Univers de poésie d'un auteur

Prose:L’énigme De Maëva : À La Recherche Des Secrets

A Propos de cette Prose

Dans un monde où chaque secret a son prix, Maëva s’apprête à découvrir ce que personne n’ose révéler...

La Prose

La pluie tombait doucement sur les pavés de la ville. Maëva marchait seule, ses chaussures glissant sur les flaques, ses pensées flottant entre souvenirs et promesses silencieuses. Chaque lampadaire semblait murmurer son nom, chaque reflet sur le bitume raconter une histoire oubliée.

Elle s’arrêta devant une petite librairie, ses vitres embuées laissant apparaître des livres entassés comme autant de mondes en miniature. Sans vraiment savoir pourquoi, elle poussa la porte. L’air chaud et l’odeur des pages anciennes l’accueillirent, et pour la première fois depuis des semaines, elle se sentit légère.

Un vieil homme derrière le comptoir leva les yeux.
— Bonjour, dit-il. On cherche tous quelque chose ici, vous savez.
Maëva sourit, et répondit simplement :
— Je crois que je cherche juste un peu de silence.

Alors qu’elle parcourait les rayons, un bruit sec retentit derrière elle. Un livre était tombé d’une étagère. En se penchant pour le ramasser, elle aperçut à côté un carnet ancien, longtemps oublié. Les pages jaunies étaient couvertes de mots et de dessins mystérieux, comme un journal intime laissé là par hasard. Maëva sentit un frisson : qui pouvait avoir écrit cela ? Et pourquoi l’avoir abandonné ici ?

Intriguée, elle ouvrit le carnet et se plongea dans des histoires de voyages, de secrets de famille et de mystères non résolus. Chaque page semblait vouloir l’attirer plus profondément dans une énigme qui dépassait son quotidien. Soudain, elle entendit la cloche de la porte : quelqu’un entrait. Un regard furtif vers l’entrée lui fit sentir qu’elle n’était peut-être pas seule à s’intéresser à ce carnet…

Quand elle sortit, la pluie avait cessé. Les pavés brillaient sous les dernières gouttes, et la ville paraissait différente, moins lourde. Mais Maëva savait que sa vie venait de prendre un tournant inattendu : ce carnet abandonné allait bouleverser ses prochains jours, l’entraîner dans des aventures qu’elle n’aurait jamais imaginées.

La nuit commençait à tomber quand Maëva referma son parapluie. Le carnet, glissé dans son sac, semblait peser plus lourd que n’importe quel livre. Elle avait l’impression qu’il battait, comme un coeur étranger, au rythme de ses pas.

Arrivée chez elle, elle posa le carnet sur la table et hésita un long moment avant de l’ouvrir à nouveau. Les pages regorgeaient de croquis : des horloges brisées, des ruelles aux noms effacés, des silhouettes sans visage. Entre deux dessins, des phrases énigmatiques griffonnées à la hâte :

« Là où l’eau rencontre la pierre, le silence cache la vérité. »
« Ne jamais tourner la page avant minuit. »

Maëva sentit un frisson lui parcourir l’échine. Ces notes semblaient écrites pour quelqu’un, comme des messages codés. Mais pour qui ? Et surtout… pourquoi elle, ce soir, avait trouvé ce carnet ?

Un bruit la fit sursauter : trois coups secs frappés à sa porte. Le coeur battant, elle n’attendait personne. Elle s’approcha doucement, sans ouvrir, et demanda :
— Qui est là ?

Un silence, puis une voix grave chuchota :
— Le carnet… il ne vous appartient pas.

Maëva recula d’instinct. Elle serra le carnet contre elle, comme si sa vie en dépendait. Quand elle rouvrit les yeux, l’ombre derrière la vitre avait disparu. Mais sur son paillasson, elle découvrit un petit papier plié en quatre. Tremblante, elle le ramassa et lut ces quelques mots écrits à l’encre noire :

« Ne cherchez pas à comprendre. Ce qui est écrit doit rester enfoui. »

Maëva passa la nuit presque sans fermer l’oeil. Le carnet posé sur sa table semblait la fixer dans l’obscurité. Chaque fois qu’elle tentait de s’endormir, les phrases énigmatiques lui revenaient en tête : « Ne jamais tourner la page avant minuit. » Mais à présent, minuit était passé.

Le lendemain matin, elle décida de retourner à la librairie. Le vieil homme l’accueillit avec le même sourire fatigué.

— Ce carnet, dit-elle d’une voix hésitante, il était là hier… Vous savez à qui il appartenait ? Le libraire fronça les sourcils, comme surpris par sa question.
— Ah… ce carnet… Vous feriez mieux de ne pas vous en occuper. Certains livres choisissent leur lecteur, mais d’autres… devraient rester fermés.

Maëva sentit ses mains trembler. Pourtant, une force intérieure l’empêchait de renoncer. Avant de partir, elle osa demander :
— Pourquoi ne jamais tourner la page avant minuit ?

Le vieil homme détourna le regard et répondit d’un ton sec :
— Parce qu’à minuit… les histoires cessent d’être des histoires.

Dehors, le ciel s’était assombri malgré l’heure. Elle ouvrit son carnet et, pour la première fois, remarqua que certaines pages n’apparaissaient qu’à la lumière des lampadaires. Là, des adresses, des symboles, des croquis de lieux réels de la ville. Comme une carte invisible menant à un secret caché.

Le premier indice pointait vers un ancien pont, abandonné depuis des années. Le soir même, malgré la peur qui la rongeait, Maëva s’y rendit. L’air sentait l’humidité et la pierre usée. Elle posa la main sur la rambarde, quand une voix derrière elle la fit sursauter :
— Je vous avais prévenue de ne pas chercher.

C’était l’inconnu. Cette fois, son visage sortait de l’ombre : un homme en manteau sombre, les traits marqués, ses yeux fixés sur le carnet qu’elle serrait contre sa poitrine.

Maëva recula d’un pas, son dos heurtant la rambarde glacée du vieux pont. Le carnet battait contre sa poitrine, comme s’il voulait s’arracher de ses mains.

— Qui êtes-vous ? demanda-t-elle d’une voix tremblante.

L’homme s’approcha lentement. Sa voix grave résonna dans le silence de la nuit :
— Quelqu’un qui a déjà porté ce fardeau avant vous. Ce carnet n’est pas un hasard… il choisit toujours son prochain gardien.

Maëva fronça les sourcils.
— Gardien ? Mais… ce ne sont que des notes, des dessins étranges…
— Non, coupa l’homme. Ce que vous tenez est une mémoire vivante. Chaque secret écrit à l’intérieur est réel. Chaque lieu dessiné existe. Et chaque mystère… attend d’être réveillé.

Le vent souffla plus fort, faisant frissonner Maëva. Elle ouvrit le carnet à la première page où l’encre semblait vibrer. Les mots changeaient sous ses yeux : les lettres bougeaient, comme si elles s’écrivaient toutes seules.

« La vérité commence là où l’eau rencontre la pierre. »

Elle leva les yeux vers le fleuve sous le pont. L’eau sombre reflétait la lune. Sans réfléchir, elle posa sa main sur la pierre humide de la rambarde. Une fissure invisible s’illumina d’une faible lueur bleutée.

L’homme pâlit.
— Non… pas ce soir… Vous n’êtes pas prête !

Mais déjà, la fissure s’élargissait doucement, révélant une cavité dans la pierre. À l’intérieur, un objet était dissimulé : une clé ancienne, aux formes étranges, marquée des mêmes symboles que ceux du carnet.

Maëva la saisit, le coeur battant.
— Qu’est-ce que cela ouvre ? demanda-t-elle.

L’homme la fixa, un mélange de peur et de respect dans les yeux.
— Cela ouvre ce qui n’aurait jamais dû être fermé…

Maëva serra la clé dans sa main, son métal froid contre sa paume, et sentit une étrange énergie l’envahir. L’homme en manteau sombre recula d’un pas, visiblement inquiet.

— Écoutez-moi bien, Maëva, dit-il. Cette clé… ce n’est pas seulement un objet. Elle appartient à une ancienne lignée de gardiens, des personnes chargées de protéger les secrets que le carnet renferme. Chaque génération choisit son successeur. Et maintenant… c’est vous.

Maëva sentit un vertige. Elle n’avait jamais imaginé être impliquée dans quelque chose d’aussi immense. — Moi ? murmura-t-elle. Mais je ne comprends rien !

L’homme soupira, le regard fixé sur le fleuve. — Vous comprendrez en suivant les indices. Le carnet vous guidera. Mais attention : vous n’êtes pas la seule à le vouloir. Ceux qui connaissent son existence ne reculeront devant rien pour le récupérer.

Maëva inspira profondément et tourna la clé entre ses doigts. Elle remarqua alors un symbole gravé au centre : un cercle encerclant une goutte d’eau et une pierre, identique à l’un des dessins du carnet. Son intuition lui souffla qu’il fallait se rendre à l’endroit indiqué sur la page suivante.

Elle se retourna pour demander conseil à l’homme, mais il avait disparu. La brume de la nuit avait effacé ses traces. Le pont semblait maintenant plus vaste, presque irréel, et le silence pesant.

Avec courage, Maëva se mit en route, suivant le carnet comme une carte vivante. Les symboles la menèrent à des ruelles oubliées, des escaliers dérobés et des passages étroits sous la ville. Chaque lieu semblait attendre sa venue, chaque ombre glissait comme pour l’observer.

Enfin, elle arriva devant une petite porte en pierre, presque invisible entre deux immeubles anciens. La clé vibra dans sa main, comme si elle reconnaissait son destinataire. Tremblante mais déterminée, Maëva l’inséra dans la serrure et tourna.

Un déclic résonna, puis la porte s’ouvrit lentement, révélant un escalier descendant dans l’obscurité. Une lueur étrange illuminait les murs humides, et le carnet, posé sur ses genoux, semblait presque respirer.

— Bienvenue, murmura une voix douce venue de l’ombre. Vous êtes enfin arrivée, Maëva.

Maëva descendit les marches en pierre, le carnet serré contre elle, la main encore tremblante de la clé. L’air était frais et sentait l’humidité des siècles passés. La lueur étrange provenait de lanternes suspendues à des chaînes rouillées, éclairant des fresques anciennes gravées dans les murs.

Au bout de l’escalier, elle entra dans une vaste salle souterraine. Des étagères couvertes de poussière s’étendaient jusqu’au plafond, remplies de parchemins, de livres reliés en cuir et d’objets mystérieux. Le sol était jonché de fragments de cartes anciennes, de croquis et de notes chiffonnées. Chaque objet semblait chargé d’une histoire oubliée.

— Vous voilà enfin, Maëva, répéta la voix.

Cette fois, elle vit la silhouette plus clairement : une femme, vêtue d’une robe sombre, ses yeux brillant d’une lueur douce mais intense.
— Qui êtes-vous ? demanda Maëva, la voix tremblante mais curieuse.
— Je suis celle qui veille sur ces secrets depuis des décennies, expliqua la femme. Ce lieu est un sanctuaire, un point de passage entre le monde que vous connaissez et celui que le carnet révèle. Chaque mot, chaque dessin que vous y trouverez vous mènera vers des vérités oubliées… mais aussi vers des dangers.

Maëva sentit une montée d’adrénaline. Elle ouvrit le carnet à la page suivante. Les symboles semblaient se déplacer sous ses yeux, formant des phrases nouvelles :

« Celui qui ose franchir la porte du temps devra choisir entre le savoir et l’oubli. »
— Choisir quoi ? demanda-t-elle, le souffle coupé.
— Chaque découverte a un prix, expliqua la gardienne. Ici, rien n’est innocent. Chaque indice que vous suivez vous rapproche du secret final… mais certains secrets changent ceux qui les connaissent pour toujours.

Maëva posa sa main sur une table où trônait un globe ancien. À peine l’avait-elle touché que des lignes lumineuses apparurent, reliant des lieux sur la carte de la ville. Les indices du carnet se superposaient aux routes tracées sur le globe.

— Vous êtes prête à commencer votre quête, Maëva ? demanda la gardienne.

Un mélange de peur et d’excitation monta en elle. Elle acquiesça.

— Alors suivez le carnet… et souvenez-vous : chaque choix compte.

Avec le carnet ouvert devant elle, Maëva sentit que son aventure venait de franchir un seuil irréversible. La ville qu’elle connaissait depuis toujours était désormais un labyrinthe de secrets, et chaque pas allait la rapprocher d’un mystère qu’elle n’aurait jamais imaginé.

Maëva descendit plus profondément dans la salle souterraine. Les lanternes suspendues jetaient une lumière tremblante sur les étagères remplies de parchemins, livres reliés et objets anciens. Chaque pas faisait résonner un écho étrange, comme si la pièce elle-même respirait.

— La première épreuve commence maintenant, dit la gardienne d’une voix douce mais ferme.

Maëva s’approcha du globe ancien. Les lignes lumineuses qui reliaient les lieux sur la carte de la ville semblaient pulser, comme un coeur secret. Le carnet indiquait un symbole particulier : une maison au bord d’un canal, marquée d’une goutte d’eau et d’une pierre.

— Vous devez vous rendre sur place et trouver la clé du prochain indice, expliqua la gardienne. Mais attention, les chemins ne sont pas toujours ce qu’ils semblent être.

Maëva prit une profonde inspiration. Elle savait que chaque pas la rapprochait du secret final, mais aussi des dangers qu’avaient évoqués la gardienne. Elle sortit de la salle et remonta dans la ville nocturne. Les rues semblaient différentes, chargées d’une aura mystérieuse. Le carnet vibrait légèrement dans son sac, comme pour la guider.

Au bord du canal, elle trouva une petite maison décrépie. Les volets étaient clos, et pourtant une lumière tremblait derrière eux. En s’approchant, elle remarqua un symbole gravé sur la porte : identique à celui du carnet. Tremblante, elle inséra la clé ancienne dans la serrure. Un déclic retentit, et la porte s’ouvrit sur un escalier en colimaçon descendant dans l’obscurité.

La pièce suivante était circulaire, les murs recouverts de fresques mystérieuses représentant des scènes de la ville à différentes époques. Au centre, un piédestal soutenait un petit coffre. Maëva s’en approcha et ouvrit le carnet : les pages semblaient s’animer, révélant un message :

« Seul celui qui observe avec le coeur et la raison pourra dévoiler le secret. »

Elle posa ses mains sur le coffre. Une chaleur douce l’envahit et, à ce moment précis, elle comprit que le secret n’était pas seulement dans les objets ou les lieux, mais dans la manière dont elle les percevait. Le coffre s’ouvrit lentement, révélant un pendentif ancien en forme de goutte d’eau, incrusté de pierres scintillantes.

— Ce pendentif, expliqua une voix derrière elle, est la clé de la vérité. Il relie le monde visible à celui que vous commencez à découvrir. Mais souvenez-vous, Maëva… chaque secret a un prix.

Alors qu’elle levait les yeux, elle vit une silhouette familière se dessiner dans l’ombre : l’homme du pont. Son regard, cette fois, n’était plus menaçant, mais empli d’une gravité respectueuse.

— Vous avez franchi la première épreuve, Maëva, dit-il. Mais le chemin ne fait que commencer…

Le pendentif en forme de goutte d’eau scintillait faiblement dans les mains de Maëva. Elle sentait une énergie douce mais puissante émaner de l’objet, comme si le temps lui-même voulait lui parler. L’homme du pont s’approcha et posa sa main sur l’épaule de Maëva.

— Chaque secret que tu découvriras maintenant te rapprochera de la vérité… mais attention, certains te mettront face à toi-même, dit-il d’une voix grave.

Maëva hocha la tête. Elle sentait la peur et l’excitation se mêler dans son coeur, mais une détermination nouvelle l’habitait. Elle savait que pour comprendre le carnet, elle devait suivre ses indications, franchir chaque étape et faire confiance à son instinct.

Le carnet la conduisit à une série de lieux anciens dans la ville : un théâtre abandonné, une horloge mystérieuse dont les aiguilles semblaient avancer à leur propre rythme, et un jardin caché derrière un mur de pierre. À chaque endroit, elle trouvait des indices gravés ou cachés, chacun lié au suivant par un symbole du carnet.

