Univers de poésie d'un auteur

Poème:Utopia Ou La Métaphysique D’un Rêve

Le Poème

Cherche. Trouve. Ne te retournes pas, regarde devant toi. Le fil se délite. Ariane qui m’appelle. Des indications. Les circonvolutions. Ces murs en mouvement. Et l’angoisse qui me sert le gosier. Et si je ne devais jamais plus être aimé ? « Sors, Théo, Sors… ». La lumière, ce zoom cliché, une échappatoire, un ailleurs. Le labyrinthe qui s’effondre. L’extase. Il faut fuir et fermer les yeux. Mes ailes me brûlent et un gouffre entre en scène. Odeur de canard laqué dont on aurait omit d’ôter les plumes. Déchiré, incandescent, le vide se concrétise, sans fin. Une femme. Hypnotique et détachée, elle m’ouvre son corps.
« Un rêve, juste un rêve » la déception dans la voix, dans les yeux. C’est clair que ce n’est pas le plus entraînant pour se réveiller. Sortir d’un long rêve où ce qu’on espère est à porté de doigts et puis dans le bruit ouaté du réveil matin, on se rend compte que non c’était juste un rêve. Les rêves, aspirations profondes d’un subconscient presque plus présent et véridique que le conscient ? On veut y croire ou alors c’est tellement craint que la peur réelle est décalquée sur la nuit. Aie, encore la marque de l’oreiller, comme la cicatrice du rêve sur ma joue. Déjà que je suis la risée du métro…
Théophile, c’est ma mère qui m’a appelé comme çà. Comme la plupart des gens d’ailleurs, enfin, je suppose. C’est long Théophile. C’est loin de ces prénoms qui claquent comme des bannières au vent. Un nom de poète aux mains fragiles, loin du corsaire buriné que j’ai voulu être. D’ailleurs, j’suis ni corsaire, ni poète. Je suis ce qu’on peut appeler un raté, un inadapté. J’ai essayé d’écrire des bouquins pour les enfants. L’éditeur a été bref : « quant on a pas le talent qui va avec l’ego, autant cultiver les répliques. » on s’y fait… à la longue. Alors du coup, j’ai décidé d’écrire un bout de ma vie. Pourquoi un seul bout ? Parce que je suis un rythme binaire. Nul, puis enfant de la Chance.
Ma maison d’édition m’a planté. Il parait que la vie d’un anonyme, c’est pas rentable, ma vie n’est pas rentable, non valable. Je suis pas plus con qu’un autre. Je suis médiocre, tout simplement, et çà m’effraie. Encore, un imbécile, il amuse la galerie, moi je suis sombre… et timide comme pas deux, ce qui signifie : handicapé social. Dommage qu’on ne puisse pas le marquer sur la carte d’identité.
Aliéné, cette routine qui me tient au corps. Je suis lobotomisé, en végétation. Je suis un légume, en moins vert. Oui, j’ai 26 ans. Métro, boulot (ce qu’il en reste) et dodo (bien que ce soit de plus en plus difficile en ce moment) ; C’est mon quotidien, mon lot.
Théophile est un homme, ni bon ni mauvais, pas de manichéisme pour un livre sur la duplicité. Sa vie, c’est l’anti-utopie, c’est l’enchevêtrement routinier de l’existence d’un X. Théophile, c’est le poète lambda qui sommeille en tous. Loin du génie, loin du débile, c’est le 0 de l’axe orthonormé.
Le seul piment rose de ma vie, c’est « Elle », ça peut paraître con, mais elle me permet de tenir, je ne dis pas que je tiens plus à la vie, au contraire, je déteste tous ces névrosés qui geignent qu’ils sont foutus. Non, moi je suis juste inadapté à cette vie là, dans ce monde là, avec les conflits géopolitiques présents et ma concierge très présente. Du coup, mon petit bout de soleil quand j’ai un coup de spleen, c’est « Elle », ma guitare. Elle me galvanise, elle me noue l’estomac, elle me rend dingue, elle me rend triste, c’est « Ma ». J’ai aussi une fiancée, Astrid… Et elle m’aime. On s’est rencontré, on avait 10 ans, on était amoureux et puis à 19 ans, on s’est retrouvés et puis voilà… elle a acquis le nom de fiancée. C’est dur de s’avouer que le goût de ses lèvres m’est indifférent, que les souvenirs communs appartiennent de plus en plus au monde révolu du passé. Alors on culpabilise, on se dit demain est un autre jour, on se mord la langue, mais le silence du non amour est là, bien palpable.

L’amour s’étiole et se poursuit, comme un canevas inachevé qu’on repousse chaque jour au lendemain. Théophile… Partir, partir loin, ou alors pas loin, mais sans personne. Bâtir sa vie en ayant un but, poursuivre une tâche mais s’évader des immeubles grisés par le carbone, de ces sens interdits, de ces rues piétonnes. Théophile, les cernes de la lassitude d’un monde qu’il ne comprend pas aussi bien qu’il le voudrait, tous ces mécanismes parfaits orchestrés sur fond Wagner, où les fils sont subtilement noués, dénoués.

Encore un jour de plus, encore des sourires à feindre, mimer la bonne humeur du parfait intégré, les boutades de potaches des collègues balourds, la lourdeur du soleil qui comme dans l’étranger qui donne presque envie de meurtre, les secrétaire mi offertes mi bougonnes, un peu bornées dans leurs classeurs « ah bah non hein, le dossier X***c’est le classeur rouge hein… », avec leurs « hein » en ponctuation. S’évader, s’évader, s’évader à la mine du crayon…
Mon dieu qu’elle est belle cette fille, femme maintenant, que Théophile observe, ses longs cheveux châtains qui s’étoffent en boucles légères, ses yeux bleu-vert « couleur huître d’outre atlantique » et ce je-ne-sais-quoi dans le regard qui pétille de malice, de cynisme et de tendresse… Personne ne pouvait y être indifférent. Théophile, si. Le temps a érodé ce charme de l’inattendu, l’attraction pour l’inconnu, la découverte. Il connaît tout d’elle. Le grain de sa peau, la chaleur de sa bouche, cette poitrine qui palpite sous ses mains. Il sait qu’elle aime l’art, particulièrement la peinture abstraite, elle aime ce coté vide plein de talent, où l’absence de contours précis donne un interprétation purement esthétique et personnelle, une émotion particulière pour chaque visiteur, émotion qui se révélait bien souvent pour Théophile être de l’indifférence. Elle aime s’asseoir les genoux croisés, position sphinx assis, et puis admirer jusqu’au dégoût une œuvre qui la touche, sans qu’elle sache exactement pourquoi, sans l’admiration qu’on peut porter a un travail minutieux mais avec l’éclat furtif du charme, une parcelle de génie qui émerge de la gouache. Il la connaît tellement bien. Elle l’attendri, mais ne l’émeut plus.

Je déteste les femmes qui pleurent. C’est répugnant. Les yeux rouges, sanctifiés, les paupières inférieures et supérieures gonflées à se demander si le JT de 20h00 auquel on a pas assister a évoquer un désastre écologique dans un futur tout a fait prochain… . Une femme qui pleure à quelque chose du salami. Une tranche de saucisson chaude et humide. Le mascara a coulé en rigoles sur leurs joues et dans un grand reniflement elles se lovent contre vous et vous gratifient d’une traînée noirâtre sur votre chemise blanche et propre de la veille.
Mais Astrid, quand, les yeux embués comme les vitres, elle se colle a moi, elle redeviens « ma meilleure copine de CM2 », elle pourrait saloper tous mes cols de chemises, je ne lui en voudrais même pas. C’est quelque part de la reconnaissance, de la gratitude, c’est la seule qui m’aie tendu la main quand j’étais seul, tête de turc, paria, marginal… : je n’aimais pas le foot. Ma grande tare de primaire, ma croix, mon supplice.

L’amour, le foot… idem. Théophile n’a jamais voulu y jouer, mais c’est sa socialisation qui l’a emporté sur ses réticences. L’amour… Racine, la mère d’Albert Cohen, Shakespeare, tous l’ont dit, répété, la passion ne mène nulle part, au déracinement, et pour virer toute voiles dehors dans le mélo, à la mort parfois. Toute passion amène à une issue tragique. L’amour, c’est l’habitude. Il ne faut en aucun cas confondre avec attirance. L’attirance, c’est l’instinct animal qui vous pousse vers une personne qui vous plaît. Sans plus. Mais c’est l’habitude qui forge un « couple ». J’emploie habitude dans un tout autre sens que routine, la routine détruit, mais l’habitude, c’est deux corps apprivoisés l’un l’autres, l’un le renard, l’autre le petit prince, c’est se connaître par cœur sans trouver çà lassant. Mais Théophile lui, il connaît tout d’Astrid, sans grande joie. C’est la routine qui l’habite. Pourtant il est fidèle. Mais la fidélité est subjective. On en distingue deux. La fidélité morale : « je vais voir ailleurs, mais je n’en aime véritablement qu’une », ce qui est généralement caractéristique chez les hommes, et puis la fidélité physique : « je ne vais pas voir ailleurs, mais je rêve parfois à d’autres ». Plus féminine comme approche. Et puis il y a la « fidélité absolu » : « je rêve de celle que j’aime, et je reste avec elle ». Mais le fantasme est androgyne. Chez Théophile, c’est la part féminine qui l’emporte, approche plutôt malsaine puisque reléguer ses pulsions au rang de fantasmes s’avère presque plus dangereux, le fantasme ne trouvant pas de limites. Théophile est donc habité par des fantômes de femmes inconnues, « qu’il aime et qui l’aime ».

Pour être succinct et tout a fait rasoir, un aperçu de la spirale de médiocrité dans laquelle je vis : mon job se délite, ma vie sentimentale s’effrite, mes envies fondent comme neige au soleil -pour utiliser un adage connu de tous-, les yeux rivés sur l’écran de mon ordinateur, retouchant une virgule, ajustant un accent, lire sans arrêt ce que d’autres ont écrit, et puis reprendre, annoter une réflexion, la lecture elle-même ne se suffit plus, seules les coquilles, les fautes d’orthographes, les tournures grammaticales, comptent. Obsédé par la ponctuation, ce boulot me rend complètement à côté de la plaque. Sans aucuns repères. Criblé de doutes (et de dettes, mais çà on ne le dit pas) , je me rend compte de la vacuité de ma vie. A quoi dois-je servir ? Pourquoi suis-je un maillon indéfectible et inutile de la chaîne ? Pourquoi vivre ? C’est quand j’ai lu mon horoscope dans un journal X que je me suis rendu compte a quel point les gens ont besoin d’être rassurés sur leur avenir pour vouloir le vivre. On me disait que j’allais « trouver l’homme de ma vie dans mon signe complémentaire ». C’était dans femme actuelle. Mais le message est bel et bien le même : on a tous besoin de se dire que demain sera meilleur.

Théophile. Echec. Echec. Théophile. Questionnements. Doutes. Remises en causes. Théophile. Un musicien, un artiste né pour vivre dans un autre siècle, le monde semble tourner autours de tous, sauf de lui. C’est surtout lui qui tourne autours du monde. C’est un ennuyé qui, comme ceux qui ne sont pas pris à plein temps entre travail, famille, chiens, chats, lapins, cobayes, ont le temps de prendre du recul, de se remettre en cause, de tout remettre en cause. C’est ce questionnement qui amène le doute et le doute se mue en désespoir. C’est le renouveau de la crise d’adolescence. Ce moment clef de la vie, qu’on oublie tous qu’on a vécu un jours, mis à part un vague souvenir de mauvaise humeur et d’heures passées a écouter de la musiques en végétant sur son lit, où on envoie tous nos clichés, toutes nos idées reçues, toute notre éducation, valser. Ce grand moment de solitude où tout est motif à questionnement. Ce moment où l’on se rend compte que son papa n’est pas « le plus fort », que chacun à ses faiblesses, que les actions ne sont pas forcement justifiées, que tout n’est pas bien ou mal, mais ambiguë, ce moment où l’on apprend ce mot « contexte » qui « dépend » toujours. Théophile revit cette adolescence.

Je me suis toujours demandé, enfant, pourquoi l’argent existait. Question qui provoquait un grand rire et des regards attendris devant « tant de candeur et de naïveté ». Mais malheureusement, ce qui peut paraître puéril, je n’ai toujours pas compris. Pourtant on a pris le temps de m’expliquer : L’argent c’est donc ce qui a remplacé le troc, facilitant ainsi les choses, les équivalences étant subjectives etc… bref. Mais la valeur donnée aux choses n’est-elle pas aussi subjective ? Bien sûr, elle est déterminée par la rareté etc… Mais la vie ne serait-elle pas simplifiée si la monnaie n’existait pas ? Les rapports d’intérêts existeraient-ils ? Hmmm… Pas simple. Personne ne le sait, puisque personne n’a essayé. Ah si, j’ai lu un truc dans le genre, pas sur l’argent, hein, mais un livre ou le droit de propriété était supprimé. Tout le monde va prendre ça pour du pseudo marxisme primaire, mais je m’en tamponne. J’ai lu ça à la boite, ça va me revenir… Utopia, de Thomas Moore.

Et si un monde « meilleur » était un monde sans lois. Sans règles. Une république bananière améliorée (sans bananes) , une liberté totale, libre de ses actions, libre de détruire, libre de créer, libre d’aimer. Mais « la Liberté s’arrête la où commence celle des autres ». C’est le dilemme de l’utopie. Utopie faits partie de ces mots à connotation péjorative, qui comme un souffle discret, murmurent : impossible. La liberté. Un bien grand et beau mot, un mot qui galvanise, un moteur, mais aussi une formule ; qui effraie. En effet si l’on part du principe que chacun est libre, il ne peut enfreindre la liberté d’autrui, ce qui limite la liberté même. La liberté c’est le lot des hommes forts, capables de résister à la perte de repères. Mais l’homme est faible ; il a besoin de valeurs, qui le stabilisent, qui l’orientent, la religion en est le schéma type. Mais là ou commence la règle, la liberté se blesse. Un homme ne veut pas sortir de cet état de minorité dans lequel il est plongé et rassuré depuis la naissance. Pourquoi chambouler, se poser des questions. L’homme reste éternellement mineur. Le philosophe, lui, va sur ses vingt et un ans. Essayez de rendre majeur un adolescent. Au premier abord il se dira « adieu parents, pace salut, à moi la vie. » Au second, il sera tétanisé par les responsabilités qui vont le prendre à la gorge. Cet exemple illustre l’état dans lequel se trouvent les hommes. Le refus des doutes. Théophile doute.

Hmmm… ce maudit réveil qui sonne la charge, qui sonne ma décharge et qui se recharge ! L’espace d’un instant je me répète qu’il n’est que 6h30 et qu’il me reste trente minutes de fainéantise végétative. Aller… le courage pris à deux pieds, j’ôte d’un coup de poignet sec la couette protectrice. Un brimborion dans les vappes, l’œil semi clos, l’air bravache, aveuglé par la lumière de ces volets crées pour êtres ouverts quand ils ne le devraient pas, j’avance a pas pesants et réglés en direction de la salle de bain. C’est fou ce que je ressemble à ma mère. Les mêmes mimiques. Chaque jour c’est une nouvelle surprise, une nouvelle déroute. Comme pour me rappeler a jamais d’où je viens, de qui je suis né, de celle qui m’a offert la vie et un prénom. Devant cette glace, je suis vulnérable. Les yeux de ma mères me scrutent, me sondent, et çà me terrifie. J’ai une frayeur viscérale de la reproduction des schémas, de ce que j’ai vécu. Je ne veux pas finir comme elle. Je n’aurai jamais d’enfants, je ne veux pas être comme elle, je n’aurais jamais d’enfants, je ne veux pas être pareil, je ne veux pas faire souffrir mes enfants. Je ne mourrais jamais, je ne leur ferais jamais peur, je les borderais toujours. Ça y’est, bravo Théo, la larme a l’œil, c’est très malin. « Boys don’t cry », n’oublie pas. Il faut que je prenne une bonne douche, noyer mes larmes dans le savon, étouffer les sanglots dans du shampoing. Un sucré/salé qui mousse.

C’est sa glace qui rend à Théophile ce qui est à Théophile. Ses peurs, ces éclairs de lucidité, ses doutes, ces images furtives, ces réminiscences tristes, ces moments volés qui remontent en bouffée, volutes de nostalgie avec tout ce qu’elle contient d’amer et de tendre. Il se surprend, il surprend son reflet, victime et bourreau, torturé par l’abandon passif de cette belle femme du monde qui ne l’a élevé que pour le montrer. Les yeux embués comme les vitres, il ne la quittera jamais. Plus il y réfléchi et plus son regard sur les choses devient sombre, absent de tout optimisme, plus le temps passe et plus il devient aigre, habité par les fantômes de son enfance, de ses échecs, de ces preuves qu’il aurait voulu donner et qu’il n’a pu que prévenir. Il jette parfois ce regard qu’on les gens agressés par les reculs, il ne rend plus les choses belles.

Et dire qu’un lever de soleil me rendait heureux. Celui-ci à la fadeur des petits matins ouatés… La contemplation, la rêverie. Besoin de respirer. Aérer mes synapses, prendre du recul. Pouvoir lire comme quand j’étais petit ; avec cette délectation qui rougie les joues, abîme les yeux et épuise. J’ai besoin de cette fatigue saine. Pris par les lignes en oubliant le temps, se substituant au personnage principal, vivant ses tribulations avec plus de passion qu’il ne le fait lui-même. Mais d’abord une bonne balade. Paris est étouffant de touristes échaudés, Paris la belle, Paris se fait belle sous tous ces yeux bridés. Les miens sont cernés. Le bois de Boulogne, si cliché, serait l’endroit idéal. Amener Astrid ? Non. Pas besoin de deux souffles pour inspirer mieux.

Théophile, brisé ? Non. C’est un de ces ennuyés de la grisaille quotidienne. Il fait partie de ceux qui ne savent pas vraiment éclairer leur quotidien. Ceux qui l’assombrissent. Les négativistes, les pessimistes, les sceptiques en un avenir meilleur. Ceux pour qui les mots « carpe diem » sont mis sur le même plan dans le dictionnaire que « banalité » « billevesée » « niaiserie » « enfantillage » et dont le souvenir le plus récent est Ethan Hawke sur une table déclamant « oh capitaine, mon capitaine ! ». Théophile, c’est un baudelaire. Il oublie qu’on peut nous même égayer notre quotidien. Que le soleil, il se cherche, il ne nous tombe pas dessus. Théophile va au bois de boulogne. Grand bien lui fasse.

J’ai peur. J’angoisse sans somatiser. Eux tous misent sur un cheval qui n’a pas encore couru. Une bulle spéculative se gonfle, sur moi, mon potentiel. Elle risque de voler en éclats, dans un futur plus proche que je le crois. Et là, la déception, cet instant où l’on se rend compte que l’on s’était trompé. Ce moment où le masque tombe. Ce bal d’incompréhension réciproque où le voile lache, et la déception s’affiche, grande. A commencer par les yeux. Surpris, puis trahis. Le sentiment de s’être fait roulés, d’avoir tant cru en un rien. D’être dépossédé d’un espoir. Après vient la compassion, la compensation. Je me terrifie de lucidité, ma médiocrité se camoufle, elle me fuit pour mieux tromper les autres. Elle me laisse face à mon désarroi.
J’essaye de prévenir, d’avertir le dégât, mais on me regarde comme un prédicateur imbécile, un faux modeste. Le genre qui agace. Dites moi le jour, l’heure pour que je m’enterre sans avoir le loisir de dire « je vous avait prévenu ». La déception sera la même, cuisante, pour eux. Et le désespoir sera complet, pour moi.

Aucune confiance en lui. Théophile est habité par la terreur perpétuelle de l’échec. C’est ce qui lui a fait rater ses études. Il a cru que planter une année c’était ruiner sa vie et maintenant c’est lui qui la détruit peu à peu, avec des ruminements incessants. Ces éclats d’angoisse, il les connaît depuis le jour où on lui a prouvé, où il s’est prouvé, qu’il pouvait sortir du lot. Depuis il se terre dans la frayeur de devoir sortir de ce lot, en aspirant à l’excellence. Alors il piétine, il saute a pieds joints pour gravir l’échelle sans penser que dans échelle on entend échelons. Tout, tout cuit. Tout maintenant. Et rien au final.

