Poème:Mironton
Le Poème
Aujourd’hui c’est jeudi, un jour de plus dans la semaine.
Que vais je faire de plus que je n’ai fait hier.
Je vais encore écrire à celle qui est mienne,
Car même au bout de tant d’années je veux lui dire, je t’aime
Un jour tu es partie je ne sais toujours pourquoi.
Tu ne me l’as jamais dit, tu ne me m’as pas écrit.
Était-ce par jalousie, je ne vois pas au nom de quoi.
Bref, tu es partie je ne sais pourquoi ni pour qui.
En avais tu marre de la vie, avais tu un ami ?
Peut être un autre but, ça je crois que je l’aurais su,
Mais ces derniers temps, tu semblais si aigrie.
Je te connais par cœur, mais je ne l’aurais jamais cru.
Pourtant depuis quelques temps, je le sentais très bien,
Il me semblait que tu n’allais pas bien.
Tes absences répétées, pour aller je ne sais où,
Mais je te faisais confiance alors peu importe peu ou prou.
Et puis je te sentais de moins en moins auprès de moi.
Toi si douce si câline après plus de quatorze ans,
Tu étais encore tendre, tu venais dans mes bras.
Alors quelles causes à tes absences sans me dire pourquoi.
J’allais et venais dans notre maison,
Je l’avais construite pour nous mur après mur.
Consciencieusement avec tant de passion,
J’y ai laissé tant de sueur mais elle a pris tournure.
Tu en étais ravie, nous l’avons pensée et faite ensemble
Elle nous a pris du temps et puis notre santé.
Mais avec tes petits, c’était notre rêve et on l’a réalisé
Ils ont grandi, partis, c’est la vie maintenant, elle nous rassemble.
Le Noël dernier nous étions tous réunis
Ah on s’en est payé une bonne partie !
Et voilà qu’aujourd’hui je me retrouve tout seul,
Ne sachant dans ces chers murs, où es tu donc encore partie.
Pourtant j’en ai l’habitude mais aujourd’hui,
Je ne le sens pas comme les autres fois,
Car depuis plusieurs jours tu me sembles plus qu’amoindrie,
Même faible, voire même presque sans joie,
Et cela ne te ressemble pas.
Depuis quelques temps tu dormais si mal,
Que dans notre chambre seul alors je restais.
Seule dans la chambre où l’on t’a recueillie.
Il y a une heure encore de mes yeux je t’avais vue,
Tu me semblais si calme lorsque j’ai entr’ouvert la porte.
Lorsque je l’ai refermée, tu n’as pas bougé, tu n’avais rien entendu.
Je suis remonté dans ta chambre.
J’ai tout de suite compris ce qui venait d’arriver.
Tout le monde au village t’avait encore vue, t’avais saluée,
C’est fou d’ailleurs ce que tu étais bien vue.
Tout le monde l’aimait.
Tout le monde la caressait.
C’était la chatte de la maison.
On l’appelait Mironton.
Que vais je faire de plus que je n’ai fait hier.
Je vais encore écrire à celle qui est mienne,
Car même au bout de tant d’années je veux lui dire, je t’aime
Un jour tu es partie je ne sais toujours pourquoi.
Tu ne me l’as jamais dit, tu ne me m’as pas écrit.
Était-ce par jalousie, je ne vois pas au nom de quoi.
Bref, tu es partie je ne sais pourquoi ni pour qui.
En avais tu marre de la vie, avais tu un ami ?
Peut être un autre but, ça je crois que je l’aurais su,
Mais ces derniers temps, tu semblais si aigrie.
Je te connais par cœur, mais je ne l’aurais jamais cru.
Pourtant depuis quelques temps, je le sentais très bien,
Il me semblait que tu n’allais pas bien.
Tes absences répétées, pour aller je ne sais où,
Mais je te faisais confiance alors peu importe peu ou prou.
Et puis je te sentais de moins en moins auprès de moi.
