Poème:Confession 1

Espoir me fait couler dans un désespoir
De colère mélangée à des mots dérisoires.
Je sais que le monde entier s’en fiche
Même si j’écris « Grosse conne » sur une affiche.
Je sais que mes mots ne sont pas corrects
Mais vous, est-ce que vous l’êtes ? ?
Le monde sans fou de moi
Mais jusqu’au bout je garderais la foi !
En dieu, ô qu’eus non ;
Ce n’est qu’un gros con.
Désolé pour ceux qui y croit
Mais il m’a abandonnée, sans espoir ;
Il laisse les gens crever de faim
Et je devrais y croire ? ! Mais enfin ! !
Croire en moi ?
Non pas en moi.
Je ne sais même pas si, Ô mon père
Est-ce que Dieu veut de ma vie prospère ?
Ne parlez point, j’ai ma réponse ;
Il veut que je porte une couronne de ronces
Ou peut-être d’épines, mais écoutez cette chose :
« Je voudrais être épine pour portez une rose
Qui éclose quand je lui porte mon amour
Chaque matin, comme mère le fait toujours. »
Mais depuis un moment, je fane
Je ne crois plus en Dieu et je profane ;
Des mots sans valeur qui vont
Par delà mes malheurs en portant mon nom.
Ö mon père, pardonnez ma confession ;
Mais dans cette société, je ne suis qu’un pion
Je suis peut-être la dame, non la tour
Mais dans ma tête je me considère comme fou…
… D’amour ? ?
Peut-être est-ce ma raison en ce jour.
Mais je ne pense pas laver mes mains
Car quand au petit matin, demain ;
Le soleil se lèvera sur un ciel doux
Et mon rêve sera bien lourd…