Poème:Pour Toi Papy
Le Poème
A mon cher Grand Père
Pourquoi m’as-tu quittée ? Tu as laissé derrière toi des millions de larmes, coulées sur mon visage.
J’ai eu si mal, ton départ m’a brisé le cœur en mille morceaux. Je pense à toi jours et nuits, je t’avais fais une promesse lors de ton départ, t’écrire.
Mais pourquoi le faire tu n’es plus là pour lire mes lettres ! Mais ne t’inquiètes pas je pense très fort à toi mon Papy.
Je n’arrive plus à dessiner ton visage dans mon esprit, je m’en veux tellement, j’ai l’impression que la vie ne veut pas que je me souvienne de toi Grand Père.
Ta voix, tes yeux, je ne m’en souviens plus. Je n’arrive à me souvenir que d’une chose, ta maladie. Tu étais si faible, malheureux. La dernière fois que j’ai pu entendre ta voix c’était deux jours avant ta mort.
Tu me disais que tu pensais ressortir de cet hôpital le lendemain de mon appel.
Mais tu n’es jamais ressorti de ce lieu immonde qui t’a volé la vie ! ! !
Au téléphone j’ai pu t’appeler « Papy » pour la première fois sans que tu me réprimandes. Tu m’as même dis que tu m’aimais je crois bien que c’était la seule fois.
C’est là que j’ai compris que tu n’allais pas bien. Car pour me dire ça c’est que tu as peur de ne plus me revoir.
Mais on s’est revus une dernière fois tu étais dans ton cercueil et moi au premier rang. L’homme de cérémonie nous a dit de nous lever pour aller te voir une ultime fois
Je n’ais même pas pu toucher ton cercueil, j’avais peur, j’étais effrayée Papy, effrayée de la mort, de te quitter à jamais.
Mais c’est ce qui est arrivé.
Quelques années plus tard, j’ai toujours mal Papy !
Je ne souhaite qu’une chose, ne jamais me réveiller pour te revoir à l’endroit où tu es loin de tout le monde, loin du bruit, loin des cris, Mais tu n’es pas loin de mes pleurs qui te harcèlent. Je prie, je pleure, je meurs d’une douleur atroce !
Curieusement, je sens une présence qui me murmure « je ne t’oublierai jamais, tu resteras ma petite fille pour le reste de l’éternité. Je t’aime »
De tout en haut, tu me vois pleurer, hurler, te supplier de me revenir. Mais rien ne se passe.
J’espère que cette lettre me fera comprendre que je ne te reverrai jamais.
Je pense fort à toi, à moi, à nous et c’est donc pour ça que je dois faire mon deuil car je ne profite pas de la vie j’ai mal d’un amour que je ne pourrai jamais rattraper.
Alors, avec toutes les larmes de mon cœur, je vais te dire Adieu papy. Je ne t’oublierai jamais.
JE T’AIME
Pourquoi m’as-tu quittée ? Tu as laissé derrière toi des millions de larmes, coulées sur mon visage.
J’ai eu si mal, ton départ m’a brisé le cœur en mille morceaux. Je pense à toi jours et nuits, je t’avais fais une promesse lors de ton départ, t’écrire.
Mais pourquoi le faire tu n’es plus là pour lire mes lettres ! Mais ne t’inquiètes pas je pense très fort à toi mon Papy.
Je n’arrive plus à dessiner ton visage dans mon esprit, je m’en veux tellement, j’ai l’impression que la vie ne veut pas que je me souvienne de toi Grand Père.
Ta voix, tes yeux, je ne m’en souviens plus. Je n’arrive à me souvenir que d’une chose, ta maladie. Tu étais si faible, malheureux. La dernière fois que j’ai pu entendre ta voix c’était deux jours avant ta mort.
Tu me disais que tu pensais ressortir de cet hôpital le lendemain de mon appel.
Mais tu n’es jamais ressorti de ce lieu immonde qui t’a volé la vie ! ! !
Au téléphone j’ai pu t’appeler « Papy » pour la première fois sans que tu me réprimandes. Tu m’as même dis que tu m’aimais je crois bien que c’était la seule fois.
C’est là que j’ai compris que tu n’allais pas bien. Car pour me dire ça c’est que tu as peur de ne plus me revoir.
