi œ̃ majɔ̃ aktif, œ̃n- aktœʁ paʁtisipatif də la kɔ̃stʁyksjɔ̃ dy savwaʁ. ynə maʁʒə də libεʁte ε kɔ̃kizə syʁ lə puvwaʁ dε kɔnεsɑ̃səz- abstʁεtə. lə deklwazɔnəmɑ̃ dε disiplinəz- ε dəvəny lə fεʁ də lɑ̃sə bustɑ̃ lε ʁəfɔʁmə- pedaɡɔʒik. ɔ̃ di kə tus lεz- aʁ suvʁe syʁ ø mεmə puʁ kyltive ynə pεʁsɔnalite uvεʁtə, ekilibʁe, sitwajεnə ɑ̃-aʁmɔni avεk lə miljø sɔsjal e asɔsjatif.
Récompense
Poesie sans commentaire
26/04/2024Poeme-France
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Prose Progrès
Du 30/08/2015 18:58
L'écrit contient 1108 mots qui sont répartis dans 2 strophes.