Poème:Paris

Paris

Vieux Paris sous tes batailles reconstruites Haussmann
Tes marchés, tes rues pavée, et toutes tes courtisanes

Sous le vent tournent les pales du moulin rouge
Rires, joies, tohu-bohu, french cancan ça bouge

Entre en gare prenez place la devant près des fenêtres
Regardez ces paysage, couleurs défiant le temps des peut être

Puis glisse ma tête sur ton épaules, juste ton cou je frôle
Commence l’errance sur ces banc de bois on a le premier rôle

Tangue valse des sentiments, voyage sans bruit juste la vapeur
Comme des gouttelettes pinceau fou, fuite du temps qui pleur

Monet, Degas, Morisot, Sisley, teinte sauvage partage en mouvance
Entre en nous alors sorte de transe, ouvre la fenêtre jouvence

Plus loin les bistrots, bois absinthe, lis poètes et écoute ragot
Côtoyant les petites tables et les grands d’a présent dans l’argots

Mélancolie des chapeaux, jupon, mélodie des ombrelles arc en ciel
Sous les sabots traînant des tonneaux entend presque l’escarcelle

Les jardins, le soleil, la mer, les fleurs, déjeuner sur l’herbe
Puis en mes yeux même elle en deviens bleue exacerbe

Alors on sort du musée retour réalité but Champs Elysées
Délires chinois, rires conviviaux, garage putois, puis marche a volonté

Tour Eiffel, la Bastille, le Trocadéro, comme des rats sortent des métros
Surtout ne pas se perdre retour case départ gare de Lyon et au trot

En souvenir de ce périples partages les joies de mon cœur
J’ai découvert Pascal et Eric qui furent mes guides parfois farceurs

Des images, des saveurs, des bières, des odeurs, des musées, des cafés, des couleurs
De l’amour, de l’amitié, de la tendresse, da la compréhension, échange de bonne humeur

La page se tourne mais continue l’aventure sous ma plume tel le verre de l’amitié
Pour ceux qui n’ont eu la joie du voyage je vous l’offre un peu en ce résumé