Toi si douce si câline après plus de quatorze ans,
Tu étais encore tendre, tu venais dans mes bras.
Alors quelles causes à tes absences sans me dire pourquoi.
J’allais et venais dans notre maison,
Je l’avais construite pour nous mur après mur.
Consciencieusement avec tant de passion,
J’y ai laissé tant de sueur mais elle a pris tournure.
Tu en étais ravie, nous l’avons pensée et faite ensemble
Elle nous a pris du temps et puis notre santé.
Mais avec tes petits, c’était notre rêve et on l’a réalisé
Ils ont grandi, partis, c’est la vie maintenant, elle nous rassemble.
Le Noël dernier nous étions tous réunis
Ah on s’en est payé une bonne partie !
Et voilà qu’aujourd’hui je me retrouve tout seul,
Ne sachant dans ces chers murs, où es tu donc encore partie.
Pourtant j’en ai l’habitude mais aujourd’hui,
Je ne le sens pas comme les autres fois,
Car depuis plusieurs jours tu me sembles plus qu’amoindrie,
Même faible, voire même presque sans joie,
Et cela ne te ressemble pas.
Depuis quelques temps tu dormais si mal,
Que dans notre chambre seul alors je restais.
Seule dans la chambre où l’on t’a recueillie.
Il y a une heure encore de mes yeux je t’avais vue,
Tu me semblais si calme lorsque j’ai entr’ouvert la porte.
Lorsque je l’ai refermée, tu n’as pas bougé, tu n’avais rien entendu.
Je suis remonté dans ta chambre.
J’ai tout de suite compris ce qui venait d’arriver.
Tout le monde au village t’avait encore vue, t’avais saluée,
C’est fou d’ailleurs ce que tu étais bien vue.
Tout le monde l’aimait.
Tout le monde la caressait.
C’était la chatte de la maison.
On l’appelait Mironton.

Poète Vautuit
Vautuit a publié sur le site 1008 écrits. Vautuit est membre du site depuis l'année 2022.Lire le profil du poète VautuitSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Mironton
au=jourd=hui=cest=jeu=di=un=jour=de=plus=dans=la=se=maine 14que=vais=je=fai=re=de=plus=que=je=nai=fait=hi=er 13
je=vais=en=co=re=é=cri=re=à=cel=le=qui=est=mienne 14
car=mêmeau=bout=de=tant=dan=nées=je=veux=lui=di=re=je=taime 14
un=jour=tu=es=par=tie=je=ne=sais=tou=jours=pour=quoi 13
tu=ne=me=las=ja=mais=dit=tu=ne=me=mas=pas=é=crit 14
était=ce=par=ja=lou=sie=je=ne=vois=pas=au=nom=de=quoi 14
bref=tu=es=par=tie=je=ne=sais=pour=quoi=ni=pour=qui 13
en=a=vais=tu=mar=re=de=la=vie=a=vais=tu=un=a=mi 15
peut=être=un=au=tre=but=ça=je=crois=que=je=lau=rais=su 14
mais=ces=der=ni=ers=temps=tu=sem=blais=si=ai=grie 12
je=te=con=nais=par=cœur=mais=je=ne=lau=rais=ja=mais=cru 14
pour=tant=de=puis=quel=ques=temps=je=le=sen=tais=très=bien 13