Au théâtre, elle rencontra un vieil horloger, qui connaissait les secrets de l’ancienne ville. Il lui montra un mécanisme caché derrière la scène, où un petit compartiment contenait une clé miniature.

— Chaque clé, expliqua-t-il, ouvre un aspect de la vérité. Mais la vérité complète… c’est toi seule qui peux l’assembler.

Maëva comprit que la quête n’était pas seulement physique, mais intérieure. Chaque énigme la poussait à réfléchir, à comprendre les symboles, à relier les lieux et les histoires entre eux. Elle se sentait plus forte, plus éveillée, comme si le carnet et le pendentif lui transmettaient un savoir ancien.

Enfin, le carnet la conduisit à la dernière épreuve : une pièce cachée sous l’ancienne horloge de la ville. Le temps semblait s’être arrêté. Au centre, un grand cercle gravé dans le sol, entouré de symboles identiques à ceux du carnet et du pendentif. Maëva comprit qu’elle devait poser le pendentif au centre.

Lorsqu’elle le fit, une lumière douce et chaude emplit la pièce. Des images de la ville, du passé et de ceux qui avaient protégé ces secrets apparaissaient autour d’elle. Elle vit la succession des gardiens, tous portant la responsabilité de protéger le savoir du carnet. Et, pour la première fois, elle comprit : le véritable secret n’était pas un objet ou un lieu, mais la mémoire vivante de la ville et de ceux qui l’avaient préservée.

L’homme du pont et la gardienne apparurent à ses côtés.
— Tu as réussi, Maëva, dit la gardienne. La connaissance et la responsabilité sont désormais tiennes. Le carnet continuera de vivre à travers toi. Mais souviens-toi : chaque secret protégé est un choix que tu fais pour le monde, et non pour toi seule.

Maëva sentit un mélange de fierté, de crainte et de sérénité. Elle savait que sa vie venait de changer à jamais. La ville qu’elle croyait connaître n’était plus seulement un endroit familier, mais un labyrinthe vivant de secrets, d’histoires et de souvenirs à préserver.

Alors qu’elle remontait à la surface, le soleil commençait à percer les nuages, illuminant les pavés encore humides. Elle regarda la ville autour d’elle avec un regard neuf. Chaque ruelle, chaque pont, chaque reflet sur l’eau lui parlait désormais. Elle sourit, sachant que son aventure venait de commencer, et que les mystères du carnet continueraient à la guider, à la transformer et à l’inspirer, pour le reste de sa vie.
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Poeme de Albertb

Poète Albertb

Albertb a publié sur le site 134 écrits. Albertb est membre du site depuis l'année 2024.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: L’énigme De Maëva : À La Recherche Des Secretsla=pluie=tom=bait=douce=ment=sur=les=pa=vés=de=la=ville=maë=va=mar=chait=seule=ses=chaus=sures=glis=sant=sur=les=fla=ques=ses=pen=sées=flot=tant=en=tre=sou=ve=nirs=et=pro=mes=ses=si=len=cieuses=cha=que=lam=pa=dai=re=sem=blait=mur=mu=rer=son=nom=cha=que=re=flet=sur=le=bi=tu=me=ra=con=ter=u=ne=his=toi=reou=bli=ée 76

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un=vieil=hom=me=der=ri=è=re=le=comp=toir=le=va=les=y=eux 16
bon=jour=dit=til=on=cherche=tous=quel=que=cho=se=i=ci=vous=sa=vez 16
maë=va=sou=rit=et=ré=pon=dit=sim=ple=ment 11
je=crois=que=je=cher=che=jus=te=un=peu=de=si=len=ce 14

a=lors=quel=le=par=cou=rait=les=rayons=un=bruit=sec=re=ten=tit=der=rièreelle=un=livreé=tait=tom=bé=duneé=ta=gère=en=se=pen=chant=pour=le=ra=mas=ser=el=le=a=per=çut=à=cô=té=un=car=net=an=ci=en=long=temps=ou=blié=les=pa=ges=jau=nies=é=taient=cou=ver=tes=de=mots=et=de=des=sins=mys=té=rieux=com=me=un=jour=nal=in=ti=me=lais=sé=là=par=ha=sard=maë=va=sen=tit=un=fris=son=qui=pou=vait=a=voir=é=crit=ce=la=et=pour=quoi=la=voir=a=ban=don=né=i=ci 112

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quand=elle=sor=tit=la=pluiea=vait=ces=sé=les=pa=vés=brillaient=sous=les=der=nières=gout=tes=et=la=ville=pa=rais=sait=dif=férente=moins=lourde=mais=maë=va=sa=vait=que=sa=vie=ve=nait=de=pren=dreun=tour=nant=i=nat=ten=du=ce=car=net=a=ban=don=né=al=lait=bou=le=ver=ser=ses=pro=chains=jours=len=traî=ner=dans=des=a=ven=tu=res=quel=le=nau=rait=ja=mais=i=ma=gi=nées 84

la=nuit=commen=çait=à=tom=ber=quand=maë=va=re=fer=ma=son=pa=ra=pluie=le=car=net=glis=sé=dans=son=sac=sem=blait=pe=ser=plus=lourd=que=nim=porte=quel=livre=el=lea=vait=limpres=sion=quil=bat=tait=com=meun=coeur=é=tran=ger=au=ryth=me=de=ses=pas 56

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là=où=leau=ren=contre=la=pierre=le=silen=ce=ca=che=la=vé=ri=té 17
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maë=va=re=cu=la=dins=tinct=el=le=ser=ra=le=car=net=contreelle=comme=si=sa=vieen=dépen=dait=quand=elle=rou=vrit=les=yeux=lom=bre=der=riè=re=la=vi=trea=vait=dis=pa=ru=mais=sur=son=paillas=son=el=le=dé=cou=vrit=un=pe=tit=pa=pier=plié=en=quatre=trem=blan=te=el=le=le=ra=mas=sa=et=lut=ces=quel=ques=mots=é=crits=à=len=cre=noire 78

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ce=car=net=dit=tel=le=dune=voix=hé=si=tante=il=é=tait=là=hier=vous=sa=vez=à=qui=il=ap=par=te=nait=le=li=braire=fron=ça=les=sour=cils=com=me=sur=pris=par=sa=ques=tion 42
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maë=va=sen=tit=ses=mains=trem=bler=pour=tant=une=for=cein=té=rieure=lem=pê=chait=de=re=non=cer=avant=de=par=tir=el=leo=sa=de=man=der 32
pour=quoi=ne=ja=mais=tour=ner=la=pa=ge=a=vant=mi=nuit 14

le=vieil=homme=dé=tour=na=le=re=gard=et=ré=pon=dit=dun=ton=sec 16
par=ce=quà=mi=nuit=les=his=toi=res=ces=sent=dê=tre=des=his=toires 16

dehors=le=ciel=sé=tait=as=som=bri=mal=gré=lheure=el=leou=vrit=son=car=net=et=pour=la=pre=mière=fois=re=mar=qua=que=cer=taines=pa=ges=nap=pa=rais=saient=quà=la=lu=miè=re=des=lam=pa=daires=là=des=a=dres=ses=des=sym=bo=les=des=cro=quis=de=lieux=réels=de=la=ville=com=meu=ne=car=tein=vi=si=ble=me=nant=à=un=se=cret=ca=ché 78

le=pre=mier=in=dice=poin=tait=vers=un=an=ci=en=pont=a=ban=don=né=de=puis=des=an=nées=le=soir=même=mal=gré=la=peur=qui=la=ron=geait=maë=va=sy=ren=dit=lair=sen=tait=lhu=mi=di=té=et=la=pier=reu=sée=el=le=po=sa=la=main=sur=la=ram=bar=de=quand=une=voix=der=riè=reelle=la=fit=sur=sau=ter 72
je=vous=a=vais=pré=ve=nue=de=ne=pas=cher=cher 12

cé=tait=lin=con=nu=cette=fois=son=vi=sage=sor=tait=de=lombre=un=hom=meen=man=teau=sombre=les=traits=mar=qués=ses=yeux=fixés=sur=le=car=net=quel=le=ser=rait=contre=sa=poi=trine 39

maë=va=re=cu=la=dun=pas=son=dos=heur=tant=la=ram=bar=de=gla=cée=du=vieux=pont=le=car=net=bat=tait=contre=sa=poi=trine=comme=sil=vou=lait=sar=ra=cher=de=ses=mains 39

qui=ê=tes=vous=de=man=da=tel=le=du=ne=voix=trem=blan=te 15

lhomme=sap=pro=cha=lente=ment=sa=voix=grave=ré=son=na=dans=le=si=len=ce=de=la=nuit 20
quel=quun=qui=a=dé=jà=por=té=ce=far=deau=a=vant=vous=ce=car=net=nest=pas=un=ha=sard=il=choi=sit=tou=jours=son=pro=chain=gar=dien 32

maë=va=fron=ça=les=sour=cils 7
gar=dien=mais=ce=ne=sont=que=des=no=tes=des=des=sins=é=tran=ges 16
non=cou=pa=lhomme=ce=que=vous=te=nez=est=une=mé=moire=vi=vante=cha=que=se=cret=é=crit=à=lin=té=rieur=est=réel=cha=que=lieu=des=si=né=existe=et=cha=que=mys=tè=re=at=tend=dê=tre=ré=veillé 46

le=vent=souf=fla=plus=fort=fai=sant=fris=son=ner=maë=va=el=leou=vrit=le=car=net=à=la=pre=mière=pageoù=lencre=sem=blait=vi=brer=les=mots=chan=geaient=sous=ses=yeux=les=let=tres=bou=geaient=com=me=si=elles=sé=cri=vaient=tou=tes=seules 51

la=vé=ri=té=com=men=ce=là=où=leau=ren=con=tre=la=pierre 16

elle=le=va=les=yeux=vers=le=fleuve=sous=le=pont=leau=sombre=re=flé=tait=la=lune=sans=ré=flé=chir=el=le=po=sa=sa=main=sur=la=pierre=hu=mi=de=de=la=ram=barde=une=fis=su=rein=vi=si=ble=sillu=mi=na=du=ne=fai=ble=lueur=bleu=tée 55

l=hom=me=pâ=lit 5
non=pas=ce=soir=vous=nê=tes=pas=prê=te 10

mais=dé=jà=la=fis=sure=sé=lar=gis=sait=douce=ment=ré=vé=lant=une=ca=vi=té=dans=la=pierre=à=lin=té=rieur=un=ob=jet=é=tait=dis=si=mu=lé=u=ne=clé=an=ci=en=ne=aux=for=mes=é=tran=ges=mar=quée=des=mê=mes=sym=bo=les=que=ceux=du=car=net 61

maë=va=la=sai=sit=le=coeur=bat=tant 9
quest=ce=que=ce=la=ou=vre=de=man=da=telle 11

lhomme=la=fixa=un=mé=lan=ge=de=peur=et=de=res=pect=dans=les=yeux 16
ce=la=ou=vre=ce=qui=nau=rait=ja=mais=dû=ê=tre=fer=mé 15

maë=va=ser=ra=la=clé=dans=sa=main=son=mé=tal=froid=contre=sa=paume=et=sen=tit=u=neé=tran=geéner=gie=len=va=hir=lhommeen=man=teau=som=bre=re=cu=la=dun=pas=vi=si=ble=ment=in=quiet 43

é=cou=tez=moi=bien=maë=va=dit=til=cette=clé=ce=nest=pas=seule=ment=un=ob=jet=el=leap=par=tient=à=u=nean=ci=enne=li=gnée=de=gar=diens=des=per=son=nes=char=gées=de=pro=té=ger=les=se=crets=que=le=car=net=ren=ferme=cha=que=gé=né=ra=tion=choi=sit=son=suc=ces=seur=et=main=te=nant=cest=vous 70

maë=va=sen=tit=un=ver=tige=el=le=na=vait=ja=mais=i=ma=gi=né=êtreim=pli=quée=dans=quel=que=chose=daus=si=im=mense=moi=mur=mu=ra=telle=mais=je=ne=com=prends=rien 39

lhomme=sou=pi=ra=le=re=gard=fixé=sur=le=fleuve=vous=compren=drez=en=sui=vant=les=in=dices=le=car=net=vous=guide=ra=mais=at=ten=tion=vous=nê=tes=pas=la=seu=leà=le=vou=loir=ceux=qui=con=nais=sent=son=exis=ten=ce=ne=re=cu=le=ront=de=vant=rien=pour=le=ré=cu=pé=rer 63

maë=va=ins=pi=ra=pro=fon=dément=et=tour=na=la=clé=entre=ses=doigts=el=le=re=mar=qua=a=lors=un=sym=bole=gra=vé=au=cen=tre=un=cer=cleen=cer=clant=u=ne=gout=te=deau=et=u=ne=pier=re=i=den=ti=queà=lun=des=des=sins=du=car=net=son=in=tui=tion=lui=souf=fla=quil=fal=lait=se=ren=dreà=len=droit=in=di=qué=sur=la=pa=ge=sui=vante 81

elle=se=re=tour=na=pour=de=man=der=con=seil=à=lhomme=mais=il=a=vait=dis=pa=ru=la=brume=de=la=nuit=a=vait=ef=fa=cé=ses=traces=le=pont=sem=blait=mainte=nant=plus=vas=te=pres=que=ir=réel=et=le=si=len=ce=pe=sant 52

a=vec=cou=rage=maë=va=se=mit=en=route=sui=vant=le=car=net=com=meune=car=te=vi=vante=les=sym=bo=les=la=me=nè=rent=à=des=ruel=les=ou=bli=ées=des=es=ca=liers=dé=ro=bés=et=des=pas=sa=ges=é=troits=sous=la=ville=cha=que=lieu=sem=blait=at=ten=dre=sa=ve=nue=cha=queom=bre=glis=sait=com=me=pour=lob=ser=ver 75

en=fin=el=lear=ri=va=de=vant=une=pe=tite=por=teen=pierre=pres=quein=vi=si=ble=en=tre=deux=im=meu=bles=an=ci=ens=la=clé=vi=bra=dans=sa=main=com=me=si=elle=re=con=nais=sait=son=des=ti=na=taire=trem=blan=te=mais=dé=ter=mi=née=maë=va=lin=sé=ra=dans=la=ser=ru=re=et=tour=na 69

un=dé=clic=ré=son=na=puis=la=porte=sou=vrit=lente=ment=ré=vé=lant=un=es=ca=lier=des=cen=dant=dans=lobs=cu=ri=té=une=lueur=é=trange=illu=mi=nait=les=murs=hu=mi=des=et=le=car=net=po=sé=sur=ses=ge=noux=sem=blait=pres=que=res=pi=rer 57

bienve=nue=mur=mu=ra=une=voix=douce=ve=nue=de=lombre=vous=ê=tes=en=fin=ar=ri=vée=maë=va 22

maë=va=des=cen=dit=les=mar=ches=en=pierre=le=car=net=ser=ré=con=treelle=la=main=en=core=trem=blante=de=la=clé=lair=é=tait=frais=et=sen=tait=lhu=mi=di=té=des=siè=cles=pas=sés=la=lueur=é=tran=ge=pro=ve=nait=de=lan=ter=nes=sus=pen=dues=à=des=chaî=nes=rouillées=é=clai=rant=des=fres=ques=an=ci=en=nes=gra=vées=dans=les=murs 77

au=bout=de=les=ca=lier=el=leen=tra=dans=une=vaste=sal=le=sou=ter=raine=des=é=ta=gères=cou=ver=tes=de=pous=siè=re=sé=ten=daient=jus=quau=pla=fond=rem=plies=de=par=che=mins=de=li=vres=re=liés=en=cuir=et=dob=jets=mys=té=rieux=le=sol=é=tait=jon=ché=de=frag=ments=de=car=tes=an=ci=en=nes=de=cro=quis=et=de=no=tes=chif=fon=nées=cha=queob=jet=sem=blait=char=gé=du=ne=his=toi=reou=bli=ée 94

