Texte:Née Femme

La reine est morte.
Nous n’avons plus d’echapatoire.
Aux beaux jours, nous diront adieu.
Il est la le prince qui nous à détruit
Par la force de sa rage

Si seulement il y avait un moyen
De montrer ma gloire
À ce monde coupable
De cette façon de voir le mal
Dans un Trésor d’humanité

N’est pas honte de ta nature
Montre ta volonté au grand jour.
Peu importe le temps que cela prendra.
N’oublie pas qui tu es.

Mon cœur brûle de haine.

Je suis un de ces monuments oublié dans le tréfonds de l’Océan.
Je suis ce joyau inestimable.
Vendu au plus offrant

L’âme brûlante
D’un corps trop peu accepté

Je hurlerais à ma destinée.
Que j’aime ce signe ingrat
À ces hommes si peu concentré
Sur la seule chose que le cœur admet

L’indignité de s’en prendre à nous
Et une chose que seul, ils ne voient pas
Mettons donc devant leurs yeux.
Cette trahison qu’ils ne s’avouent pas

À mon corps et cette malchance
Je dirais que je ne suis plus la même.
Depuis que ma vie à commencé

Je suis forgé.
Une femme transformée en homme
Sans équité
Je suis ce qu’il y a de plus monstrueux en ce monde.

N’est pas honte de ta nature
Montre ta volonté au grand jour
Peu importe le temps que cela prendra.
N’oublie pas qui tu es.

Mon cœur brûle de haine.

Je suis un de ces monuments oublié dans le tréfonds de l’Océan.
Je suis ce joyau inestimable.
Vendu au plus offrant

L’âme brûlante
D’un corps trop peu accepté

En face du ciel
À l’aura de l’oubli
Peu importe ce qui nous attend.
Nous resterons fortes.

Même meurtris
Sous influences
Entre haine et cauchemar
À l’aube de jour meilleur

Condamné à erré
À la recherche du mal incarné
Celui qui montrera
Que la haine
Porté à nos portes

N’est en aucun cas
Celle qui nous anime
Nous femmes délaisser
Par cette même humanité
Qui nous à fait naître.

Voilà pourquoi à toutes les femmes de ce monde, je dis :

N’ayons pas honte de notre nature
Montrons notre volonté au grand jour
Peu importe le temps que cela prendra
N’oublions pas qui nous sommes.

Nos cœur brûle de haine.

Nous sommes ces monuments oubliés dans le tréfonds de l’Océan.
Nous sommes ces joyaux inestimables,
Vendu au plus offrant.

Les âmes brûlantes
De nos corps trop peu acceptés
Un jour enfin,
Elles seront soulagés.