il=me=sem=blait=que=tu=nal=lais=pas=bien 10
tes=ab=sen=ces=ré=pé=tées=pour=al=ler=je=ne=sais=où 14
mais=je=te=fai=sais=con=fiancea=lors=peu=im=porte=peu=ou=prou 14
et=puis=je=te=sen=tais=de=moins=en=moins=au=près=de=moi 14
toi=si=douce=si=câ=li=nea=près=plus=de=qua=tor=ze=ans 14
tu=é=tais=en=co=re=ten=dre=tu=ve=nais=dans=mes=bras 14
a=lors=quel=les=causes=à=tes=ab=sences=sans=me=dire=pour=quoi 14
jal=lais=et=ve=nais=dans=no=tre=mai=son 10
je=la=vais=cons=trui=te=pour=nous=mur=a=près=mur 12
conscien=cieu=se=ment=a=vec=tant=de=pas=si=on 11
jy=ai=lais=sé=tant=de=sueur=mais=el=le=a=pris=tour=nure 14
tu=en=é=tais=ra=vie=nous=la=vons=pen=sée=et=faiteen=semble 14
el=le=nous=a=pris=du=temps=et=puis=no=tre=san=té 13
mais=a=vec=tes=pe=tits=cé=tait=notre=rê=veet=on=la=ré=a=li=sé 17
ils=ont=gran=di=par=tis=cest=la=vie=mainte=nant=el=le=nous=ras=semble 16
le=noël=der=ni=er=nous=é=ti=ons=tous=ré=u=nis 13
ah=on=sen=est=pay=é=u=ne=bon=ne=par=tie 12
et=voi=là=quau=jourd=hui=je=me=re=trou=ve=tout=seul 13
ne=sa=chant=dans=ces=chers=murs=où=es=tu=donc=en=core=par=tie 15
pour=tant=jen=ai=l=ha=bi=tu=de=mais=au=jourd=hui 13
je=ne=le=sens=pas=com=me=les=au=tres=fois 11
car=de=puis=plu=sieurs=jours=tu=me=sem=bles=plus=qua=moin=drie 14
mê=me=fai=ble=voi=re=mê=me=pres=que=sans=joie 12
et=ce=la=ne=te=res=sem=ble=pas 9
de=puis=quel=ques=temps=tu=dor=mais=si=mal 10
que=dans=no=tre=cham=bre=seul=a=lors=je=res=tais 12
seu=le=dans=la=cham=bre=où=lon=ta=re=cueil=lie 12
il=y=a=une=heu=reen=core=de=mes=yeux=je=ta=vais=vue 14
tu=me=sem=blais=si=cal=me=lors=que=jai=en=trou=vert=la=porte 15
lors=que=je=lai=re=fer=mée=tu=nas=pas=bou=gé=tu=na=vais=rien=enten=du 18
je=suis=re=mon=té=dans=ta=cham=bre 9
jai=tout=de=sui=te=com=pris=ce=qui=ve=nait=dar=ri=ver 14
tout=le=mondeau=vil=lage=ta=vait=en=core=vue=ta=vais=sa=luée 14
cest=fou=dail=leurs=ce=que=tu=é=tais=bien=vue 11
tout=le=mon=de=lai=mait 6
tout=le=mon=de=la=ca=res=sait 8
cé=tait=la=chat=te=de=la=mai=son 9
on=lap=pe=lait=mi=ron=ton 7
Phonétique : Mironton
oʒuʁdɥi sε ʒødi, œ̃ ʒuʁ də plys dɑ̃ la səmεnə.kə vε ʒə fεʁə də plys kə ʒə nε fε jεʁ.
ʒə vεz- ɑ̃kɔʁə ekʁiʁə a sεllə ki ε mjεnə,
kaʁ mεmə o bu də tɑ̃ dane ʒə vø lɥi diʁə, ʒə tεmə
œ̃ ʒuʁ ty ε paʁti ʒə nə sε tuʒuʁ puʁkwa.
ty nə mə la ʒamε di, ty nə mə ma pa ekʁi.
etε sə paʁ ʒaluzi, ʒə nə vwa pa o nɔ̃ də kwa.
bʁεf, ty ε paʁti ʒə nə sε puʁkwa ni puʁ ki.
ɑ̃n- avε ty maʁə də la vi, avε ty œ̃n- ami ?
pø εtʁə œ̃n- otʁə byt, sa ʒə kʁwa kə ʒə loʁε sy,
mε sε dεʁnje tɑ̃, ty sɑ̃blε si εɡʁi.
