Poème:Juste Une Histoire, L’histoire D’un Empire.

Il existe, encore aujourd’hui, un royaume,
Bâti par deux personnes à l’aide de leurs paumes,
Qui, au début n’était qu’un village, un tout petit,
Grâce au temps passé ensemble, leur complicité,
Leur bonne entente et cette fabuleuse amitié,
Au fil des années, il s’est si vite agrandi,

Le royaume atteignit très vite son apogée,
Peut être même trop vite, seulement en quelques années,
Lors de cette période, certains auraient pu penser,
Qu’ils régnaient main dans la main, prêts à s’épouser,
Qu’ils étaient suffisamment proches pour cela,
Mais, c’est ce seul petit doute qui entraînera,
Petit à petit la chute de cet empire,

Ayant beaucoup de sentiments plutôt confus,
Cela les précipita dans une destruction
Totale de leur empire. Le reste de leur passion,
Permit d’amortir ce déclin inattendu,

A partir de cette époque là, de cette année,
Leurs routes, petit à petit, se sont séparées,
Rares sont les contacts, mais leur ancienne amitié,
Encra leurs souvenirs pour ne pas oublier,
Qu’ils s’étaient rencontrés, rapprochés, éloignés.

L’une de ces personnes était une damoiselle,
Qui, à partir des ruines de l’ancienne empire,
D’un bout qui a fini par lui appartenir,
Entreprit la fondation d’un royaume. Mais elle
Fut seule et cette construction pris beaucoup de temps
Pour arriver à un empire resplendissant.

Et alors cette deuxième personne, garçon qu’il était,
Décida que lui aussi allait reformer,
Son royaume, le rebâtir à partir de rien, mais,
Tout ne se passât pas comme il l’aurait souhaité,

Pourtant, la reconstruction commença très bien,
Il commençait à ressortir de son déclin,
Des fleurs et des arbres partout dans toutes les rues,
Et tout tendaient à montrer une nouvelle joie,
Malheureusement cette nouvelle aire ne dura pas,
La mort se répandit peu à peu dans les rues,

Cela anéanti toute la végétation,
Les boulevards, les places, tout n’étaient plus que désert,
Son gouverneur, ne cessait de perdre la passion
De la vie. Et son sourire n’était plus sincère,

Ne faisait plus que sourire machinalement,
Pour ne rien laisser transparaître, inconsciemment,
Il ne voulait pas que les autres dirigeants,
Qu’ils apprennent sa tristesse du à cette mort,
Qui bloquait l’extension de son royaume, de son fort,
Il ne parvint plus à bâtir, souvent absent,

Pensif, ou songeur, tant d’états qui le troublaient,
D’ailleurs encore aujourd’hui et même si,
Il reste encore fragile et personne ne le sait,
Après cette mort, qui fut terrible pour lui.