Et rien au final… un écho qui résonne, pars, reviens. Je sais où le bas blesse. Je connais la cause de mon insatisfaction. Je sais ce qui ne tourne pas, je sais où je ne dois pas aller. Mais je m’y engouffre. Comme magnétisé. Il fait si beau. Journée trop bleue pour être totalement parfaite. Il me manque ce vent, le sable humide, la mer si vaste, mes roches si rouges et puis, et puis les imperfections vertes, mon rochée de la fée. Le conte de ma mère.
D’ici trois jours mon masque va tomber. Mon statut d’imposteur confirmé, j’ai hâte de savoir ce qui va me rester. Qui va rester, jusqu’à quand, et pourquoi. Pour Qui ? Pour moi ? Ou pour celui qu’ils connaissaient, celui qui les faisaient rire et rêver. Je ne sais pas, je sais plus rien. Et comme les médiocres, je n’ai plus peur de rien. Je fais semblant de me foutre de tout, l’inertie lymphatique refuge que j’ai tant critiquée auparavant. Quel gâchis, quelle faiblesse. Quelle honteuse vanité que de se morfondre dans son rien prénatal. Mais le bonheur éprouvé dans sa morgue hébétée, c’est la force de la faiblesse. C’est la force qui m’attire, me précipite et me noie. Me prend à la gorge, et moi je me complaît dans cette asphyxie vaine, dans cet alcool qui calme et qui pulpe les lèvres, dans la douce hérésie de l’éthylène qui repaît. Je suis là. J’écris. J’écris ma vie de rien, j’écris ma vie pour rien. Et j’ai peur. Peur de moi. On m’a dit que je ne savais rien écrire de positif, de constructif, du beau. On m’a dit que j’étais un Baudelaire, on m’a dit que certains m’aimaient, on m’a menti, on m’a critiqué, on m’a jugé sans savoir ce qu’il en était vraiment, on a médit dernière mes épaules, et je me suis caché, et j’ai refais surface, et je me tient alerte, en attendant de marbre, qu’il advienne ce que pourra. J’ai les lèvres violettes. A Bas le côte du Rhône ! Et ma langue ne sait plus tourner. Et mes gestes ont perdu en vivacité. Et mes larmes ne peuvent plus couler. Coulé. Noyé. Touché. Gagné. Et le pain que je gagne à coup de sueurs, à coup de cliques, j’en ai ma claque. J’ai les paupières lourdes, et j’écris au présent. J’écris pour me calmer le temps. Et je prends mon temps. Et je sème ma détresse. Les pauvres gens à qui je m’adresse. Ridicule. Eploré. Déprimant déprimé. Tous ces regards fuyants, qui implorent la grâce, qui me demandent si ça va, qui me demandent si ça passe, et qui s’éloignent. Je suis désolé. Je suis désolé. Je ne voulais pas. Et pourtant c’est un dernier recours. Et ils s’éloignent de moi. Je sais pourquoi. La faiblesse de la dépression. Ca effraie. Ça tient à l’écart. Quoi de moins bandant que celui qui ne rit plus. Je ne veux pas de pitié, je ne veux pas de compassion. J’ai besoin de dire, j’ai besoin de raconter, j’ai besoin de narrer, je ne veux pas être nargué. Je suis désolé. Je ne demande rien, ou plutôt beaucoup. L’écoute et le silence. Le réconfort muet du partage. Je suis désolé. Je ne veux pas rendre triste. Je ne veux pas. Non.

Tu sais y’avais la place, le courant et les vagues. Tu sais y’avait l’ivresse, la violence et le calme. Et puis y’avais mes yeux fatigués et acides, qui ne pensaient pas, qui buvaient la tasse. La dernière au citron. Tu sais y’avait la place, sur le pont vide et gelé, y’avais même de quoi se faire toute oublier. Et tomber dans le Rhône noir. Le Rhône qui gémissait, encordé au vent. J’aurais pu dériver dans le couloir du midi. A la faveur du vent, à la faveur de l’oubli. Et puis y’avait Fourvière et sa bénédiction, qui jaugeait, assise, balourde et éreintée. Qui me disait comment. Et puis y’avait ces gens que j’n’avais pas remarqués. Et une toute petite fille, un petit brin de beauté. A Bossuet ou Atchoum. Quelle importance maintenant. Puisqu’elle a tournée, la girouette du moment. Il neige des grêlons comme des poings. Dressés, gaillards, Hardis, bâtards… Comme mon nom. Qui a été le tien. Un bout de soleil, de feu, acide, plus que mes yeux. Il couvre la ville froide. Et mon duffle-coat rose. J’ai encore perdu mes clefs.

Y’a que les gens qui n’ont rien vécu qui ont des principes.
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PostScriptum

un petit acte de charité pour ceux qui n’ont rien d’autre a foutre le dimanche soir. C’est long, surement chiant, probablment pas super bin écrit, ca m’a pris un an, c’est de moi, du moi, j’ai lâchement changé de sexe pour les besoins de la cause. Mais tout ca ca vient de loin. (pr Ank. : nvelle version, + compréhensible ? parce qu’il n’y aura probablement que toi pr le lire de cherche à principe. . : p)

Poeme de *°* Vodka *°*

Poète *°* Vodka *°*

*°* Vodka *°* a publié sur le site 72 écrits. *°* Vodka *°* est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Utopia Ou La Métaphysique D’un Rêvecherche=trouve=ne=te=re=tournes=pas=re=gar=de=de=vant=toi=le=fil=se=dé=lite=aria=ne=qui=map=pelle=des=in=di=ca=tions=les=cir=con=vo=lu=tions=ces=murs=en=mou=ve=ment=et=lan=gois=se=qui=me=sert=le=go=sier=et=si=je=ne=de=vais=ja=mais=plus=ê=tre=ai=mé=sors=théo=sors=la=lu=miè=re=ce=zoom=cli=ché=u=ne=é=chap=pa=toi=re=un=ail=leurs=le=la=by=rin=the=qui=sef=fondre=lex=tase=il=faut=fu=ir=et=fer=mer=les=yeux=mes=ai=les=me=brû=lent=et=un=gouf=fre=en=tre=en=s=cène=o=deur=de=ca=nard=la=qué=dont=on=au=rait=o=mit=dô=ter=les=plumes=dé=chi=ré=in=can=des=cent=le=vi=de=se=con=cré=ti=se=sans=fin=une=femme=hyp=no=ti=que=et=dé=ta=chée=el=le=mou=vre=son=corps 168
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ma=mai=son=dé=di=ti=on=ma=plan=té=il=pa=rait=que=la=vie=dun=a=no=ny=me=cest=pas=ren=ta=ble=ma=vie=nest=pas=ren=ta=ble=non=va=la=ble=je=suis=pas=plus=con=quun=autre=je=suis=mé=di=o=cre=tout=sim=ple=ment=et=çà=mef=fraie=en=co=re=un=im=bé=ci=le=il=a=mu=se=la=ga=le=rie=moi=je=suis=sombre=et=ti=mi=de=com=me=pas=deux=ce=qui=si=gni=fie=han=di=ca=pé=so=cial=dom=ma=ge=quon=ne=puis=se=pas=le=mar=quer=sur=la=car=te=di=den=ti=té 116
ali=é=né=cet=te=rou=ti=ne=qui=me=tient=au=corps=je=suis=lo=bo=to=mi=sé=en=vé=gé=ta=ti=on=je=suis=un=lé=gu=me=en=moins=vert=oui=jai=vingt=six=ans=mé=tro=bou=lot=ce=quil=en=res=te=et=do=do=bien=que=ce=soit=de=plus=en=plus=dif=fi=ci=le=en=ce=mo=ment=cest=mon=quo=ti=dien=mon=lot 75
thé=o=phi=le=est=un=hom=me=ni=bon=ni=mau=vais=pas=de=ma=ni=chéis=me=pour=un=li=vre=sur=la=du=pli=ci=té=sa=vie=cest=lan=ti=u=to=pie=cest=len=che=vê=tre=ment=rou=ti=ni=er=de=lexis=ten=ce=dun=x=théo=phi=le=cest=le=po=è=te=lamb=da=qui=som=mei=lle=en=tous=loin=du=gé=nie=loin=du=dé=bi=le=cest=le=zé=ro=de=la=xe=or=tho=nor=mé 89
le=seul=piment=ro=se=de=ma=vie=cest=el=le=ça=peut=pa=raî=tre=con=mais=elle=me=per=met=de=te=nir=je=ne=dis=pas=que=je=tiens=plus=à=la=vie=au=con=trai=re=je=dé=tes=te=tous=ces=né=vro=sés=qui=gei=gnent=quils=sont=fou=tus=non=moi=je=suis=jus=te=i=na=dap=té=à=cet=te=vie=là=dans=ce=mon=de=là=a=vec=les=con=flits=géo=po=li=ti=ques=pré=sents=et=ma=con=cier=ge=très=pré=sente=du=coup=mon=pe=tit=bout=de=so=leil=quand=jai=un=coup=de=spleen=cest=el=le=ma=gui=tare=el=le=me=gal=va=ni=se=el=le=me=noue=les=to=mac=el=le=me=rend=din=gue=el=le=me=rend=tris=te=cest=ma=jai=aus=si=u=ne=fian=cée=as=trid=et=el=le=maime=on=sest=ren=con=tré=on=a=vait=dix=ans=on=é=tait=a=mou=reux=et=puis=à=dix=neuf=ans=on=sest=re=trou=vés=et=puis=voi=là=el=lea=ac=quis=le=nom=de=fian=cée=cest=dur=de=sa=vouer=que=le=goût=de=ses=lè=vres=mest=in=dif=fé=rent=que=les=sou=ve=nirs=com=muns=ap=par=tien=nent=de=plus=en=plus=au=mon=de=ré=vo=lu=du=pas=sé=alors=on=cul=pa=bi=li=se=on=se=dit=de=main=est=un=au=tre=jour=on=se=mord=la=lan=gue=mais=le=si=len=ce=du=non=a=mour=est=là=bien=pal=pable 276

la=mour=sé=ti=o=le=et=se=pour=suit=com=me=un=ca=ne=vas=i=na=che=vé=quon=re=pous=se=cha=que=jour=au=len=de=main=thé=o=phi=le=par=tir=par=tir=loin=ou=a=lors=pas=loin=mais=sans=per=son=ne=bâ=tir=sa=vie=en=ay=ant=un=but=pour=sui=vre=u=ne=tâ=che=mais=sé=va=der=des=im=meu=bles=gri=sés=par=le=car=bo=ne=de=ces=sens=in=ter=dits=de=ces=rues=pi=é=tonnes=théo=phi=le=les=cer=nes=de=la=las=si=tu=de=dun=mon=de=quil=ne=com=prend=pas=aus=si=bien=quil=le=vou=drait=tous=ces=mé=ca=nis=mes=par=faits=or=ches=trés=sur=fond=wag=ner=où=les=fils=sont=sub=ti=le=ment=nou=és=dé=noués 147

en=co=re=un=jour=de=plus=en=co=re=des=sou=ri=res=à=fein=dre=mi=mer=la=bon=ne=hu=meur=du=par=fait=in=té=gré=les=bou=ta=des=de=po=ta=ches=des=col=lè=gues=ba=lourds=la=lour=deur=du=so=leil=qui=com=me=dans=lé=tran=ger=qui=don=ne=pres=que=en=vie=de=meur=tre=les=se=cré=tai=re=mi=of=fer=tes=mi=bou=gon=nes=un=peu=bor=nées=dans=leurs=clas=seurs=ah=bah=non=hein=le=dos=si=er=x=as=té=ris=que=as=té=ris=que=as=té=ris=que=cest=le=clas=seur=rou=ge=hein=a=vec=leurs=hein=en=ponc=tua=ti=on=sé=va=der=sé=va=der=sé=va=der=à=la=mi=ne=du=cray=on 141
mon=dieu=quel=leest=bel=le=cette=fille=fem=me=main=te=nant=que=théo=phi=le=ob=ser=ve=ses=longs=che=veux=châ=tains=qui=sé=tof=fent=en=bou=cles=lé=gè=res=ses=yeux=bleu=vert=cou=leur=huî=tre=dou=tre=at=lan=ti=que=et=ce=je=ne=sais=quoi=dans=le=re=gard=qui=pé=tille=de=ma=li=ce=de=cy=nis=me=et=de=ten=dres=se=per=son=ne=ne=pou=vait=y=ê=tre=in=dif=fé=rent=théo=phi=le=si=le=temps=a=é=ro=dé=ce=char=me=de=li=nat=ten=du=lat=trac=tion=pour=lin=con=nu=la=dé=cou=verte=il=con=naît=tout=delle=le=grain=de=sa=peau=la=cha=leur=de=sa=bouche=cet=te=poi=tri=ne=qui=pal=pi=te=sous=ses=mains=il=sait=quel=le=ai=me=lart=par=ti=cu=liè=re=ment=la=pein=tu=re=abs=trai=te=el=le=ai=me=ce=co=té=vi=de=plein=de=ta=lent=où=lab=sen=ce=de=con=tours=pré=cis=don=ne=un=in=ter=pré=ta=ti=on=pu=re=ment=es=thé=ti=que=et=per=son=nel=le=u=ne=é=mo=ti=on=par=ti=cu=liè=re=pour=cha=que=vi=si=teur=é=mo=ti=on=qui=se=ré=vé=lait=bien=sou=vent=pour=théo=phi=le=ê=tre=de=lin=dif=fé=rence=el=le=ai=me=sas=seoir=les=ge=noux=croi=sés=po=si=ti=on=s=phinx=as=sis=et=puis=ad=mi=rer=jus=quau=dé=goût=u=ne=œu=vre=qui=la=touche=sans=quel=le=sa=che=exac=te=ment=pour=quoi=sans=lad=mi=ra=ti=on=quon=peut=por=ter=a=un=tra=vail=mi=nu=tieux=mais=a=vec=lé=clat=fur=tif=du=char=me=u=ne=par=cel=le=de=gé=nie=qui=é=mer=ge=de=la=gou=ache=il=la=con=naît=tel=le=ment=bien=el=le=lat=ten=dri=mais=ne=lé=meut=plus 355

je=dé=tes=te=les=fem=mes=qui=pleurent=cest=ré=pu=gnant=les=y=eux=rou=ges=sanc=ti=fi=és=les=pau=piè=res=in=fé=rieu=res=et=su=pé=rieu=res=gon=flées=à=se=de=man=der=si=le=j=t=de=vingt=h=zé=ro=zé=ro=au=quel=on=a=pas=as=sis=ter=a=é=vo=quer=un=dé=sas=tre=é=co=lo=gi=que=dans=un=fu=tur=tout=a=fait=pro=chain=u=ne=fem=me=qui=pleu=re=à=quel=que=cho=se=du=sa=la=mi=une=tran=che=de=sau=cis=son=chau=de=et=hu=mide=le=mas=ca=ra=a=cou=lé=en=ri=go=les=sur=leurs=joues=et=dans=un=grand=re=ni=fle=ment=el=les=se=lo=vent=con=tre=vous=et=vous=gra=ti=fient=du=ne=traî=née=noi=râ=tre=sur=vo=tre=che=mi=se=blan=che=et=pro=pre=de=la=vei=lle 168
mais=as=trid=quand=les=y=eux=em=bués=com=me=les=vi=tres=el=le=se=col=le=a=moi=el=le=re=de=viens=ma=meil=leu=re=co=pi=ne=de=c=m=deux=el=le=pour=rait=sa=lo=per=tous=mes=cols=de=che=mi=ses=je=ne=lui=en=vou=drais=mê=me=pas=cest=quel=que=part=de=la=re=con=nais=san=ce=de=la=gra=ti=tu=de=cest=la=seu=le=qui=maie=ten=du=la=main=quand=jé=tais=seul=tê=te=de=turc=pa=ri=a=mar=gi=nal=je=nai=mais=pas=le=foot=ma=gran=de=ta=re=de=pri=mai=re=ma=croix=mon=sup=pli=ce 122

la=mour=le=foot=i=dem=théo=phile=na=ja=mais=vou=lu=y=jouer=mais=cest=sa=so=cia=li=sa=tion=qui=la=em=por=té=sur=ses=ré=ti=cences=la=mour=ra=ci=ne=la=mè=re=dal=bert=co=hen=sha=kes=pea=re=tous=lont=dit=ré=pé=té=la=pas=sion=ne=mè=ne=nul=le=part=au=dé=ra=ci=ne=ment=et=pour=vi=rer=tou=te=voi=les=dehors=dans=le=mé=lo=à=la=mort=par=fois=tou=te=pas=sion=a=mè=neà=u=ne=is=sue=tra=gique=la=mour=cest=l=ha=bi=tude=il=ne=faut=en=au=cun=cas=con=fon=dre=a=vec=at=ti=rance=lat=ti=ran=ce=cest=lins=tinct=a=ni=mal=qui=vous=pous=se=vers=u=ne=per=son=ne=qui=vous=plaît=sans=plus=mais=cest=l=ha=bi=tu=de=qui=for=ge=un=cou=ple=jem=ploie=ha=bi=tu=de=dans=un=tout=au=tre=sens=que=rou=ti=ne=la=rou=ti=ne=dé=truit=mais=l=ha=bi=tu=de=cest=deux=corps=ap=pri=voi=sés=lun=lau=tres=lun=le=re=nard=lau=tre=le=pe=tit=prin=ce=cest=se=con=naî=tre=par=cœur=sans=trou=ver=çà=las=sant=mais=théo=phi=le=lui=il=con=naît=tout=das=trid=sans=gran=de=joie=cest=la=rou=ti=ne=qui=l=ha=bite=pour=tant=il=est=fi=dèle=mais=la=fi=dé=li=té=est=sub=jec=tive=on=en=dis=tin=gue=deux=la=fi=dé=li=té=mo=ra=le=je=vais=voir=ailleurs=mais=je=nen=ai=me=vé=ri=ta=ble=ment=quu=ne=ce=qui=est=gé=né=ra=le=ment=ca=rac=té=ris=ti=que=chez=les=hom=mes=et=puis=la=fi=dé=li=té=phy=si=que=je=ne=vais=pas=voir=ail=leurs=mais=je=rê=ve=par=fois=à=dau=tres=plus=fé=mi=ni=ne=com=me=ap=proche=et=puis=il=y=a=la=fi=dé=li=té=ab=so=lu=je=rê=ve=de=cel=le=que=jai=me=et=je=res=te=a=vec=elle=mais=le=fan=tas=me=est=an=dro=gyne=chez=théo=phi=le=cest=la=part=fé=mi=ni=ne=qui=lem=por=te=ap=pro=che=plu=tôt=mal=sai=ne=puis=que=re=lé=guer=ses=pul=sions=au=rang=de=fan=tas=mes=sa=vè=re=pres=que=plus=dan=ge=reux=le=fan=tas=me=ne=trou=vant=pas=de=li=mites=théo=phi=le=est=donc=ha=bi=té=par=des=fan=tô=mes=de=fem=mes=in=con=nues=quil=ai=me=et=qui=lai=me 467

pour=être=suc=cinct=et=tout=a=fait=ra=soir=un=a=per=çu=de=la=s=pi=ra=le=de=mé=dio=cri=té=dans=la=quel=le=je=vis=mon=job=se=dé=li=te=ma=vie=sen=ti=men=ta=le=sef=fri=te=mes=en=vies=fon=dent=com=me=nei=geau=so=leil=pour=u=ti=li=ser=un=a=da=ge=con=nu=de=tous=les=yeux=ri=vés=sur=lé=cran=de=mon=or=di=na=teur=re=tou=chant=u=ne=vir=gu=le=a=jus=tant=un=ac=cent=li=re=sans=ar=rêt=ce=que=dau=tres=ont=é=crit=et=puis=re=pren=dre=an=no=ter=u=ne=ré=flexion=la=lec=tu=re=elle=mê=me=ne=se=suf=fit=plus=seu=les=les=co=quilles=les=fau=tes=dor=tho=gra=phes=les=tour=nu=res=gram=ma=ti=ca=les=comptent=ob=sé=dé=par=la=ponc=tua=tion=ce=bou=lot=me=rend=com=plè=te=ment=à=cô=té=de=la=plaque=sans=au=cuns=re=pères=cri=blé=de=dou=tes=et=de=det=tes=mais=çà=on=ne=le=dit=pas=je=me=rend=comp=te=de=la=va=cui=té=de=ma=vie=a=quoi=dois=je=ser=vir=pour=quoi=suis=je=un=maillon=in=dé=fec=ti=ble=et=i=nu=tile=de=la=chaî=ne=pour=quoi=vi=vre=cest=quand=jai=lu=mon=ho=ro=sco=pe=dans=un=jour=nal=x=que=je=me=suis=ren=du=comp=te=a=quel=point=les=gens=ont=be=soin=dê=tre=ras=su=rés=sur=leur=a=ve=nir=pour=vou=loir=le=vivre=on=me=di=sait=que=jal=lais=trou=ver=lhom=me=de=ma=vie=dans=mon=si=gne=com=plé=men=tai=re=cé=tait=dans=fem=me=ac=tuelle=mais=le=mes=sa=ge=est=bel=et=bien=le=mê=me=on=a=tous=be=soin=de=se=di=re=que=de=main=se=ra=meilleur 344