vous=voi=là=en=fin=maë=va=ré=pé=ta=la=voix 12

cette=fois=el=le=vit=la=silhouette=plus=claire=ment=u=ne=fem=me=vê=tue=du=ne=ro=be=sombre=ses=yeux=brillant=du=ne=lueur=dou=ce=mais=in=tense 32
qui=êtes=vous=de=man=da=maë=va=la=voix=trem=blan=te=mais=cu=rieuse 16
je=suis=cel=le=qui=veille=sur=ces=se=crets=de=puis=des=décen=nies=ex=pli=qua=la=femme=ce=lieu=est=un=sanc=tuaire=un=point=de=pas=sa=geen=tre=le=mon=de=que=vous=con=nais=sez=et=ce=lui=que=le=car=net=ré=vèle=cha=que=mot=cha=que=des=sin=que=vous=y=trou=ve=rez=vous=mè=ne=ra=vers=des=vé=ri=tés=ou=bli=ées=mais=aus=si=vers=des=dan=gers 82

maë=va=sen=tit=une=mon=tée=da=dré=na=line=el=leou=vrit=le=car=net=à=la=page=sui=vante=les=sym=boles=sem=blaient=se=dé=pla=cer=sous=ses=yeux=for=mant=des=phra=ses=nou=vel=les 42

ce=lui=qui=ose=fran=chir=la=porte=du=temps=de=vra=choi=sir=entre=le=sa=voir=et=lou=bli 22
choi=sir=quoi=de=man=da=tel=le=le=souf=fle=cou=pé 13
cha=que=dé=cou=vertea=un=prix=ex=pli=qua=la=gar=dienne=ici=rien=nest=in=nocent=cha=quein=dice=que=vous=sui=vez=vous=rap=pro=che=du=se=cret=fi=nal=mais=cer=tains=se=crets=chan=gent=ceux=qui=les=con=nais=sent=pour=tou=jours 50

maë=va=po=sa=sa=main=sur=une=ta=bleoù=trô=nait=un=globean=ci=en=à=peine=la=vait=tel=le=tou=ché=que=des=li=gnes=lu=mi=neu=ses=ap=pa=ru=rent=re=liant=des=lieux=sur=la=car=te=de=la=ville=les=in=di=ces=du=car=net=se=su=per=po=saient=aux=rou=tes=tra=cées=sur=le=globe 67

vous=êtes=prê=teà=commen=cer=votre=quê=te=maë=va=de=man=da=la=gar=dienne 17

un=mé=lange=de=peur=et=dex=ci=ta=tion=mon=ta=en=elle=el=leac=quies=ça 18

a=lors=sui=vez=le=car=net=et=sou=ve=nez=vous=cha=que=choix=compte 16

a=vec=le=car=net=ou=vert=de=vant=elle=maë=va=sen=tit=que=son=aven=ture=ve=nait=de=fran=chir=un=seuil=ir=ré=ver=sible=la=ville=quel=le=con=nais=sait=de=puis=tou=jours=é=tait=dé=sor=mais=un=la=by=rinthe=de=se=crets=et=cha=que=pas=al=lait=la=rap=pro=cher=dun=mys=tè=re=quel=le=nau=rait=ja=mais=i=ma=gi=né 76

maë=va=des=cen=dit=plus=pro=fon=dément=dans=la=sal=le=sou=ter=raine=les=lan=ternes=sus=pen=dues=je=taient=une=lu=miè=re=trem=blan=te=sur=les=é=ta=gè=res=rem=plies=de=par=che=mins=li=vres=re=liés=et=ob=jets=an=ci=ens=cha=que=pas=fai=sait=ré=son=ner=un=é=cho=é=tran=ge=com=me=si=la=piè=ceelle=mê=me=res=pi=rait 78

la=pre=mièreé=preuve=commen=ce=main=te=nant=dit=la=gar=dien=ne=du=ne=voix=dou=ce=mais=ferme 21

maë=va=sap=pro=cha=du=globean=ci=en=les=lignes=lu=mi=neuses=qui=re=liaient=les=lieux=sur=la=car=te=de=la=ville=sem=blaient=pul=ser=com=meun=coeur=se=cret=le=car=net=in=di=quait=un=sym=bo=le=par=ti=cu=lier=u=ne=mai=son=au=bord=dun=ca=nal=mar=quée=du=ne=gout=te=deau=et=du=ne=pierre 69

vous=de=vez=vous=rendre=sur=pla=ceet=trou=ver=la=clé=du=pro=chain=in=dice=ex=pli=qua=la=gar=dienne=mais=at=ten=tion=les=che=mins=ne=sont=pas=tou=jours=ce=quils=sem=blent=être 40

maë=va=prit=une=pro=fon=deins=pi=ra=tion=el=le=sa=vait=que=cha=que=pas=la=rap=pro=chait=du=se=cret=fi=nal=mais=aus=si=des=dan=gers=qua=vaient=é=vo=qués=la=gar=dienne=el=le=sor=tit=de=la=sal=leet=re=mon=ta=dans=la=ville=noc=turne=les=rues=sem=blaient=dif=férentes=char=gées=du=neau=ra=mys=té=rieuse=le=car=net=vi=brait=lé=gè=re=ment=dans=son=sac=com=me=pour=la=gui=der 89

au=bord=du=ca=nal=el=le=trou=va=une=pe=tite=mai=son=dé=cré=pie=les=volets=é=taient=clos=et=pour=tant=u=ne=lu=miè=re=trem=blait=der=riè=re=eux=en=sap=pro=chant=el=le=re=mar=qua=un=sym=bo=le=gra=vé=sur=la=por=te=i=den=ti=queà=ce=lui=du=car=net=trem=blan=te=el=lein=sé=ra=la=clé=an=ci=en=ne=dans=la=ser=ru=re=un=dé=clic=re=ten=tit=et=la=por=te=sou=vrit=sur=un=es=ca=lier=en=co=li=ma=çon=des=cen=dant=dans=lobs=cu=ri=té 112

la=pièce=sui=van=teé=tait=cir=cu=laire=les=murs=re=cou=verts=de=fres=ques=mys=té=rieuses=re=pré=sen=tant=des=s=cè=nes=de=la=villeà=dif=fé=ren=tes=é=poques=au=cen=tre=un=pié=des=tal=sou=te=nait=un=pe=tit=coffre=maë=va=sen=ap=pro=cha=et=ou=vrit=le=car=net=les=pa=ges=sem=blaient=sa=ni=mer=ré=vé=lant=un=mes=sage 77

seul=ce=lui=qui=ob=servea=vec=le=coeur=et=la=rai=son=pour=ra=dé=voi=ler=le=se=cret 22

elle=po=sa=ses=mains=sur=le=coffre=une=cha=leur=douce=len=va=hit=et=à=ce=moment=pré=cis=el=le=com=prit=que=le=se=cret=né=tait=pas=seule=ment=dans=les=ob=jets=ou=les=lieux=mais=dans=la=ma=niè=re=dont=elle=les=per=ce=vait=le=cof=fre=sou=vrit=len=te=ment=ré=vé=lant=un=pen=den=tif=an=ci=en=en=for=me=de=gout=te=deau=in=crus=té=de=pier=res=s=cin=tillantes 87

ce=penden=tif=ex=pli=qua=une=voix=der=riè=reelle=est=la=clé=de=la=vé=ri=té=il=re=lie=le=monde=vi=si=bleà=ce=lui=que=vous=com=men=cez=à=dé=cou=vrir=mais=sou=ve=nez=vous=maë=va=cha=que=se=cret=a=un=prix 52

a=lors=quel=le=le=vait=les=yeux=el=le=vit=une=silhouette=fa=mi=lière=se=des=si=ner=dans=lombre=lhom=me=du=pont=son=re=gard=cet=te=fois=né=tait=plus=me=na=çant=mais=em=pli=du=ne=gra=vi=té=res=pec=tueuse 49

vous=a=vez=fran=chi=la=pre=mièreé=preuve=maë=va=dit=til=mais=le=che=min=ne=fait=que=commen=cer 22

le=penden=tif=en=forme=de=gout=te=deau=s=cin=tillait=faible=ment=dans=les=mains=de=maë=va=el=le=sen=tait=u=neéner=gie=dou=ce=mais=puis=san=teé=ma=ner=de=lob=jet=com=me=si=le=temps=lui=mê=me=vou=lait=lui=par=ler=lhom=me=du=pont=sap=pro=cha=et=po=sa=sa=main=sur=lé=pau=le=de=maë=va 70

cha=que=se=cret=que=tu=dé=cou=vri=ras=mainte=nant=te=rap=proche=ra=de=la=vé=ri=té=mais=at=ten=tion=cer=tains=te=met=tront=fa=ceà=toi=même=dit=til=du=ne=voix=grave 40

maë=va=ho=cha=la=tête=el=le=sen=tait=la=peur=et=lex=ci=ta=tion=se=mê=ler=dans=son=coeur=mais=une=dé=ter=mi=na=tion=nou=vel=le=lha=bi=tait=el=le=sa=vait=que=pour=compren=dre=le=car=net=el=le=de=vait=sui=vre=ses=in=di=ca=tions=fran=chir=cha=queé=ta=peet=fai=re=con=fian=ceà=son=ins=tinct 72

le=car=net=la=con=dui=sit=à=une=sé=rie=de=lieux=an=ci=ens=dans=la=ville=un=théâ=trea=ban=don=né=une=hor=loge=mys=té=rieu=se=dont=les=ai=guilles=sem=blaient=a=van=cer=à=leur=pro=pre=ryth=me=et=un=jar=din=ca=ché=der=riè=reun=mur=de=pierre=à=cha=queen=droit=el=le=trou=vait=des=in=di=ces=gra=vés=ou=ca=chés=cha=cun=lié=au=sui=vant=par=un=sym=bo=le=du=car=net 90

au=théâ=tre=el=le=ren=con=tra=un=vieil=hor=lo=ger=qui=con=nais=sait=les=se=crets=de=lan=ci=enne=ville=il=lui=mon=tra=un=mé=ca=nisme=ca=ché=der=rière=la=s=cè=ne=où=un=pe=tit=com=par=ti=ment=con=te=nait=u=ne=clé=mi=nia=ture 58

cha=que=clé=ex=pli=qua=til=ouvreun=as=pect=de=la=vé=ri=té=mais=la=vé=ri=té=com=plète=cest=toi=seule=qui=peux=las=sem=bler 30

maë=va=com=prit=que=la=quête=né=tait=pas=seule=ment=phy=si=que=mais=in=té=rieure=cha=queé=nig=me=la=pous=sait=à=ré=flé=chir=à=com=pren=dre=les=sym=bo=les=à=re=lier=les=lieux=et=les=his=toi=res=en=tre=eux=el=le=se=sen=tait=plus=for=te=plus=é=veillée=com=me=si=le=car=net=et=le=pen=den=tif=lui=trans=met=taient=un=sa=voir=an=ci=en 83

en=fin=le=car=net=la=con=dui=sit=à=la=der=nièreé=preuve=une=piè=ce=ca=chée=sous=lan=ci=en=ne=hor=lo=ge=de=la=ville=le=temps=sem=blait=sê=trear=rê=té=au=cen=tre=un=grand=cer=cle=gra=vé=dans=le=sol=en=tou=ré=de=sym=bo=les=i=den=ti=ques=à=ceux=du=car=net=et=du=pen=den=tif=maë=va=com=prit=quel=le=de=vait=po=ser=le=pen=den=tif=au=centre 87

lors=quel=le=le=fit=une=lu=mière=dou=ceet=chau=deem=plit=la=pièce=des=i=mages=de=la=ville=du=pas=sé=et=de=ceux=qui=a=vaient=pro=té=gé=ces=se=crets=ap=pa=rais=saient=au=tour=delle=el=le=vit=la=suc=ces=sion=des=gar=diens=tous=por=tant=la=res=pon=sa=bi=li=té=de=pro=té=ger=le=sa=voir=du=car=net=et=pour=la=pre=miè=re=fois=el=le=com=prit=le=vé=ri=ta=ble=se=cret=né=tait=pas=un=ob=jet=ou=un=lieu=mais=la=mé=moi=re=vi=van=te=de=la=villeet=de=ceux=qui=la=vaient=pré=ser=vée 119

lhomme=du=pont=et=la=gar=dien=ne=ap=pa=ru=rent=à=ses=cô=tés 16
tu=as=réus=si=maë=va=dit=la=gar=dienne=la=con=nais=sanceet=la=res=pon=sa=bi=li=té=sont=dé=sor=mais=tiennes=le=car=net=con=ti=nue=ra=de=vivreà=tra=vers=toi=mais=sou=viens=toi=cha=que=se=cret=pro=té=gé=est=un=choix=que=tu=fais=pour=le=monde=et=non=pour=toi=seule 63

maë=va=sen=tit=un=mé=lange=de=fier=té=de=crain=teet=de=sé=ré=ni=té=el=le=sa=vait=que=sa=vie=ve=nait=de=chan=ger=à=ja=mais=la=ville=quel=le=cro=yait=con=naître=né=tait=plus=seule=ment=un=en=droit=fa=mi=lier=mais=un=la=by=rin=the=vi=vant=de=se=crets=dhis=toi=res=et=de=sou=ve=nirs=à=pré=ser=ver 75

a=lors=quel=le=re=mon=tait=à=la=sur=face=le=so=leil=commen=çait=à=per=cer=les=nu=ages=illu=mi=nant=les=pa=vés=en=co=re=hu=mides=el=le=re=gar=da=la=villeau=tour=del=lea=vec=un=re=gard=neuf=cha=que=ruel=le=cha=que=pont=cha=que=re=flet=sur=leau=lui=par=lait=dé=sor=mais=el=le=sou=rit=sa=chant=que=son=a=ven=tu=re=ve=nait=de=com=men=cer=et=que=les=mys=tè=res=du=car=net=con=ti=nue=raient=à=la=gui=der=à=la=trans=for=mer=et=à=lins=pi=rer=pour=le=res=te=de=sa=vie 119
Phonétique : L’énigme De Maëva : À La Recherche Des Secretsla plɥi tɔ̃bε dusəmɑ̃ syʁ lε pave də la vilə. maεva maʁʃε sələ, sε ʃosyʁə ɡlisɑ̃ syʁ lε flak, sε pɑ̃se flɔtɑ̃ ɑ̃tʁə suvəniʁz- e pʁɔmesə silɑ̃sjøzə. ʃakə lɑ̃padεʁə sɑ̃blε myʁmyʁe sɔ̃ nɔ̃, ʃakə ʁəflε syʁ lə bitymə ʁakɔ̃te ynə istwaʁə ublje.

εllə saʁεta dəvɑ̃ ynə pətitə libʁεʁi, sε vitʁəz- ɑ̃bye lεsɑ̃ apaʁεtʁə dε livʁəz- ɑ̃tase kɔmə otɑ̃ də mɔ̃dəz- ɑ̃ minjatyʁə. sɑ̃ vʁεmɑ̃ savwaʁ puʁkwa, εllə pusa la pɔʁtə. lεʁ ʃo e lɔdœʁ dε paʒəz- ɑ̃sjεnə lakœjiʁe, e puʁ la pʁəmjεʁə fwa dəpɥi dε səmεnə, εllə sə sɑ̃ti leʒεʁə.

œ̃ vjεj ɔmə dəʁjεʁə lə kɔ̃twaʁ ləva lεz- iø.
bɔ̃ʒuʁ, di til. ɔ̃ ʃεʁʃə tus kεlkə ʃozə isi, vu save.
maεva suʁi, e ʁepɔ̃di sɛ̃pləmɑ̃ :
ʒə kʁwa kə ʒə ʃεʁʃə ʒystə œ̃ pø də silɑ̃sə.

alɔʁ kεllə paʁkuʁε lε ʁεjɔ̃, œ̃ bʁɥi sεk ʁətɑ̃ti dəʁjεʁə εllə. œ̃ livʁə etε tɔ̃be dynə etaʒεʁə. ɑ̃ sə pɑ̃ʃɑ̃ puʁ lə ʁamase, εllə apεʁsy a kote œ̃ kaʁnε ɑ̃sjɛ̃, lɔ̃tɑ̃z- ublje. lε paʒə ʒoniz- etε kuvεʁtə- də moz- e də desɛ̃ misteʁjø, kɔmə œ̃ ʒuʁnal ɛ̃timə lεse la paʁ-azaʁ. maεva sɑ̃ti œ̃ fʁisɔ̃ : ki puvε avwaʁ ekʁi səla ? e puʁkwa lavwaʁ abɑ̃dɔne isi ?