ʒə tə kɔnε paʁ kœʁ, mε ʒə nə loʁε ʒamε kʁy.
puʁtɑ̃ dəpɥi kεlk tɑ̃, ʒə lə sɑ̃tε tʁε bjɛ̃,
il mə sɑ̃blε kə ty nalε pa bjɛ̃.
tεz- absɑ̃sə ʁepete, puʁ ale ʒə nə sεz- u,
mε ʒə tə fəzε kɔ̃fjɑ̃sə alɔʁ pø ɛ̃pɔʁtə pø u pʁu.
e pɥi ʒə tə sɑ̃tε də mwɛ̃z- ɑ̃ mwɛ̃z- opʁε də mwa.
twa si dusə si kalinə apʁε plys də katɔʁzə ɑ̃,
ty etεz- ɑ̃kɔʁə tɑ̃dʁə, ty vənε dɑ̃ mε bʁa.
alɔʁ kεllə kozəz- a tεz- absɑ̃sə sɑ̃ mə diʁə puʁkwa.
ʒalεz- e vənε dɑ̃ nɔtʁə mεzɔ̃,
ʒə lavε kɔ̃stʁɥitə puʁ nu myʁ apʁε myʁ.
kɔ̃sjɑ̃sjøzəmɑ̃ avεk tɑ̃ də pasjɔ̃,
ʒi ε lεse tɑ̃ də sɥœʁ mεz- εllə a pʁi tuʁnyʁə.
ty ɑ̃n- etε ʁavi, nu lavɔ̃ pɑ̃se e fεtə ɑ̃sɑ̃blə
εllə nuz- a pʁi dy tɑ̃z- e pɥi nɔtʁə sɑ̃te.
mεz- avεk tε pəti, setε nɔtʁə ʁεvə e ɔ̃ la ʁealize
ilz- ɔ̃ ɡʁɑ̃di, paʁti, sε la vi mɛ̃tənɑ̃, εllə nu ʁasɑ̃blə.
lə nɔεl dεʁnje nuz- esjɔ̃ tus ʁeyni
a ɔ̃ sɑ̃n- ε pεje ynə bɔnə paʁti !
e vwala koʒuʁdɥi ʒə mə ʁətʁuvə tu səl,
nə saʃɑ̃ dɑ̃ sε ʃεʁ myʁ, u ε ty dɔ̃k ɑ̃kɔʁə paʁti.
puʁtɑ̃ ʒɑ̃n- ε labitydə mεz- oʒuʁdɥi,
ʒə nə lə sɑ̃s pa kɔmə lεz- otʁə- fwa,
kaʁ dəpɥi plyzjœʁ ʒuʁ ty mə sɑ̃blə plys kamwɛ̃dʁi,
mεmə fεblə, vwaʁə mεmə pʁεskə sɑ̃ ʒwa,
e səla nə tə ʁəsɑ̃blə pa.
dəpɥi kεlk tɑ̃ ty dɔʁmε si mal,
kə dɑ̃ nɔtʁə ʃɑ̃bʁə səl alɔʁ ʒə ʁεstε.
sələ dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə u lɔ̃ ta ʁəkœji.
il i a ynə œʁ ɑ̃kɔʁə də mεz- iø ʒə tavε vɥ,
ty mə sɑ̃blε si kalmə lɔʁskə ʒε ɑ̃tʁuvεʁ la pɔʁtə.
lɔʁskə ʒə lε ʁəfεʁme, ty na pa buʒe, ty navε ʁjɛ̃ ɑ̃tɑ̃dy.
ʒə sɥi ʁəmɔ̃te dɑ̃ ta ʃɑ̃bʁə.
ʒε tu də sɥitə kɔ̃pʁi sə ki vənε daʁive.
tu lə mɔ̃də o vilaʒə tavε ɑ̃kɔʁə vɥ, tavε salye,
sε fu dajœʁ sə kə ty etε bjɛ̃ vɥ.
tu lə mɔ̃də lεmε.
tu lə mɔ̃də la kaʁesε.
setε la ʃatə də la mεzɔ̃.