théo=phile=echec=echec=théo=phile=ques=ti=onne=ments=doutes=re=mi=ses=en=causes=théo=phile=un=mu=si=cien=un=ar=tis=te=né=pour=vi=vre=dans=un=au=tre=siè=cle=le=mon=de=sem=ble=tour=ner=au=tours=de=tous=sauf=de=lui=cest=sur=tout=lui=qui=tour=neau=tours=du=monde=cest=un=en=nuyé=qui=com=me=ceux=qui=ne=sont=pas=pris=à=plein=temps=en=tre=tra=vail=fa=mille=chiens=chats=la=pins=co=bayes=ont=le=temps=de=pren=dre=du=re=cul=de=se=re=met=tre=en=cau=se=de=tout=re=met=tre=en=cause=cest=ce=ques=tion=ne=ment=qui=a=mè=ne=le=dou=te=et=le=dou=te=se=mue=en=dé=ses=poir=cest=le=re=nou=veau=de=la=cri=se=da=do=les=cence=ce=mo=ment=clef=de=la=vie=quon=ou=blie=tous=quon=a=vé=cu=un=jours=mis=à=part=un=va=gue=sou=ve=nir=de=mau=vai=se=hu=meur=et=dheu=res=pas=sées=a=é=cou=ter=de=la=mu=si=ques=en=vé=gé=tant=sur=son=lit=où=on=en=voie=tous=nos=cli=chés=tou=tes=nos=i=dées=re=çues=tou=te=no=tre=é=du=ca=tion=val=ser=ce=grand=mo=ment=de=so=li=tu=de=où=tout=est=mo=tif=à=ques=ti=on=ne=ment=ce=mo=ment=où=lon=se=rend=comp=te=que=son=pa=pa=nest=pas=le=plus=fort=que=cha=cun=à=ses=fai=bles=ses=que=les=ac=tions=ne=sont=pas=for=ce=ment=jus=ti=fi=ées=que=tout=nest=pas=bien=ou=mal=mais=am=bi=guë=ce=mo=ment=où=lon=ap=prend=ce=mot=con=tex=te=qui=dé=pend=tou=jours=théo=phi=le=re=vit=cet=te=a=do=les=cence 325

je=me=suis=tou=jours=de=man=dé=en=fant=pour=quoi=lar=gent=exis=tait=ques=tion=qui=pro=vo=quait=un=grand=rireet=des=re=gards=at=ten=dris=de=vant=tant=de=can=deur=et=de=naï=ve=té=mais=malheu=reu=se=ment=ce=qui=peut=pa=raî=tre=pué=ril=je=nai=tou=jours=pas=com=pris=pour=tant=on=a=pris=le=temps=de=mex=pli=quer=lar=gent=cest=donc=ce=qui=a=rem=pla=cé=le=troc=fa=ci=li=tant=ain=si=les=cho=ses=les=é=qui=va=len=ces=é=tant=sub=jec=ti=ves=èt=cé=té=ra=bref=mais=la=va=leur=don=née=aux=cho=ses=nest=elle=pas=aus=si=sub=jec=ti=ve=bien=sûr=el=le=est=dé=ter=mi=née=par=la=ra=re=té=èt=cé=té=ra=mais=la=vie=ne=se=rait=tel=le=pas=sim=pli=fi=ée=si=la=mon=naie=nexis=tait=pas=les=rap=ports=din=té=rêts=exis=te=raient=tils=h=m=m=m=pas=simple=per=son=ne=ne=le=sait=puis=que=per=son=ne=na=es=sayé=ah=si=jai=lu=un=truc=dans=le=gen=re=pas=sur=lar=gent=hein=mais=un=li=vre=ou=le=droit=de=pro=prié=té=é=tait=sup=pri=mé=tout=le=mon=de=va=pren=dre=ça=pour=du=p=seu=do=marxis=me=pri=mai=re=mais=je=men=tam=ponne=jai=lu=ça=à=la=boi=te=ça=va=me=re=ve=nir=u=to=pia=de=tho=mas=moore 271

et=si=un=monde=meilleur=é=tait=un=mon=de=sans=lois=sans=règles=une=ré=pu=bli=que=ba=na=niè=rea=mé=lio=rée=sans=ba=na=nes=u=ne=li=ber=té=to=ta=le=li=bre=de=ses=ac=tions=li=bre=de=dé=trui=re=li=bre=de=créer=li=bre=dai=mer=mais=la=li=ber=té=sar=rê=te=la=où=com=men=ce=cel=le=des=au=tres=cest=le=di=lem=me=de=lu=to=pie=uto=pie=faits=par=tie=de=ces=mots=à=con=no=ta=tion=pé=jo=ra=ti=ve=qui=com=me=un=souf=fle=dis=cret=mur=mu=rent=im=pos=sible=la=li=ber=té=un=bien=grand=et=beau=mot=un=mot=qui=gal=va=ni=se=un=mo=teur=mais=aus=si=u=ne=for=mu=le=qui=ef=fraie=en=ef=fet=si=lon=part=du=prin=ci=pe=que=cha=cun=est=li=bre=il=ne=peut=en=frein=dre=la=li=ber=té=dau=trui=ce=qui=li=mi=te=la=li=ber=té=mê=me=la=li=ber=té=cest=le=lot=des=hom=mes=forts=ca=pa=bles=de=ré=sis=ter=à=la=per=te=de=re=pères=mais=lhom=me=est=fai=ble=il=a=be=soin=de=va=leurs=qui=le=sta=bi=li=sent=qui=lo=rien=tent=la=re=li=gion=en=est=le=sché=ma=type=mais=là=ou=com=men=ce=la=rè=gle=la=li=ber=té=se=blesse=un=hom=me=ne=veut=pas=sor=tir=de=cet=é=tat=de=mi=no=ri=té=dans=le=quel=il=est=plon=gé=et=ras=su=ré=de=puis=la=nais=sance=pour=quoi=cham=bou=ler=se=po=ser=des=ques=tions=lhom=me=res=te=é=ter=nel=le=ment=mi=neur=le=phi=lo=so=phe=lui=va=sur=ses=vingt=et=un=ans=es=sayez=de=ren=dre=ma=jeur=un=a=do=les=cent=au=pre=mier=a=bord=il=se=di=ra=a=dieu=pa=rents=pa=ce=sa=lut=à=moi=la=vie=au=se=cond=il=se=ra=té=ta=ni=sé=par=les=res=pon=sa=bi=li=tés=qui=vont=le=pren=dre=à=la=gorge=cet=exem=ple=illus=tre=lé=tat=dans=le=quel=se=trou=vent=les=hom=mes=le=re=fus=des=doutes=théo=phi=le=doute 412

h=m=m=m=ce=mau=dit=ré=veil=qui=sonne=la=char=ge=qui=son=ne=ma=dé=char=geet=qui=se=re=char=ge=les=pa=ce=dun=ins=tant=je=me=ré=pè=te=quil=nest=que=six=h=tren=te=et=quil=me=res=te=tren=te=mi=nu=tes=de=fai=né=an=ti=se=vé=gé=ta=tive=al=ler=le=cou=ra=ge=pris=à=deux=pieds=jô=te=dun=coup=de=poi=gnet=sec=la=couet=te=pro=tec=trice=un=brim=bo=rion=dans=les=vap=pes=lœil=se=mi=clos=lair=bra=va=che=a=veu=glé=par=la=lu=miè=re=de=ces=vo=lets=crées=pour=ê=tres=ou=verts=quand=ils=ne=le=de=vraient=pas=ja=van=ce=a=pas=pe=sants=et=ré=glés=en=di=rec=tion=de=la=sal=le=de=bain=cest=fou=ce=que=je=res=sem=ble=à=ma=mère=les=mê=mes=mi=miques=cha=que=jour=cest=u=ne=nou=vel=le=sur=pri=se=u=ne=nou=vel=le=dé=route=com=me=pour=me=rap=pe=ler=a=ja=mais=doù=je=viens=de=qui=je=suis=né=de=cel=le=qui=ma=of=fert=la=vie=et=un=pré=nom=de=vant=cet=te=gla=ce=je=suis=vul=né=rable=les=yeux=de=ma=mè=res=me=s=cru=tent=me=son=dent=et=çà=me=ter=ri=fie=jai=u=ne=frayeur=vis=cé=ra=le=de=la=re=pro=duc=ti=on=des=sché=mas=de=ce=que=jai=vé=cu=je=ne=veux=pas=fi=nir=com=me=elle=je=nau=rai=ja=mais=den=fants=je=ne=veux=pas=ê=tre=com=me=elle=je=nau=rais=ja=mais=den=fants=je=ne=veux=pas=ê=tre=pa=reil=je=ne=veux=pas=fai=re=souf=frir=mes=en=fants=je=ne=mour=rais=ja=mais=je=ne=leur=fe=rais=ja=mais=peur=je=les=bor=de=rais=tou=jours=ça=yest=bra=vo=théo=la=lar=me=a=lœil=cest=très=ma=lin=boys=dont=cry=nou=blie=pas=il=faut=que=je=pren=ne=u=ne=bon=ne=douche=noyer=mes=lar=mes=dans=le=sa=von=é=touf=fer=les=san=glots=dans=du=sham=poing=un=su=cré=s=la=sh=sa=lé=qui=mousse 400

cest=sa=glace=qui=rend=à=théo=phi=le=ce=qui=est=à=théo=phile=ses=peurs=ces=é=clairs=de=lu=ci=di=té=ses=dou=tes=ces=i=ma=ges=fur=ti=ves=ces=ré=mi=nis=cen=ces=tris=tes=ces=mo=ments=vo=lés=qui=re=mon=tent=en=bouf=fée=vo=lu=tes=de=nos=tal=giea=vec=tout=ce=quel=le=con=tient=da=mer=et=de=tendre=il=se=sur=prend=il=sur=prend=son=re=flet=vic=ti=me=et=bour=reau=tor=tu=ré=par=la=ban=don=pas=sif=de=cet=te=bel=le=fem=me=du=mon=de=qui=ne=la=é=le=vé=que=pour=le=mon=trer=les=yeux=em=bués=com=me=les=vi=tres=il=ne=la=quit=te=ra=ja=mais=plus=il=y=ré=flé=chi=et=plus=son=re=gard=sur=les=cho=ses=de=vient=sombre=ab=sent=de=tout=op=ti=mis=me=plus=le=temps=pas=se=et=plus=il=de=vient=ai=gre=ha=bi=té=par=les=fan=tô=mes=de=son=en=fan=ce=de=ses=é=checs=de=ces=preu=ves=quil=au=rait=vou=lu=don=ner=et=quil=na=pu=que=pré=ve=nir=il=jet=te=par=fois=ce=re=gard=quon=les=gens=a=gres=sés=par=les=re=culs=il=ne=rend=plus=les=cho=ses=belles 237

et=dire=quun=le=ver=de=so=leil=me=ren=dait=heu=reux=ce=lui=ci=à=la=fa=deur=des=pe=tits=ma=tins=ou=a=tés=la=con=tem=pla=tion=la=rê=ve=rie=be=soin=de=res=pi=rer=aé=rer=mes=sy=nap=ses=pren=dre=du=re=cul=pou=voir=li=re=com=me=quand=jé=tais=pe=tit=a=vec=cet=te=dé=lec=ta=tion=qui=rou=gie=les=joues=a=bî=me=les=yeux=et=é=puise=jai=be=soin=de=cet=te=fa=ti=gue=saine=pris=par=les=li=gnes=en=ou=bliant=le=temps=se=sub=sti=tuant=au=per=son=na=ge=prin=ci=pal=vi=vant=ses=tri=bu=la=tions=a=vec=plus=de=pas=sion=quil=ne=le=fait=lui=mê=me=mais=da=bord=u=ne=bon=ne=ba=lade=pa=ris=est=é=touf=fant=de=tou=ris=tes=é=chau=dés=pa=ris=la=bel=le=pa=ris=se=fait=bel=le=sous=tous=ces=y=eux=bri=dés=les=miens=sont=cer=nés=le=bois=de=bou=lo=gne=si=cli=ché=se=rait=len=droit=i=dé=al=ame=ner=as=trid=non=pas=be=soin=de=deux=souf=fles=pour=ins=pi=rer=mieux 216

théo=phile=bri=sé=non=cest=un=de=ces=en=nuyés=de=la=gri=saille=quo=ti=dienne=il=fait=par=tie=de=ceux=qui=ne=sa=vent=pas=vrai=ment=é=clai=rer=leur=quo=ti=dien=ceux=qui=las=som=brissent=les=né=ga=ti=vis=tes=les=pes=si=mis=tes=les=s=cep=ti=ques=en=un=a=ve=nir=meilleur=ceux=pour=qui=les=mots=car=pe=diem=sont=mis=sur=le=mê=me=plan=dans=le=dic=tion=nai=re=que=ba=na=li=té=bille=ve=sée=niai=se=rie=en=fan=tilla=ge=et=dont=le=sou=ve=nir=le=plus=ré=cent=est=e=than=haw=ke=sur=u=ne=ta=ble=dé=cla=mant=oh=ca=pi=tai=ne=mon=ca=pi=tai=ne=théo=phi=le=cest=un=bau=de=laire=il=ou=blie=quon=peut=nous=mê=meé=gayer=no=tre=quo=ti=dien=que=le=so=leil=il=se=cher=che=il=ne=nous=tom=be=pas=des=sus=théo=phi=le=va=au=bois=de=bou=logne=grand=bien=lui=fasse 185

jai=peur=jan=goisse=sans=so=ma=ti=ser=eux=tous=mi=sent=sur=un=che=val=qui=na=pas=en=co=re=cou=ru=une=bul=le=s=pé=cu=la=ti=ve=se=gon=fle=sur=moi=mon=po=ten=tiel=el=le=ris=que=de=vo=ler=en=é=clats=dans=un=fu=tur=plus=pro=che=que=je=le=crois=et=là=la=dé=cep=tion=cet=ins=tant=où=lon=se=rend=comp=te=que=lon=sé=tait=trom=pé=ce=mo=ment=où=le=mas=que=tombe=ce=bal=din=com=pré=hen=sion=ré=ci=pro=queoù=le=voi=le=la=che=et=la=dé=cep=tion=saf=fi=che=grande=a=com=men=cer=par=les=yeux=sur=pris=puis=tra=his=le=sen=ti=ment=de=sê=tre=fait=rou=lés=da=voir=tant=cru=en=un=rien=dê=tre=dé=pos=sé=dé=dun=es=poir=après=vient=la=com=pas=sion=la=com=pen=sa=tion=je=me=ter=ri=fie=de=lu=ci=di=té=ma=mé=dio=cri=té=se=ca=mou=fle=el=le=me=fuit=pour=mieux=trom=per=les=autres=el=le=me=lais=se=fa=ce=à=mon=dé=sar=roi 208
jes=saye=de=pré=ve=nir=da=ver=tir=le=dé=gât=mais=on=me=re=gar=de=com=me=un=pré=di=ca=teur=im=bé=ci=le=un=faux=mo=deste=le=gen=re=qui=a=ga=ce=di=tes=moi=le=jour=l=heu=re=pour=que=je=men=ter=re=sans=a=voir=le=loi=sir=de=di=re=je=vous=a=vait=pré=ve=nu=la=dé=cep=ti=on=se=ra=la=mê=me=cui=san=te=pour=eux=et=le=dé=ses=poir=se=ra=com=plet=pour=moi 96

au=cune=con=fian=ceen=lui=théo=phi=le=est=ha=bi=té=par=la=ter=reur=per=pé=tuel=le=de=lé=chec=cest=ce=qui=lui=a=fait=ra=ter=ses=é=tudes=il=a=cru=que=plan=ter=u=ne=an=née=cé=tait=rui=ner=sa=vie=et=main=te=nant=cest=lui=qui=la=dé=truit=peu=à=peu=a=vec=des=ru=mi=ne=ments=in=ces=sants=ces=é=clats=dan=gois=se=il=les=con=naît=de=puis=le=jour=où=on=lui=a=prou=vé=où=il=sest=prou=vé=quil=pou=vait=sor=tir=du=lot=de=puis=il=se=ter=re=dans=la=frayeur=de=de=voir=sor=tir=de=ce=lot=en=as=pi=rant=à=lex=cel=lence=alors=il=pié=ti=ne=il=sau=te=a=pieds=joints=pour=gra=vir=lé=chel=le=sans=pen=ser=que=dans=é=chel=le=on=en=tend=é=che=lons=tout=tout=cuit=tout=main=te=nant=et=rien=au=fi=nal 174

et=rien=au=fi=nal=un=é=cho=qui=ré=son=ne=pars=re=viens=je=sais=où=le=bas=blesse=je=con=nais=la=cau=se=de=mon=in=sa=tis=fac=ti=on=je=sais=ce=qui=ne=tour=ne=pas=je=sais=où=je=ne=dois=pas=al=ler=mais=je=my=en=gou=ffre=com=me=ma=gné=ti=sé=il=fait=si=beau=jour=née=trop=bleue=pour=ê=tre=to=ta=le=ment=par=faite=il=me=man=que=ce=vent=le=sa=ble=hu=mi=de=la=mer=si=vas=te=mes=ro=ches=si=rou=ges=et=puis=et=puis=les=im=per=fec=ti=ons=ver=tes=mon=ro=chée=de=la=fée=le=con=te=de=ma=mè=re 129
di=ci=trois=jours=mon=mas=que=va=tom=ber=mon=sta=tut=dim=pos=teur=con=fir=mé=jai=hâ=te=de=sa=voir=ce=qui=va=me=res=ter=qui=va=res=ter=jus=quà=quand=et=pour=quoi=pour=qui=pour=moi=ou=pour=ce=lui=quils=con=nais=saient=ce=lui=qui=les=fai=saient=rireet=rê=ver=je=ne=sais=pas=je=sais=plus=rien=et=com=me=les=mé=dio=cres=je=nai=plus=peur=de=rien=je=fais=sem=blant=de=me=fou=tre=de=tout=li=ner=tie=lym=pha=ti=que=re=fu=ge=que=jai=tant=cri=ti=quée=au=pa=ra=vant=quel=gâ=chis=quel=le=fai=blesse=quel=le=hon=teu=se=va=ni=té=que=de=se=mor=fon=dre=dans=son=rien=pré=na=tal=mais=le=bon=heur=é=prou=vé=dans=sa=mor=gue=hé=bé=tée=cest=la=for=ce=de=la=fai=blesse=cest=la=for=ce=qui=mat=ti=re=me=pré=ci=pi=te=et=me=noie=me=prend=à=la=gor=ge=et=moi=je=me=com=plaît=dans=cet=te=as=phy=xie=vai=ne=dans=cet=al=cool=qui=cal=me=et=qui=pul=pe=les=lè=vres=dans=la=dou=ce=hé=ré=sie=de=lé=thy=lè=ne=qui=re=paît=je=suis=là=jé=cris=jé=cris=ma=vie=de=rien=jé=cris=ma=vie=pour=rien=et=jai=peur=peur=de=moi=on=ma=dit=que=je=ne=sa=vais=rien=é=cri=re=de=po=si=tif=de=cons=truc=tif=du=beau=on=ma=dit=que=jé=tais=un=bau=de=lai=re=on=ma=dit=que=cer=tains=mai=maient=on=ma=men=ti=on=ma=cri=ti=qué=on=ma=ju=gé=sans=sa=voir=ce=quil=en=é=tait=vrai=ment=on=a=mé=dit=der=niè=re=mes=é=pau=les=et=je=me=suis=ca=ché=et=jai=re=fais=sur=fa=ce=et=je=me=tient=a=ler=te=en=at=ten=dant=de=mar=bre=quil=ad=vien=ne=ce=que=pour=ra=jai=les=lè=vres=vio=lettes=a=bas=le=cô=te=du=rhô=ne=et=ma=lan=gue=ne=sait=plus=tour=ner=et=mes=ges=tes=ont=per=du=en=vi=va=ci=té=et=mes=lar=mes=ne=peu=vent=plus=cou=ler=cou=lé=noyé=tou=ché=ga=gné=et=le=pain=que=je=ga=gne=à=coup=de=sueurs=à=coup=de=cli=ques=jen=ai=ma=claque=jai=les=pau=piè=res=lour=des=et=jé=cris=au=pré=sent=jé=cris=pour=me=cal=mer=le=temps=et=je=prends=mon=temps=et=je=sè=me=ma=dé=tresse=les=pau=vres=gens=à=qui=je=ma=dresse=ri=di=cu=le=eplo=ré=dé=pri=mant=dé=pri=mé=tous=ces=re=gards=fuyants=qui=im=plo=rent=la=grâ=ce=qui=me=de=man=dent=si=ça=va=qui=me=de=man=dent=si=ça=pas=se=et=qui=sé=loignent=je=suis=dé=so=lé=je=suis=dé=so=lé=je=ne=vou=lais=pas=et=pour=tant=cest=un=der=nier=re=cours=et=ils=sé=loi=gnent=de=moi=je=sais=pour=quoi=la=fai=bles=se=de=la=dé=pres=sion=ca=ef=fraie=ça=tient=à=lé=cart=quoi=de=moins=ban=dant=que=ce=lui=qui=ne=rit=plus=je=ne=veux=pas=de=pi=tié=je=ne=veux=pas=de=com=pas=sion=jai=be=soin=de=di=re=jai=be=soin=de=ra=con=ter=jai=be=soin=de=nar=rer=je=ne=veux=pas=ê=tre=nar=gué=je=suis=dé=so=lé=je=ne=de=man=de=rien=ou=plu=tôt=beau=coup=lé=cou=te=et=le=si=lence=le=ré=con=fort=muet=du=par=tage=je=suis=dé=so=lé=je=ne=veux=pas=ren=dre=triste=je=ne=veux=pas=non 673