ɛ̃tʁiɡe, εllə uvʁi lə kaʁnε e sə plɔ̃ʒa dɑ̃ dεz- istwaʁə də vwajaʒə, də sεkʁε də famijə e də mistεʁə nɔ̃ ʁezɔlys. ʃakə paʒə sɑ̃blε vulwaʁ latiʁe plys pʁɔfɔ̃demɑ̃ dɑ̃z- ynə eniɡmə ki depasε sɔ̃ kɔtidjɛ̃. sudɛ̃, εllə ɑ̃tɑ̃di la kloʃə də la pɔʁtə : kεlkœ̃ ɑ̃tʁε. œ̃ ʁəɡaʁ fyʁtif vεʁ lɑ̃tʁe lɥi fi sɑ̃tiʁ kεllə netε pø tεtʁə pa sələ a sɛ̃teʁese a sə kaʁnε…

kɑ̃t- εllə sɔʁti, la plɥi avε sese. lε pave bʁijε su lε dεʁnjεʁə ɡutə, e la vilə paʁεsε difeʁɑ̃tə, mwɛ̃ luʁdə. mε maεva savε kə sa vi vənε də pʁɑ̃dʁə œ̃ tuʁnɑ̃ inatɑ̃dy : sə kaʁnε abɑ̃dɔne alε buləvεʁse sε pʁoʃɛ̃ ʒuʁ, lɑ̃tʁεne dɑ̃ dεz- avɑ̃tyʁə kεllə noʁε ʒamεz- imaʒine.

la nɥi kɔmɑ̃sε a tɔ̃be kɑ̃ maεva ʁəfεʁma sɔ̃ paʁaplɥi. lə kaʁnε, ɡlise dɑ̃ sɔ̃ sak, sɑ̃blε pəze plys luʁ kə nɛ̃pɔʁtə kεl livʁə. εllə avε lɛ̃pʁesjɔ̃ kil batε, kɔmə œ̃ kœʁ etʁɑ̃ʒe, o ʁitmə də sε pa.

aʁive ʃez- εllə, εllə poza lə kaʁnε syʁ la tablə e ezita œ̃ lɔ̃ mɔmɑ̃ avɑ̃ də luvʁiʁ a nuvo. lε paʒə ʁəɡɔʁʒε də kʁɔki : dεz- ɔʁlɔʒə bʁize, dε ʁyεlləz- o nɔ̃z- efase, dε siluεtə sɑ̃ vizaʒə. ɑ̃tʁə dø desɛ̃, dε fʁazəz- eniɡmatik ɡʁifɔnez- a la atə :

« la u lo ʁɑ̃kɔ̃tʁə la pjeʁə, lə silɑ̃sə kaʃə la veʁite. »
« nə ʒamε tuʁne la paʒə avɑ̃ minɥi. »

maεva sɑ̃ti œ̃ fʁisɔ̃ lɥi paʁkuʁiʁ leʃinə. sε nɔtə sɑ̃blε ekʁitə puʁ kεlkœ̃, kɔmə dε mesaʒə kɔde. mε puʁ ki ? e syʁtu… puʁkwa εllə, sə swaʁ, avε tʁuve sə kaʁnε ?

œ̃ bʁɥi la fi syʁsote : tʁwa ku sεk fʁapez- a sa pɔʁtə. lə kœʁ batɑ̃, εllə natɑ̃dε pεʁsɔnə. εllə sapʁoʃa dusəmɑ̃, sɑ̃z- uvʁiʁ, e dəmɑ̃da :
ki ε la ?

œ̃ silɑ̃sə, pɥiz- ynə vwa ɡʁavə ʃyʃɔta :
lə kaʁnε… il nə vuz- apaʁtjɛ̃ pa.

maεva ʁəkyla dɛ̃stɛ̃. εllə seʁa lə kaʁnε kɔ̃tʁə εllə, kɔmə si sa vi ɑ̃ depɑ̃dε. kɑ̃t- εllə ʁuvʁi lεz- iø, lɔ̃bʁə dəʁjεʁə la vitʁə avε dispaʁy. mε syʁ sɔ̃ pajasɔ̃, εllə dekuvʁi œ̃ pəti papje plje ɑ̃ katʁə. tʁɑ̃blɑ̃tə, εllə lə ʁamasa e ly sε kεlk moz- ekʁiz- a lɑ̃kʁə nwaʁə :

« nə ʃεʁʃe pa a kɔ̃pʁɑ̃dʁə. sə ki εt- ekʁi dwa ʁεste ɑ̃fui. »

maεva pasa la nɥi pʁεskə sɑ̃ fεʁme lɔεj. lə kaʁnε poze syʁ sa tablə sɑ̃blε la fikse dɑ̃ lɔpskyʁite. ʃakə fwa kεllə tɑ̃tε də sɑ̃dɔʁmiʁ, lε fʁazəz- eniɡmatik lɥi ʁəvənε ɑ̃ tεtə : « nə ʒamε tuʁne la paʒə avɑ̃ minɥi. » mεz- a pʁezɑ̃, minɥi etε pase.

lə lɑ̃dəmɛ̃ matɛ̃, εllə desida də ʁətuʁne a la libʁεʁi. lə vjεj ɔmə lakœji avεk lə mεmə suʁiʁə fatiɡe.

sə kaʁnε, di tεllə dynə vwa ezitɑ̃tə, il etε la jεʁ… vu savez- a ki il apaʁtənε ? lə libʁεʁə fʁɔ̃sa lε suʁsil, kɔmə syʁpʁi paʁ sa kεstjɔ̃.
a… sə kaʁnε… vu fəʁje mjø də nə pa vuz- ɑ̃n- ɔkype. sεʁtɛ̃ livʁə- ʃwazise lœʁ lεktœʁ, mε dotʁə… dəvʁε ʁεste fεʁme.

maεva sɑ̃ti sε mɛ̃ tʁɑ̃ble. puʁtɑ̃, ynə fɔʁsə ɛ̃teʁjəʁə lɑ̃pεʃε də ʁənɔ̃se. avɑ̃ də paʁtiʁ, εllə oza dəmɑ̃de :
puʁkwa nə ʒamε tuʁne la paʒə avɑ̃ minɥi ?

lə vjεj ɔmə detuʁna lə ʁəɡaʁ e ʁepɔ̃di dœ̃ tɔ̃ sεk :
paʁsə ka minɥi… lεz- istwaʁə sese dεtʁə dεz- istwaʁə.

dəɔʁ, lə sjεl setε asɔ̃bʁi malɡʁe lœʁ. εllə uvʁi sɔ̃ kaʁnε e, puʁ la pʁəmjεʁə fwa, ʁəmaʁka kə sεʁtεnə paʒə napaʁεsε ka la lymjεʁə dε lɑ̃padεʁə. la, dεz- adʁesə, dε sɛ̃bɔlə, dε kʁɔki də ljø ʁeεl də la vilə. kɔmə ynə kaʁtə ɛ̃viziblə mənɑ̃ a œ̃ sεkʁε kaʃe.

lə pʁəmje ɛ̃disə pwɛ̃tε vεʁz- œ̃n- ɑ̃sjɛ̃ pɔ̃, abɑ̃dɔne dəpɥi dεz- ane. lə swaʁ mεmə, malɡʁe la pœʁ ki la ʁɔ̃ʒε, maεva si ʁɑ̃di. lεʁ sɑ̃tε lymidite e la pjeʁə yze. εllə poza la mɛ̃ syʁ la ʁɑ̃baʁdə, kɑ̃t- ynə vwa dəʁjεʁə εllə la fi syʁsote :
ʒə vuz- avε pʁevənɥ də nə pa ʃεʁʃe.

setε lɛ̃kɔny. sεtə fwa, sɔ̃ vizaʒə sɔʁtε də lɔ̃bʁə : œ̃n- ɔmə ɑ̃ mɑ̃to sɔ̃bʁə, lε tʁε maʁke, sεz- iø fikse syʁ lə kaʁnε kεllə seʁε kɔ̃tʁə sa pwatʁinə.

maεva ʁəkyla dœ̃ pa, sɔ̃ do œʁtɑ̃ la ʁɑ̃baʁdə ɡlase dy vjø pɔ̃. lə kaʁnε batε kɔ̃tʁə sa pwatʁinə, kɔmə sil vulε saʁaʃe də sε mɛ̃.

ki εtə vu ? dəmɑ̃da tεllə dynə vwa tʁɑ̃blɑ̃tə.

lɔmə sapʁoʃa lɑ̃təmɑ̃. sa vwa ɡʁavə ʁezɔna dɑ̃ lə silɑ̃sə də la nɥi :
kεlkœ̃ ki a deʒa pɔʁte sə faʁdo avɑ̃ vu. sə kaʁnε nε pa œ̃-azaʁ… il ʃwazi tuʒuʁ sɔ̃ pʁoʃɛ̃ ɡaʁdjɛ̃.

maεva fʁɔ̃sa lε suʁsil.
ɡaʁdjɛ̃ ? mε… sə nə sɔ̃ kə dε nɔtə, dε desɛ̃z- etʁɑ̃ʒə…
nɔ̃, kupa lɔmə. sə kə vu tənez- εt- ynə memwaʁə vivɑ̃tə. ʃakə sεkʁε ekʁi a lɛ̃teʁjœʁ ε ʁeεl. ʃakə ljø desine εɡzistə. e ʃakə mistεʁə… atɑ̃ dεtʁə ʁevεje.

lə vɑ̃ sufla plys fɔʁ, fəzɑ̃ fʁisɔne maεva. εllə uvʁi lə kaʁnε a la pʁəmjεʁə paʒə u lɑ̃kʁə sɑ̃blε vibʁe. lε mo ʃɑ̃ʒε su sεz- iø : lε lεtʁə- buʒε, kɔmə si εllə sekʁivε tutə sələ.

« la veʁite kɔmɑ̃sə la u lo ʁɑ̃kɔ̃tʁə la pjeʁə. »

εllə ləva lεz- iø vεʁ lə fləvə su lə pɔ̃. lo sɔ̃bʁə ʁəfletε la lynə. sɑ̃ ʁefleʃiʁ, εllə poza sa mɛ̃ syʁ la pjeʁə ymidə də la ʁɑ̃baʁdə. ynə fisyʁə ɛ̃viziblə silymina dynə fεblə lɥœʁ bløte.

lɔmə pali.
nɔ̃… pa sə swaʁ… vu nεtə pa pʁεtə !

mε deʒa, la fisyʁə selaʁʒisε dusəmɑ̃, ʁevelɑ̃ ynə kavite dɑ̃ la pjeʁə. a lɛ̃teʁjœʁ, œ̃n- ɔbʒε etε disimyle : ynə kle ɑ̃sjεnə, o fɔʁməz- etʁɑ̃ʒə, maʁke dε mεmə sɛ̃bɔlə kə sø dy kaʁnε.

maεva la sεzi, lə kœʁ batɑ̃.
kε sə kə səla uvʁə ? dəmɑ̃da tεllə.

lɔmə la fiksa, œ̃ melɑ̃ʒə də pœʁ e də ʁεspε dɑ̃ lεz- iø.
səla uvʁə sə ki noʁε ʒamε dy εtʁə fεʁme…

maεva seʁa la kle dɑ̃ sa mɛ̃, sɔ̃ metal fʁwa kɔ̃tʁə sa pomə, e sɑ̃ti ynə etʁɑ̃ʒə enεʁʒi lɑ̃vaiʁ. lɔmə ɑ̃ mɑ̃to sɔ̃bʁə ʁəkyla dœ̃ pa, vizibləmɑ̃ ɛ̃kjε.

ekute mwa bjɛ̃, maεva, di til. sεtə kle… sə nε pa sələmɑ̃ œ̃n- ɔbʒε. εllə apaʁtjɛ̃ a ynə ɑ̃sjεnə liɲe də ɡaʁdjɛ̃, dε pεʁsɔnə ʃaʁʒe də pʁɔteʒe lε sεkʁε kə lə kaʁnε ʁɑ̃fεʁmə. ʃakə ʒeneʁasjɔ̃ ʃwazi sɔ̃ syksesœʁ. e mɛ̃tənɑ̃… sε vu.

maεva sɑ̃ti œ̃ vεʁtiʒə. εllə navε ʒamεz- imaʒine εtʁə ɛ̃plike dɑ̃ kεlkə ʃozə dosi imɑ̃sə. mwa ? myʁmyʁa tεllə. mε ʒə nə kɔ̃pʁɑ̃ ʁjɛ̃ !

lɔmə supiʁa, lə ʁəɡaʁ fikse syʁ lə fləvə. vu kɔ̃pʁɑ̃dʁez- ɑ̃ sɥivɑ̃ lεz- ɛ̃disə. lə kaʁnε vu ɡidəʁa. mεz- atɑ̃sjɔ̃ : vu nεtə pa la sələ a lə vulwaʁ. sø ki kɔnεse sɔ̃n- εɡzistɑ̃sə nə ʁəkyləʁɔ̃ dəvɑ̃ ʁjɛ̃ puʁ lə ʁekypeʁe.

maεva ɛ̃spiʁa pʁɔfɔ̃demɑ̃ e tuʁna la kle ɑ̃tʁə sε dwa. εllə ʁəmaʁka alɔʁz- œ̃ sɛ̃bɔlə ɡʁave o sɑ̃tʁə : œ̃ sεʁklə ɑ̃sεʁklɑ̃ ynə ɡutə do e ynə pjeʁə, idɑ̃tikə a lœ̃ dε desɛ̃ dy kaʁnε. sɔ̃n- ɛ̃tɥisjɔ̃ lɥi sufla kil falε sə ʁɑ̃dʁə a lɑ̃dʁwa ɛ̃dike syʁ la paʒə sɥivɑ̃tə.

εllə sə ʁətuʁna puʁ dəmɑ̃de kɔ̃sεj a lɔmə, mεz- il avε dispaʁy. la bʁymə də la nɥi avε efase sε tʁasə. lə pɔ̃ sɑ̃blε mɛ̃tənɑ̃ plys vastə, pʁεskə iʁeεl, e lə silɑ̃sə pəzɑ̃.

avεk kuʁaʒə, maεva sə mit ɑ̃ ʁutə, sɥivɑ̃ lə kaʁnε kɔmə ynə kaʁtə vivɑ̃tə. lε sɛ̃bɔlə la mənεʁe a dε ʁyεlləz- ublje, dεz- εskalje deʁɔbez- e dε pasaʒəz- etʁwa su la vilə. ʃakə ljø sɑ̃blε atɑ̃dʁə sa vənɥ, ʃakə ɔ̃bʁə ɡlisε kɔmə puʁ lɔpsεʁve.

ɑ̃fɛ̃, εllə aʁiva dəvɑ̃ ynə pətitə pɔʁtə ɑ̃ pjeʁə, pʁεskə ɛ̃viziblə ɑ̃tʁə døz- iməbləz- ɑ̃sjɛ̃. la kle vibʁa dɑ̃ sa mɛ̃, kɔmə si εllə ʁəkɔnεsε sɔ̃ dεstinatεʁə. tʁɑ̃blɑ̃tə mε detεʁmine, maεva lɛ̃seʁa dɑ̃ la seʁyʁə e tuʁna.