Mais on s’est revus une dernière fois tu étais dans ton cercueil et moi au premier rang. L’homme de cérémonie nous a dit de nous lever pour aller te voir une ultime fois
Je n’ais même pas pu toucher ton cercueil, j’avais peur, j’étais effrayée Papy, effrayée de la mort, de te quitter à jamais.
Mais c’est ce qui est arrivé.
Quelques années plus tard, j’ai toujours mal Papy !
Je ne souhaite qu’une chose, ne jamais me réveiller pour te revoir à l’endroit où tu es loin de tout le monde, loin du bruit, loin des cris, Mais tu n’es pas loin de mes pleurs qui te harcèlent. Je prie, je pleure, je meurs d’une douleur atroce !
Curieusement, je sens une présence qui me murmure « je ne t’oublierai jamais, tu resteras ma petite fille pour le reste de l’éternité. Je t’aime »
De tout en haut, tu me vois pleurer, hurler, te supplier de me revenir. Mais rien ne se passe.
J’espère que cette lettre me fera comprendre que je ne te reverrai jamais.
Je pense fort à toi, à moi, à nous et c’est donc pour ça que je dois faire mon deuil car je ne profite pas de la vie j’ai mal d’un amour que je ne pourrai jamais rattraper.
Alors, avec toutes les larmes de mon cœur, je vais te dire Adieu papy. Je ne t’oublierai jamais.
JE T’AIME
PostScriptum
celui ci non pllu né pa un poème
Poète Tite_Louloune
Tite_Louloune a publié sur le site 8 écrits. Tite_Louloune est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète Tite_LoulouneSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Pour Toi Papy
a=mon=cher=grand=pè=re 6pour=quoi=mas=tu=quit=tée=tu=as=lais=sé=der=riè=re=toi=des=mil=li=ons=de=lar=mes=cou=lées=sur=mon=vi=sa=ge 28
jai=eu=si=mal=ton=dé=part=ma=bri=sé=le=cœur=en=mille=mor=ceaux=je=penseà=toi=jours=et=nuits=je=ta=vais=fais=u=ne=pro=mes=se=lors=de=ton=dé=part=té=crire 38
mais=pour=quoi=le=faire=tu=nes=plus=là=pour=li=re=mes=let=tres=mais=ne=tin=quiè=tes=pas=je=pen=se=très=fort=à=toi=mon=pa=py 31
je=nar=rive=plus=à=des=si=ner=ton=vi=sa=ge=dans=mon=es=prit=je=men=veux=tel=le=ment=jai=lim=pres=sion=que=la=vie=ne=veut=pas=que=je=me=sou=vien=ne=de=toi=grand=père 42
ta=voix=tes=yeux=je=ne=men=sou=viens=plus=je=nar=riveà=me=sou=ve=nir=que=du=ne=cho=se=ta=ma=la=die=tu=é=tais=si=fai=ble=malheu=reux=la=der=niè=re=fois=que=jai=pu=en=ten=dre=ta=voix=cé=tait=deux=jours=a=vant=ta=mort 55
tu=me=di=sais=que=tu=pen=sais=res=sor=tir=de=cet=hô=pi=tal=le=len=de=main=de=mon=ap=pel 24
mais=tu=nes=ja=mais=res=sor=ti=de=ce=lieu=im=mon=de=qui=ta=vo=lé=la=vie 20
au=té=lé=phone=jai=pu=tap=pe=ler=pa=py=pour=la=pre=miè=re=fois=sans=que=tu=me=ré=pri=mandes=tu=mas=mê=me=dis=que=tu=mai=mais=je=crois=bien=que=cé=tait=la=seu=le=fois 43
cest=là=que=jai=com=pris=que=tu=nal=lais=pas=bien=car=pour=me=dire=ça=cest=que=tu=as=peur=de=ne=plus=me=re=voir 28