tu=sais=ya=vais=la=place=le=cou=rant=et=les=vagues=tu=sais=ya=vait=li=vres=se=la=vio=len=ceet=le=calme=et=puis=ya=vais=mes=yeux=fa=ti=gués=et=a=ci=des=qui=ne=pen=saient=pas=qui=bu=vaient=la=tasse=la=der=niè=re=au=ci=tron=tu=sais=ya=vait=la=pla=ce=sur=le=pont=vi=de=et=ge=lé=ya=vais=mê=me=de=quoi=se=fai=re=tou=te=ou=blier=et=tom=ber=dans=le=rhô=ne=noir=le=rhô=ne=qui=gé=mis=sait=en=cor=dé=au=vent=jau=rais=pu=dé=ri=ver=dans=le=cou=loir=du=mi=di=a=la=fa=veur=du=vent=à=la=fa=veur=de=lou=bli=et=puis=ya=vait=four=viè=re=et=sa=bé=né=dic=tion=qui=jau=geait=as=si=se=ba=lour=de=et=é=rein=tée=qui=me=di=sait=comment=et=puis=ya=vait=ces=gens=que=j=na=vais=pas=re=mar=qués=et=u=ne=tou=te=pe=ti=te=fille=un=pe=tit=brin=de=beau=té=a=bos=suet=ou=at=choum=quel=le=im=por=tan=ce=main=te=nant=puis=quel=le=a=tour=née=la=gi=rouet=te=du=mo=ment=il=nei=ge=des=grê=lons=com=me=des=poing=s=dres=sés=gail=lards=har=dis=bâ=tards=com=me=mon=nom=qui=a=é=té=le=tien=un=bout=de=so=leil=de=feu=a=ci=de=plus=que=mes=y=eux=il=cou=vre=la=ville=froide=et=mon=duf=fle=coat=rose=jai=en=co=re=per=du=mes=clef=s 283

ya=que=les=gens=qui=nont=rien=vé=cu=qui=ont=des=prin=ci=pes 15
Phonétique : Utopia Ou La Métaphysique D’un Rêveʃεʁʃə. tʁuvə. nə tə ʁətuʁnə- pa, ʁəɡaʁdə dəvɑ̃ twa. lə fil sə delitə. aʁjanə ki mapεllə. dεz- ɛ̃dikasjɔ̃. lε siʁkɔ̃vɔlysjɔ̃. sε myʁz- ɑ̃ muvəmɑ̃. e lɑ̃ɡwasə ki mə sεʁ lə ɡozje. e si ʒə nə dəvε ʒamε plysz- εtʁə εme ? « sɔʁ, teo, sɔʁ… ». la lymjεʁə, sə zom kliʃe, ynə eʃapatwaʁə, œ̃n- ajœʁ. lə labiʁɛ̃tə ki sefɔ̃dʁə. lεkstazə. il fo fɥiʁ e fεʁme lεz- iø. mεz- εlə mə bʁyle e œ̃ ɡufʁə ɑ̃tʁə ɑ̃ sεnə. ɔdœʁ də kanaʁ lake dɔ̃ ɔ̃n- oʁε ɔmi dote lε plymə. deʃiʁe, ɛ̃kɑ̃desɑ̃, lə vidə sə kɔ̃kʁetizə, sɑ̃ fɛ̃. ynə famə. ipnɔtikə e detaʃe, εllə muvʁə sɔ̃ kɔʁ.
« œ̃ ʁεvə, ʒystə œ̃ ʁεvə » la desεpsjɔ̃ dɑ̃ la vwa, dɑ̃ lεz- iø. sε klεʁ kə sə nε pa lə plysz- ɑ̃tʁεnɑ̃ puʁ sə ʁevεje. sɔʁtiʁ dœ̃ lɔ̃ ʁεvə u sə kɔ̃n- εspεʁə εt- a pɔʁte də dwaz- e pɥi dɑ̃ lə bʁɥi uate dy ʁevεj matɛ̃, ɔ̃ sə ʁɑ̃ kɔ̃tə kə nɔ̃ setε ʒystə œ̃ ʁεvə. lε ʁεvə, aspiʁasjɔ̃ pʁɔfɔ̃də dœ̃ sybkɔ̃sjɑ̃ pʁεskə plys pʁezɑ̃ e veʁidikə kə lə kɔ̃sjɑ̃ ? ɔ̃ vø i kʁwaʁə u alɔʁ sε tεllmɑ̃ kʁɛ̃ kə la pœʁ ʁeεllə ε dekalke syʁ la nɥi. ε, ɑ̃kɔʁə la maʁkə də lɔʁεje, kɔmə la sikatʁisə dy ʁεvə syʁ ma ʒu. deʒa kə ʒə sɥi la ʁize dy metʁo…
teɔfilə, sε ma mεʁə ki ma apəle kɔmə sa. kɔmə la plypaʁ dε ʒɑ̃ dajœʁ, ɑ̃fɛ̃, ʒə sypozə. sε lɔ̃ teɔfilə. sε lwɛ̃ də sε pʁenɔ̃ ki klake kɔmə dε banjεʁəz- o vɑ̃. œ̃ nɔ̃ də pɔεtə o mɛ̃ fʁaʒilə, lwɛ̃ dy kɔʁsεʁə byʁine kə ʒε vuly εtʁə. dajœʁ, ʒsɥi ni kɔʁsεʁə, ni pɔεtə. ʒə sɥi sə kɔ̃ pø apəle œ̃ ʁate, œ̃n- inadapte. ʒε esεje dekʁiʁə dε bukɛ̃ puʁ lεz- ɑ̃fɑ̃. leditœʁ a ete bʁεf : « kɑ̃ ɔ̃n- a pa lə talɑ̃ ki va avεk ləɡo, otɑ̃ kyltive lε ʁeplik. » ɔ̃ si fε… a la lɔ̃ɡ. alɔʁ dy ku, ʒε deside dekʁiʁə œ̃ bu də ma vi. puʁkwa œ̃ səl bu ? paʁsə kə ʒə sɥiz- œ̃ ʁitmə binεʁə. nyl, pɥiz- ɑ̃fɑ̃ də la ʃɑ̃sə.
ma mεzɔ̃ dedisjɔ̃ ma plɑ̃te. il paʁε kə la vi dœ̃n- anɔnimə, sε pa ʁɑ̃tablə, ma vi nε pa ʁɑ̃tablə, nɔ̃ valablə. ʒə sɥi pa plys kɔ̃ kœ̃n- otʁə. ʒə sɥi medjɔkʁə, tu sɛ̃pləmɑ̃, e sa mefʁε. ɑ̃kɔʁə, œ̃n- ɛ̃besilə, il amyzə la ɡaləʁi, mwa ʒə sɥi sɔ̃bʁə… e timidə kɔmə pa dø, sə ki siɲifi : ɑ̃dikape sɔsjal. dɔmaʒə kɔ̃ nə pɥisə pa lə maʁke syʁ la kaʁtə didɑ̃tite.
aljene, sεtə ʁutinə ki mə tjɛ̃ o kɔʁ. ʒə sɥi lɔbɔtɔmize, ɑ̃ veʒetasjɔ̃. ʒə sɥiz- œ̃ leɡymə, ɑ̃ mwɛ̃ vεʁ. ui, ʒε vɛ̃t- siz- ɑ̃. metʁo, bulɔt (sə kil ɑ̃ ʁεstə) εt dɔdɔ (bjɛ̃ kə sə swa də plysz- ɑ̃ plys difisilə ɑ̃ sə mɔmεnt) , sε mɔ̃ kɔtidjɛ̃, mɔ̃ lo.
teɔfilə εt- œ̃n- ɔmə, ni bɔ̃ ni movε, pa də maniʃeismə puʁ œ̃ livʁə syʁ la dyplisite. sa vi, sε lɑ̃ti ytɔpi, sε lɑ̃ʃəvεtʁəmɑ̃ ʁutinje də lεɡzistɑ̃sə dœ̃ iks. teɔfilə, sε lə pɔεtə lɑ̃bda ki sɔmεjə ɑ̃ tus. lwɛ̃ dy ʒeni, lwɛ̃ dy debilə, sε lə zeʁo də laksə ɔʁtonoʁme.
lə səl pime ʁozə də ma vi, sεst « εllə », sa pø paʁεtʁə kɔ̃, mεz- εllə mə pεʁmε də təniʁ, ʒə nə di pa kə ʒə tjɛ̃ plysz- a la vi, o kɔ̃tʁεʁə, ʒə detεstə tus sε nevʁoze ki ʒεɲe kil sɔ̃ futys. nɔ̃, mwa ʒə sɥi ʒystə inadapte a sεtə vi la, dɑ̃ sə mɔ̃də la, avεk lε kɔ̃fli ʒeɔpɔlitik pʁezɑ̃z- e ma kɔ̃sjεʁʒə tʁε pʁezɑ̃tə. dy ku, mɔ̃ pəti bu də sɔlεj kɑ̃ ʒε œ̃ ku də splin, sεst « εllə », ma ɡitaʁə. εllə mə ɡalvanizə, εllə mə nu lεstɔmak, εllə mə ʁɑ̃ dɛ̃ɡ, εllə mə ʁɑ̃ tʁistə, sεst « ma ». ʒε osi ynə fjɑ̃se, astʁid… e εllə mεmə. ɔ̃ sε ʁɑ̃kɔ̃tʁe, ɔ̃n- avε diz- ɑ̃, ɔ̃n- etε amuʁøz- e pɥiz- a diz- nəv- ɑ̃, ɔ̃ sε ʁətʁuvez- e pɥi vwala… εllə a aki lə nɔ̃ də fjɑ̃se. sε dyʁ də savue kə lə ɡu də sε lεvʁə- mεt- ɛ̃difeʁɑ̃, kə lε suvəniʁ kɔmœ̃z- apaʁtjεne də plysz- ɑ̃ plysz- o mɔ̃də ʁevɔly dy pase. alɔʁz- ɔ̃ kylpabilizə, ɔ̃ sə di dəmɛ̃ εt- œ̃n- otʁə ʒuʁ, ɔ̃ sə mɔʁ la lɑ̃ɡ, mε lə silɑ̃sə dy nɔ̃ amuʁ ε la, bjɛ̃ palpablə.

lamuʁ sesjɔlə e sə puʁsɥi, kɔmə œ̃ kanəvaz- inaʃəve kɔ̃ ʁəpusə ʃakə ʒuʁ o lɑ̃dəmɛ̃. teɔfilə… paʁtiʁ, paʁtiʁ lwɛ̃, u alɔʁ pa lwɛ̃, mε sɑ̃ pεʁsɔnə. batiʁ sa vi ɑ̃n- εjɑ̃ œ̃ byt, puʁsɥivʁə ynə taʃə mε sevade dεz- iməblə ɡʁize paʁ lə kaʁbɔnə, də sε sɑ̃sz- ɛ̃tεʁdi, də sε ʁy pjetɔnə. teɔfilə, lε sεʁnə- də la lasitydə dœ̃ mɔ̃də kil nə kɔ̃pʁɑ̃ pa osi bjɛ̃ kil lə vudʁε, tus sε mekanismə paʁfεz- ɔʁkεstʁe syʁ fɔ̃ waɲe, u lε fis sɔ̃ sybtiləmɑ̃ nue, denue.

ɑ̃kɔʁə œ̃ ʒuʁ də plys, ɑ̃kɔʁə dε suʁiʁəz- a fɛ̃dʁə, mime la bɔnə ymœʁ dy paʁfε ɛ̃teɡʁe, lε butadə də pɔtaʃə dε kɔlεɡ baluʁd, la luʁdœʁ dy sɔlεj ki kɔmə dɑ̃ letʁɑ̃ʒe ki dɔnə pʁεskə ɑ̃vi də məʁtʁə, lε sεkʁetεʁə mi ɔfεʁtə- mi buɡɔnə, œ̃ pø bɔʁne dɑ̃ lœʁ klasəʁs « a ba nɔ̃ ɛ̃, lə dɔsje iks asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə sε lə klasœʁ ʁuʒə ɛ̃… », avεk ləʁs « εn » εn pɔ̃ktɥasjɔ̃. sevade, sevade, sevade a la minə dy kʁεjɔ̃…
mɔ̃ djø kεllə ε bεllə sεtə fijə, famə mɛ̃tənɑ̃, kə teɔfilə ɔpsεʁvə, sε lɔ̃ɡ ʃəvø ʃatɛ̃ ki setɔfe ɑ̃ buklə leʒεʁə, sεz- iø blø vεʁt « kulœʁ yitʁə dutʁə atlɑ̃tikə » εt sə ʒə nə sε kwa dɑ̃ lə ʁəɡaʁ ki petijə də malisə, də sɛ̃ismə e də tɑ̃dʁεsə… pεʁsɔnə nə puvε i εtʁə ɛ̃difeʁɑ̃. teɔfilə, si. lə tɑ̃z- a eʁɔde sə ʃaʁmə də linatɑ̃dy, latʁaksjɔ̃ puʁ lɛ̃kɔny, la dekuvεʁtə. il kɔnε tu dεllə. lə ɡʁɛ̃ də sa po, la ʃalœʁ də sa buʃə, sεtə pwatʁinə ki palpitə su sε mɛ̃. il sε kεllə εmə laʁ, paʁtikyljεʁəmɑ̃ la pɛ̃tyʁə abstʁεtə, εllə εmə sə kɔte vidə plɛ̃ də talɑ̃, u labsɑ̃sə də kɔ̃tuʁ pʁesi dɔnə œ̃n- ɛ̃tεʁpʁetasjɔ̃ pyʁəmɑ̃ εstetikə e pεʁsɔnεllə, ynə emɔsjɔ̃ paʁtikyljεʁə puʁ ʃakə vizitœʁ, emɔsjɔ̃ ki sə ʁevelε bjɛ̃ suvɑ̃ puʁ teɔfilə εtʁə də lɛ̃difeʁɑ̃sə. εllə εmə sasəwaʁ lε ʒənu kʁwaze, pozisjɔ̃ sfɛ̃ks asi, e pɥiz- admiʁe ʒysko deɡu ynə œvʁə ki la tuʃə, sɑ̃ kεllə saʃə εɡzaktəmɑ̃ puʁkwa, sɑ̃ ladmiʁasjɔ̃ kɔ̃ pø pɔʁte a œ̃ tʁavaj minytjø mεz- avεk lekla fyʁtif dy ʃaʁmə, ynə paʁsεllə də ʒeni ki emεʁʒə də la ɡuaʃə. il la kɔnε tεllmɑ̃ bjɛ̃. εllə latɑ̃dʁi, mε nə lemø plys.

ʒə detεstə lε famə ki pləʁe. sε ʁepyɲɑ̃. lεz- iø ʁuʒə, sɑ̃ktifje, lε popjεʁəz- ɛ̃feʁjəʁəz- e sypeʁjəʁə ɡɔ̃flez- a sə dəmɑ̃de si lə ʒi te də vɛ̃ aʃ zeʁo zeʁo okεl ɔ̃n- a pa asiste a evɔke œ̃ dezastʁə ekɔlɔʒikə dɑ̃z- œ̃ fytyʁ tut- a fε pʁoʃɛ̃… ynə famə ki plœʁə a kεlkə ʃozə dy salami. ynə tʁɑ̃ʃə də sosisɔ̃ ʃodə e ymidə. lə maskaʁa a kule ɑ̃ ʁiɡɔlə syʁ lœʁ ʒuz- e dɑ̃z- œ̃ ɡʁɑ̃ ʁənifləmɑ̃ εllə sə lɔve kɔ̃tʁə vuz- e vu ɡʁatifje dynə tʁεne nwaʁatʁə syʁ vɔtʁə ʃəmizə blɑ̃ʃə e pʁɔpʁə də la vεjə.
mεz- astʁid, kɑ̃, lεz- iøz- ɑ̃bye kɔmə lε vitʁə, εllə sə kɔlə a mwa, εllə ʁədəvjɛ̃s « ma mεjəʁə kɔpinə də se εm døks », εllə puʁʁε salɔpe tus mε kɔl də ʃəmizə, ʒə nə lɥi ɑ̃ vudʁε mεmə pa. sε kεlkə paʁ də la ʁəkɔnεsɑ̃sə, də la ɡʁatitydə, sε la sələ ki mε tɑ̃dy la mɛ̃ kɑ̃ ʒetε səl, tεtə də tyʁk, paʁja, maʁʒinal… : ʒə nεmε pa lə fu. ma ɡʁɑ̃də taʁə də pʁimεʁə, ma kʁwa, mɔ̃ syplisə.

lamuʁ, lə fu… idεm. teɔfilə na ʒamε vuly i ʒue, mε sε sa sɔsjalizasjɔ̃ ki la ɑ̃pɔʁte syʁ sε ʁetisɑ̃sə. lamuʁ… ʁasinə, la mεʁə dalbεʁ kɔɛ̃, ʃɛkspiʁ, tus lɔ̃ di, ʁepete, la pasjɔ̃ nə mεnə nylə paʁ, o deʁasinəmɑ̃, e puʁ viʁe tutə vwalə dəɔʁ dɑ̃ lə melo, a la mɔʁ paʁfwa. tutə pasjɔ̃ amεnə a ynə isɥ tʁaʒikə. lamuʁ, sε labitydə. il nə fo ɑ̃n- okœ̃ ka kɔ̃fɔ̃dʁə avεk atiʁɑ̃sə. latiʁɑ̃sə, sε lɛ̃stɛ̃ animal ki vu pusə vεʁz- ynə pεʁsɔnə ki vu plε. sɑ̃ plys. mε sε labitydə ki fɔʁʒə yn « kuplə ». ʒɑ̃plwa-abitydə dɑ̃z- œ̃ tut- otʁə sɑ̃s kə ʁutinə, la ʁutinə detʁɥi, mε labitydə, sε dø kɔʁz- apʁivwaze lœ̃ lotʁə, lœ̃ lə ʁənaʁ, lotʁə lə pəti pʁɛ̃sə, sε sə kɔnεtʁə paʁ kœʁ sɑ̃ tʁuve sa lasɑ̃. mε teɔfilə lɥi, il kɔnε tu dastʁid, sɑ̃ ɡʁɑ̃də ʒwa. sε la ʁutinə ki labitə. puʁtɑ̃ il ε fidεlə. mε la fidelite ε sybʒεktivə. ɔ̃n- ɑ̃ distɛ̃ɡ dø. la fidelite mɔʁalə : « ʒə vε vwaʁ ajœʁ, mε ʒə nɑ̃n- εmə veʁitabləmɑ̃ kynə », sə ki ε ʒeneʁaləmɑ̃ kaʁakteʁistikə ʃe lεz- ɔmə, e pɥi la fidelite fizikə : « ʒə nə vε pa vwaʁ ajœʁ, mε ʒə ʁεvə paʁfwaz- a dotʁəs ». plys femininə kɔmə apʁoʃə. e pɥiz- il i a la « fidelite absɔly » : « ʒə ʁεvə də sεllə kə ʒεmə, e ʒə ʁεstə avεk εllə ». mε lə fɑ̃tasmə εt- ɑ̃dʁɔʒinə. ʃe teɔfilə, sε la paʁ femininə ki lɑ̃pɔʁtə, apʁoʃə plyto malsεnə pɥiskə ʁəleɡe sε pylsjɔ̃z- o ʁɑ̃ də fɑ̃tasmə savεʁə pʁεskə plys dɑ̃ʒəʁø, lə fɑ̃tasmə nə tʁuvɑ̃ pa də limitə. teɔfilə ε dɔ̃k-abite paʁ dε fɑ̃tomə də faməz- ɛ̃kɔnɥ, « kil εmə e ki lεmə ».

