Poème:L’etoile.

Grande est brave Dame, de sa plume, de sa muse, t’offrait de son esprit vaillant et sage
Ses pensées tout un charme, telle la pleine lune en son ciel étoilé
De l’azur du rêve, édifiait le poème que l’alphabet des livres et les feuilles n’ont jamais dit
Et quelque chose de toi qui t’enfièvre, sans que personne ne le sache,
Sur les pages de l’innocence, t’emplissais de la lueur de l’espoir, ou la raison calme ses romances
Et le cœur ses plaies vives, sans qu’il ne soit de flamme, que le poète a de naissance
Que veux-tu d’autre que cela ami !
Mariant ses poèmes, des mots radieux du soleil et des chants fleurs avec splendeur et aisance
La parole et son sourire à la conquête de ton cœur, de l’enceinte du silence rentrent
Donnent accès au soleil qui jardine ta solitude, Minerve de son temps
Aussitôt c’est l’élan dans l’éther et mollement se lève un peu de paix en ton âme inquiète
Vers par vers, en prose en alexandrin, de la beauté de son art, te versera de l’âme des fleurs, le baume qui t’enivre et t’enchante
Incitant chaque être, d’oublier ses maux et ses angoisses, qu’importent le monde et le temps, jouir du jour avant qu’il passe, toute poing, toute espérance, plus libre que le vent
Et qu’elle pureté en elle ! Venus revenu du passé, pour nous enseigner l’amour, l’amitié, la sagesse et mettre un peu de la joie aux cœurs des poètes
Seul esquif pour notre naissance.

Le 01/09/12**