mais=on=sest=re=vus=une=der=niè=re=fois=tu=é=tais=dans=ton=cer=cueil=et=moi=au=pre=mier=rang=lhom=me=de=cé=ré=mo=nie=nous=a=dit=de=nous=le=ver=pour=al=ler=te=voir=u=neul=ti=me=fois 47
je=nais=même=pas=pu=tou=cher=ton=cer=cueil=ja=vais=peur=jé=tais=ef=frayée=pa=py=ef=frayée=de=la=mort=de=te=quit=ter=à=ja=mais 31
mais=cest=ce=qui=est=ar=ri=vé 8
quel=ques=an=nées=plus=tard=jai=tou=jours=mal=pa=py 12
je=ne=sou=haite=quu=ne=cho=se=ne=ja=mais=me=ré=vei=ller=pour=te=re=voir=à=len=droit=où=tu=es=loin=de=tout=le=mon=de=loin=du=bruit=loin=des=cris=mais=tu=nes=pas=loin=de=mes=pleurs=qui=te=har=cèlent=je=prie=je=pleu=re=je=meurs=du=ne=dou=leur=a=troce 62
cu=rieuse=ment=je=sens=u=ne=pré=sen=ce=qui=me=mur=mu=re=je=ne=tou=blie=rai=ja=mais=tu=res=te=ras=ma=pe=ti=te=fille=pour=le=res=te=de=lé=ter=ni=té=je=taime 42
de=tout=en=haut=tu=me=vois=pleu=rer=hur=ler=te=sup=pli=er=de=me=re=ve=nir=mais=rien=ne=se=pas=se 26
jes=pè=re=que=cet=te=let=tre=me=fe=ra=com=pren=dre=que=je=ne=te=re=ver=rai=ja=mais 23
je=pense=fort=à=toi=à=moi=à=nous=et=cest=donc=pour=ça=que=je=dois=fai=re=mon=deuil=car=je=ne=pro=fi=te=pas=de=la=vie=jai=mal=dun=a=mour=que=je=ne=pour=rai=ja=mais=rat=tra=per 46
a=lors=a=vec=tou=tes=les=lar=mes=de=mon=cœur=je=vais=te=di=re=a=dieu=pa=py=je=ne=tou=blie=rai=ja=mais 28
je=tai=me 3
Phonétique : Pour Toi Papy
a mɔ̃ ʃεʁ ɡʁɑ̃ pεʁəpuʁkwa ma ty kite ? ty a lεse dəʁjεʁə twa dε miljɔ̃ də laʁmə, kule syʁ mɔ̃ vizaʒə.
ʒε y si mal, tɔ̃ depaʁ ma bʁize lə kœʁ ɑ̃ milə mɔʁso. ʒə pɑ̃sə a twa ʒuʁz- e nɥi, ʒə tavε fεz- ynə pʁɔmεsə lɔʁ də tɔ̃ depaʁ, tekʁiʁə.
mε puʁkwa lə fεʁə ty nε plys la puʁ liʁə mε lεtʁə ! mε nə tɛ̃kjεtə pa ʒə pɑ̃sə tʁε fɔʁ a twa mɔ̃ papi.
ʒə naʁivə plysz- a desine tɔ̃ vizaʒə dɑ̃ mɔ̃n- εspʁi, ʒə mɑ̃ vø tεllmɑ̃, ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ kə la vi nə vø pa kə ʒə mə suvjεnə də twa ɡʁɑ̃ pεʁə.
ta vwa, tεz- iø, ʒə nə mɑ̃ suvjɛ̃ plys. ʒə naʁivə a mə suvəniʁ kə dynə ʃozə, ta maladi. ty etε si fεblə, maləʁø. la dεʁnjεʁə fwa kə ʒε py ɑ̃tɑ̃dʁə ta vwa setε dø ʒuʁz- avɑ̃ ta mɔʁ.
ty mə dizε kə ty pɑ̃sε ʁəsɔʁtiʁ də sεt opital lə lɑ̃dəmɛ̃ də mɔ̃n- apεl.
mε ty nε ʒamε ʁəsɔʁti də sə ljø imɔ̃də ki ta vɔle la vi ! ! !
o telefɔnə ʒε py tapələʁ « papi » puʁ la pʁəmjεʁə fwa sɑ̃ kə ty mə ʁepʁimɑ̃də. ty ma mεmə di kə ty mεmε ʒə kʁwa bjɛ̃ kə setε la sələ fwa.
sε la kə ʒε kɔ̃pʁi kə ty nalε pa bjɛ̃. kaʁ puʁ mə diʁə sa sε kə ty a pœʁ də nə plys mə ʁəvwaʁ.
mεz- ɔ̃ sε ʁəvysz- ynə dεʁnjεʁə fwa ty etε dɑ̃ tɔ̃ sεʁkœj e mwa o pʁəmje ʁɑ̃. lɔmə də seʁemɔni nuz- a di də nu ləve puʁ ale tə vwaʁ ynə yltimə fwa
ʒə nεs mεmə pa py tuʃe tɔ̃ sεʁkœj, ʒavε pœʁ, ʒetεz- efʁεje papi, efʁεje də la mɔʁ, də tə kite a ʒamε.
mε sε sə ki εt- aʁive.
kεlkz- ane plys taʁ, ʒε tuʒuʁ mal papi !