puʁ εtʁə syksɛ̃ e tut- a fε ʁazwaʁ, œ̃n- apεʁsy də la spiʁalə də medjɔkʁite dɑ̃ lakεllə ʒə vis : mɔ̃ ʒɔb sə delitə, ma vi sɑ̃timɑ̃alə sefʁitə, mεz- ɑ̃vi fɔ̃de kɔmə nεʒə o sɔlεj puʁ ytilize œ̃n- adaʒə kɔny də tus, lεz- iø ʁive syʁ lekʁɑ̃ də mɔ̃n- ɔʁdinatœʁ, ʁətuʃɑ̃ ynə viʁɡylə, aʒystɑ̃ œ̃n- aksɑ̃, liʁə sɑ̃z- aʁε sə kə dotʁəz- ɔ̃ ekʁi, e pɥi ʁəpʁɑ̃dʁə, anɔte ynə ʁeflεksjɔ̃, la lεktyʁə εllə mεmə nə sə syfi plys, sələ lε kɔkjə, lε fotə dɔʁtɔɡʁafə, lε tuʁnyʁə ɡʁamatikalə, kɔ̃te. ɔpsede paʁ la pɔ̃ktɥasjɔ̃, sə bulo mə ʁɑ̃ kɔ̃plεtəmɑ̃ a kote də la plakə. sɑ̃z- okœ̃ ʁəpεʁə. kʁible də dutəs (εt də dεtə, mε sa ɔ̃ nə lə di pas) , ʒə mə ʁɑ̃ kɔ̃tə də la vakɥite də ma vi. a kwa dwa ʒə sεʁviʁ ? puʁkwa sɥi ʒə œ̃ majɔ̃ ɛ̃defεktiblə e inytilə də la ʃεnə ? puʁkwa vivʁə ? sε kɑ̃ ʒε ly mɔ̃n- ɔʁɔskɔpə dɑ̃z- œ̃ ʒuʁnal iks kə ʒə mə sɥi ʁɑ̃dy kɔ̃tə a kεl pwɛ̃ lε ʒɑ̃z- ɔ̃ bəzwɛ̃ dεtʁə ʁasyʁe syʁ lœʁ avəniʁ puʁ vulwaʁ lə vivʁə. ɔ̃ mə dizε kə ʒalεs « tʁuve lɔmə də ma vi dɑ̃ mɔ̃ siɲə kɔ̃plemɑ̃tεʁə ». setε dɑ̃ famə aktɥεllə. mε lə mesaʒə ε bεl e bjɛ̃ lə mεmə : ɔ̃n- a tus bəzwɛ̃ də sə diʁə kə dəmɛ̃ səʁa mεjœʁ.

teɔfilə. εʃεk. εʃεk. teɔfilə. kεstjɔnəmɑ̃. dutə. ʁəmizəz- ɑ̃ kozə. teɔfilə. œ̃ myzisjɛ̃, œ̃n- aʁtistə ne puʁ vivʁə dɑ̃z- œ̃n- otʁə sjεklə, lə mɔ̃də sɑ̃blə tuʁne otuʁ də tus, sof də lɥi. sε syʁtu lɥi ki tuʁnə otuʁ dy mɔ̃də. sεt- œ̃n- ɑ̃nyie ki, kɔmə sø ki nə sɔ̃ pa pʁiz- a plɛ̃ tɑ̃z- ɑ̃tʁə tʁavaj, famijə, ʃjɛ̃, ʃa, lapɛ̃, kɔbεj, ɔ̃ lə tɑ̃ də pʁɑ̃dʁə dy ʁəkyl, də sə ʁəmεtʁə ɑ̃ kozə, də tu ʁəmεtʁə ɑ̃ kozə. sε sə kεstjɔnəmɑ̃ ki amεnə lə dutə e lə dutə sə mɥ ɑ̃ dezεspwaʁ. sε lə ʁənuvo də la kʁizə dadɔlesɑ̃sə. sə mɔmɑ̃ kle də la vi, kɔ̃n- ubli tus kɔ̃n- a veky œ̃ ʒuʁ, miz- a paʁ œ̃ vaɡ suvəniʁ də movεzə ymœʁ e dœʁ pasez- a ekute də la myzikz- ɑ̃ veʒetɑ̃ syʁ sɔ̃ li, u ɔ̃n- ɑ̃vwa tus no kliʃe, tutə noz- ide ʁəsɥ, tutə nɔtʁə edykasjɔ̃, valse. sə ɡʁɑ̃ mɔmɑ̃ də sɔlitydə u tut- ε mɔtif a kεstjɔnəmɑ̃. sə mɔmɑ̃ u lɔ̃ sə ʁɑ̃ kɔ̃tə kə sɔ̃ papa nε pas « lə plys fɔʁt », kə ʃakœ̃ a sε fεblesə, kə lεz- aksjɔ̃ nə sɔ̃ pa fɔʁsəmɑ̃ ʒystifje, kə tu nε pa bjɛ̃ u mal, mεz- ɑ̃biɡy, sə mɔmɑ̃ u lɔ̃n- apʁɑ̃ sə mɔt « kɔ̃tεkstə » ki « depεnd » tuʒuʁ. teɔfilə ʁəvi sεtə adɔlesɑ̃sə.

ʒə mə sɥi tuʒuʁ dəmɑ̃de, ɑ̃fɑ̃, puʁkwa laʁʒe εɡzistε. kεstjɔ̃ ki pʁɔvɔkε œ̃ ɡʁɑ̃ ʁiʁə e dε ʁəɡaʁdz- atɑ̃dʁi dəvɑ̃t « tɑ̃ də kɑ̃dœʁ e də najvəte ». mε maləʁøzəmɑ̃, sə ki pø paʁεtʁə pyeʁil, ʒə nε tuʒuʁ pa kɔ̃pʁi. puʁtɑ̃ ɔ̃n- a pʁi lə tɑ̃ də mεksplike : laʁʒe sε dɔ̃k sə ki a ʁɑ̃plase lə tʁɔk, fasilitɑ̃ ɛ̃si lε ʃozə, lεz- ekivalɑ̃səz- etɑ̃ sybʒεktivəz- εtseteʁa… bʁεf. mε la valœʁ dɔne o ʃozə nεt- εllə pa osi sybʒεktivə ? bjɛ̃ syʁ, εllə ε detεʁmine paʁ la ʁaʁəte εtseteʁa… mε la vi nə səʁε tεllə pa sɛ̃plifje si la mɔnε nεɡzistε pa ? lε ʁapɔʁ dɛ̃teʁεz- εɡzistəʁε til ? aʃ εm εm εm… pa sɛ̃plə. pεʁsɔnə nə lə sε, pɥiskə pεʁsɔnə na esεje. a si, ʒε ly œ̃ tʁyk dɑ̃ lə ʒɑ̃ʁə, pa syʁ laʁʒe, ɛ̃, mεz- œ̃ livʁə u lə dʁwa də pʁɔpʁjete etε sypʁime. tu lə mɔ̃də va pʁɑ̃dʁə sa puʁ dy psødo maʁksismə pʁimεʁə, mε ʒə mɑ̃ tɑ̃pɔnə. ʒε ly sa a la bwatə, sa va mə ʁəvəniʁ… ytɔpja, də tɔma muʁə.

e si œ̃ mɔ̃də « mεjəʁ » etε œ̃ mɔ̃də sɑ̃ lwa. sɑ̃ ʁεɡlə. ynə ʁepyblikə bananjεʁə ameljɔʁeə (sɑ̃ bananəs) , ynə libεʁte tɔtalə, libʁə də sεz- aksjɔ̃, libʁə də detʁɥiʁə, libʁə də kʁee, libʁə dεme. mεs « la libεʁte saʁεtə la u kɔmɑ̃sə sεllə dεz- otʁəs ». sε lə dilamə də lytɔpi. ytɔpi fε paʁti də sε moz- a kɔnɔtasjɔ̃ peʒɔʁativə, ki kɔmə œ̃ suflə diskʁε, myʁmyʁe : ɛ̃pɔsiblə. la libεʁte. œ̃ bjɛ̃ ɡʁɑ̃t- e bo mo, œ̃ mo ki ɡalvanizə, œ̃ mɔtœʁ, mεz- osi ynə fɔʁmylə, ki efʁε. ɑ̃n- efε si lɔ̃ paʁ dy pʁɛ̃sipə kə ʃakœ̃ ε libʁə, il nə pø ɑ̃fʁɛ̃dʁə la libεʁte dotʁɥi, sə ki limitə la libεʁte mεmə. la libεʁte sε lə lo dεz- ɔmə fɔʁ, kapablə də ʁeziste a la pεʁtə də ʁəpεʁə. mε lɔmə ε fεblə, il a bəzwɛ̃ də valœʁ, ki lə stabilize, ki lɔʁjɛ̃te, la ʁəliʒjɔ̃ ɑ̃n- ε lə ʃema tipə. mε la u kɔmɑ̃sə la ʁεɡlə, la libεʁte sə blεsə. œ̃n- ɔmə nə vø pa sɔʁtiʁ də sεt eta də minɔʁite dɑ̃ ləkεl il ε plɔ̃ʒe e ʁasyʁe dəpɥi la nεsɑ̃sə. puʁkwa ʃɑ̃bule, sə poze dε kεstjɔ̃. lɔmə ʁεstə etεʁnεllmɑ̃ minœʁ. lə filozɔfə, lɥi, va syʁ sε vɛ̃t- e œ̃n- ɑ̃. esεje də ʁɑ̃dʁə maʒœʁ œ̃n- adɔlesɑ̃. o pʁəmje abɔʁ il sə diʁa « adjø paʁɑ̃, pasə saly, a mwa la vi. » o səɡɔ̃, il səʁa tetanize paʁ lε ʁεspɔ̃sabilite ki vɔ̃ lə pʁɑ̃dʁə a la ɡɔʁʒə. sεt εɡzɑ̃plə ilystʁə leta dɑ̃ ləkεl sə tʁuve lεz- ɔmə. lə ʁəfy dε dutə. teɔfilə dutə.

aʃ εm εm εm… sə modi ʁevεj ki sɔnə la ʃaʁʒə, ki sɔnə ma deʃaʁʒə e ki sə ʁəʃaʁʒə ! lεspasə dœ̃n- ɛ̃stɑ̃ ʒə mə ʁepεtə kil nε kə siz- aʃ tʁɑ̃tə e kil mə ʁεstə tʁɑ̃tə minytə də fεneɑ̃tizə veʒetativə. ale… lə kuʁaʒə pʁiz- a dø pje, ʒotə dœ̃ ku də pwaɲε sεk la kuεtə pʁɔtεktʁisə. œ̃ bʁɛ̃bɔʁjɔ̃ dɑ̃ lε vapə, lœj səmi klo, lεʁ bʁavaʃə, avøɡle paʁ la lymjεʁə də sε vɔlε kʁe puʁ εtʁəz- uvεʁ kɑ̃t- il nə lə dəvʁε pa, ʒavɑ̃sə a pa pəzɑ̃z- e ʁeɡlez- ɑ̃ diʁεksjɔ̃ də la salə də bɛ̃. sε fu sə kə ʒə ʁəsɑ̃blə a ma mεʁə. lε mεmə mimik. ʃakə ʒuʁ sεt- ynə nuvεllə syʁpʁizə, ynə nuvεllə deʁutə. kɔmə puʁ mə ʁapəle a ʒamε du ʒə vjɛ̃, də ki ʒə sɥi ne, də sεllə ki ma ɔfεʁ la vi e œ̃ pʁenɔ̃. dəvɑ̃ sεtə ɡlasə, ʒə sɥi vylneʁablə. lεz- iø də ma mεʁə mə skʁyte, mə sɔ̃de, e sa mə teʁifi. ʒε ynə fʁεjœʁ viseʁalə də la ʁəpʁɔdyksjɔ̃ dε ʃema, də sə kə ʒε veky. ʒə nə vø pa finiʁ kɔmə εllə. ʒə noʁε ʒamε dɑ̃fɑ̃, ʒə nə vø pa εtʁə kɔmə εllə, ʒə noʁε ʒamε dɑ̃fɑ̃, ʒə nə vø pa εtʁə paʁεj, ʒə nə vø pa fεʁə sufʁiʁ mεz- ɑ̃fɑ̃. ʒə nə muʁʁε ʒamε, ʒə nə lœʁ fəʁε ʒamε pœʁ, ʒə lε bɔʁdəʁε tuʒuʁ. sa iε, bʁavo teo, la laʁmə a lœj, sε tʁε malɛ̃. « bwa dɔnte kʁi », nubli pa. il fo kə ʒə pʁεnə ynə bɔnə duʃə, nwaje mε laʁmə- dɑ̃ lə savɔ̃, etufe lε sɑ̃ɡlo dɑ̃ dy ʃɑ̃puiŋ. œ̃ sykʁe slaʃ sale ki musə.

sε sa ɡlasə ki ʁɑ̃t- a teɔfilə sə ki εt- a teɔfilə. sε pœʁ, sεz- eklεʁ də lysidite, sε dutə, sεz- imaʒə fyʁtivə, sε ʁeminisɑ̃sə tʁistə, sε mɔmɑ̃ vɔle ki ʁəmɔ̃te ɑ̃ bufe, vɔlytə də nɔstalʒi avεk tu sə kεllə kɔ̃tjɛ̃ dame e də tɑ̃dʁə. il sə syʁpʁɑ̃, il syʁpʁɑ̃ sɔ̃ ʁəflε, viktimə e buʁʁo, tɔʁtyʁe paʁ labɑ̃dɔ̃ pasif də sεtə bεllə famə dy mɔ̃də ki nə la eləve kə puʁ lə mɔ̃tʁe. lεz- iøz- ɑ̃bye kɔmə lε vitʁə, il nə la kitəʁa ʒamε. plysz- il i ʁefleʃi e plys sɔ̃ ʁəɡaʁ syʁ lε ʃozə dəvjɛ̃ sɔ̃bʁə, absɑ̃ də tut- ɔptimismə, plys lə tɑ̃ pasə e plysz- il dəvjɛ̃ εɡʁə, abite paʁ lε fɑ̃tomə də sɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə, də sεz- eʃεk, də sε pʁəvə kil oʁε vuly dɔne e kil na py kə pʁevəniʁ. il ʒεtə paʁfwa sə ʁəɡaʁ kɔ̃ lε ʒɑ̃z- aɡʁese paʁ lε ʁəkyl, il nə ʁɑ̃ plys lε ʃozə bεllə.

e diʁə kœ̃ ləve də sɔlεj mə ʁɑ̃dε œʁø. səlɥi si a la fadœʁ dε pəti matɛ̃z- uate… la kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃, la ʁεvəʁi. bəzwɛ̃ də ʁεspiʁe. aeʁe mε sɛ̃apsə, pʁɑ̃dʁə dy ʁəkyl. puvwaʁ liʁə kɔmə kɑ̃ ʒetε pəti, avεk sεtə delεktasjɔ̃ ki ʁuʒi lε ʒu, abimə lεz- iøz- e epɥizə. ʒε bəzwɛ̃ də sεtə fatiɡ sεnə. pʁi paʁ lε liɲəz- ɑ̃n- ubljɑ̃ lə tɑ̃, sə sybstitɥɑ̃ o pεʁsɔnaʒə pʁɛ̃sipal, vivɑ̃ sε tʁibylasjɔ̃z- avεk plys də pasjɔ̃ kil nə lə fε lɥi mεmə. mε dabɔʁ ynə bɔnə baladə. paʁiz- εt- etufɑ̃ də tuʁistəz- eʃode, paʁi la bεllə, paʁi sə fε bεllə su tus sεz- iø bʁide. lε mjɛ̃ sɔ̃ sεʁne. lə bwa də bulɔɲə, si kliʃe, səʁε lɑ̃dʁwa ideal. aməne astʁid ? nɔ̃. pa bəzwɛ̃ də dø suflə puʁ ɛ̃spiʁe mjø.

teɔfilə, bʁize ? nɔ̃. sεt- œ̃ də sεz- ɑ̃nyie də la ɡʁizajə kɔtidjεnə. il fε paʁti də sø ki nə save pa vʁεmɑ̃ eklεʁe lœʁ kɔtidjɛ̃. sø ki lasɔ̃bʁise. lε neɡativistə, lε pesimistə, lε sεptikz- ɑ̃n- œ̃n- avəniʁ mεjœʁ. sø puʁ ki lε mɔts « kaʁpə djəm » sɔ̃ mi syʁ lə mεmə plɑ̃ dɑ̃ lə diksjɔnεʁə kə « banalite » « bijvəzeə » « njεzəʁjə » « ɑ̃fɑ̃tijaʒə » εt dɔ̃ lə suvəniʁ lə plys ʁesɑ̃ εt- εtɑ̃-awkə syʁ ynə tablə deklamɑ̃t « ɔ kapitεnə, mɔ̃ kapitεnə ! ». teɔfilə, sεt- œ̃ bodəlεʁə. il ubli kɔ̃ pø nu mεmə eɡεje nɔtʁə kɔtidjɛ̃. kə lə sɔlεj, il sə ʃεʁʃə, il nə nu tɔ̃bə pa dəsy. teɔfilə va o bwa də bulɔɲə. ɡʁɑ̃ bjɛ̃ lɥi fasə.

ʒε pœʁ. ʒɑ̃ɡwasə sɑ̃ sɔmatize. ø tus mize syʁ œ̃ ʃəval ki na pa ɑ̃kɔʁə kuʁy. ynə bylə spekylativə sə ɡɔ̃flə, syʁ mwa, mɔ̃ pɔtɑ̃sjεl. εllə ʁiskə də vɔle ɑ̃n- ekla, dɑ̃z- œ̃ fytyʁ plys pʁoʃə kə ʒə lə kʁwa. e la, la desεpsjɔ̃, sεt ɛ̃stɑ̃ u lɔ̃ sə ʁɑ̃ kɔ̃tə kə lɔ̃ setε tʁɔ̃pe. sə mɔmɑ̃ u lə maskə tɔ̃bə. sə bal dɛ̃kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ ʁesipʁɔkə u lə vwalə laʃə, e la desεpsjɔ̃ safiʃə, ɡʁɑ̃də. a kɔmɑ̃se paʁ lεz- iø. syʁpʁi, pɥi tʁai. lə sɑ̃timɑ̃ də sεtʁə fε ʁule, davwaʁ tɑ̃ kʁy ɑ̃n- œ̃ ʁjɛ̃. dεtʁə depɔsede dœ̃n- εspwaʁ. apʁε vjɛ̃ la kɔ̃pasjɔ̃, la kɔ̃pɑ̃sasjɔ̃. ʒə mə teʁifi də lysidite, ma medjɔkʁite sə kamuflə, εllə mə fɥi puʁ mjø tʁɔ̃pe lεz- otʁə. εllə mə lεsə fasə a mɔ̃ dezaʁwa.
ʒesεj də pʁevəniʁ, davεʁtiʁ lə deɡa, mεz- ɔ̃ mə ʁəɡaʁdə kɔmə œ̃ pʁedikatœʁ ɛ̃besilə, œ̃ fo mɔdεstə. lə ʒɑ̃ʁə ki aɡasə. ditə mwa lə ʒuʁ, lœʁ puʁ kə ʒə mɑ̃teʁə sɑ̃z- avwaʁ lə lwaziʁ də diʁə « ʒə vuz- avε pʁevəny ». la desεpsjɔ̃ səʁa la mεmə, kɥizɑ̃tə, puʁ ø. e lə dezεspwaʁ səʁa kɔ̃plε, puʁ mwa.

okynə kɔ̃fjɑ̃sə ɑ̃ lɥi. teɔfilə ε-abite paʁ la teʁœʁ pεʁpetɥεllə də leʃεk. sε sə ki lɥi a fε ʁate sεz- etydə. il a kʁy kə plɑ̃te ynə ane setε ʁɥine sa vi e mɛ̃tənɑ̃ sε lɥi ki la detʁɥi pø a pø, avεk dε ʁyminəmɑ̃z- ɛ̃sesɑ̃. sεz- ekla dɑ̃ɡwasə, il lε kɔnε dəpɥi lə ʒuʁ u ɔ̃ lɥi a pʁuve, u il sε pʁuve, kil puvε sɔʁtiʁ dy lo. dəpɥiz- il sə teʁə dɑ̃ la fʁεjœʁ də dəvwaʁ sɔʁtiʁ də sə lo, ɑ̃n- aspiʁɑ̃ a lεksεllɑ̃sə. alɔʁz- il pjetinə, il sotə a pje ʒwɛ̃ puʁ ɡʁaviʁ leʃεllə sɑ̃ pɑ̃se kə dɑ̃z- eʃεllə ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃t- eʃəlɔ̃. tu, tu kɥi. tu mɛ̃tənɑ̃. e ʁjɛ̃ o final.