œ̃ deklik ʁezɔna, pɥi la pɔʁtə suvʁi lɑ̃təmɑ̃, ʁevelɑ̃ œ̃n- εskalje desɑ̃dɑ̃ dɑ̃ lɔpskyʁite. ynə lɥœʁ etʁɑ̃ʒə ilyminε lε myʁz- ymidə, e lə kaʁnε, poze syʁ sε ʒənu, sɑ̃blε pʁεskə ʁεspiʁe.

bjɛ̃vənɥ, myʁmyʁa ynə vwa dusə vənɥ də lɔ̃bʁə. vuz- εtəz- ɑ̃fɛ̃ aʁive, maεva.

maεva desɑ̃di lε maʁʃəz- ɑ̃ pjeʁə, lə kaʁnε seʁe kɔ̃tʁə εllə, la mɛ̃ ɑ̃kɔʁə tʁɑ̃blɑ̃tə də la kle. lεʁ etε fʁεz- e sɑ̃tε lymidite dε sjεklə pase. la lɥœʁ etʁɑ̃ʒə pʁɔvənε də lɑ̃tεʁnə- syspɑ̃dɥz- a dε ʃεnə ʁuje, eklεʁɑ̃ dε fʁεskz- ɑ̃sjεnə ɡʁave dɑ̃ lε myʁ.

o bu də lεskalje, εllə ɑ̃tʁa dɑ̃z- ynə vastə salə suteʁεnə. dεz- etaʒεʁə kuvεʁtə- də pusjεʁə setɑ̃dε ʒysko plafɔ̃, ʁɑ̃pli də paʁʃəmɛ̃, də livʁə- ʁəljez- ɑ̃ kɥiʁ e dɔbʒε misteʁjø. lə sɔl etε ʒɔ̃ʃe də fʁaɡmɑ̃ də kaʁtəz- ɑ̃sjεnə, də kʁɔkiz- e də nɔtə ʃifɔne. ʃakə ɔbʒε sɑ̃blε ʃaʁʒe dynə istwaʁə ublje.

vu vwala ɑ̃fɛ̃, maεva, ʁepeta la vwa.

sεtə fwa, εllə vit la siluεtə plys klεʁəmɑ̃ : ynə famə, vεtɥ dynə ʁɔbə sɔ̃bʁə, sεz- iø bʁijɑ̃ dynə lɥœʁ dusə mεz- ɛ̃tɑ̃sə.
ki εtə vu ? dəmɑ̃da maεva, la vwa tʁɑ̃blɑ̃tə mε kyʁjøzə.
ʒə sɥi sεllə ki vεjə syʁ sε sεkʁε dəpɥi dε desεni, εksplika la famə. sə ljø εt- œ̃ sɑ̃ktɥεʁə, œ̃ pwɛ̃ də pasaʒə ɑ̃tʁə lə mɔ̃də kə vu kɔnεsez- e səlɥi kə lə kaʁnε ʁevεlə. ʃakə mo, ʃakə desɛ̃ kə vuz- i tʁuvəʁe vu mεnəʁa vεʁ dε veʁitez- ublje… mεz- osi vεʁ dε dɑ̃ʒe.

maεva sɑ̃ti ynə mɔ̃te dadʁenalinə. εllə uvʁi lə kaʁnε a la paʒə sɥivɑ̃tə. lε sɛ̃bɔlə sɑ̃blε sə deplase su sεz- iø, fɔʁmɑ̃ dε fʁazə nuvεllə :

« səlɥi ki ozə fʁɑ̃ʃiʁ la pɔʁtə dy tɑ̃ dəvʁa ʃwaziʁ ɑ̃tʁə lə savwaʁ e lubli. »
ʃwaziʁ kwa ? dəmɑ̃da tεllə, lə suflə kupe.
ʃakə dekuvεʁtə a œ̃ pʁi, εksplika la ɡaʁdjεnə. isi, ʁjɛ̃ nεt- inɔse. ʃakə ɛ̃disə kə vu sɥive vu ʁapʁoʃə dy sεkʁε final… mε sεʁtɛ̃ sεkʁε ʃɑ̃ʒe sø ki lε kɔnεse puʁ tuʒuʁ.

maεva poza sa mɛ̃ syʁ ynə tablə u tʁonε œ̃ ɡlɔbə ɑ̃sjɛ̃. a pεnə lavε tεllə tuʃe kə dε liɲə lyminøzəz- apaʁyʁe, ʁəljɑ̃ dε ljø syʁ la kaʁtə də la vilə. lεz- ɛ̃disə dy kaʁnε sə sypεʁpozε o ʁutə tʁase syʁ lə ɡlɔbə.

vuz- εtə pʁεtə a kɔmɑ̃se vɔtʁə kεtə, maεva ? dəmɑ̃da la ɡaʁdjεnə.

œ̃ melɑ̃ʒə də pœʁ e dεksitasjɔ̃ mɔ̃ta ɑ̃n- εllə. εllə akjεsa.

alɔʁ sɥive lə kaʁnε… e suvəne vu : ʃakə ʃwa kɔ̃tə.

avεk lə kaʁnε uvεʁ dəvɑ̃ εllə, maεva sɑ̃ti kə sɔ̃n- avɑ̃tyʁə vənε də fʁɑ̃ʃiʁ œ̃ səj iʁevεʁsiblə. la vilə kεllə kɔnεsε dəpɥi tuʒuʁz- etε dezɔʁmεz- œ̃ labiʁɛ̃tə də sεkʁε, e ʃakə pa alε la ʁapʁoʃe dœ̃ mistεʁə kεllə noʁε ʒamεz- imaʒine.

maεva desɑ̃di plys pʁɔfɔ̃demɑ̃ dɑ̃ la salə suteʁεnə. lε lɑ̃tεʁnə- syspɑ̃dɥ ʒətε ynə lymjεʁə tʁɑ̃blɑ̃tə syʁ lεz- etaʒεʁə ʁɑ̃pli də paʁʃəmɛ̃, livʁə- ʁəljez- e ɔbʒεz- ɑ̃sjɛ̃. ʃakə pa fəzε ʁezɔne œ̃n- eʃo etʁɑ̃ʒə, kɔmə si la pjεsə εllə mεmə ʁεspiʁε.

la pʁəmjεʁə epʁəvə kɔmɑ̃sə mɛ̃tənɑ̃, di la ɡaʁdjεnə dynə vwa dusə mε fεʁmə.

maεva sapʁoʃa dy ɡlɔbə ɑ̃sjɛ̃. lε liɲə lyminøzə ki ʁəljε lε ljø syʁ la kaʁtə də la vilə sɑ̃blε pylse, kɔmə œ̃ kœʁ sεkʁε. lə kaʁnε ɛ̃dikε œ̃ sɛ̃bɔlə paʁtikylje : ynə mεzɔ̃ o bɔʁ dœ̃ kanal, maʁke dynə ɡutə do e dynə pjeʁə.

vu dəve vu ʁɑ̃dʁə syʁ plasə e tʁuve la kle dy pʁoʃɛ̃ ɛ̃disə, εksplika la ɡaʁdjεnə. mεz- atɑ̃sjɔ̃, lε ʃəmɛ̃ nə sɔ̃ pa tuʒuʁ sə kil sɑ̃ble εtʁə.

maεva pʁi ynə pʁɔfɔ̃də ɛ̃spiʁasjɔ̃. εllə savε kə ʃakə pa la ʁapʁoʃε dy sεkʁε final, mεz- osi dε dɑ̃ʒe kavε evɔke la ɡaʁdjεnə. εllə sɔʁti də la salə e ʁəmɔ̃ta dɑ̃ la vilə nɔktyʁnə. lε ʁy sɑ̃blε difeʁɑ̃tə, ʃaʁʒe dynə oʁa misteʁjøzə. lə kaʁnε vibʁε leʒεʁəmɑ̃ dɑ̃ sɔ̃ sak, kɔmə puʁ la ɡide.

o bɔʁ dy kanal, εllə tʁuva ynə pətitə mεzɔ̃ dekʁepi. lε vɔlεz- etε klo, e puʁtɑ̃ ynə lymjεʁə tʁɑ̃blε dəʁjεʁə ø. ɑ̃ sapʁoʃɑ̃, εllə ʁəmaʁka œ̃ sɛ̃bɔlə ɡʁave syʁ la pɔʁtə : idɑ̃tikə a səlɥi dy kaʁnε. tʁɑ̃blɑ̃tə, εllə ɛ̃seʁa la kle ɑ̃sjεnə dɑ̃ la seʁyʁə. œ̃ deklik ʁətɑ̃ti, e la pɔʁtə suvʁi syʁ œ̃n- εskalje ɑ̃ kɔlimasɔ̃ desɑ̃dɑ̃ dɑ̃ lɔpskyʁite.

la pjεsə sɥivɑ̃tə etε siʁkylεʁə, lε myʁ ʁəkuvεʁ də fʁεsk misteʁjøzə ʁəpʁezɑ̃tɑ̃ dε sεnə də la vilə a difeʁɑ̃təz- epɔk. o sɑ̃tʁə, œ̃ pjedεstal sutənε œ̃ pəti kɔfʁə. maεva sɑ̃n- apʁoʃa e uvʁi lə kaʁnε : lε paʒə sɑ̃blε sanime, ʁevelɑ̃ œ̃ mesaʒə :

« səl səlɥi ki ɔpsεʁvə avεk lə kœʁ e la ʁεzɔ̃ puʁʁa devwale lə sεkʁε. »

εllə poza sε mɛ̃ syʁ lə kɔfʁə. ynə ʃalœʁ dusə lɑ̃vai e, a sə mɔmɑ̃ pʁesi, εllə kɔ̃pʁi kə lə sεkʁε netε pa sələmɑ̃ dɑ̃ lεz- ɔbʒεz- u lε ljø, mε dɑ̃ la manjεʁə dɔ̃ εllə lε pεʁsəvε. lə kɔfʁə suvʁi lɑ̃təmɑ̃, ʁevelɑ̃ œ̃ pɑ̃dɑ̃tif ɑ̃sjɛ̃ ɑ̃ fɔʁmə də ɡutə do, ɛ̃kʁyste də pjeʁə- sɛ̃tijɑ̃tə.

sə pɑ̃dɑ̃tif, εksplika ynə vwa dəʁjεʁə εllə, ε la kle də la veʁite. il ʁəli lə mɔ̃də viziblə a səlɥi kə vu kɔmɑ̃sez- a dekuvʁiʁ. mε suvəne vu, maεva… ʃakə sεkʁε a œ̃ pʁi.

alɔʁ kεllə ləvε lεz- iø, εllə vit ynə siluεtə familjεʁə sə desine dɑ̃ lɔ̃bʁə : lɔmə dy pɔ̃. sɔ̃ ʁəɡaʁ, sεtə fwa, netε plys mənasɑ̃, mεz- ɑ̃pli dynə ɡʁavite ʁεspεktɥøzə.

vuz- ave fʁɑ̃ʃi la pʁəmjεʁə epʁəvə, maεva, di til. mε lə ʃəmɛ̃ nə fε kə kɔmɑ̃se…

lə pɑ̃dɑ̃tif ɑ̃ fɔʁmə də ɡutə do sɛ̃tijε fεbləmɑ̃ dɑ̃ lε mɛ̃ də maεva. εllə sɑ̃tε ynə enεʁʒi dusə mε pɥisɑ̃tə emane də lɔbʒε, kɔmə si lə tɑ̃ lɥi mεmə vulε lɥi paʁle. lɔmə dy pɔ̃ sapʁoʃa e poza sa mɛ̃ syʁ lepolə də maεva.

ʃakə sεkʁε kə ty dekuvʁiʁa mɛ̃tənɑ̃ tə ʁapʁoʃəʁa də la veʁite… mεz- atɑ̃sjɔ̃, sεʁtɛ̃ tə mεtʁɔ̃ fasə a twa mεmə, di til dynə vwa ɡʁavə.

maεva oʃa la tεtə. εllə sɑ̃tε la pœʁ e lεksitasjɔ̃ sə mεle dɑ̃ sɔ̃ kœʁ, mεz- ynə detεʁminasjɔ̃ nuvεllə labitε. εllə savε kə puʁ kɔ̃pʁɑ̃dʁə lə kaʁnε, εllə dəvε sɥivʁə sεz- ɛ̃dikasjɔ̃, fʁɑ̃ʃiʁ ʃakə etapə e fεʁə kɔ̃fjɑ̃sə a sɔ̃n- ɛ̃stɛ̃.

lə kaʁnε la kɔ̃dɥizi a ynə seʁi də ljøz- ɑ̃sjɛ̃ dɑ̃ la vilə : œ̃ teatʁə abɑ̃dɔne, ynə ɔʁlɔʒə misteʁjøzə dɔ̃ lεz- εɡɥjə sɑ̃blε avɑ̃se a lœʁ pʁɔpʁə ʁitmə, e œ̃ ʒaʁdɛ̃ kaʃe dəʁjεʁə œ̃ myʁ də pjeʁə. a ʃakə ɑ̃dʁwa, εllə tʁuvε dεz- ɛ̃disə ɡʁavez- u kaʃe, ʃakœ̃ lje o sɥivɑ̃ paʁ œ̃ sɛ̃bɔlə dy kaʁnε.

o teatʁə, εllə ʁɑ̃kɔ̃tʁa œ̃ vjεj ɔʁlɔʒe, ki kɔnεsε lε sεkʁε də lɑ̃sjεnə vilə. il lɥi mɔ̃tʁa œ̃ mekanismə kaʃe dəʁjεʁə la sεnə, u œ̃ pəti kɔ̃paʁtime kɔ̃tənε ynə kle minjatyʁə.

ʃakə kle, εksplika til, uvʁə œ̃n- aspε də la veʁite. mε la veʁite kɔ̃plεtə… sε twa sələ ki pø lasɑ̃ble.

maεva kɔ̃pʁi kə la kεtə netε pa sələmɑ̃ fizikə, mεz- ɛ̃teʁjəʁə. ʃakə eniɡmə la pusε a ʁefleʃiʁ, a kɔ̃pʁɑ̃dʁə lε sɛ̃bɔlə, a ʁəlje lε ljøz- e lεz- istwaʁəz- ɑ̃tʁə ø. εllə sə sɑ̃tε plys fɔʁtə, plysz- evεje, kɔmə si lə kaʁnε e lə pɑ̃dɑ̃tif lɥi tʁɑ̃smεtε œ̃ savwaʁ ɑ̃sjɛ̃.

ɑ̃fɛ̃, lə kaʁnε la kɔ̃dɥizi a la dεʁnjεʁə epʁəvə : ynə pjεsə kaʃe su lɑ̃sjεnə ɔʁlɔʒə də la vilə. lə tɑ̃ sɑ̃blε sεtʁə aʁεte. o sɑ̃tʁə, œ̃ ɡʁɑ̃ sεʁklə ɡʁave dɑ̃ lə sɔl, ɑ̃tuʁe də sɛ̃bɔləz- idɑ̃tikz- a sø dy kaʁnε e dy pɑ̃dɑ̃tif. maεva kɔ̃pʁi kεllə dəvε poze lə pɑ̃dɑ̃tif o sɑ̃tʁə.

lɔʁskεllə lə fi, ynə lymjεʁə dusə e ʃodə ɑ̃pli la pjεsə. dεz- imaʒə də la vilə, dy pase e də sø ki avε pʁɔteʒe sε sεkʁεz- apaʁεsε otuʁ dεllə. εllə vit la syksesjɔ̃ dε ɡaʁdjɛ̃, tus pɔʁtɑ̃ la ʁεspɔ̃sabilite də pʁɔteʒe lə savwaʁ dy kaʁnε. e, puʁ la pʁəmjεʁə fwa, εllə kɔ̃pʁi : lə veʁitablə sεkʁε netε pa œ̃n- ɔbʒε u œ̃ ljø, mε la memwaʁə vivɑ̃tə də la vilə e də sø ki lavε pʁezεʁve.

lɔmə dy pɔ̃ e la ɡaʁdjεnə apaʁyʁe a sε kote.
ty a ʁeysi, maεva, di la ɡaʁdjεnə. la kɔnεsɑ̃sə e la ʁεspɔ̃sabilite sɔ̃ dezɔʁmε tjεnə. lə kaʁnε kɔ̃tinɥəʁa də vivʁə a tʁavεʁ twa. mε suvjɛ̃ twa : ʃakə sεkʁε pʁɔteʒe εt- œ̃ ʃwa kə ty fε puʁ lə mɔ̃də, e nɔ̃ puʁ twa sələ.

maεva sɑ̃ti œ̃ melɑ̃ʒə də fjεʁte, də kʁɛ̃tə e də seʁenite. εllə savε kə sa vi vənε də ʃɑ̃ʒe a ʒamε. la vilə kεllə kʁwajε kɔnεtʁə netε plys sələmɑ̃ œ̃n- ɑ̃dʁwa familje, mεz- œ̃ labiʁɛ̃tə vivɑ̃ də sεkʁε, distwaʁəz- e də suvəniʁz- a pʁezεʁve.

