Texte:Orient
Le Texte
J’ai poussé les portes du temps,
Et j’ai découvert un univers troublant.
Un monde où les caprices d’Eole sont maîtres des paysages,
Un désert où l’homme pense et reste sage.
S’allonger une nuit et attendre le soleil levant,
Sur la courbe arrondie que le temps reprend doucement,
Regarder passer les moments et vieillir sans visage,
Sans miroir pour indiquer son passage,
Attendre la prochaine page.
Dans ce pays d’or aux odeurs de l’Orient,
j’ai découvert le temps d’une nuit, la paix d’exister
Et j’en ai apprécié chaque instant !
Dans ce désert où les hommes cultivent la passion,
leur passage n’est qu’une image mais grave dans leurs yeux l’émotion.
Le désert propice au mystère, ensorcelé par la magie de l’Orient,
N’a gardé de moi nul souvenir, nulle trace de mon vivant.
J’aimerais raconter, partager cette vision,
Mais cet être égoïste mue à chaque instant, emportant avec lui ses secrets, et enterrant les trahisons.
Ce coin de terre est quelque part dans nos âmes,
Un peu fatigué, j’y ai déposé les armes !
Je n’y ai jamais eu de larmes pour pleurer,
Mais une sensation de bonheur qui encore aujourd’hui me fait rêver.
Et j’ai découvert un univers troublant.
Un monde où les caprices d’Eole sont maîtres des paysages,
Un désert où l’homme pense et reste sage.
S’allonger une nuit et attendre le soleil levant,
Sur la courbe arrondie que le temps reprend doucement,
Regarder passer les moments et vieillir sans visage,
Sans miroir pour indiquer son passage,
Attendre la prochaine page.
Dans ce pays d’or aux odeurs de l’Orient,
j’ai découvert le temps d’une nuit, la paix d’exister
Et j’en ai apprécié chaque instant !
Dans ce désert où les hommes cultivent la passion,
leur passage n’est qu’une image mais grave dans leurs yeux l’émotion.
Le désert propice au mystère, ensorcelé par la magie de l’Orient,
N’a gardé de moi nul souvenir, nulle trace de mon vivant.
J’aimerais raconter, partager cette vision,
Mais cet être égoïste mue à chaque instant, emportant avec lui ses secrets, et enterrant les trahisons.
Ce coin de terre est quelque part dans nos âmes,
Un peu fatigué, j’y ai déposé les armes !
Je n’y ai jamais eu de larmes pour pleurer,
Mais une sensation de bonheur qui encore aujourd’hui me fait rêver.
Écrivain Agnès Fayad
Agnès Fayad a publié sur le site 6 écrits. Agnès Fayad est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil de l'auteur poète Agnès FayadSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Orient
ʒε puse lε pɔʁtə- dy tɑ̃,e ʒε dekuvεʁ œ̃n- ynive tʁublɑ̃.
œ̃ mɔ̃də u lε kapʁisə dəɔlə sɔ̃ mεtʁə- dε pεizaʒə,
œ̃ dezεʁ u lɔmə pɑ̃sə e ʁεstə saʒə.
salɔ̃ʒe ynə nɥi e atɑ̃dʁə lə sɔlεj ləvɑ̃,
syʁ la kuʁbə aʁɔ̃di kə lə tɑ̃ ʁəpʁɑ̃ dusəmɑ̃,
ʁəɡaʁde pase lε mɔmɑ̃z- e vjεjiʁ sɑ̃ vizaʒə,
sɑ̃ miʁwaʁ puʁ ɛ̃dike sɔ̃ pasaʒə,
atɑ̃dʁə la pʁoʃεnə paʒə.
dɑ̃ sə pεi dɔʁ oz- ɔdœʁ də lɔʁje,
ʒε dekuvεʁ lə tɑ̃ dynə nɥi, la pε dεɡziste
e ʒɑ̃n- ε apʁesje ʃakə ɛ̃stɑ̃ !
dɑ̃ sə dezεʁ u lεz- ɔmə kyltive la pasjɔ̃,
lœʁ pasaʒə nε kynə imaʒə mε ɡʁavə dɑ̃ lœʁz- iø lemɔsjɔ̃.
lə dezεʁ pʁɔpisə o mistεʁə, ɑ̃sɔʁsəle paʁ la maʒi də lɔʁje,
na ɡaʁde də mwa nyl suvəniʁ, nylə tʁasə də mɔ̃ vivɑ̃.
ʒεməʁε ʁakɔ̃te, paʁtaʒe sεtə vizjɔ̃,
mε sεt εtʁə eɡɔistə mɥ a ʃakə ɛ̃stɑ̃, ɑ̃pɔʁtɑ̃ avεk lɥi sε sεkʁε, e ɑ̃teʁɑ̃ lε tʁaizɔ̃.
sə kwɛ̃ də teʁə ε kεlkə paʁ dɑ̃ noz- amə,
œ̃ pø fatiɡe, ʒi ε depoze lεz- aʁmə !
ʒə ni ε ʒamεz- y də laʁmə- puʁ pləʁe,
mεz- ynə sɑ̃sasjɔ̃ də bɔnœʁ ki ɑ̃kɔʁə oʒuʁdɥi mə fε ʁεve.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
14/05/2021 17:41Rue Grande Fortune
bonjour les portes du temps j’aimerai les ouvrir pour voyager dans des mondes tridimensionnel
Eole ces le dieux du vent une éolienne une roue a hélice pousser par le vent
le désert propice du mystère : ou voyage les saints de la bible le désert se recueillir dans le silencevoila mes commentaires sur des mots extrait de votre poème
merci pour vôtre texte

13/10/2021 17:35Gerard
Que l’Orient est beau !
Pousser les portes, et se plonger dans son monde fascinant.
Bravo Agnès !
Texte Voyage
Du 14/05/2021 15:36
L'écrit contient 210 mots qui sont répartis dans 1 strophes.