ɔ̃ lapəlε miʁɔ̃tɔ̃.
Syllabes Phonétique : Mironton
o=ʒuʁ=dɥi=sε=ʒø=di=œ̃=ʒuʁ=də=plys=dɑ̃=la=sə=mεnə 14kə=vε=ʒə=fε=ʁə=də=plys=kə=ʒə=nε=fε=jεʁ 12
ʒə=vε=zɑ̃=kɔ=ʁə=e=kʁi=ʁə=a=sεl=lə=ki=ε=mjεnə 14
kaʁ=mεməo=bu=də=tɑ̃=da=ne=ʒə=vø=lɥi=di=ʁə=ʒə=tεmə 14
œ̃=ʒuʁ=ty=ε=paʁ=ti=ʒə=nə=sε=tu=ʒuʁ=puʁ=kwa 13
ty=nə=mə=la=ʒa=mε=di=ty=nə=mə=ma=pa=e=kʁi 14
e=tε=sə=paʁ=ʒa=lu=ziʒə=nə=vwa=pa=o=nɔ̃=də=kwa 14
bʁεf=ty=ε=paʁ=ti=ʒə=nə=sε=puʁ=kwa=ni=puʁ=ki 13
ɑ̃=na=vε=ty=maʁə=də=la=vi=a=vε=ty=œ̃=na=mi 14
pø=εtʁə=œ̃=no=tʁə=byt=sa=ʒə=kʁwa=kə=ʒə=lo=ʁε=sy 14
mε=sε=dεʁ=nj=e=tɑ̃=ty=sɑ̃=blε=si=ε=ɡʁi 12
ʒə=tə=kɔ=nε=paʁ=kœʁ=mε=ʒə=nə=lo=ʁε=ʒa=mε=kʁy 14
puʁ=tɑ̃=dəp=ɥi=kεl=kə=tɑ̃=ʒə=lə=sɑ̃=tε=tʁε=bj=ɛ̃ 14
il=mə=sɑ̃=blε=kə=ty=na=lε=pa=bj=ɛ̃ 11
tε=zab=sɑ̃=sə=ʁe=pe=te=puʁ=a=le=ʒə=nə=sε=zu 14
mεʒə=tə=fə=zε=kɔ̃=fjɑ̃=səa=lɔʁ=pø=ɛ̃=pɔʁtə=pø=u=pʁu 14
e=pɥi=ʒə=tə=sɑ̃=tε=də=mwɛ̃=zɑ̃=mwɛ̃=zo=pʁε=də=mwa 14
twa=si=dusə=si=ka=li=nəa=pʁε=plys=də=ka=tɔʁ=zə=ɑ̃ 14
ty=e=tε=zɑ̃=kɔ=ʁə=tɑ̃=dʁə=ty=və=nε=dɑ̃=mε=bʁa 14
a=lɔʁkεllə=kozə=za=tε=zab=sɑ̃=sə=sɑ̃=mə=di=ʁə=puʁ=kwa 14
ʒa=lε=ze=və=nε=dɑ̃=nɔ=tʁə=mε=zɔ̃ 10
ʒə=la=vε=kɔ̃s=tʁɥ=tə=puʁ=nu=myʁ=a=pʁε=myʁ 12
kɔ̃=sj=ɑ̃=sjø=zə=mɑ̃=a=vεk=tɑ̃=də=pa=s=j=ɔ̃ 14
ʒi=ε=lε=se=tɑ̃=də=sɥœʁ=mε=zεl=lə=a=pʁi=tuʁ=nyʁə 14
ty=ɑ̃=ne=tε=ʁa=vi=nu=la=vɔ̃=pɑ̃se=e=fε=təɑ̃=sɑ̃blə 14
εl=lə=nu=za=pʁi=dy=tɑ̃=ze=pɥi=nɔ=tʁə=sɑ̃=te 13
mε=za=vεk=tεpə=ti=se=tεnɔtʁə=ʁε=vəe=ɔ̃=la=ʁe=a=li=ze 15
il=zɔ̃=ɡʁɑ̃=di=paʁ=ti=sε=la=vimɛ̃tə=nɑ̃=εl=lə=nu=ʁasɑ̃blə 14
lə=nɔ=εl=dεʁ=nj=e=nu=ze=sj=ɔ̃=tus=ʁe=y=ni 14