e ʁjɛ̃ o final… œ̃n- eʃo ki ʁezɔnə, paʁ, ʁəvjɛ̃. ʒə sεz- u lə ba blεsə. ʒə kɔnε la kozə də mɔ̃n- ɛ̃satisfaksjɔ̃. ʒə sε sə ki nə tuʁnə pa, ʒə sεz- u ʒə nə dwa pa ale. mε ʒə mi ɑ̃ɡufʁə. kɔmə maɲetize. il fε si bo. ʒuʁne tʁo blø puʁ εtʁə tɔtaləmɑ̃ paʁfεtə. il mə mɑ̃kə sə vɑ̃, lə sablə ymidə, la mεʁ si vastə, mε ʁoʃə si ʁuʒəz- e pɥi, e pɥi lεz- ɛ̃pεʁfεksjɔ̃ vεʁtə, mɔ̃ ʁoʃe də la fe. lə kɔ̃tə də ma mεʁə.
disi tʁwa ʒuʁ mɔ̃ maskə va tɔ̃be. mɔ̃ staty dɛ̃pɔstœʁ kɔ̃fiʁme, ʒε atə də savwaʁ sə ki va mə ʁεste. ki va ʁεste, ʒyska kɑ̃, e puʁkwa. puʁ ki ? puʁ mwa ? u puʁ səlɥi kil kɔnεsε, səlɥi ki lε fəzε ʁiʁə e ʁεve. ʒə nə sε pa, ʒə sε plys ʁjɛ̃. e kɔmə lε medjɔkʁə, ʒə nε plys pœʁ də ʁjɛ̃. ʒə fε sɑ̃blɑ̃ də mə futʁə də tu, linεʁsi lɛ̃fatikə ʁəfyʒə kə ʒε tɑ̃ kʁitike opaʁavɑ̃. kεl ɡaʃi, kεllə fεblεsə. kεllə ɔ̃tøzə vanite kə də sə mɔʁfɔ̃dʁə dɑ̃ sɔ̃ ʁjɛ̃ pʁenatal. mε lə bɔnœʁ epʁuve dɑ̃ sa mɔʁɡ ebete, sε la fɔʁsə də la fεblεsə. sε la fɔʁsə ki matiʁə, mə pʁesipitə e mə nwa. mə pʁɑ̃t- a la ɡɔʁʒə, e mwa ʒə mə kɔ̃plε dɑ̃ sεtə asfiksi vεnə, dɑ̃ sεt alkɔl ki kalmə e ki pylpə lε lεvʁə, dɑ̃ la dusə eʁezi də letilεnə ki ʁəpε. ʒə sɥi la. ʒekʁi. ʒekʁi ma vi də ʁjɛ̃, ʒekʁi ma vi puʁ ʁjɛ̃. e ʒε pœʁ. pœʁ də mwa. ɔ̃ ma di kə ʒə nə savε ʁjɛ̃ ekʁiʁə də pozitif, də kɔ̃stʁyktif, dy bo. ɔ̃ ma di kə ʒetεz- œ̃ bodəlεʁə, ɔ̃ ma di kə sεʁtɛ̃ mεmε, ɔ̃ ma mɑ̃ti, ɔ̃ ma kʁitike, ɔ̃ ma ʒyʒe sɑ̃ savwaʁ sə kil ɑ̃n- etε vʁεmɑ̃, ɔ̃n- a medi dεʁnjεʁə mεz- epolə, e ʒə mə sɥi kaʃe, e ʒε ʁəfε syʁfasə, e ʒə mə tjɛ̃ alεʁtə, ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃ də maʁbʁə, kil advjεnə sə kə puʁʁa. ʒε lε lεvʁə- vjɔlεtə. a ba lə kotə dy ʁonə ! e ma lɑ̃ɡ nə sε plys tuʁne. e mε ʒεstəz- ɔ̃ pεʁdy ɑ̃ vivasite. e mε laʁmə- nə pəve plys kule. kule. nwaje. tuʃe. ɡaɲe. e lə pɛ̃ kə ʒə ɡaɲə a ku də sɥœʁ, a ku də klik, ʒɑ̃n- ε ma klakə. ʒε lε popjεʁə luʁdə, e ʒekʁiz- o pʁezɑ̃. ʒekʁi puʁ mə kalme lə tɑ̃. e ʒə pʁɑ̃ mɔ̃ tɑ̃. e ʒə sεmə ma detʁεsə. lε povʁə- ʒɑ̃z- a ki ʒə madʁεsə. ʁidikylə. εplɔʁe. depʁimɑ̃ depʁime. tus sε ʁəɡaʁd fyiɑ̃, ki ɛ̃plɔʁe la ɡʁasə, ki mə dəmɑ̃de si sa va, ki mə dəmɑ̃de si sa pasə, e ki selwaɲe. ʒə sɥi dezɔle. ʒə sɥi dezɔle. ʒə nə vulε pa. e puʁtɑ̃ sεt- œ̃ dεʁnje ʁəkuʁ. e il selwaɲe də mwa. ʒə sε puʁkwa. la fεblεsə də la depʁesjɔ̃. ka efʁε. sa tjɛ̃ a lekaʁ. kwa də mwɛ̃ bɑ̃dɑ̃ kə səlɥi ki nə ʁit plys. ʒə nə vø pa də pitje, ʒə nə vø pa də kɔ̃pasjɔ̃. ʒε bəzwɛ̃ də diʁə, ʒε bəzwɛ̃ də ʁakɔ̃te, ʒε bəzwɛ̃ də naʁe, ʒə nə vø pa εtʁə naʁɡe. ʒə sɥi dezɔle. ʒə nə dəmɑ̃də ʁjɛ̃, u plyto boku. lekutə e lə silɑ̃sə. lə ʁekɔ̃fɔʁ mɥε dy paʁtaʒə. ʒə sɥi dezɔle. ʒə nə vø pa ʁɑ̃dʁə tʁistə. ʒə nə vø pa. nɔ̃.

ty sεz- iavε la plasə, lə kuʁɑ̃ e lε vaɡ. ty sεz- iavε livʁεsə, la vjɔlɑ̃sə e lə kalmə. e pɥiz- iavε mεz- iø fatiɡez- e asidə, ki nə pɑ̃sε pa, ki byvε la tasə. la dεʁnjεʁə o sitʁɔ̃. ty sεz- iavε la plasə, syʁ lə pɔ̃ vidə e ʒəle, iavε mεmə də kwa sə fεʁə tutə ublje. e tɔ̃be dɑ̃ lə ʁonə nwaʁ. lə ʁonə ki ʒemisε, ɑ̃kɔʁde o vɑ̃. ʒoʁε py deʁive dɑ̃ lə kulwaʁ dy midi. a la favœʁ dy vɑ̃, a la favœʁ də lubli. e pɥiz- iavε fuʁvjεʁə e sa benediksjɔ̃, ki ʒoʒε, asizə, baluʁdə e eʁɛ̃te. ki mə dizε kɔmɑ̃. e pɥiz- iavε sε ʒɑ̃ kə ʒnavε pa ʁəmaʁke. e ynə tutə pətitə fijə, œ̃ pəti bʁɛ̃ də bote. a bɔsɥε u atʃum. kεllə ɛ̃pɔʁtɑ̃sə mɛ̃tənɑ̃. pɥiskεllə a tuʁne, la ʒiʁuεtə dy mɔmɑ̃. il nεʒə dε ɡʁεlɔ̃ kɔmə dε puiŋ. dʁese, ɡajaʁd, aʁdi, bataʁd… kɔmə mɔ̃ nɔ̃. ki a ete lə tjɛ̃. œ̃ bu də sɔlεj, də fø, asidə, plys kə mεz- iø. il kuvʁə la vilə fʁwadə. e mɔ̃ dyflə kɔa ʁozə. ʒε ɑ̃kɔʁə pεʁdy mε kle.

ia kə lε ʒɑ̃ ki nɔ̃ ʁjɛ̃ veky ki ɔ̃ dε pʁɛ̃sipə.
Syllabes Phonétique : Utopia Ou La Métaphysique D’un Rêveʃεʁ=ʃə=tʁu=və=nə=tə=ʁə=tuʁ=nə=pa=ʁə=ɡaʁ=də=də=vɑ̃=twa=lə=fil=sə=de=li=tə=a=ʁj=a=nə=ki=ma=pεl=lə=dε=zɛ̃=di=ka=sjɔ̃=lε=siʁ=kɔ̃=vɔ=ly=sjɔ̃=sε=myʁ=zɑ̃=mu=və=mɑ̃=e=lɑ̃=ɡwa=sə=ki=mə=sεʁ=lə=ɡo=zje=e=si=ʒə=nə=də=vε=ʒa=mε=plys=zε=tʁə=ε=me=sɔʁ=te=o=sɔʁ=la=ly=mjε=ʁə=sə=zom=kli=ʃe=y=nə=e=ʃa=pa=twa=ʁə=œ̃=na=jœʁ=lə=la=bi=ʁɛ̃=tə=ki=se=fɔ̃=dʁə=lεk=sta=zə=il=fo=fɥ=iʁ=e=fεʁ=me=lε=zi=ø=mε=zε=lə=mə=bʁy=le=e=œ̃=ɡu=fʁə=ɑ̃=tʁə=ɑ̃=sε=nə=ɔ=dœʁ=də=ka=naʁ=la=ke=dɔ̃=ɔ̃=no=ʁε=ɔ=mi=do=te=lε=ply=mə=de=ʃi=ʁe=ɛ̃=kɑ̃=de=sɑ̃=lə=vi=də=sə=kɔ̃=kʁe=ti=zə=sɑ̃=fɛ̃=y=nə=fa=mə=ip=nɔ=ti=kə=e=de=ta=ʃe=εl=lə=mu=vʁə=sɔ̃=kɔʁ 182
œ̃=ʁε=və=ʒys=tə=œ̃=ʁε=və=la=de=sεp=sj=ɔ̃=dɑ̃=la=vwa=dɑ̃=lε=zi=ø=sε=klεʁ=kə=sə=nε=pa=lə=plys=zɑ̃=tʁε=nɑ̃=puʁ=sə=ʁe=vε=je=sɔʁ=tiʁ=dœ̃=lɔ̃=ʁε=və=u=sə=kɔ̃=nεs=pε=ʁə=ε=ta=pɔʁ=te=də=dwa=ze=pɥi=dɑ̃=lə=bʁɥi=u=a=te=dy=ʁe=vεj=ma=tɛ̃=ɔ̃=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=kə=nɔ̃=se=tε=ʒys=tə=œ̃=ʁε=və=lε=ʁε=və=as=pi=ʁa=sjɔ̃=pʁɔ=fɔ̃=də=dœ̃=syb=kɔ̃=sjɑ̃=pʁεs=kə=plys=pʁe=zɑ̃=e=ve=ʁi=di=kə=kə=lə=kɔ̃=sjɑ̃=ɔ̃=vø=i=kʁwa=ʁə=u=a=lɔʁ=sε=tεl=lmɑ̃=kʁɛ̃=kə=la=pœʁ=ʁe=εl=lə=ε=de=kal=ke=syʁ=la=nɥi=ε=ɑ̃=kɔ=ʁə=la=maʁ=kə=də=lɔ=ʁε=je=kɔ=mə=la=si=ka=tʁi=sə=dy=ʁε=və=syʁ=ma=ʒu=de=ʒa=kə=ʒə=sɥi=la=ʁi=ze=dy=me=tʁo 170
te=ɔ=filə=sε=ma=mε=ʁə=ki=ma=a=pə=le=kɔ=mə=sa=kɔ=mə=la=ply=paʁ=dε=ʒɑ̃=da=jœʁ=ɑ̃=fɛ̃=ʒə=sy=po=zə=sε=lɔ̃=te=ɔ=fi=lə=sε=lwɛ̃=də=sε=pʁe=nɔ̃=ki=kla=ke=kɔ=mə=dε=ba=njε=ʁə=zo=vɑ̃=œ̃=nɔ̃=də=pɔ=ε=təo=mɛ̃=fʁa=ʒi=lə=lwɛ̃=dy=kɔʁ=sε=ʁə=by=ʁi=ne=kə=ʒε=vu=ly=ε=tʁə=da=jœʁ=ʒsɥi=ni=kɔʁ=sε=ʁə=ni=pɔ=ε=tə=ʒə=sɥi=sə=kɔ̃=pø=a=pə=le=œ̃=ʁa=te=œ̃=ni=na=dap=te=ʒε=e=sε=je=de=kʁi=ʁə=dε=bu=kɛ̃=puʁ=lε=zɑ̃=fɑ̃=le=di=tœʁ=a=e=te=bʁεf=kɑ̃=ɔ̃=na=pa=lə=ta=lɑ̃=ki=va=a=vεk=lə=ɡo=o=tɑ̃=kyl=ti=ve=lε=ʁe=plik=ɔ̃=si=fε=a=la=lɔ̃ɡ=a=lɔʁ=dy=ku=ʒε=de=si=de=de=kʁi=ʁə=œ̃=bu=də=ma=vi=puʁ=kwa=œ̃=səl=bu=paʁ=sə=kə=ʒə=sɥi=zœ̃=ʁit=mə=bi=nε=ʁə=nyl=pɥi=zɑ̃=fɑ̃=də=la=ʃɑ̃sə 191
ma=mε=zɔ̃=de=di=sj=ɔ̃=ma=plɑ̃=te=il=pa=ʁε=kə=la=vi=dœ̃=na=nɔ=ni=mə=sε=pa=ʁɑ̃=ta=blə=ma=vi=nε=pa=ʁɑ̃=ta=blə=nɔ̃=va=la=blə=ʒə=sɥi=pa=plys=kɔ̃=kœ̃=no=tʁə=ʒə=sɥi=me=djɔ=kʁə=tu=sɛ̃=plə=mɑ̃=e=sa=me=fʁε=ɑ̃=kɔ=ʁə=œ̃=nɛ̃=be=si=lə=il=a=my=zə=la=ɡa=lə=ʁi=mwa=ʒə=sɥi=sɔ̃=bʁə=e=ti=mi=də=kɔ=mə=pa=dø=sə=ki=si=ɲi=fi=ɑ̃=di=ka=pe=sɔ=sjal=dɔ=ma=ʒə=kɔ̃=nə=pɥi=sə=pa=lə=maʁ=ke=syʁ=la=kaʁ=tə=di=dɑ̃=ti=te 117
a=lj=e=ne=sε=tə=ʁu=ti=nə=ki=mə=tjɛ̃=o=kɔʁ=ʒə=sɥi=lɔ=bɔ=tɔ=mi=ze=ɑ̃=ve=ʒe=ta=sj=ɔ̃=ʒə=sɥi=zœ̃=le=ɡy=mə=ɑ̃=mwɛ̃=vεʁ=u=i=ʒε=vɛ̃t=si=zɑ̃=me=tʁo=bu=lɔ=t=sə=kil=ɑ̃=ʁεs=tə=εt=dɔ=dɔ=bjɛ̃=kə=sə=swa=də=plys=zɑ̃=plys=di=fi=si=lə=ɑ̃=sə=mɔ=mεnt=sε=mɔ̃=kɔ=ti=djɛ̃=mɔ̃=lo 78
te=ɔ=fi=lə=ε=tœ̃=nɔ=mə=ni=bɔ̃=ni=mo=vε=pa=də=ma=ni=ʃe=is=mə=puʁ=œ̃=li=vʁə=syʁ=la=dy=pli=si=te=sa=vi=sε=lɑ̃=ti=y=tɔ=pi=sε=lɑ̃=ʃə=vε=tʁə=mɑ̃=ʁu=ti=nj=e=də=lεɡ=zis=tɑ̃=sə=dœ̃=iks=te=ɔ=fi=lə=sε=lə=pɔ=ε=tə=lɑ̃b=da=ki=sɔ=mε=jə=ɑ̃=tus=lwɛ̃=dy=ʒe=ni=lwɛ̃=dy=de=bi=lə=sε=lə=ze=ʁo=də=lak=sə=ɔʁ=to=noʁ=me 92
lə=səl=pi=me=ʁozə=də=ma=vi=sεst=εl=lə=sa=pø=pa=ʁε=tʁə=kɔ̃=mε=zεllə=mə=pεʁ=mε=də=tə=niʁ=ʒə=nə=di=pa=kə=ʒə=tjɛ̃=plys=za=la=vi=o=kɔ̃=tʁε=ʁə=ʒə=de=tεs=tə=tus=sε=ne=vʁo=ze=ki=ʒε=ɲe=kil=sɔ̃=fu=tys=nɔ̃=mwa=ʒə=sɥi=ʒys=tə=i=na=dap=te=a=sε=tə=vi=la=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=la=a=vεk=lε=kɔ̃=fli=ʒe=ɔ=pɔ=li=tik=pʁe=zɑ̃=ze=ma=kɔ̃=sjεʁ=ʒə=tʁε=pʁe=zɑ̃=tə=dy=ku=mɔ̃=pə=ti=bu=də=sɔ=lεj=kɑ̃=ʒε=œ̃=ku=də=splin=sεst=εl=lə=ma=ɡi=ta=ʁə=εl=lə=mə=ɡal=va=ni=zə=εl=lə=mə=nu=lεs=tɔ=mak=εl=lə=mə=ʁɑ̃=dɛ̃ɡ=εl=lə=mə=ʁɑ̃=tʁis=tə=sεst=ma=ʒε=o=si=y=nə=fjɑ̃=se=as=tʁid=e=εl=lə=mε=mə=ɔ̃=sε=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=ɔ̃=na=vε=di=zɑ̃=ɔ̃=ne=tε=a=mu=ʁø=ze=pɥi=za=diz=nə=vɑ̃=ɔ̃=sε=ʁə=tʁu=ve=ze=pɥi=vwa=la=εl=ləa=a=ki=lə=nɔ̃=də=fjɑ̃=se=sε=dyʁ=də=sa=vu=e=kə=lə=ɡu=də=sε=lε=vʁə=mε=tɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=kə=lε=su=və=niʁ=kɔ=mœ̃=za=paʁ=tjε=ne=də=plys=zɑ̃=plys=zo=mɔ̃=də=ʁe=vɔ=ly=dy=pa=se=a=lɔʁ=zɔ̃=kyl=pa=bi=li=zə=ɔ̃=sə=di=də=mɛ̃=ε=tœ̃=no=tʁə=ʒuʁ=ɔ̃=sə=mɔʁ=la=lɑ̃ɡ=mε=lə=si=lɑ̃=sə=dy=nɔ̃=a=muʁ=ε=la=bjɛ̃=pal=pablə 279

la=muʁ=se=sj=ɔ=lə=e=sə=puʁ=sɥi=kɔ=mə=œ̃=ka=nə=va=zi=na=ʃə=ve=kɔ̃=ʁə=pu=sə=ʃa=kə=ʒuʁ=o=lɑ̃=də=mɛ̃=te=ɔ=fi=lə=paʁ=tiʁ=paʁ=tiʁ=lwɛ̃=u=a=lɔʁ=pa=lwɛ̃=mε=sɑ̃=pεʁ=sɔ=nə=ba=tiʁ=sa=vi=ɑ̃=nε=j=ɑ̃=œ̃=byt=puʁ=sɥi=vʁə=y=nə=ta=ʃə=mε=se=va=de=dε=zi=mə=blə=ɡʁi=ze=paʁ=lə=kaʁ=bɔ=nə=də=sε=sɑ̃s=zɛ̃=tεʁ=di=də=sε=ʁy=pje=tɔ=nə=te=ɔ=fi=lə=lε=sεʁ=nə=də=la=la=si=ty=də=dœ̃=mɔ̃=də=kil=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=pa=o=si=bjɛ̃=kil=lə=vu=dʁε=tus=sε=me=ka=nis=mə=paʁ=fε=zɔʁ=kεs=tʁe=syʁ=fɔ̃=wa=ɲe=u=lε=fis=sɔ̃=syb=ti=lə=mɑ̃=nu=e=de=nu=e 150