ʒə nə suεtə kynə ʃozə, nə ʒamε mə ʁevεje puʁ tə ʁəvwaʁ a lɑ̃dʁwa u ty ε lwɛ̃ də tu lə mɔ̃də, lwɛ̃ dy bʁɥi, lwɛ̃ dε kʁi, mε ty nε pa lwɛ̃ də mε plœʁ ki tə-aʁsεle. ʒə pʁi, ʒə plœʁə, ʒə mœʁ dynə dulœʁ atʁɔsə !
kyʁjøzəmɑ̃, ʒə sɑ̃sz- ynə pʁezɑ̃sə ki mə myʁmyʁə « ʒə nə tubljəʁε ʒamε, ty ʁεstəʁa ma pətitə fijə puʁ lə ʁεstə də letεʁnite. ʒə tεmə »
də tut- ɑ̃-o, ty mə vwa pləʁe, yʁle, tə syplje də mə ʁəvəniʁ. mε ʁjɛ̃ nə sə pasə.
ʒεspεʁə kə sεtə lεtʁə mə fəʁa kɔ̃pʁɑ̃dʁə kə ʒə nə tə ʁəveʁε ʒamε.
ʒə pɑ̃sə fɔʁ a twa, a mwa, a nuz- e sε dɔ̃k puʁ sa kə ʒə dwa fεʁə mɔ̃ dəj kaʁ ʒə nə pʁɔfitə pa də la vi ʒε mal dœ̃n- amuʁ kə ʒə nə puʁʁε ʒamε ʁatʁape.
alɔʁ, avεk tutə lε laʁmə- də mɔ̃ kœʁ, ʒə vε tə diʁə adjø papi. ʒə nə tubljəʁε ʒamε.
ʒə tεmə
Syllabes Phonétique : Pour Toi Papy
a=mɔ̃=ʃεʁ=ɡʁɑ̃=pε=ʁə 6puʁ=kwa=ma=ty=ki=te=ty=a=lεse=də=ʁjε=ʁə=twa=dε=mi=ljɔ̃=də=laʁ=mə=ku=le=syʁ=mɔ̃=vi=zaʒə 25
ʒε=y=si=mal=tɔ̃=de=paʁ=ma=bʁi=ze=lə=kœʁ=ɑ̃=milə=mɔʁ=so=ʒə=pɑ̃=səa=twa=ʒuʁ=ze=nɥi=ʒə=ta=vε=fε=zy=nə=pʁɔ=mε=sə=lɔʁ=də=tɔ̃=de=paʁ=te=kʁiʁə 39
mε=puʁ=kwalə=fε=ʁə=ty=nε=plys=la=puʁ=li=ʁə=mε=lε=tʁə=mε=nə=tɛ̃=kjε=tə=pa=ʒə=pɑ̃=sə=tʁε=fɔʁ=a=twa=mɔ̃=pa=pi 31
ʒə=na=ʁivə=plys=za=de=si=ne=tɔ̃=vi=za=ʒə=dɑ̃=mɔ̃=nεs=pʁi=ʒə=mɑ̃=vø=tεl=lmɑ̃=ʒε=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=kə=la=vi=nə=vø=pa=kə=ʒə=mə=su=vjε=nə=də=twa=ɡʁɑ̃=pεʁə 41
ta=vwa=tε=ziø=ʒə=nə=mɑ̃=su=vjɛ̃=plys=ʒə=na=ʁivəa=mə=su=və=niʁ=kə=dy=nə=ʃo=zə=ta=ma=la=di=ty=e=tε=si=fε=blə=ma=lə=ʁø=la=dεʁ=njε=ʁə=fwa=kə=ʒε=py=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=ta=vwa=se=tε=dø=ʒuʁ=za=vɑ̃=ta=mɔʁ 56
tymə=di=zε=kə=ty=pɑ̃=sε=ʁə=sɔʁ=tiʁ=də=sεt=o=pi=tal=lə=lɑ̃=də=mɛ̃=də=mɔ̃=na=pεl 23
mε=ty=nε=ʒa=mεʁə=sɔʁ=ti=də=sə=ljø=i=mɔ̃=də=ki=ta=vɔ=le=la=vi 19
