Poème:Pause De Vers Ménopausé

Quand on est un Panda,
Ont c’reproduits qu’une fois par an,
Et encore,
Y bat l’heureux corps.
Y peine l’échine,
Y courbe la Chine,
Puis chine ça pine,
Avec un peigne,
Ces assez lourds.
Mais je vous le dis !
Y fini pas sourds.

~

Mal-scène
Sur saine et ceux,
La seine en feu,
C’est l’âme de fond,
Saigne mes larmes,
Sèche d’une arme,
De front.

Un pied devant,
Se déroule de grandes artères,
Épagneul à rat d’terre,
Long pas qui, roule des mécaniques,
Et les Espagnols des airs, qui me nasse,
Désert des Bardenas.

~

Se taire altère,
Et déterre de l’éther,
Des terres minées,
Pour ton estaminet !
Les traques taxent te tracasse,
Extra d’Exta pour mes minets,
Multiple gamme dans ta malle,
En lama.
Tu fais mal pas d’amalgame dans ce Game.
Tu joues seulement quand on tend l’autre.

~

J’attends tard tantôt,
Ces attardés vantards,
Mon pouls de loup,
Dans la ville vieille,
Séville mes vices,
Sévices,
Tes vis serviles,
Veilles,
A mon service.
Ton fond sert ma forme,
Ces conformes et confond,
Ton vagin, con,
Sensuelle plume,
Qui me-plut des mois.

~

Anne et Stacy gênées râles,
Du mentor le ton tombe,
Sous l’menton un coup monte,
Et tord trop de tourment,
S’endorme tous les menteurs,
Elles, Mantes Religieuses,
Ils, Menthes à l’eau,
Sauf elle ! rieuse,
Mais en fin de compte,
La Raie Manta.

~

J’édulcore mes enfants,
J’ai du mal avec les édu-quations,
Faux-calme dans mon flux je clame,
Seulement quand j’me luxe le dos.

~

Tenant la scie,
Cette main elle sied,
A foule de gens !
Mainte de maintenant,
Ces mains dentues vers toi,
Avide et tant vide,
Ton teint mate tanné,
Naine rouge du matin,
Rousse joie vers moi.

~

Test 1,
L’un te test en dessin,
D’un destin intestin,
Tu ne détestes pas ces sain,
Les gros saints du calendrier ; )
Et je vois ces calandres rire.

~

Aux sages luminaires et aux concombres.

Une étrangle pensées mettra verse,
D’emblée cent Dames blessantes,
Ce sang sans-bleue,
Dans son champ d’ail,
Dans sa serre d’os.
Être-Ange, Miss-Terre, que celle a ?

~

Déroule et sert pantin !
Dessert qui serpente,
À quoi serpentin ?
Dans les serres d’un Paon.
Au bord d’elle j’élabore,
Des plans pour la border,
Un dure labeur.
Jus de main, jus de vilain,
Et j’ai rancœur,
Car j’erre en corps. .
Sa mère la pulpe.

~

Sauve la planète et tutoie.
Une mort sure régnera,
La morsure d’araignée.
Césure et certes un,
Tue-la ! Vos mieux que de tuer Laura,
En vrai j’veux dire. .
Je me cassociabilise un peu,
Avec vous, je dois régner !
Sur toute ma gêne anxieuse,
A mon âge anxiogène.
Des bleues mauves,
Aises de chagrins,
Un mauvais grain d’chat,
D’on t’on se languimauves,
Aise Foi.