ɑ̃=kɔ=ʁə=œ̃=ʒuʁ=də=plys=ɑ̃=kɔ=ʁə=dε=su=ʁi=ʁə=za=fɛ̃=dʁə=mi=me=la=bɔ=nə=y=mœ=ʁə=dy=paʁ=fε=ɛ̃=te=ɡʁe=lε=bu=ta=də=də=pɔ=ta=ʃə=dε=kɔ=lεɡ=ba=luʁd=la=luʁ=dœʁ=dy=sɔ=lεj=ki=kɔ=mə=dɑ̃=le=tʁɑ̃=ʒe=ki=dɔ=nə=pʁεs=kə=ɑ̃=vi=də=məʁ=tʁə=lε=sε=kʁe=tε=ʁə=mi=ɔ=fεʁ=tə=mi=bu=ɡɔ=nə=œ̃=pø=bɔʁ=ne=dɑ̃=lœʁ=kla=səʁs=a=ba=nɔ̃=ɛ̃=lə=dɔ=sj=e=iks=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁis=kə=sε=lə=kla=sœʁ=ʁu=ʒə=ɛ̃=a=vεk=ləʁs=εn=εn=pɔ̃k=tɥa=sj=ɔ̃=se=va=de=se=va=de=se=va=de=a=la=mi=nə=dy=kʁε=jɔ̃ 141
mɔ̃=djø=kεlləε=bεl=lə=sεtə=fi=jə=fa=mə=mɛ̃=tə=nɑ̃=kə=te=ɔ=fi=lə=ɔp=sεʁ=və=sε=lɔ̃ɡ=ʃə=vø=ʃa=tɛ̃=ki=se=tɔ=fe=ɑ̃=bu=klə=le=ʒε=ʁə=sε=ziø=blø=vεʁt=ku=lœʁ=y=i=tʁə=du=tʁə=a=tlɑ̃=ti=kə=εt=sə=ʒə=nə=sε=kwa=dɑ̃=lə=ʁə=ɡaʁ=ki=pe=ti=jə=də=ma=li=sə=də=sɛ̃=is=mə=e=də=tɑ̃=dʁε=sə=pεʁ=sɔ=nə=nə=pu=vε=i=ε=tʁə=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=te=ɔ=fi=lə=si=lə=tɑ̃=za=e=ʁɔ=de=sə=ʃaʁ=mə=də=li=na=tɑ̃=dy=la=tʁak=sjɔ̃=puʁ=lɛ̃=kɔ=ny=la=de=ku=vεʁ=tə=il=kɔ=nε=tu=dεl=lə=lə=ɡʁɛ̃=də=sa=po=la=ʃa=lœʁ=də=sa=bu=ʃə=sε=tə=pwa=tʁi=nə=ki=pal=pi=tə=su=sε=mɛ̃=il=sε=kεl=lə=ε=mə=laʁ=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=mɑ̃=la=pɛ̃=ty=ʁə=ab=stʁε=tə=εl=lə=ε=mə=sə=kɔ=te=vi=də=plɛ̃=də=ta=lɑ̃=u=lab=sɑ̃=sə=də=kɔ̃=tuʁ=pʁe=si=dɔ=nə=œ̃=nɛ̃=tεʁ=pʁe=ta=sjɔ̃=py=ʁə=mɑ̃=εs=te=ti=kə=e=pεʁ=sɔ=nεl=lə=y=nə=e=mɔ=sjɔ̃=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=puʁ=ʃa=kə=vi=zi=tœʁ=e=mɔ=sjɔ̃=ki=sə=ʁe=ve=lε=bjɛ̃=su=vɑ̃=puʁ=te=ɔ=fi=lə=ε=tʁə=də=lɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=εl=lə=ε=mə=sa=sə=waʁ=lε=ʒə=nu=kʁwa=ze=po=zi=sjɔ̃=sfɛ̃ks=a=si=e=pɥi=zad=mi=ʁe=ʒys=ko=de=ɡu=y=nə=œ=vʁə=ki=la=tu=ʃə=sɑ̃=kεl=lə=sa=ʃə=εɡ=zak=tə=mɑ̃=puʁ=kwa=sɑ̃=lad=mi=ʁa=sjɔ̃=kɔ̃=pø=pɔʁ=te=a=œ̃=tʁa=vaj=mi=ny=tjø=mε=za=vεk=le=kla=fyʁ=tif=dy=ʃaʁ=mə=y=nə=paʁ=sεl=lə=də=ʒe=ni=ki=e=mεʁ=ʒə=də=la=ɡu=a=ʃə=il=la=kɔ=nε=tεl=lmɑ̃=bjɛ̃=εl=lə=la=tɑ̃=dʁi=mε=nə=le=mø=plys 361

ʒə=de=tεs=tə=lε=fa=mə=ki=plə=ʁe=sε=ʁe=py=ɲɑ̃=lε=zi=ø=ʁu=ʒə=sɑ̃k=ti=fje=lε=po=pjε=ʁə=zɛ̃=fe=ʁjə=ʁə=ze=sy=pe=ʁjə=ʁə=ɡɔ̃=fle=za=sə=də=mɑ̃=de=si=lə=ʒi=te=də=vɛ̃=aʃ=ze=ʁo=ze=ʁo=o=kεl=ɔ̃=na=pa=a=sis=te=a=e=vɔ=ke=œ̃=de=zas=tʁə=e=kɔ=lɔ=ʒi=kə=dɑ̃=zœ̃=fy=tyʁ=tu=ta=fε=pʁo=ʃɛ̃=y=nə=fa=mə=ki=plœ=ʁə=a=kεl=kə=ʃo=zə=dy=sa=la=mi=y=nə=tʁɑ̃=ʃə=də=so=si=sɔ̃=ʃo=də=e=y=mi=də=lə=mas=ka=ʁa=a=ku=le=ɑ̃=ʁi=ɡɔ=lə=syʁ=lœʁ=ʒu=ze=dɑ̃=zœ̃=ɡʁɑ̃=ʁə=ni=flə=mɑ̃=εl=lə=sə=lɔ=ve=kɔ̃=tʁə=vu=ze=vu=ɡʁa=ti=fje=dy=nə=tʁε=ne=nwa=ʁa=tʁə=syʁ=vɔ=tʁə=ʃə=mi=zə=blɑ̃=ʃə=e=pʁɔ=pʁə=də=la=vε=jə 170
mε=zas=tʁid=kɑ̃=lε=zi=ø=zɑ̃=by=e=kɔ=mə=lε=vi=tʁə=εl=lə=sə=kɔ=lə=a=mwa=εl=lə=ʁə=də=vjɛ̃s=ma=mε=jə=ʁə=kɔ=pi=nə=də=se=εm=døks=εl=lə=puʁ=ʁε=sa=lɔ=pe=tus=mε=kɔl=də=ʃə=mi=zə=ʒə=nə=lɥi=ɑ̃=vu=dʁε=mε=mə=pa=sε=kεl=kə=paʁ=də=la=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=də=la=ɡʁa=ti=ty=də=sε=la=sə=lə=ki=mε=tɑ̃=dy=la=mɛ̃=kɑ̃=ʒe=tε=səl=tε=tə=də=tyʁk=pa=ʁj=a=maʁ=ʒi=nal=ʒə=nε=mε=pa=lə=fu=ma=ɡʁɑ̃=də=ta=ʁə=də=pʁi=mε=ʁə=ma=kʁwa=mɔ̃=sy=pli=sə 123

la=muʁ=lə=fu=i=dεm=te=ɔ=filə=na=ʒa=mε=vu=ly=i=ʒu=e=mε=sε=sa=sɔ=sja=li=za=sjɔ̃=ki=la=ɑ̃=pɔʁ=te=syʁ=sε=ʁe=ti=sɑ̃=sə=la=muʁ=ʁa=si=nə=la=mε=ʁə=dal=bεʁ=kɔ=ɛ̃=ʃɛkspiʁ=tus=lɔ̃=di=ʁe=pe=te=la=pa=sjɔ̃=nə=mε=nə=ny=lə=paʁ=o=de=ʁa=si=nə=mɑ̃=e=puʁ=vi=ʁe=tu=tə=vwa=lə=dəɔʁ=dɑ̃=lə=me=lo=a=la=mɔʁ=paʁ=fwa=tu=tə=pa=sjɔ̃=a=mε=nə=a=y=nə=isɥ=tʁa=ʒi=kə=la=muʁ=sε=la=bi=ty=də=il=nə=fo=ɑ̃=no=kœ̃=ka=kɔ̃=fɔ̃=dʁə=a=vεk=a=ti=ʁɑ̃=sə=la=ti=ʁɑ̃=sə=sε=lɛ̃s=tɛ̃=a=ni=mal=ki=vu=pu=sə=vεʁ=zy=nə=pεʁ=sɔ=nə=ki=vu=plε=sɑ̃=plys=mε=sε=la=bi=ty=də=ki=fɔʁ=ʒə=yn=ku=plə=ʒɑ̃=plwa-a=bi=ty=də=dɑ̃=zœ̃=tu=to=tʁə=sɑ̃s=kə=ʁu=ti=nə=la=ʁu=ti=nə=det=ʁɥi=mε=la=bi=ty=də=sε=dø=kɔʁ=za=pʁi=vwa=ze=lœ̃=lo=tʁə=lœ̃=lə=ʁə=naʁ=lo=tʁə=lə=pə=ti=pʁɛ̃=sə=sε=sə=kɔ=nε=tʁə=paʁ=kœʁ=sɑ̃=tʁu=ve=sa=la=sɑ̃=mε=te=ɔ=fi=lə=lɥi=il=kɔ=nε=tu=das=tʁid=sɑ̃=ɡʁɑ̃=də=ʒwa=sε=la=ʁu=ti=nə=ki=la=bi=tə=puʁ=tɑ̃=il=ε=fi=dε=lə=mε=la=fi=de=li=te=ε=syb=ʒεk=ti=və=ɔ̃=nɑ̃=dis=tɛ̃ɡ=dø=la=fi=de=li=te=mɔ=ʁa=lə=ʒə=vε=vwaʁ=a=jœʁ=mε=ʒə=nɑ̃=nε=mə=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=ky=nə=sə=ki=ε=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=ka=ʁak=te=ʁis=ti=kə=ʃe=lε=zɔ=mə=e=pɥi=la=fi=de=li=te=fi=zi=kə=ʒə=nə=vε=pa=vwaʁ=a=jœʁ=mε=ʒə=ʁε=və=paʁ=fwa=za=do=tʁəs=plys=fe=mi=ni=nə=kɔ=mə=a=pʁo=ʃə=e=pɥi=zil=i=a=la=fi=de=li=te=ab=sɔ=ly=ʒə=ʁε=və=də=sεllə=kə=ʒε=mə=e=ʒə=ʁεs=tə=a=vεk=εl=lə=mε=lə=fɑ̃=tas=mə=ε=tɑ̃=dʁɔ=ʒi=nə=ʃe=te=ɔ=fi=lə=sε=la=paʁ=fe=mi=ni=nə=ki=lɑ̃=pɔʁ=tə=a=pʁo=ʃə=ply=to=mal=sε=nə=pɥis=kə=ʁə=le=ɡe=sε=pyl=sjɔ̃=zo=ʁɑ̃=də=fɑ̃=tas=mə=sa=vε=ʁə=pʁεs=kə=plys=dɑ̃=ʒə=ʁø=lə=fɑ̃=tas=mə=nə=tʁu=vɑ̃=pa=də=li=mi=tə=te=ɔ=fi=lə=ε=dɔ̃k-a=bi=te=paʁ=dε=fɑ̃=to=mə=də=fa=mə=zɛ̃=kɔ=nəɥ=kil=ε=mə=e=ki=lε=mə 475

puʁ=εtʁə=syk=sɛ̃=e=tu=ta=fε=ʁa=zwaʁ=œ̃=na=pεʁ=sy=də=la=spi=ʁa=lə=də=me=djɔ=kʁi=te=dɑ̃=la=kεllə=ʒə=vis=mɔ̃=ʒɔb=sə=de=li=tə=ma=vi=sɑ̃=ti=mɑ̃=a=lə=se=fʁi=tə=mε=zɑ̃=vi=fɔ̃=de=kɔ=mə=nε=ʒəo=sɔ=lεj=puʁ=y=ti=li=ze=œ̃=na=da=ʒə=kɔ=ny=də=tus=lε=ziø=ʁi=ve=syʁ=le=kʁɑ̃=də=mɔ̃=nɔʁ=di=na=tœʁ=ʁə=tu=ʃɑ̃=y=nə=viʁ=ɡy=lə=a=ʒys=tɑ̃=œ̃=nak=sɑ̃=li=ʁə=sɑ̃=za=ʁε=sə=kə=do=tʁə=zɔ̃=e=kʁi=e=pɥi=ʁə=pʁɑ̃=dʁə=a=nɔ=te=y=nə=ʁe=flεk=sjɔ̃=la=lεk=ty=ʁə=εl=lə=mε=mə=nə=sə=sy=fi=plys=sə=lə=lε=kɔ=kjə=lε=fo=tə=dɔʁ=tɔ=ɡʁa=fə=lε=tuʁ=ny=ʁə=ɡʁa=ma=ti=ka=lə=kɔ̃=te=ɔp=se=de=paʁ=la=pɔ̃k=tɥa=sjɔ̃=sə=bu=lo=mə=ʁɑ̃=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=a=ko=te=də=la=pla=kə=sɑ̃=zo=kœ̃=ʁə=pε=ʁə=kʁi=ble=də=du=təs=εt=də=dε=tə=mε=sa=ɔ̃=nə=lə=di=pas=ʒə=mə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=də=la=vak=ɥi=te=də=ma=vi=a=kwa=dwa=ʒə=sεʁ=viʁ=puʁ=kwa=sɥi=ʒə=œ̃=ma=jɔ̃=ɛ̃=de=fεk=ti=blə=e=i=ny=ti=lə=də=la=ʃε=nə=puʁ=kwa=vi=vʁə=sε=kɑ̃=ʒε=ly=mɔ̃=nɔ=ʁɔs=kɔ=pə=dɑ̃=zœ̃=ʒuʁ=nal=iks=kə=ʒə=mə=sɥi=ʁɑ̃=dy=kɔ̃=tə=a=kεl=pwɛ̃=lε=ʒɑ̃=zɔ̃=bə=zwɛ̃=dε=tʁə=ʁa=sy=ʁe=syʁ=lœʁ=a=və=niʁ=puʁ=vu=lwaʁ=lə=vi=vʁə=ɔ̃=mə=di=zε=kə=ʒa=lεs=tʁu=ve=lɔ=mə=də=ma=vi=dɑ̃=mɔ̃=si=ɲə=kɔ̃=ple=mɑ̃=tε=ʁə=se=tε=dɑ̃=fa=mə=ak=tɥεl=lə=mε=lə=me=sa=ʒə=ε=bεl=e=bjɛ̃=lə=mε=mə=ɔ̃=na=tus=bə=zwɛ̃=də=sə=di=ʁə=kə=də=mɛ̃=sə=ʁa=mε=jœʁ 352

te=ɔ=filə=ε=ʃεk=ε=ʃεk=te=ɔ=fi=lə=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=du=tə=ʁə=mi=zə=zɑ̃=ko=zə=te=ɔ=fi=lə=œ̃=my=zi=sjɛ̃=œ̃=naʁ=tis=tə=ne=puʁ=vi=vʁə=dɑ̃=zœ̃=no=tʁə=sjε=klə=lə=mɔ̃=də=sɑ̃=blə=tuʁ=ne=o=tuʁ=də=tus=sof=də=lɥi=sε=syʁ=tu=lɥi=ki=tuʁ=nəo=tuʁ=dy=mɔ̃=də=sε=tœ̃=nɑ̃=ny=i=e=ki=kɔ=mə=sø=ki=nə=sɔ̃=pa=pʁi=za=plɛ̃=tɑ̃=zɑ̃=tʁə=tʁa=vaj=fa=mi=jə=ʃjɛ̃=ʃa=la=pɛ̃=kɔ=bεj=ɔ̃=lə=tɑ̃=də=pʁɑ̃=dʁə=dy=ʁə=kyl=də=sə=ʁə=mε=tʁə=ɑ̃=ko=zə=də=tu=ʁə=mε=tʁə=ɑ̃=ko=zə=sε=sə=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=ki=a=mε=nə=lə=du=tə=e=lə=du=tə=sə=mɥ=ɑ̃=de=zεs=pwaʁ=sε=lə=ʁə=nu=vo=də=la=kʁi=zə=da=dɔ=le=sɑ̃=sə=sə=mɔ=mɑ̃=kle=də=la=vi=kɔ̃=nu=bli=tus=kɔ̃=na=ve=ky=œ̃=ʒuʁ=mi=za=paʁ=œ̃=va=ɡə=su=və=niʁ=də=mo=vε=zə=y=mœʁ=e=dœʁ=pa=se=za=e=ku=te=də=la=my=zik=zɑ̃=ve=ʒe=tɑ̃=syʁ=sɔ̃=li=u=ɔ̃=nɑ̃=vwa=tus=no=kli=ʃe=tu=tə=no=zi=de=ʁəsɥ=tu=tə=nɔ=tʁə=e=dy=ka=sjɔ̃=val=se=sə=ɡʁɑ̃=mɔ=mɑ̃=də=sɔ=li=ty=də=u=tu=tε=mɔ=tif=a=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=sə=mɔ=mɑ̃=u=lɔ̃=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=kə=sɔ̃=pa=pa=nε=pas=lə=plys=fɔʁt=kə=ʃa=kœ̃=a=sε=fε=ble=sə=kə=lε=zak=sjɔ̃=nə=sɔ̃=pa=fɔʁ=sə=mɑ̃=ʒys=ti=fje=kə=tu=nε=pa=bjɛ̃=u=mal=mε=zɑ̃=bi=ɡy=sə=mɔ=mɑ̃=u=lɔ̃=na=pʁɑ̃=sə=mɔt=kɔ̃=tεk=stə=ki=de=pεnd=tu=ʒuʁ=te=ɔ=fi=lə=ʁə=vi=sε=tə=a=dɔ=le=sɑ̃sə 336

ʒə=mə=sɥi=tu=ʒuʁdə=mɑ̃=de=ɑ̃=fɑ̃=puʁ=kwa=laʁ=ʒe=εɡ=zis=tε=kεs=tjɔ̃=ki=pʁɔ=vɔ=kε=œ̃=ɡʁɑ̃=ʁi=ʁəe=dε=ʁə=ɡaʁ=dza=tɑ̃=dʁi=də=vɑ̃t=tɑ̃=də=kɑ̃=dœʁ=e=də=naj=və=te=mε=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=sə=ki=pø=pa=ʁε=tʁə=py=e=ʁil=ʒə=nε=tu=ʒuʁ=pa=kɔ̃=pʁi=puʁ=tɑ̃=ɔ̃=na=pʁi=lə=tɑ̃=də=mεk=spli=ke=laʁ=ʒe=sε=dɔ̃k=sə=ki=a=ʁɑ̃=pla=se=lə=tʁɔk=fa=si=li=tɑ̃=ɛ̃=si=lε=ʃo=zə=lε=ze=ki=va=lɑ̃=sə=ze=tɑ̃=syb=ʒεk=ti=və=zεt=se=te=ʁa=bʁεf=mε=la=va=lœʁ=dɔ=ne=o=ʃo=zə=nε=tεllə=pa=o=si=syb=ʒεk=ti=və=bjɛ̃=syʁ=εl=lə=ε=de=tεʁ=mi=ne=paʁ=la=ʁa=ʁə=te=εt=se=te=ʁa=mε=la=vi=nə=sə=ʁε=tεl=lə=pa=sɛ̃=pli=fje=si=la=mɔ=nε=nεɡ=zis=tε=pa=lε=ʁa=pɔʁ=dɛ̃=te=ʁε=zεɡ=zis=tə=ʁε=til=aʃ=εm=εm=εm=pa=sɛ̃=plə=pεʁ=sɔ=nə=nə=lə=sε=pɥis=kə=pεʁ=sɔ=nə=na=e=sε=je=a=si=ʒε=ly=œ̃=tʁyk=dɑ̃=lə=ʒɑ̃=ʁə=pa=syʁ=laʁ=ʒe=ɛ̃=mε=zœ̃=li=vʁə=u=lə=dʁwa=də=pʁɔ=pʁje=te=e=tε=sy=pʁi=me=tu=lə=mɔ̃=də=va=pʁɑ̃=dʁə=sa=puʁ=dy=psø=do=maʁ=ksis=mə=pʁi=mε=ʁə=mε=ʒə=mɑ̃=tɑ̃=pɔ=nə=ʒε=ly=sa=a=la=bwa=tə=sa=va=mə=ʁə=və=niʁ=y=tɔ=pja=də=tɔ=ma=muʁə 278

