Texte:Je Ne Sais Pas Si Elle-Même.

Je ne sais pas si elle-même,
Et sans ces Item j’avance plus.
Amant conteste à terre,
Testament,
Constamment mis aux faire,
A l’amande.
Pour une amante poivrée,
Amen affaire l’aumône,
Elle est bonne.
Aux jours d’aujourd’hui !
Questu croivé ?
Questu su ? Pute.
Car de ce que je sue,
Tu ne sais rien,
Mais tu croasses, tousse. .
À ceux acquis,
Ce rat conte,
Et la honte dit :
Salut.

Drogué !
Un peu chez père il y a la mer,
Mais chez ma mère,
Il y a l’amour.
Chimère en présence,
Qui rapièce le passé,
Et s’habille d’avenir.

Atoum !
Ô soleil toussant. .
Un matou dans la gorge,
D’athée souhait.

Janus !
Euhh j’annonce,
Quand ces amants positivent,
J’embobine négative, sans bande.
Aimant sur face frigide,
Dès qu’on fit, frit confie en confettis,
Ces fétides fêtes,
Vive la freeconfiserie !
Frétille devant mon frigidaire,
A la beauté de la fritillaire. .
L’air se fige.
Mais que ferait Gide ?
Mais que ferait t’ils toussent ?
La toux dans la gorge,
Et parfois dans la manche.
Repousse mes plans qui s’aident en terre,
Et ces regards en chien,
Des coins…
Défaillance des transports,
Et la transe porte en commun,
Vers ces coups d’mains mortels.

Une gerbe de fleuve,
Sur les berges du Gange,
Des rives ma gamberge,
Et la Ganja en fleur,
Entre mes gants,
Héberge le KO.

En bois de Serf
Servant des pires transes,
Et j’en transpire du cerveau,
A la guerre comme a naguère,
Vas-y veau sert, vocifère,
Finira par le faire assis,
Car tu ramifies toujours,
Par t’y faire un tour.

Toi aussi tu entends, le brouhaha du train qui passe ?
Je le vois bien en tant qu’aveugle,
Et d’mon aveu a mon avis,
Sans billet, mon voisin beugle,
Car j’ai fraudé son train de vies.

Avec mes tas de sable aux coins de l’œil,
Ca étreint l’vide de mon être qui née,
Crainte ! l’existence ces cool, s’écoule,
Un super coup m’aime.

Demain peut-être il tombera de la pluie,
Mais la poussière tous les jours,
Ma bile elle monte au coup,
M’habite. .
Ma bite est mon couteau !
J’aime, j’idolâtre ce qui fut,
Et les pissenlits je les aime aussi.
Puis ces un drôle de mot,
A l’abri sous un auvent,
J’baise l’espoir en grande hâte,
En grandes lettres à coup de latte,
Puis l’encouru s’enfuit,
Mais j’tiens le bon boudoir,
Pendant que d’autres boues doivent,
L’eau boue teint,
Avant de mettre des pattes,
De velours à porter.

Dans l’bellâtre embellie en bêlant,
Embolie dans l’audite,
En bolide,
En messes basses,
La messe et dite,
Et il mire acculé.
Coup à suspendre des acrobates,
Mais outrement ces accoups d’être,
D’avoir un accro,
Et de ce fer battre.

Ce sang vide, sans toit,
Deux meurs,
Et il n’est pas baraque,
Et d’après la rumeur,
Âpre et mure,
A partir en Balagne,
Sur une île,
Épure tes charmes.