alɔʁ kεllə ʁəmɔ̃tε a la syʁfasə, lə sɔlεj kɔmɑ̃sε a pεʁse lε nɥaʒə, ilyminɑ̃ lε pavez- ɑ̃kɔʁə ymidə. εllə ʁəɡaʁda la vilə otuʁ dεllə avεk œ̃ ʁəɡaʁ nəf. ʃakə ʁyεllə, ʃakə pɔ̃, ʃakə ʁəflε syʁ lo lɥi paʁlε dezɔʁmε. εllə suʁi, saʃɑ̃ kə sɔ̃n- avɑ̃tyʁə vənε də kɔmɑ̃se, e kə lε mistεʁə dy kaʁnε kɔ̃tinɥəʁε a la ɡide, a la tʁɑ̃sfɔʁme e a lɛ̃spiʁe, puʁ lə ʁεstə də sa vi.
Syllabes Phonétique : L’énigme De Maëva : À La Recherche Des Secretsla=plɥi=tɔ̃bεdusə=mɑ̃=syʁ=lε=pa=ve=də=la=vi=lə=ma=ε=va=maʁ=ʃε=sə=lə=sε=ʃo=sy=ʁə=ɡli=sɑ̃=syʁ=lε=flak=sε=pɑ̃=se=flɔ=tɑ̃=ɑ̃=tʁə=su=və=niʁ=ze=pʁɔ=me=sə=si=lɑ̃=sjø=zə=ʃa=kə=lɑ̃=pa=dε=ʁə=sɑ̃=blε=myʁ=my=ʁe=sɔ̃=nɔ̃=ʃa=kə=ʁə=flε=syʁ=lə=bi=ty=mə=ʁa=kɔ̃=te=y=nə=is=twa=ʁəu=blje 77

εllə=saʁεtadə=vɑ̃=y=nə=pə=ti=tə=li=bʁε=ʁi=sε=vi=tʁə=zɑ̃=by=e=lε=sɑ̃=a=pa=ʁε=tʁə=dε=li=vʁə=zɑ̃=ta=se=kɔ=məo=tɑ̃=də=mɔ̃=də=zɑ̃=mi=nja=ty=ʁə=sɑ̃=vʁε=mɑ̃=sa=vwaʁ=puʁ=kwa=εl=lə=pu=sa=la=pɔʁ=tə=lεʁ=ʃo=e=lɔ=dœʁ=dε=pa=ʒə=zɑ̃=sjε=nə=la=kœji=ʁe=e=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=dəp=ɥi=dε=sə=mε=nə=εl=lə=sə=sɑ̃=ti=le=ʒεʁə 88

œ̃=vjεj=ɔmə=də=ʁjεʁə=lə=kɔ̃=twaʁ=lə=va=lε=ziø 12
bɔ̃=ʒuʁ=di=til=ɔ̃ʃεʁʃə=tus=kεl=kə=ʃozə=i=si=vu=sa=ve 14
ma=ε=va=su=ʁi=e=ʁe=pɔ̃=di=sɛ̃=plə=mɑ̃ 12
ʒə=kʁwa=kə=ʒə=ʃεʁ=ʃə=ʒys=tə=œ̃=pø=də=si=lɑ̃=sə 14

alɔʁkεllə=paʁ=ku=ʁε=lε=ʁε=jɔ̃=œ̃=bʁɥi=sεk=ʁə=tɑ̃=tidə=ʁjε=ʁəεllə=œ̃=li=vʁəe=tε=tɔ̃=be=dy=nəe=ta=ʒε=ʁə=ɑ̃=sə=pɑ̃=ʃɑ̃=puʁ=lə=ʁa=ma=se=εl=lə=a=pεʁ=sy=a=ko=te=œ̃=kaʁ=nε=ɑ̃=sjɛ̃=lɔ̃=tɑ̃=zu=blje=lε=pa=ʒə=ʒo=ni=ze=tε=ku=vεʁ=tə=də=mo=ze=də=de=sɛ̃=mis=te=ʁjø=kɔ=mə=œ̃=ʒuʁ=nal=ɛ̃=ti=mə=lε=se=la=paʁ-a=zaʁ=ma=ε=va=sɑ̃=ti=œ̃=fʁi=sɔ̃=ki=pu=vε=a=vwaʁ=e=kʁi=sə=la=e=puʁ=kwa=la=vwaʁ=a=bɑ̃=dɔ=ne=i=si 113

ɛ̃=tʁi=ɡe=εl=ləuvʁilə=kaʁ=nε=e=sə=plɔ̃=ʒa=dɑ̃=dε=zis=twaʁə=də=vwa=ja=ʒə=də=sε=kʁε=də=fa=mi=jəe=də=mis=tε=ʁə=nɔ̃=ʁe=zɔ=lys=ʃa=kə=pa=ʒə=sɑ̃=blε=vu=lwaʁ=la=ti=ʁe=plys=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=dɑ̃=zy=nəe=niɡ=mə=ki=de=pa=sε=sɔ̃=kɔ=ti=djɛ̃=su=dɛ̃=εl=lə=ɑ̃=tɑ̃=di=la=klo=ʃə=də=la=pɔʁ=tə=kεl=kœ̃=ɑ̃=tʁε=œ̃=ʁə=ɡaʁ=fyʁ=tif=vεʁ=lɑ̃=tʁe=lɥi=fi=sɑ̃=tiʁ=kεllə=ne=tε=pø=tε=tʁə=pa=sə=lə=a=sɛ̃=te=ʁe=se=a=sə=kaʁ=nε 111

kɑ̃tεllə=sɔʁ=ti=la=plɥi=a=vεse=se=lε=pa=ve=bʁi=jε=su=lε=dεʁ=njεʁə=ɡu=tə=e=la=vi=lə=pa=ʁε=sε=di=fe=ʁɑ̃=tə=mwɛ̃=luʁ=də=mε=ma=ε=va=sa=vε=kə=sa=vi=və=nε=də=pʁɑ̃=dʁəœ̃=tuʁ=nɑ̃=i=na=tɑ̃=dy=sə=kaʁ=nε=a=bɑ̃=dɔ=ne=a=lε=bu=lə=vεʁ=se=sε=pʁo=ʃɛ̃=ʒuʁ=lɑ̃=tʁε=ne=dɑ̃=dε=za=vɑ̃=ty=ʁə=kεllə=no=ʁε=ʒa=mε=zi=ma=ʒi=ne 88

la=nɥi=kɔ=mɑ̃=sε=a=tɔ̃=be=kɑ̃=maεvaʁə=fεʁ=ma=sɔ̃=pa=ʁap=lɥi=lə=kaʁ=nε=ɡli=se=dɑ̃=sɔ̃=sak=sɑ̃=blε=pə=ze=plys=luʁ=kə=nɛ̃=pɔʁ=tə=kεl=li=vʁə=εl=ləa=vε=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=kil=ba=tε=kɔ=məœ̃=kœʁ=e=tʁɑ̃=ʒe=o=ʁit=mə=də=sε=pa 58

a=ʁi=ve=ʃe=zεllə=εl=lə=pozalə=kaʁ=nε=syʁ=la=ta=bləe=e=zi=ta=œ̃=lɔ̃=mɔ=mɑ̃=a=vɑ̃də=lu=vʁiʁ=a=nu=vo=lε=pa=ʒə=ʁə=ɡɔʁ=ʒε=də=kʁɔ=ki=dε=zɔʁ=lɔ=ʒə=bʁi=ze=dε=ʁy=εllə=zo=nɔ̃=ze=fa=se=dε=si=lu=ε=tə=sɑ̃=vi=za=ʒə=ɑ̃=tʁə=dø=de=sɛ̃=dε=fʁa=zə=ze=niɡ=ma=tik=ɡʁi=fɔ=ne=zalaatə 76

la=u=loʁɑ̃kɔ̃tʁə=la=pje=ʁə=lə=si=lɑ̃=sə=ka=ʃə=la=ve=ʁi=te 17
nə=ʒa=mε=tuʁ=ne=la=pa=ʒə=a=vɑ̃=min=ɥi 13

ma=ε=va=sɑ̃=ti=œ̃=fʁi=sɔ̃=lɥi=paʁ=ku=ʁiʁ=le=ʃinə=sεnɔtə=sɑ̃=blε=e=kʁi=tə=puʁ=kεl=kœ̃=kɔ=mə=dε=me=sa=ʒə=kɔ=de=mε=puʁ=ki=e=syʁ=tu=puʁ=kwa=εllə=sə=swaʁ=a=vε=tʁu=ve=sə=kaʁ=nε 49

œ̃=bʁɥi=la=fi=syʁ=so=te=tʁwa=ku=sεk=fʁa=pe=zasapɔʁtə=lə=kœʁ=ba=tɑ̃=εl=lə=na=tɑ̃=dε=pεʁ=sɔ=nə=εl=lə=sa=pʁo=ʃa=du=sə=mɑ̃=sɑ̃=zu=vʁiʁ=e=də=mɑ̃=da 40
ki=ε=la 3

œ̃=si=lɑ̃=sə=pɥi=zynə=vwa=ɡʁa=və=ʃy=ʃɔ=ta 12
lə=kaʁ=nε=il=nə=vu=za=paʁ=tj=ɛ̃=pa 11

maεvaʁə=ky=la=dɛ̃s=tɛ̃=εl=lə=se=ʁa=lə=kaʁ=nε=kɔ̃=tʁəεllə=kɔ=mə=si=sa=vi=ɑ̃=de=pɑ̃=dε=kɑ̃=tεllə=ʁu=vʁi=lε=ziø=lɔ̃=bʁə=də=ʁjε=ʁə=la=vi=tʁəa=vε=dis=pa=ʁy=mε=syʁ=sɔ̃=pa=ja=sɔ̃=εl=lə=de=ku=vʁi=œ̃=pə=ti=pa=pje=plje=ɑ̃=ka=tʁə=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=εl=lə=lə=ʁa=ma=sa=e=ly=sε=kεl=kə=mo=ze=kʁi=za=lɑ̃=kʁə=nwaʁə 82

nə=ʃεʁ=ʃe=pa=akɔ̃pʁɑ̃dʁə=sə=ki=ε=te=kʁi=dwa=ʁεs=te=ɑ̃=fui 16

ma=ε=va=pa=sa=la=nɥipʁεskə=sɑ̃=fεʁ=me=lɔ=εj=lə=kaʁ=nε=po=ze=syʁ=sa=tablə=sɑ̃=blε=la=fik=se=dɑ̃=lɔp=sky=ʁi=te=ʃa=kə=fwa=kεllə=tɑ̃=tε=də=sɑ̃=dɔʁ=miʁ=lε=fʁa=zə=ze=niɡ=ma=tik=lɥi=ʁə=və=nε=ɑ̃=tε=tə=nə=ʒa=mε=tuʁ=ne=la=pa=ʒəa=vɑ̃=min=ɥi=mε=za=pʁe=zɑ̃=min=ɥi=e=tε=pase 74

lə=lɑ̃də=mɛ̃=ma=tɛ̃=εl=lə=de=sidadə=ʁə=tuʁ=ne=a=la=li=bʁε=ʁi=lə=vjεj=ɔ=mə=la=kœji=a=vεk=lə=mε=mə=su=ʁi=ʁə=fa=ti=ɡe 34

sə=kaʁ=nε=ditεllə=dynə=vwa=e=zi=tɑ̃tə=il=e=tε=la=jεʁ=vu=sa=ve=za=ki=il=a=paʁ=tə=nε=lə=li=bʁε=ʁə=fʁɔ̃=sa=lε=suʁ=sil=kɔ=mə=syʁ=pʁi=paʁ=sa=kεs=tjɔ̃ 41
a=sə=kaʁ=nε=vufə=ʁje=mjødə=nə=pa=vu=zɑ̃=nɔ=ky=pe=sεʁ=tɛ̃=livʁə=ʃwa=zi=se=lœʁ=lεk=tœʁ=mε=do=tʁə=də=vʁε=ʁεs=te=fεʁ=me 32

ma=ε=va=sɑ̃=ti=sε=mɛ̃=tʁɑ̃=ble=puʁ=tɑ̃=ynə=fɔʁ=səɛ̃=te=ʁjə=ʁə=lɑ̃=pεʃεdə=ʁə=nɔ̃=se=a=vɑ̃=də=paʁ=tiʁ=εl=ləo=za=də=mɑ̃=de 33
puʁ=kwanə=ʒa=mε=tuʁ=ne=la=pa=ʒəa=vɑ̃=min=ɥi 12

lə=vjεj=ɔmə=de=tuʁnalə=ʁə=ɡaʁ=e=ʁe=pɔ̃=di=dœ̃=tɔ̃=sεk 14
paʁsə=ka=min=ɥi=lε=zis=twaʁə=se=se=dεtʁə=dε=zis=twaʁə 13

dəɔʁ=lə=sjεl=se=tε=a=sɔ̃=bʁi=mal=ɡʁe=lœʁ=εl=ləu=vʁi=sɔ̃=kaʁ=nε=e=puʁlapʁə=mjεʁə=fwa=ʁə=maʁ=ka=kə=sεʁ=tε=nə=pa=ʒə=na=pa=ʁε=sε=ka=la=ly=mjε=ʁə=dε=lɑ̃=pa=dε=ʁə=la=dε=za=dʁe=sə=dε=sɛ̃=bɔ=lə=dε=kʁɔ=ki=də=ljø=ʁe=εl=də=la=vi=lə=kɔ=məy=nə=kaʁ=tə=ɛ̃=vi=zi=blə=mə=nɑ̃=a=œ̃=sε=kʁε=ka=ʃe 81

lə=pʁə=mje=ɛ̃disə=pwɛ̃=tε=vεʁ=zœ̃=nɑ̃=sjɛ̃=pɔ̃=a=bɑ̃=dɔ=ne=dəp=ɥi=dε=za=ne=lə=swaʁ=mεmə=mal=ɡʁe=la=pœʁ=ki=la=ʁɔ̃=ʒε=ma=ε=va=si=ʁɑ̃=di=lεʁ=sɑ̃=tε=ly=mi=di=te=e=la=pje=ʁəy=ze=εl=lə=po=za=la=mɛ̃=syʁ=la=ʁɑ̃=baʁ=də=kɑ̃=ty=nə=vwa=də=ʁjε=ʁəεllə=la=fi=syʁ=so=te 72
ʒə=vu=za=vε=pʁe=vənɥ=də=nə=pa=ʃεʁ=ʃe 11

se=tε=lɛ̃=kɔ=ny=sεtə=fwa=sɔ̃=vizaʒə=sɔʁ=tε=də=lɔ̃bʁə=œ̃=nɔ=məɑ̃=mɑ̃=to=sɔ̃bʁə=lε=tʁε=maʁ=ke=sε=ziø=fik=se=syʁ=lə=kaʁ=nε=kεllə=se=ʁε=kɔ̃=tʁə=sa=pwatʁinə 38

maεvaʁə=ky=la=dœ̃=pa=sɔ̃=do=œʁ=tɑ̃=la=ʁɑ̃=baʁ=də=ɡla=se=dy=vjø=pɔ̃=lə=kaʁ=nε=ba=tε=kɔ̃=tʁə=sa=pwa=tʁi=nə=kɔ=mə=sil=vu=lε=sa=ʁa=ʃe=də=sε=mɛ̃ 40

ki=εtə=vu=də=mɑ̃=da=tεl=lə=dy=nə=vwa=tʁɑ̃blɑ̃tə 12

lɔmə=sa=pʁo=ʃalɑ̃tə=mɑ̃=sa=vwa=ɡʁa=və=ʁe=zɔ=na=dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=də=la=nɥi 20
kεl=kœ̃=ki=a=de=ʒa=pɔʁ=te=sə=faʁ=do=a=vɑ̃=vu=sə=kaʁ=nε=nε=pa=œ̃-a=zaʁ=il=ʃwa=zi=tu=ʒuʁ=sɔ̃=pʁo=ʃɛ̃=ɡaʁ=djɛ̃ 32