e=si=œ̃=mɔ̃də=mε=jəʁ=e=tε=œ̃=mɔ̃=də=sɑ̃=lwa=sɑ̃=ʁε=ɡlə=y=nə=ʁe=py=bli=kə=ba=na=njε=ʁəa=meʁ=ljɔ=ʁe=ə=sɑ̃=ba=na=nəs=y=nə=li=bεʁ=te=tɔ=ta=lə=li=bʁə=də=sε=zak=sjɔ̃=li=bʁə=də=det=ʁɥi=ʁə=li=bʁə=də=kʁe=e=li=bʁə=dε=me=mεs=la=li=bεʁ=te=sa=ʁε=tə=la=u=kɔ=mɑ̃=sə=sεllə=dε=zo=tʁəs=sε=lə=di=la=mə=də=ly=tɔ=pi=y=tɔ=pi=fε=paʁ=ti=də=sε=mo=za=kɔ=nɔ=ta=sjɔ̃=pe=ʒɔ=ʁa=ti=və=ki=kɔ=mə=œ̃=su=flə=dis=kʁε=myʁ=my=ʁe=ɛ̃=pɔ=si=blə=la=li=bεʁ=te=œ̃=bjɛ̃=ɡʁɑ̃=te=bo=mo=œ̃=mo=ki=ɡal=va=ni=zə=œ̃=mɔ=tœʁ=mε=zo=si=y=nə=fɔʁ=my=lə=ki=e=fʁε=ɑ̃=ne=fε=si=lɔ̃=paʁ=dy=pʁɛ̃=si=pə=kə=ʃa=kœ̃=ε=li=bʁə=il=nə=pø=ɑ̃=fʁɛ̃=dʁə=la=li=bεʁ=te=dot=ʁɥi=sə=ki=li=mi=tə=la=li=bεʁ=te=mε=mə=la=li=bεʁ=te=sε=lə=lo=dε=zɔ=mə=fɔʁ=ka=pa=blə=də=ʁe=zis=te=a=la=pεʁ=tə=də=ʁə=pε=ʁə=mε=lɔ=mə=ε=fε=blə=il=a=bə=zwɛ̃=də=va=lœʁ=ki=lə=sta=bi=li=ze=ki=lɔ=ʁjɛ̃=te=la=ʁə=li=ʒjɔ̃=ɑ̃=nε=lə=ʃe=ma=ti=pə=mε=la=u=kɔ=mɑ̃=sə=la=ʁε=ɡlə=la=li=bεʁ=te=sə=blε=sə=œ̃=nɔ=mə=nə=vø=pa=sɔʁ=tiʁ=də=sεt=e=ta=də=mi=nɔ=ʁi=te=dɑ̃=lə=kεl=il=ε=plɔ̃=ʒe=e=ʁa=sy=ʁe=dəp=ɥi=la=nε=sɑ̃=sə=puʁ=kwa=ʃɑ̃=bu=le=sə=po=ze=dε=kεs=tjɔ̃=lɔ=mə=ʁεs=tə=e=tεʁ=nεl=lmɑ̃=mi=nœʁ=lə=fi=lo=zɔ=fə=lɥi=va=syʁ=sε=vɛ̃=te=œ̃=nɑ̃=e=sε=je=də=ʁɑ̃=dʁə=ma=ʒœʁ=œ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=o=pʁə=mje=a=bɔʁ=il=sə=di=ʁa=a=djø=pa=ʁɑ̃=pa=sə=sa=ly=a=mwa=la=vi=o=sə=ɡɔ̃=il=sə=ʁa=te=ta=ni=ze=paʁ=lε=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=ki=vɔ̃=lə=pʁɑ̃=dʁə=a=la=ɡɔʁ=ʒə=sεt=εɡ=zɑ̃=plə=i=lys=tʁə=le=ta=dɑ̃=lə=kεl=sə=tʁu=ve=lε=zɔ=mə=lə=ʁə=fy=dε=du=tə=te=ɔ=fi=lə=dutə 427

aʃ=εm=εm=εm=sə=mo=di=ʁe=vεj=ki=sɔnə=la=ʃaʁ=ʒə=ki=sɔ=nə=ma=de=ʃaʁ=ʒəe=ki=sə=ʁə=ʃaʁ=ʒə=lεs=pa=sə=dœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=ʒə=mə=ʁe=pε=tə=kil=nε=kə=si=zaʃ=tʁɑ̃=tə=e=kil=mə=ʁεs=tə=tʁɑ̃=tə=mi=ny=tə=də=fε=ne=ɑ̃=ti=zə=ve=ʒe=ta=ti=və=a=le=lə=ku=ʁa=ʒə=pʁi=za=dø=pje=ʒo=tə=dœ̃=ku=də=pwa=ɲε=sεk=la=ku=ε=tə=pʁɔ=tεk=tʁi=sə=œ̃=bʁɛ̃=bɔ=ʁjɔ̃=dɑ̃=lε=va=pə=lœj=sə=mi=klo=lεʁ=bʁa=va=ʃə=a=vø=ɡle=paʁ=la=ly=mjε=ʁə=də=sε=vɔ=lε=kʁe=puʁ=ε=tʁə=zu=vεʁ=kɑ̃=til=nə=lə=də=vʁε=pa=ʒa=vɑ̃=sə=a=pa=pə=zɑ̃=ze=ʁe=ɡle=zɑ̃=di=ʁεk=sjɔ̃=də=la=sa=lə=də=bɛ̃=sε=fu=sə=kə=ʒə=ʁə=sɑ̃=blə=a=ma=mε=ʁə=lε=mε=mə=mi=mik=ʃa=kə=ʒuʁ=sε=ty=nə=nu=vεllə=syʁ=pʁi=zə=y=nə=nu=vεl=lə=de=ʁu=tə=kɔ=mə=puʁ=mə=ʁa=pə=le=a=ʒa=mε=du=ʒə=vjɛ̃=də=ki=ʒə=sɥi=ne=də=sεl=lə=ki=ma=ɔ=fεʁ=la=vi=e=œ̃=pʁe=nɔ̃=də=vɑ̃=sε=tə=ɡla=sə=ʒə=sɥi=vyl=ne=ʁa=blə=lε=ziø=də=ma=mε=ʁə=mə=skʁy=te=mə=sɔ̃=de=e=sa=mə=te=ʁi=fi=ʒε=y=nə=fʁε=jœʁ=vi=se=ʁa=lə=də=la=ʁə=pʁɔ=dyk=sjɔ̃=dε=ʃe=ma=də=sə=kə=ʒε=ve=ky=ʒə=nə=vø=pa=fi=niʁ=kɔ=mə=εl=lə=ʒə=no=ʁε=ʒa=mε=dɑ̃=fɑ̃=ʒə=nə=vø=pa=ε=tʁə=kɔ=mə=εl=lə=ʒə=no=ʁε=ʒa=mε=dɑ̃=fɑ̃=ʒə=nə=vø=pa=ε=tʁə=pa=ʁεj=ʒə=nə=vø=pa=fε=ʁə=su=fʁiʁ=mε=zɑ̃=fɑ̃=ʒə=nə=muʁ=ʁε=ʒa=mε=ʒə=nə=lœʁ=fə=ʁε=ʒa=mε=pœʁ=ʒə=lε=bɔʁ=də=ʁε=tu=ʒuʁ=sa=i=ε=bʁa=vo=te=o=la=laʁ=mə=a=lœj=sε=tʁε=ma=lɛ̃=bwa=dɔ=nə=te=kʁi=nu=bli=pa=il=fo=kə=ʒə=pʁε=nə=y=nə=bɔ=nə=du=ʃə=nwa=je=mε=laʁ=mə=dɑ̃=lə=sa=vɔ̃=e=tu=fe=lε=sɑ̃=ɡlo=dɑ̃=dy=ʃɑ̃=pu=iŋ=œ̃=sy=kʁe=slaʃ=sa=le=ki=musə 411

sε=sa=ɡlasə=ki=ʁɑ̃=ta=te=ɔ=fi=lə=sə=ki=ε=ta=te=ɔ=fi=lə=sε=pœʁ=sε=ze=klεʁ=də=ly=si=di=te=sε=du=tə=sε=zi=ma=ʒə=fyʁ=ti=və=sε=ʁe=mi=ni=sɑ̃=sə=tʁis=tə=sε=mɔ=mɑ̃=vɔ=le=ki=ʁə=mɔ̃=te=ɑ̃=bu=fe=vɔ=ly=tə=də=nɔs=tal=ʒi=a=vεk=tu=sə=kεllə=kɔ̃=tjɛ̃=da=me=e=də=tɑ̃=dʁə=il=sə=syʁ=pʁɑ̃=il=syʁ=pʁɑ̃=sɔ̃=ʁə=flε=vik=ti=məe=buʁ=ʁo=tɔʁ=ty=ʁe=paʁ=la=bɑ̃=dɔ̃=pa=sif=də=sε=tə=bεl=lə=fa=mə=dy=mɔ̃=də=ki=nə=la=e=lə=ve=kə=puʁ=lə=mɔ̃=tʁe=lε=ziø=zɑ̃=by=e=kɔ=mə=lε=vi=tʁə=il=nə=la=ki=tə=ʁa=ʒa=mε=plys=zil=i=ʁe=fle=ʃi=e=plys=sɔ̃=ʁə=ɡaʁ=syʁ=lε=ʃo=zə=də=vjɛ̃=sɔ̃bʁə=ab=sɑ̃=də=tu=tɔp=ti=mis=mə=plys=lə=tɑ̃=pa=sə=e=plys=zil=də=vjɛ̃=ε=ɡʁə=a=bi=te=paʁ=lε=fɑ̃=to=mə=də=sɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=sə=də=sε=ze=ʃεk=də=sε=pʁə=və=kil=o=ʁε=vu=ly=dɔ=ne=e=kil=na=py=kə=pʁe=və=niʁ=il=ʒε=tə=paʁ=fwa=sə=ʁə=ɡaʁ=kɔ̃=lε=ʒɑ̃=za=ɡʁe=se=paʁ=lε=ʁə=kyl=il=nə=ʁɑ̃=plys=lε=ʃo=zə=bεllə 241

e=diʁə=kœ̃=lə=ve=də=sɔ=lεj=mə=ʁɑ̃=dε=œ=ʁø=səl=ɥi=si=a=la=fa=dœʁ=dε=pə=ti=ma=tɛ̃=zu=a=te=la=kɔ̃=tɑ̃=pla=sjɔ̃=la=ʁε=və=ʁi=bə=zwɛ̃=də=ʁεs=pi=ʁe=a=e=ʁe=mε=sɛ̃=ap=sə=pʁɑ̃=dʁə=dy=ʁə=kyl=pu=vwaʁ=li=ʁə=kɔ=mə=kɑ̃=ʒe=tε=pə=ti=a=vεk=sε=tə=de=lεk=ta=sjɔ̃=ki=ʁu=ʒi=lε=ʒu=a=bi=mə=lε=ziø=ze=ep=ɥi=zə=ʒε=bə=zwɛ̃=də=sε=tə=fa=ti=ɡə=sε=nə=pʁi=paʁ=lε=li=ɲə=zɑ̃=nu=bljɑ̃=lə=tɑ̃=sə=syb=stit=ɥɑ̃=o=pεʁ=sɔ=na=ʒə=pʁɛ̃=si=pal=vi=vɑ̃=sε=tʁi=by=la=sjɔ̃=za=vεk=plys=də=pa=sjɔ̃=kil=nə=lə=fε=lɥi=mε=mə=mε=da=bɔʁ=y=nə=bɔ=nə=ba=la=də=pa=ʁi=zε=te=tu=fɑ̃=də=tu=ʁis=tə=ze=ʃo=de=pa=ʁi=la=bεllə=pa=ʁi=sə=fε=bεl=lə=su=tus=sε=zi=ø=bʁi=de=lε=mjɛ̃=sɔ̃=sεʁ=ne=lə=bwa=də=bu=lɔ=ɲə=si=kli=ʃe=sə=ʁε=lɑ̃=dʁwa=i=de=al=a=mə=ne=as=tʁid=nɔ̃=pa=bə=zwɛ̃=də=dø=su=flə=puʁ=ɛ̃s=pi=ʁe=mjø 220

te=ɔ=filə=bʁi=ze=nɔ̃=sε=tœ̃=də=sε=zɑ̃=ny=i=e=də=la=ɡʁi=zajə=kɔ=ti=djε=nə=il=fε=paʁ=ti=də=sø=ki=nə=sa=ve=pa=vʁε=mɑ̃=e=klε=ʁe=lœʁ=kɔ=ti=djɛ̃=sø=ki=la=sɔ̃=bʁi=se=lε=ne=ɡa=ti=vis=tə=lε=pe=si=mis=tə=lε=sεp=tik=zɑ̃=nœ̃=na=və=niʁ=mε=jœʁ=sø=puʁ=ki=lε=mɔts=kaʁ=pə=djəm=sɔ̃=mi=syʁ=lə=mε=mə=plɑ̃=dɑ̃=lə=dik=sjɔ=nε=ʁə=kə=ba=na=li=te=bij=və=ze=ə=njε=zə=ʁjə=ɑ̃=fɑ̃=ti=ja=ʒə=εt=dɔ̃=lə=su=və=niʁ=lə=plys=ʁe=sɑ̃=ε=tε=tɑ̃-aw=kə=syʁ=y=nə=ta=blə=de=kla=mɑ̃t=ɔ=ka=pi=tε=nə=mɔ̃=ka=pi=tε=nə=te=ɔ=fi=lə=sε=tœ̃=bo=də=lε=ʁə=il=u=bli=kɔ̃=pø=nu=mε=məe=ɡε=je=nɔ=tʁə=kɔ=ti=djɛ̃=kə=lə=sɔ=lεj=il=sə=ʃεʁ=ʃə=il=nə=nu=tɔ̃=bə=pa=də=sy=te=ɔ=fi=lə=va=o=bwa=də=bu=lɔ=ɲə=ɡʁɑ̃=bjɛ̃=lɥi=fasə 196

ʒε=pœʁ=ʒɑ̃=ɡwasə=sɑ̃=sɔ=ma=ti=ze=ø=tus=mi=ze=syʁ=œ̃=ʃə=val=ki=na=pa=ɑ̃=kɔ=ʁə=ku=ʁy=y=nə=by=lə=spe=ky=la=ti=və=sə=ɡɔ̃=flə=syʁ=mwa=mɔ̃=pɔ=tɑ̃=sjεl=εl=lə=ʁis=kə=də=vɔ=le=ɑ̃=ne=kla=dɑ̃=zœ̃=fy=tyʁ=plys=pʁo=ʃə=kə=ʒə=lə=kʁwa=e=la=la=de=sεp=sjɔ̃=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=u=lɔ̃=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=kə=lɔ̃=se=tε=tʁɔ̃=pe=sə=mɔ=mɑ̃=u=lə=mas=kə=tɔ̃=bə=sə=bal=dɛ̃=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=ʁe=si=pʁɔ=kəu=lə=vwa=lə=la=ʃə=e=la=de=sεp=sjɔ̃=sa=fi=ʃə=ɡʁɑ̃=də=a=kɔ=mɑ̃=se=paʁ=lε=ziø=syʁ=pʁi=pɥi=tʁa=i=lə=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=sε=tʁə=fε=ʁu=le=da=vwaʁ=tɑ̃=kʁy=ɑ̃=nœ̃=ʁjɛ̃=dε=tʁə=de=pɔ=se=de=dœ̃=nεs=pwaʁ=a=pʁε=vjɛ̃=la=kɔ̃=pa=sjɔ̃=la=kɔ̃=pɑ̃=sa=sjɔ̃=ʒə=mə=te=ʁi=fi=də=ly=si=di=te=ma=me=djɔ=kʁi=te=sə=ka=mu=flə=εl=lə=mə=fɥi=puʁ=mjø=tʁɔ̃=pe=lε=zo=tʁə=εl=lə=mə=lε=sə=fa=sə=a=mɔ̃=de=za=ʁwa 212
ʒe=sεj=də=pʁe=və=niʁ=da=vεʁ=tiʁ=lə=de=ɡa=mε=zɔ̃=mə=ʁə=ɡaʁ=də=kɔ=mə=œ̃=pʁe=di=ka=tœ=ʁə=ɛ̃=be=si=lə=œ̃=fo=mɔ=dεs=tə=lə=ʒɑ̃=ʁə=ki=a=ɡa=sə=di=tə=mwa=lə=ʒuʁ=lœʁ=puʁ=kə=ʒə=mɑ̃=te=ʁə=sɑ̃=za=vwaʁ=lə=lwa=ziʁ=də=di=ʁə=ʒə=vu=za=vε=pʁe=və=ny=la=de=sεp=sj=ɔ̃=sə=ʁa=la=mε=mə=kɥi=zɑ̃=tə=puʁ=ø=e=lə=de=zεs=pwaʁ=sə=ʁa=kɔ̃=plε=puʁ=mwa 96

o=kynə=kɔ̃=fjɑ̃=səɑ̃=lɥi=te=ɔ=fi=lə=ε-a=bi=te=paʁ=la=te=ʁœʁ=pεʁ=pet=ɥεllə=də=le=ʃεk=sε=sə=ki=lɥi=a=fε=ʁa=te=sε=ze=ty=də=il=a=kʁy=kə=plɑ̃=te=y=nə=a=ne=se=tε=ʁɥi=ne=sa=vi=e=mɛ̃=tə=nɑ̃=sε=lɥi=ki=la=det=ʁɥi=pø=a=pø=a=vεk=dε=ʁy=mi=nə=mɑ̃=zɛ̃=se=sɑ̃=sε=ze=kla=dɑ̃=ɡwa=sə=il=lε=kɔ=nε=dəp=ɥi=lə=ʒuʁ=u=ɔ̃=lɥi=a=pʁu=ve=u=il=sε=pʁu=ve=kil=pu=vε=sɔʁ=tiʁ=dy=lo=dəp=ɥi=zil=sə=te=ʁə=dɑ̃=la=fʁε=jœʁ=də=də=vwaʁ=sɔʁ=tiʁ=də=sə=lo=ɑ̃=nas=pi=ʁɑ̃=a=lεk=sεl=lɑ̃=sə=a=lɔʁ=zil=pje=ti=nə=il=so=tə=a=pje=ʒwɛ̃=puʁ=ɡʁa=viʁ=le=ʃεl=lə=sɑ̃=pɑ̃=se=kə=dɑ̃=ze=ʃεl=lə=ɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=te=ʃə=lɔ̃=tu=tu=kɥi=tu=mɛ̃=tə=nɑ̃=e=ʁjɛ̃=o=fi=nal 178

e=ʁj=ɛ̃=o=fi=nal=œ̃=ne=ʃo=ki=ʁe=zɔ=nə=paʁ=ʁə=vjɛ̃=ʒə=sε=zu=lə=ba=blε=sə=ʒə=kɔ=nε=la=ko=zə=də=mɔ̃=nɛ̃=sa=tis=fak=sj=ɔ̃=ʒə=sε=sə=ki=nə=tuʁ=nə=pa=ʒə=sε=zu=ʒə=nə=dwa=pa=a=le=mε=ʒə=mi=ɑ̃=ɡu=fʁə=kɔ=mə=ma=ɲe=ti=ze=il=fε=si=bo=ʒuʁ=ne=tʁo=blø=puʁ=ε=tʁə=tɔ=ta=lə=mɑ̃=paʁ=fε=tə=il=mə=mɑ̃=kə=sə=vɑ̃=lə=sa=blə=y=mi=də=la=mεʁ=si=vas=tə=mε=ʁo=ʃə=si=ʁu=ʒə=ze=pɥi=e=pɥi=lε=zɛ̃=pεʁ=fεk=sjɔ̃=vεʁ=tə=mɔ̃=ʁo=ʃe=də=la=fe=lə=kɔ̃=tə=də=ma=mε=ʁə 131
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i=a=kə=lε=ʒɑ̃=ki=nɔ̃=ʁj=ɛ̃=ve=ky=ki=ɔ̃=dε=pʁɛ̃=si=pə 17

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
22/07/2007 22:51Nathy

Et bien dis-donc c’est la première fois que je lis un écrit si long sur ce site mais je dois dire qu’il est plus qu’intéressant et tu choisis des mots justes qui ont un impact assez impressionnant. Je ne sais pas si tout le monde aura le courage de le lire jusqu’au bout mais en tout cas je te tire mon chapeau, ça t’a pris 1 an à priori mais ça vaut le détour : tout simplement génial !!! (OUI) Bonne continuation. Bisous

Auteur de Poésie
19/08/2007 11:41Ankhaset

salut vodka,
j’ai été un peu lent à répondre, mais que veux-tu... a des fois, le temps manque...
j’aime beaucoup...tes élucubrations m’amusent...au final peu importe si ça n’interesse personne. tu l’écris d’abord pour toi. et moi je trouve ça tres bon...
les paragraphes les plus courts sont ceux les plus aboutis peut etre. ils structurent assez bien ton texte et donne le rythme. Les autres sont plus introspectifs et doivent être lu d’une traite ! si je devais faire qu’une seule remarque, ça serait de les améliorer encore... pas facil car il faut garder l’athmosphere... mais bon, je te fais confiance !

ton texte est plein de spleen. mais du spleen qu’on les jeunes quand ils débutent leur vie. ce spleen, c’est le tien. et tu le décris vraiment bien... bravoooo

continue ton histoire... ça vaut la peine...

Poème - Sans Thème -
Du 22/07/2007 22:30

L'écrit contient 4325 mots qui sont répartis dans 18 strophes.