a=ɔ̃=sɑ̃=nε=pε=j=e=y=nə=bɔ=nə=paʁ=ti 13
e=vwa=la=ko=ʒuʁ=dɥi=ʒə=mə=ʁə=tʁu=və=tu=səl 13
nə=sa=ʃɑ̃=dɑ̃=sε=ʃεʁ=myʁ=u=ε=ty=dɔ̃k=ɑ̃kɔʁə=paʁ=ti 14
puʁ=tɑ̃=ʒɑ̃=nε=la=bi=ty=də=mε=zo=ʒuʁ=dɥi 12
ʒə=nə=lə=sɑ̃s=pa=kɔ=mə=lε=zo=tʁə=fwa 11
kaʁ=dəp=ɥi=ply=zjœʁ=ʒuʁ=ty=mə=sɑ̃=blə=plys=ka=mwɛ̃=dʁi 14
mε=mə=fε=blə=vwa=ʁə=mε=mə=pʁεs=kə=sɑ̃=ʒwa 12
e=sə=la=nə=tə=ʁə=sɑ̃=blə=pa 9
dəp=ɥi=kεl=kə=tɑ̃=ty=dɔʁ=mε=si=mal 10
kə=dɑ̃=nɔ=tʁə=ʃɑ̃=bʁə=səl=a=lɔʁ=ʒə=ʁεs=tε 12
sə=lə=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=u=lɔ̃=ta=ʁə=kœj=i 12
il=i=aynə=œʁ=ɑ̃=kɔ=ʁə=də=mε=ziø=ʒə=ta=vε=vɥ 14
tymə=sɑ̃=blε=si=kal=mə=lɔʁ=skə=ʒε=ɑ̃=tʁu=vεʁ=la=pɔʁtə 14
lɔʁskə=ʒə=lεʁə=fεʁ=me=ty=na=pa=bu=ʒe=ty=na=vε=ʁjɛ̃=ɑ̃=tɑ̃=dy 17
ʒə=sɥi=ʁə=mɔ̃=te=dɑ̃=ta=ʃɑ̃=bʁə 9
ʒε=tu=də=sɥi=tə=kɔ̃=pʁi=sə=ki=və=nε=da=ʁi=ve 14
tulə=mɔ̃=dəo=vilaʒə=ta=vε=ɑ̃=kɔ=ʁə=vɥ=ta=vε=sa=ly=e 15
sε=fu=da=jœ=ʁə=sə=kə=ty=e=tε=bj=ɛ̃=vɥ 13
tu=lə=mɔ̃=də=lε=mε 6
tu=lə=mɔ̃=də=la=ka=ʁe=sε 8
se=tε=la=ʃa=tə=də=la=mε=zɔ̃ 9
ɔ̃=la=pə=lε=mi=ʁɔ̃=tɔ̃ 7
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
09/12/2022 10:35Anya
Ce n’est qu’à partir de la 5ème strophe que l’on comprend à qui ce bel hommage est dédié, Mironton a été apprécié,aimé,entouré, quelle que soit la peine on sait que la fin pour tous est inéluctable, il doit être parti vers le paradis des chats et il restera toujours les bons souvenirs..

09/12/2022 18:06Guy
bel hommage
Poème Destin
Du 09/12/2022 07:01
L'écrit contient 502 mots qui sont répartis dans 12 strophes.