o=te=le=fɔnə=ʒε=py=ta=pə=ləʁ=pa=pi=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=sɑ̃=kə=ty=mə=ʁe=pʁi=mɑ̃=də=ty=ma=mε=mə=di=kə=ty=mε=mε=ʒə=kʁwa=bjɛ̃=kə=se=tε=la=sə=lə=fwa 44
sε=lakə=ʒε=kɔ̃=pʁi=kə=ty=na=lε=pa=bjɛ̃=kaʁ=puʁ=mə=di=ʁə=sa=sε=kə=ty=a=pœʁ=də=nə=plys=mə=ʁə=vwaʁ 28
mε=zɔ̃=sεʁə=vys=zy=nə=dεʁ=njε=ʁə=fwa=ty=e=tε=dɑ̃=tɔ̃=sεʁ=kœj=e=mwa=o=pʁə=mje=ʁɑ̃=lɔ=mə=də=se=ʁe=mɔ=ni=nu=za=di=də=nu=lə=ve=puʁ=a=le=tə=vwaʁ=y=nəyl=ti=mə=fwa 47
ʒə=nεsə=mε=mə=pa=py=tu=ʃe=tɔ̃=sεʁ=kœj=ʒa=vε=pœʁ=ʒe=tε=ze=fʁε=je=pa=pi=e=fʁε=je=də=la=mɔʁ=də=tə=ki=te=a=ʒa=mε 34
mε=sε=sə=ki=ε=ta=ʁi=ve 8
kεl=kza=ne=plys=taʁ=ʒε=tu=ʒuʁ=mal=pa=pi 11
ʒə=nə=su=εtə=ky=nə=ʃo=zə=nə=ʒa=mε=mə=ʁe=vε=je=puʁ=tə=ʁə=vwaʁ=a=lɑ̃=dʁwa=u=ty=ε=lwɛ̃=də=tu=lə=mɔ̃=də=lwɛ̃=dy=bʁɥi=lwɛ̃=dε=kʁi=mε=ty=nε=pa=lwɛ̃=də=mε=plœʁ=ki=tə-aʁ=sε=le=ʒə=pʁi=ʒə=plœ=ʁə=ʒə=mœʁ=dy=nə=du=lœʁ=a=tʁɔsə 63
ky=ʁjø=zə=mɑ̃=ʒə=sɑ̃s=zy=nə=pʁe=zɑ̃=sə=ki=mə=myʁ=my=ʁə=ʒə=nə=tu=bljə=ʁε=ʒa=mε=ty=ʁεs=tə=ʁa=ma=pə=ti=tə=fi=jə=puʁ=lə=ʁεs=tə=də=le=tεʁ=ni=te=ʒə=tεmə 44
də=tu=tɑ̃-o=ty=mə=vwa=plə=ʁe=yʁ=le=tə=sy=plj=e=də=mə=ʁə=və=niʁ=mε=ʁjɛ̃=nə=sə=pa=sə 26
ʒεs=pε=ʁə=kə=sε=tə=lε=tʁə=mə=fə=ʁa=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=kə=ʒə=nə=tə=ʁə=ve=ʁε=ʒa=mε 23
ʒə=pɑ̃sə=fɔʁ=a=twa=a=mwa=a=nu=ze=sε=dɔ̃k=puʁ=sa=kə=ʒə=dwa=fε=ʁə=mɔ̃=dəj=kaʁ=ʒə=nə=pʁɔ=fi=tə=pa=də=la=vi=ʒε=mal=dœ̃=na=muʁ=kə=ʒə=nə=puʁ=ʁε=ʒa=mε=ʁa=tʁa=pe 46
a=lɔʁ=a=vεk=tu=tə=lε=laʁ=mə=də=mɔ̃=kœ=ʁə=ʒə=vε=tə=di=ʁə=a=dj=ø=pa=pi=ʒə=nə=tu=bljə=ʁε=ʒa=mε 30
ʒə=tε=mə 3
Récompense
Poesie sans commentaire

02/05/2025Poeme-France
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Poème Triste
Du 30/03/2006 00:00
L'écrit contient 507 mots qui sont répartis dans 19 strophes.