ma=ε=va=fʁɔ̃=sa=lε=suʁ=sil 8
ɡaʁ=djɛ̃=mε=sə=nə=sɔ̃kə=dεnɔtə=dε=de=sɛ̃=ze=tʁɑ̃ʒə 12
nɔ̃=kupalɔmə=sə=kə=vu=tə=ne=zε=ty=nə=me=mwa=ʁə=vi=vɑ̃=tə=ʃa=kə=sε=kʁε=e=kʁi=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=ε=ʁe=εl=ʃa=kə=ljø=de=si=ne=εɡ=zis=tə=e=ʃa=kə=mis=tε=ʁə=a=tɑ̃=dε=tʁə=ʁe=vε=je 51

lə=vɑ̃=su=fla=plys=fɔʁ=fə=zɑ̃=fʁi=sɔ=ne=ma=ε=va=εl=ləuvʁilə=kaʁ=nε=a=lapʁə=mjε=ʁə=pa=ʒəu=lɑ̃=kʁə=sɑ̃=blε=vi=bʁe=lε=mo=ʃɑ̃=ʒε=su=sε=ziø=lε=lε=tʁə=bu=ʒε=kɔ=mə=si=εllə=se=kʁi=vε=tu=tə=sə=lə 53

la=ve=ʁi=te=kɔmɑ̃sə=la=u=lo=ʁɑ̃=kɔ̃tʁə=la=pje=ʁə 14

εllə=lə=va=lεziøvεʁlə=flə=və=su=lə=pɔ̃=lo=sɔ̃=bʁə=ʁə=fle=tε=la=ly=nə=sɑ̃=ʁe=fle=ʃiʁ=εl=lə=po=za=sa=mɛ̃=syʁ=la=pje=ʁəy=mi=də=də=la=ʁɑ̃=baʁ=də=y=nə=fi=sy=ʁəɛ̃=vi=zi=blə=si=ly=mi=na=dy=nə=fε=blə=lɥœʁ=blø=te 58

lɔ=mə=pa=li 4
nɔ̃=pa=sə=swaʁ=vu=nε=tə=pa=pʁε=tə 10

mε=de=ʒa=lafisyʁə=se=laʁ=ʒi=sε=du=sə=mɑ̃=ʁe=ve=lɑ̃=y=nə=ka=vi=te=dɑ̃=la=pje=ʁə=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=œ̃=nɔb=ʒε=e=tε=di=si=my=le=y=nə=kle=ɑ̃=sjε=nə=o=fɔʁ=mə=ze=tʁɑ̃=ʒə=maʁ=ke=dε=mε=mə=sɛ̃=bɔ=lə=kə=sø=dy=kaʁ=nε 61

ma=ε=va=la=sε=zi=lə=kœ=ʁə=ba=tɑ̃ 11
kε=sə=kə=sə=la=u=vʁə=də=mɑ̃=da=tεl=lə 12

lɔmə=la=fik=sa=œ̃=me=lɑ̃ʒə=də=pœʁ=e=də=ʁεs=pε=dɑ̃=lε=ziø 16
sə=lauvʁə=sə=ki=no=ʁε=ʒa=mε=dy=εtʁə=fεʁ=me 12

ma=ε=vase=ʁa=la=kle=dɑ̃=sa=mɛ̃=sɔ̃=me=tal=fʁwakɔ̃tʁə=sa=po=mə=e=sɑ̃=ti=y=nəe=tʁɑ̃=ʒəe=nεʁ=ʒi=lɑ̃=va=iʁ=lɔ=məɑ̃=mɑ̃=to=sɔ̃=bʁə=ʁə=ky=la=dœ̃=pa=vi=zi=blə=mɑ̃=ɛ̃=kjε 45

e=ku=te=mwa=bjɛ̃=ma=ε=va=di=til=sεtə=kle=sə=nεpasə=lə=mɑ̃=œ̃=nɔb=ʒε=εl=ləa=paʁ=tjɛ̃=a=y=nəɑ̃=sjε=nə=li=ɲe=də=ɡaʁ=djɛ̃=dε=pεʁ=sɔ=nə=ʃaʁ=ʒe=də=pʁɔ=te=ʒe=lε=sε=kʁε=kə=lə=kaʁ=nε=ʁɑ̃=fεʁ=mə=ʃa=kə=ʒe=ne=ʁa=sjɔ̃=ʃwa=zi=sɔ̃=syk=se=sœʁ=e=mɛ̃=tə=nɑ̃=sε=vu 71

ma=ε=va=sɑ̃=ti=œ̃=vεʁtiʒə=εl=lə=na=vε=ʒa=mε=zi=ma=ʒi=ne=ε=tʁəɛ̃=pli=ke=dɑ̃=kεl=kə=ʃozə=do=si=i=mɑ̃=sə=mwa=myʁ=my=ʁa=tεllə=mε=ʒə=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=ʁjɛ̃ 41

lɔmə=su=pi=ʁa=lə=ʁə=ɡaʁ=fik=se=syʁ=lə=flə=və=vu=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁe=zɑ̃=sɥi=vɑ̃=lε=zɛ̃disə=lə=kaʁ=nε=vu=ɡi=də=ʁa=mε=za=tɑ̃=sjɔ̃=vu=nε=tə=pa=la=sə=ləa=lə=vu=lwaʁ=sø=ki=kɔ=nε=se=sɔ̃=nεɡ=zis=tɑ̃=sə=nə=ʁə=ky=lə=ʁɔ̃=də=vɑ̃=ʁjɛ̃=puʁ=lə=ʁe=ky=pe=ʁe 67

ma=ε=va=ɛ̃s=pi=ʁa=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=e=tuʁ=na=la=kle=ɑ̃tʁə=sε=dwa=εl=lə=ʁə=maʁ=ka=a=lɔʁ=zœ̃=sɛ̃bɔlə=ɡʁa=ve=o=sɑ̃=tʁə=œ̃=sεʁ=kləɑ̃=sεʁ=klɑ̃=y=nə=ɡu=tə=do=e=y=nə=pje=ʁə=i=dɑ̃=ti=kəa=lœ̃=dε=de=sɛ̃=dy=kaʁ=nε=sɔ̃=nɛ̃t=ɥi=sjɔ̃=lɥi=su=fla=kil=fa=lε=sə=ʁɑ̃=dʁəa=lɑ̃=dʁwa=ɛ̃=di=ke=syʁ=la=pa=ʒə=sɥivɑ̃tə 81

εllə=sə=ʁə=tuʁnapuʁdə=mɑ̃=de=kɔ̃=sεj=a=lɔ=mə=mε=zil=a=vε=dis=pa=ʁy=la=bʁy=mə=də=la=nɥi=a=vε=e=fa=se=sε=tʁa=sə=lə=pɔ̃=sɑ̃=blε=mɛ̃=tə=nɑ̃=plys=vas=tə=pʁεs=kə=i=ʁe=εl=e=lə=si=lɑ̃=sə=pə=zɑ̃ 54

a=vεk=kuʁaʒə=ma=ε=vasə=mit=ɑ̃=ʁu=tə=sɥi=vɑ̃=lə=kaʁ=nε=kɔ=məy=nə=kaʁ=tə=vi=vɑ̃=tə=lε=sɛ̃=bɔ=lə=la=mə=nε=ʁe=a=dε=ʁy=εllə=zu=blje=dε=zεs=ka=lje=de=ʁɔ=be=ze=dε=pa=sa=ʒə=ze=tʁwa=su=la=vi=lə=ʃa=kə=ljø=sɑ̃=blε=a=tɑ̃=dʁə=sa=vənɥ=ʃa=kəɔ̃=bʁə=ɡli=sε=kɔ=mə=puʁ=lɔp=sεʁ=ve 76

ɑ̃=fɛ̃=εl=ləaʁivadə=vɑ̃=y=nə=pə=ti=tə=pɔʁ=təɑ̃=pje=ʁə=pʁεs=kəɛ̃=vi=zi=blə=ɑ̃=tʁə=dø=zi=mə=blə=zɑ̃=sjɛ̃=la=kle=vi=bʁa=dɑ̃=sa=mɛ̃=kɔ=mə=si=εllə=ʁə=kɔ=nε=sε=sɔ̃=dεs=ti=na=tε=ʁə=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=mε=de=tεʁ=mi=ne=ma=ε=va=lɛ̃=se=ʁa=dɑ̃=la=se=ʁy=ʁə=e=tuʁ=na 70

œ̃=de=klik=ʁe=zɔ=na=pɥilapɔʁtə=su=vʁi=lɑ̃=tə=mɑ̃=ʁe=ve=lɑ̃=œ̃=nεs=ka=lje=de=sɑ̃=dɑ̃=dɑ̃=lɔp=sky=ʁi=te=y=nə=lɥœʁ=e=tʁɑ̃=ʒə=i=ly=mi=nε=lε=myʁ=zy=mi=də=e=lə=kaʁ=nε=po=ze=syʁ=sε=ʒə=nu=sɑ̃=blε=pʁεs=kə=ʁεs=pi=ʁe 59

bjɛ̃=vənɥ=myʁ=myʁaynə=vwa=du=sə=vənɥ=də=lɔ̃bʁə=vu=zε=tə=zɑ̃=fɛ̃=a=ʁi=ve=ma=ε=va 21

ma=ε=va=de=sɑ̃=dilεmaʁʃə=zɑ̃=pje=ʁə=lə=kaʁ=nε=se=ʁe=kɔ̃=tʁəεllə=la=mɛ̃=ɑ̃=kɔ=ʁə=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=də=la=kle=lεʁ=e=tε=fʁε=ze=sɑ̃=tε=ly=mi=di=te=dε=sjε=klə=pa=se=la=lɥœʁ=e=tʁɑ̃=ʒə=pʁɔ=və=nε=də=lɑ̃=tεʁ=nə=sys=pɑ̃d=ɥza=dε=ʃε=nə=ʁu=je=e=klε=ʁɑ̃=dε=fʁεs=kzɑ̃=sjε=nə=ɡʁa=ve=dɑ̃=lε=myʁ 76

obudə=lεs=ka=lje=εl=ləɑ̃=tʁa=dɑ̃=zynə=vas=tə=sa=lə=su=te=ʁε=nə=dε=ze=ta=ʒε=ʁə=ku=vεʁ=tə=də=pu=sjε=ʁə=se=tɑ̃=dε=ʒys=ko=pla=fɔ̃=ʁɑ̃=pli=də=paʁ=ʃə=mɛ̃=də=li=vʁə=ʁə=lje=zɑ̃=kɥiʁ=e=dɔb=ʒε=mis=te=ʁjø=lə=sɔl=e=tε=ʒɔ̃=ʃe=də=fʁaɡ=mɑ̃=də=kaʁ=tə=zɑ̃=sjε=nə=də=kʁɔ=ki=ze=də=nɔ=tə=ʃi=fɔ=ne=ʃa=kəɔb=ʒε=sɑ̃=blε=ʃaʁ=ʒe=dy=nə=is=twa=ʁəu=blje 93

vu=vwa=la=ɑ̃=fɛ̃=ma=ε=va=ʁe=pe=ta=la=vwa 13

sεtə=fwa=εl=lə=vit=la=si=luεtə=plys=klε=ʁə=mɑ̃=y=nə=fa=mə=vεtɥ=dy=nə=ʁɔ=bə=sɔ̃bʁə=sε=ziø=bʁi=jɑ̃=dy=nə=lɥœʁ=du=sə=mεzɛ̃tɑ̃sə 32
kiεtə=vu=də=mɑ̃=da=ma=ε=va=la=vwa=tʁɑ̃=blɑ̃tə=mε=ky=ʁjøzə 15
ʒə=sɥisεllə=ki=vεjə=syʁ=sε=sε=kʁε=dəp=ɥi=dε=de=sε=ni=εk=spl=ka=lafamə=sə=ljø=ε=tœ̃=sɑ̃k=tɥε=ʁə=œ̃=pwɛ̃=də=pa=sa=ʒəɑ̃=tʁə=lə=mɔ̃=də=kə=vu=kɔ=nε=se=ze=səl=ɥi=kə=lə=kaʁ=nε=ʁe=vε=lə=ʃa=kə=mo=ʃa=kə=de=sɛ̃=kə=vu=zi=tʁu=və=ʁe=vu=mε=nə=ʁa=vεʁ=dε=ve=ʁi=te=zu=blje=mε=zo=si=vεʁ=dε=dɑ̃=ʒe 81

ma=ε=va=sɑ̃tiynə=mɔ̃=te=da=dʁe=na=li=nə=εl=ləu=vʁi=lə=kaʁ=nε=a=la=pa=ʒə=sɥi=vɑ̃=tə=lε=sɛ̃=bɔ=lə=sɑ̃=blε=sə=de=pla=se=su=sε=ziø=fɔʁ=mɑ̃=dε=fʁa=zə=nuvεllə 43

səl=ɥikiozə=fʁɑ̃=ʃiʁ=la=pɔʁ=tə=dy=tɑ̃=də=vʁa=ʃwa=ziʁ=ɑ̃=tʁə=lə=sa=vwaʁ=e=lu=bli 22
ʃwa=ziʁ=kwa=də=mɑ̃=da=tεl=lə=lə=suflə=ku=pe 12
ʃakə=de=ku=vεʁ=təa=œ̃=pʁi=εk=spl=ka=la=ɡaʁ=djεnə=i=si=ʁjɛ̃=nε=ti=nɔse=ʃa=kəɛ̃=di=sə=kə=vu=sɥi=ve=vu=ʁa=pʁo=ʃə=dy=sε=kʁε=fi=nal=mε=sεʁ=tɛ̃=sε=kʁε=ʃɑ̃=ʒe=sø=ki=lε=kɔ=nε=se=puʁ=tu=ʒuʁ 52

ma=ε=va=po=za=sa=mɛ̃=syʁ=ynə=ta=bləu=tʁo=nε=œ̃=ɡlɔbəɑ̃=sjɛ̃=a=pεnə=la=vε=tεllə=tu=ʃe=kə=dε=li=ɲə=ly=mi=nø=zə=za=pa=ʁy=ʁe=ʁə=ljɑ̃=dε=ljø=syʁ=la=kaʁ=tə=də=la=vi=lə=lε=zɛ̃=di=sə=dy=kaʁ=nε=sə=sy=pεʁ=po=zε=o=ʁu=tə=tʁa=se=syʁ=lə=ɡlɔbə 67

vuzεtə=pʁε=təa=kɔ=mɑ̃se=vɔ=tʁə=kε=tə=ma=ε=va=də=mɑ̃=da=la=ɡaʁ=djεnə 18

œ̃=me=lɑ̃ʒə=də=pœʁ=e=dεk=si=ta=sjɔ̃=mɔ̃=taɑ̃nεllə=εl=ləa=kjε=sa 16

a=lɔʁ=sɥi=ve=lə=kaʁ=nε=e=suvə=ne=vu=ʃakə=ʃwakɔ̃tə 13

a=vεk=lə=kaʁ=nεuvεʁdə=vɑ̃=εllə=ma=ε=va=sɑ̃=ti=kə=sɔ̃=na=vɑ̃=ty=ʁə=və=nε=də=fʁɑ̃=ʃiʁ=œ̃=səj=i=ʁe=vεʁ=si=blə=la=vi=lə=kεllə=kɔ=nε=sε=dəp=ɥi=tu=ʒuʁ=ze=tε=de=zɔʁ=mε=zœ̃=la=bi=ʁɛ̃=tə=də=sε=kʁε=e=ʃa=kə=pa=a=lε=la=ʁa=pʁo=ʃe=dœ̃=mis=tε=ʁə=kεllə=no=ʁε=ʒa=mε=zi=ma=ʒi=ne 77

ma=ε=va=de=sɑ̃=di=plys=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=dɑ̃lasalə=su=te=ʁε=nə=lε=lɑ̃=tεʁ=nə=sys=pɑ̃dɥ=ʒə=tε=y=nə=ly=mjε=ʁə=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=syʁ=lε=ze=ta=ʒε=ʁə=ʁɑ̃=pli=də=paʁ=ʃə=mɛ̃=li=vʁə=ʁə=lje=ze=ɔb=ʒε=zɑ̃=sjɛ̃=ʃa=kə=pa=fə=zε=ʁe=zɔ=ne=œ̃=ne=ʃo=e=tʁɑ̃=ʒə=kɔ=mə=si=la=pjε=səεllə=mε=mə=ʁεs=pi=ʁε 78

