Poème:Juste Boire Mes Étoiles.

Tes dents contre mon corps. comme si tu devais sourire. je mord tu mords le mort. ma morte tu l’inspire. deux traits trois pastels, un visage de toi. raté, réussi, on s’en fout, c’était toi. toi toi toi, toi contre mon corps, les dents qui transpiraient, toi fou comme un berger, qu’aucune étoile bridait. La bride courte, la barre haut, la barre au boute, la vie sous l’eau. De Paris. Les canaux de Paris, la Venise des boyaux, qui coulent comme le Rhône, de la suisse a à la saône. sangsue, les dents suent, dansons, les étoiles bues. Buée de mes lèvres sur le verre en verre bleu, le pied est coupant. coupé le pied, de l’oedipe femelle, de ladite connasse qui te brise les ailes. à la main. de la main qui bat de l’aile et ton cœur tout amer, de carrelage comme le propre. Net. Sans bavures ni canapés. Sans ambages ni pitié. Coupable. De rien. Merci. Connard. Tu suces ? Sans glace. Les lâchetés qu’on justifie sans pouvoir ni veto, qui finiront par bouffer le beau comme la logique l’humain. Comme le lierre mon grand cyprès. Le lyserons qui coupe, qui casse les bris de la glace sur mon age, le miroir qui défile sans reflet de courage, le mouroir on l’on se défile, par patrie, sans potage. Pétasse et chienne de vie guerre. Guère amusant, guette le retour de ce putain de soldat, rose au début vert sur la faim. Amalgame. Je n’oublierai pas. Comme tu as grandis. En colère, confuse, navrée. Contre tout. Impuissante. Évidente et infime. infirme. atrophiée. je te cherche. moi. vidée de moi-même. Etre autre. plus vivante. plus pilier. moins façade. moins fardée. cachée derrière mes conneries que j’déblatère. Etre juste moi autrement, vivre comme personne n’a jamais vécu. le Nom dans le marbre. fuck le on, et son phare aussi. Je hais les cons et je me supporte moins. Présomptueuse jusqu’aux racines.