Texte:Quand Bien M’aime,

Quand bien m’aime, mais comment ce modules ces maux doux ?

C’est un feu, un grand feu, un feu de camp, feu mon mari,
D’on l’ardence dépend de ce qui le nourrit,
De sa piètre pitance sous l’appétence infinie.
Mais ces pour nous qu’ils brûlent comme du bois sec,
Qu’ils crépitent tous comme des arbres résigneux,
Pourtant ont les aimes derrière nos fenêtres. .
Mais l’on s’ouvrent, à laissé ce feu naître.
Quand leurs soleils nous aveugles et rompt nôtre firmament,
Sans avoir peur du froid. .
Tout cela me console comme le ferait maman,
Et même si toute ces âmes ce ferment,
Sésame !
A s’ouvrir me touche,
A sourire me couche,
Ahh. . s’hameçonnait. .
Ces souffrances que l’ont mouches,
Les uns aux autres,
ça m’connaît !
Pas trop.
Mais mon vide à pour trésor de ce pourvoir de tout,

Délicate sauvagerie. .
Ô calme ! je n’suis pas fou.

Ces au départ des migrations,
De ces grives musiciennes,
De toutes ces oisivetées,
Sous le regard bovin d’une paupiette de veau,
Que l’emeux ému ce mue quand il est d’émeute !
Ni des troupeaux, Ni des cheptels,
Et comme s’attire les satyre,
S’attise entre eux,
Par la déliquescente force des choses.

Comme tout ceux-la nies mal leurs maux,
A ne rien faire !
Tout ce qu’ils n’osaient,
Abondent !
Et de ces mots en bavent assez,
Sur leurs escarres ces escargot. .
J’en vis par le passé,
Et j’envie comme je n’en vois plus.

Car à mendier m’en dit long,
Toute cette sensiblerie m’handicape !
Que je devrais tenir.
Mais où. . mais oublier,
Ces fleurs d’amandier.
Mes trous d’mémoires son des trous d’vers !
Vers ces si ternes citernes de souvenirs,

Ou j’y est enfouis des germes,
Qui n’ont cessé de croitre,
A l’ombre des oubliettes,
Ils occupent mes cellules,
Et nourrissent mon âtre.

Bien qu’ils ne soient pas nombreux mes aimants,
Quand bien m’aime. .
J’ai la polarité farouche,
Guetteur à l’horizon des dangers qui s’amènent,
Danse comme une faux dans la forêt dense,
De tout ces corps,
Écorche dans l’écorces,
Élégant comme l’archer,
Entravé en travers des sentiers de l’Homme,
Et d’un coin d’œil perçoit ces féroces folies,
Passagères des regards vers le tiens,
Dans le décors. . décortiqué,
Dans leurs gorges,
Antres à vers perçants,
Vibrant goitre prédateur,
Sourde barrière psychique,
Du désordre mal acquis. .
Mais m’aime des ordres donnés !
Tout ces abimes désastrés,
Sous les astres abimés,
Me laisse de jolie maux,
Mais comment. .
Ce modules ces mots doux ?

Car tout ces rêves sur la rive,
Sont des grives sur la grèves,
Qui décolle par de-la les flots ivres,
Furtant dans le dos de la guivre,
Et de leurs propres chimères.

Alors que nos dessein ce dentelle à peine,
Dans vôtre bouche pleine de dents ce dessine,
Et du rouet a chaque fuseaux un grand cycle !
A chaque hiver son tricot. .
Car RIEN. . Je ne ressent plus !
Que le sentiment infecte,
De ces bobos désaffecté,
Les contours d’un vide,
Dans un trop plein béant,
Au temps de vos émoi,
Comme autant de vous et moi,
Ont fait néant, niant les fait,
Ou comme d’autres nichant,
Blottient au creux,
Du nid de l’oiseau Tisserin,
Dans de merveilleuse broderie raconté,
Où chacune de mes inspiration me mêle a l’ensemble,
Quand chaque parcelle épouse le reste puis ce mêle de tous !
Ô pèlerinage de Saint-Biote !
Mes amies, Ma symbiose ! restez ici ces plus sûre,
Moi je parasite.

Ces lanternes m’aidant luisent,
Que j’en épuise mes dents ternes,
Comme des phares effaré,
A l’affront des marées,
Dans leurs plaisirs vétustes,
Les rayons cassés,
D’une imaginations troubles,
M’électrise de bonheur !
Puissance des mondes intérieurs,
Mutation austère !
M’aime un peu ces déjà bien,
A ne faire que trembler !
J’aimerai faire mes os ce taires,
Entre ces bouches sédentaire,
Lorsqu’ils ne font que parler.

Dans la polyphonie des autres,
Et de la vie innombrables,
A nue s’insinue,
A l’ouïe !
Elle opère,
Ces discrètes mutations.

Et ces ainsi, que je perd mon temps a chercher,
UN grand méchant,
Dans une hordes de ptit connard, « d’on je suis membre »
Et l’Amour
dans ceux qui ne veulent pas du miens.
Enfin je ne sais pas grand chose,
J’prend l’temps, j’suppute en douceur,
Et comme à force de l’être,
Sous ces caresses furtives,
Ma vie est soyeuse.