Poème:Mourrir De Ce Que Je N’ai Pas.

Ca peut paraître stupide,
Mais le silence cache ma mort,
Sous le poids de mon trésor,
Meurt un cœur limpide.

Des mots déposés ne paraissant pas plausible,
Surréliste, pour décrire l’envie de vivre paisible,
Mais rien n’attire une lumière derrière ma pénombre,
Je cherche, j’erre, mais je demeure seul dans l’ombre.
Plus de souffle, de battements de plume errante,
Triste et mourante. Les pages de ma vie,
Se rabbatent et ferme mon livre, d’avoir attendu l’envie,
De me sentir vivre.
Pourquoi chercher les signes d’un destin,
Qui ne veux pas vous tendre la main,
Pourquoi croire en un espoir,
Quand subsiste mon malheur le soir…
Je n’ai plus d’attaches, point de ralliement,
Je pleur ce que je suis inlassablement… ,
Plus d’horizon, l’avenir s’enlisse dans l’obscurité,
Plus d’étoile pour me guider vers ma vérité… ,
Aimer. Mort dans le creux d’un silence,
Au sommet d’un art en révérance.
J’étais armer de patience… ,
Mais ma vaincu la souffrance,
Quotidienne et rongeante de mes cris,
Qui s’évade dans le confin de la nuit.
Je suis un oublié, sur la pendule de la destinée,
Née pour pleurer, et imaginer vivre en paix… , et aimer.
L’imagination montré à ma plume la direction,
Mais des brumes seul reste l’orientation,
Je divague sur les larmes de l’océan,
Des vagues de mes écrits entrevoyants… ,
La sérénité en harmonie avec félicité,
Mais point de facilité, mon âme est condamnée.
J’ai chercher une flamme pour mettre ces contours,
Essayer d’imaginer de vivre sous de beaux jours… ,
Temps de l’insouciance cherchant un devenir,
Mais plus rien ne m’attend à venir.
Peut être une solitude éternelle,
Compagne de mon cœur seul au réel,
Je meurt chaque jour de ce que je n’ai pas,
Les flots de l’amour me guide à mon trépas.