lapʁə=mjε=ʁəe=pʁə=və=kɔmɑ̃sə=mɛ̃=tə=nɑ̃=di=la=ɡaʁ=djε=nə=dy=nə=vwa=du=sə=mεfεʁmə 20

ma=ε=va=sa=pʁo=ʃa=dy=ɡlɔbəɑ̃=sjɛ̃=lεliɲə=ly=mi=nø=zə=ki=ʁə=ljε=lε=ljø=syʁ=la=kaʁ=tə=də=la=vi=lə=sɑ̃=blε=pyl=se=kɔ=məœ̃=kœʁ=sε=kʁε=lə=kaʁ=nε=ɛ̃=di=kε=œ̃=sɛ̃=bɔ=lə=paʁ=ti=ky=lje=y=nə=mε=zɔ̃=o=bɔʁ=dœ̃=ka=nal=maʁ=ke=dy=nə=ɡu=tə=do=e=dy=nə=pje=ʁə 71

vudə=ve=vuʁɑ̃dʁə=syʁ=pla=səe=tʁu=ve=la=kle=dy=pʁo=ʃɛ̃=ɛ̃=di=sə=εk=spl=ka=la=ɡaʁ=djε=nə=mε=za=tɑ̃=sjɔ̃=lε=ʃə=mɛ̃=nə=sɔ̃=pa=tu=ʒuʁ=sə=kil=sɑ̃=ble=εtʁə 40

ma=ε=vapʁiynə=pʁɔ=fɔ̃=dəɛ̃s=pi=ʁa=sjɔ̃=εl=lə=sa=vε=kə=ʃa=kə=pa=la=ʁa=pʁo=ʃε=dy=sε=kʁε=fi=nal=mε=zo=si=dε=dɑ̃=ʒe=ka=vε=e=vɔ=ke=la=ɡaʁ=djε=nə=εl=lə=sɔʁ=ti=də=la=sa=ləe=ʁə=mɔ̃=ta=dɑ̃=la=vi=lə=nɔk=tyʁ=nə=lε=ʁy=sɑ̃=blε=di=fe=ʁɑ̃=tə=ʃaʁ=ʒe=dy=nəo=ʁa=mis=te=ʁjø=zə=lə=kaʁ=nε=vi=bʁε=le=ʒε=ʁə=mɑ̃=dɑ̃=sɔ̃=sak=kɔ=mə=puʁ=la=ɡi=de 94

o=bɔʁ=dy=ka=nal=εl=lə=tʁuvaynə=pə=ti=tə=mε=zɔ̃=de=kʁe=pi=lε=vɔ=lε=ze=tε=klo=e=puʁ=tɑ̃=y=nə=ly=mjε=ʁə=tʁɑ̃=blε=də=ʁjε=ʁə=ø=ɑ̃=sa=pʁo=ʃɑ̃=εl=lə=ʁə=maʁ=ka=œ̃=sɛ̃=bɔ=lə=ɡʁa=ve=syʁ=la=pɔʁ=tə=i=dɑ̃=ti=kəa=səl=ɥi=dy=kaʁ=nε=tʁɑ̃=blɑ̃=tə=εl=ləɛ̃=se=ʁa=la=kle=ɑ̃=sjε=nə=dɑ̃=la=se=ʁy=ʁə=œ̃=de=klik=ʁə=tɑ̃=ti=e=la=pɔʁ=tə=su=vʁi=syʁ=œ̃=nεs=ka=lje=ɑ̃=kɔ=li=ma=sɔ̃=de=sɑ̃=dɑ̃=dɑ̃=lɔp=sky=ʁi=te 111

la=pjεsə=sɥi=vɑ̃=təe=tε=siʁ=kylεʁə=lε=myʁ=ʁə=ku=vεʁ=də=fʁεsk=mis=te=ʁjø=zə=ʁə=pʁe=zɑ̃=tɑ̃=dε=sε=nə=də=la=vi=ləa=di=fe=ʁɑ̃=tə=ze=pɔk=o=sɑ̃=tʁə=œ̃=pje=dεs=tal=su=tə=nε=œ̃=pə=ti=kɔ=fʁə=ma=ε=va=sɑ̃=na=pʁo=ʃa=e=u=vʁi=lə=kaʁ=nε=lε=pa=ʒə=sɑ̃=blε=sa=ni=me=ʁe=ve=lɑ̃=œ̃=me=saʒə 78

səl=səl=ɥi=ki=ɔp=sεʁvəa=vεk=lə=kœʁ=e=la=ʁε=zɔ̃=puʁ=ʁa=de=vwa=le=lə=sε=kʁε 22

εllə=po=za=sε=mɛ̃=syʁ=lə=kɔfʁə=ynə=ʃa=lœʁ=dusə=lɑ̃=va=i=e=a=sə=mɔ=mɑ̃=pʁe=si=εl=lə=kɔ̃=pʁi=kə=lə=sε=kʁε=ne=tε=pa=sə=lə=mɑ̃=dɑ̃=lε=zɔb=ʒε=zu=lε=ljø=mε=dɑ̃=la=ma=njε=ʁə=dɔ̃=εllə=lε=pεʁ=sə=vε=lə=kɔ=fʁə=su=vʁi=lɑ̃=tə=mɑ̃=ʁe=ve=lɑ̃=œ̃=pɑ̃=dɑ̃=tif=ɑ̃=sjɛ̃=ɑ̃=fɔʁ=mə=də=ɡu=tə=do=ɛ̃=kʁys=te=də=pje=ʁə=sɛ̃=ti=jɑ̃tə 88

sə=pɑ̃=dɑ̃=tif=εk=spl=kaynə=vwadə=ʁjε=ʁəεllə=ε=la=kle=də=la=ve=ʁi=te=il=ʁə=li=lə=mɔ̃=də=vi=zi=bləa=səl=ɥi=kə=vu=kɔ=mɑ̃=se=za=de=ku=vʁiʁ=mε=su=və=ne=vu=ma=ε=va=ʃa=kə=sε=kʁε=a=œ̃=pʁi 53

alɔʁkεllə=lə=vε=lε=ziø=εl=lə=vit=ynə=si=lu=ε=tə=fa=mi=ljε=ʁə=sə=de=si=ne=dɑ̃=lɔ̃bʁə=lɔ=mə=dy=pɔ̃=sɔ̃=ʁə=ɡaʁ=sε=tə=fwa=ne=tε=plys=mə=na=sɑ̃=mε=zɑ̃=pli=dy=nə=ɡʁa=vi=te=ʁεs=pεk=tɥøzə 50

vu=za=ve=fʁɑ̃ʃilapʁə=mjε=ʁəe=pʁə=və=ma=ε=va=di=til=mε=lə=ʃə=mɛ̃=nə=fε=kə=kɔ=mɑ̃se 22

lə=pɑ̃=dɑ̃=tif=ɑ̃fɔʁmə=də=ɡutə=do=sɛ̃=ti=jε=fε=blə=mɑ̃=dɑ̃=lε=mɛ̃=də=ma=ε=va=εl=lə=sɑ̃=tε=y=nəe=nεʁ=ʒi=du=sə=mε=pɥi=sɑ̃=təe=ma=ne=də=lɔb=ʒε=kɔ=mə=si=lə=tɑ̃=lɥi=mε=mə=vu=lε=lɥi=paʁ=le=lɔ=mə=dy=pɔ̃=sa=pʁo=ʃa=e=po=za=sa=mɛ̃=syʁ=le=po=lə=də=ma=ε=va 73

ʃakə=sεkʁεkə=ty=de=ku=vʁi=ʁa=mɛ̃=tə=nɑ̃=tə=ʁa=pʁo=ʃə=ʁa=də=la=ve=ʁi=te=mε=za=tɑ̃=sjɔ̃=sεʁ=tɛ̃=tə=mε=tʁɔ̃=fa=səa=twa=mε=mə=di=til=dy=nə=vwaɡʁavə 39

ma=ε=va=o=ʃalatεtə=εl=lə=sɑ̃=tε=la=pœʁ=e=lεk=si=ta=sjɔ̃=sə=mε=le=dɑ̃=sɔ̃=kœʁ=mε=zy=nə=de=tεʁ=mi=na=sjɔ̃=nu=vεllə=la=bi=tε=εl=lə=sa=vε=kə=puʁ=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=lə=kaʁ=nε=εl=lə=də=vε=sɥi=vʁə=sε=zɛ̃=di=ka=sjɔ̃=fʁɑ̃=ʃiʁ=ʃa=kəe=ta=pəe=fε=ʁə=kɔ̃=fjɑ̃=səa=sɔ̃=nɛ̃s=tɛ̃ 72

lə=kaʁ=nε=la=kɔ̃d=ɥi=ziaynə=se=ʁi=də=ljø=zɑ̃=sjɛ̃=dɑ̃=la=vi=lə=œ̃=te=a=tʁəa=bɑ̃=dɔ=ne=y=nəɔʁ=lɔ=ʒə=mis=te=ʁjø=zə=dɔ̃=lε=zεɡ=ɥjə=sɑ̃=blε=a=vɑ̃=se=a=lœʁ=pʁɔ=pʁə=ʁit=mə=e=œ̃=ʒaʁ=dɛ̃=ka=ʃe=də=ʁjε=ʁəœ̃=myʁ=də=pje=ʁə=a=ʃa=kə=ɑ̃=dʁwa=εl=lə=tʁu=vε=dε=zɛ̃=di=sə=ɡʁa=ve=zu=ka=ʃe=ʃa=kœ̃=lje=o=sɥi=vɑ̃=paʁ=œ̃=sɛ̃=bɔ=lə=dy=kaʁ=nε 92

o=te=atʁə=εl=lə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁa=œ̃=vjεj=ɔʁ=lɔ=ʒe=ki=kɔ=nε=sε=lε=sεkʁεdə=lɑ̃=sjε=nə=vi=lə=il=lɥi=mɔ̃=tʁa=œ̃=me=ka=nis=mə=ka=ʃe=də=ʁjε=ʁə=la=sε=nə=u=œ̃=pə=ti=kɔ̃=paʁ=ti=me=kɔ̃=tə=nε=y=nə=kle=mi=njatyʁə 57

ʃakə=kle=εk=spl=ka=til=u=vʁəœ̃=nas=pεdə=la=ve=ʁi=te=mε=la=ve=ʁi=te=kɔ̃=plεtə=sε=twa=sə=lə=ki=pø=la=sɑ̃=ble 30

ma=ε=vakɔ̃pʁikə=la=kε=tə=ne=tε=pa=sə=lə=mɑ̃=fi=zi=kə=mε=zɛ̃=te=ʁjə=ʁə=ʃa=kəe=niɡ=mə=la=pu=sε=a=ʁe=fle=ʃiʁ=a=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=lε=sɛ̃=bɔ=lə=a=ʁə=lje=lε=ljø=ze=lε=zis=twa=ʁə=zɑ̃=tʁə=ø=εl=lə=sə=sɑ̃=tε=plys=fɔʁ=tə=plys=ze=vε=je=kɔ=mə=si=lə=kaʁ=nε=e=lə=pɑ̃=dɑ̃=tif=lɥi=tʁɑ̃s=mε=tε=œ̃=sa=vwaʁ=ɑ̃=sjɛ̃ 84

ɑ̃=fɛ̃=lə=kaʁ=nε=la=kɔ̃d=ɥi=zi=a=la=dεʁ=njεʁəe=pʁə=və=ynə=pjεsə=ka=ʃe=su=lɑ̃=sjε=nəɔʁ=lɔ=ʒə=də=la=vi=lə=lə=tɑ̃=sɑ̃=blε=sε=tʁəa=ʁε=te=o=sɑ̃=tʁə=œ̃=ɡʁɑ̃=sεʁ=klə=ɡʁa=ve=dɑ̃=lə=sɔl=ɑ̃=tu=ʁe=də=sɛ̃=bɔ=lə=zi=dɑ̃=tik=za=sø=dy=kaʁ=nε=e=dy=pɑ̃=dɑ̃=tif=ma=ε=va=kɔ̃=pʁi=kεllə=də=vε=po=ze=lə=pɑ̃=dɑ̃=tif=osɑ̃tʁə 84

lɔʁskεllə=lə=fi=ynə=ly=mjεʁə=du=səe=ʃo=dəɑ̃=pli=la=pjε=sə=dε=zi=ma=ʒə=də=la=vi=lə=dy=pa=se=e=də=sø=ki=a=vε=pʁɔ=te=ʒe=sε=sε=kʁε=za=pa=ʁε=sε=o=tuʁ=dεllə=εl=lə=vit=la=syk=se=sjɔ̃=dε=ɡaʁ=djɛ̃=tus=pɔʁ=tɑ̃=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=də=pʁɔ=te=ʒe=lə=sa=vwaʁ=dy=kaʁ=nε=e=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=εl=lə=kɔ̃=pʁi=lə=ve=ʁi=ta=blə=sε=kʁε=ne=tε=pa=œ̃=nɔb=ʒε=u=œ̃=ljø=mε=la=me=mwa=ʁə=vi=vɑ̃=tə=də=la=vi=ləe=də=sø=ki=la=vε=pʁe=zεʁ=ve 121

lɔmə=dy=pɔ̃=e=la=ɡaʁ=djε=nəa=pa=ʁy=ʁe=a=sε=ko=te 15
ty=a=ʁe=y=si=ma=ε=va=di=la=ɡaʁ=djεnə=la=kɔ=nε=sɑ̃=səe=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=sɔ̃=de=zɔʁ=mε=tjεnə=lə=kaʁ=nε=kɔ̃=tin=ɥə=ʁadə=vi=vʁəa=tʁa=vεʁ=twa=mε=su=vjɛ̃=twa=ʃa=kə=sε=kʁε=pʁɔ=te=ʒe=ε=tœ̃=ʃwa=kə=ty=fε=puʁ=lə=mɔ̃=də=e=nɔ̃=puʁ=twa=sə=lə 68

ma=ε=va=sɑ̃=ti=œ̃=me=lɑ̃ʒə=də=fjεʁ=te=də=kʁɛ̃=təe=də=se=ʁe=ni=te=εl=lə=savεkə=sa=vi=və=nε=də=ʃɑ̃=ʒe=a=ʒa=mε=la=vi=lə=kεllə=kʁwa=jε=kɔ=nε=tʁə=ne=tε=plys=sə=lə=mɑ̃=œ̃=nɑ̃=dʁwa=fa=mi=lje=mε=zœ̃=la=bi=ʁɛ̃=tə=vi=vɑ̃=də=sε=kʁε=dis=twa=ʁə=ze=də=su=və=niʁ=za=pʁe=zεʁ=ve 76

alɔʁkεllə=ʁə=mɔ̃=tε=a=la=syʁ=fasə=lə=sɔ=lεj=kɔ=mɑ̃=sε=a=pεʁ=se=lε=nɥ=a=ʒə=i=ly=mi=nɑ̃=lε=pa=ve=zɑ̃=kɔ=ʁəy=mi=də=εl=lə=ʁə=ɡaʁ=da=la=vi=ləo=tuʁ=dεlləa=vεk=œ̃=ʁə=ɡaʁ=nəf=ʃa=kə=ʁy=εllə=ʃa=kə=pɔ̃=ʃa=kə=ʁə=flε=syʁ=lo=lɥi=paʁ=lε=de=zɔʁ=mε=εl=lə=su=ʁi=sa=ʃɑ̃=kə=sɔ̃=na=vɑ̃=ty=ʁə=və=nε=də=kɔ=mɑ̃=se=e=kə=lε=mis=tε=ʁə=dy=kaʁ=nε=kɔ̃=tin=ɥə=ʁε=a=la=ɡi=de=a=la=tʁɑ̃s=fɔʁ=me=e=a=lɛ̃s=pi=ʁe=puʁ=lə=ʁεs=tə=də=sa=vi 119

Historique des Modifications

01/10/2025 07:18
01/10/2025 07:14

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
30/09/2025 18:25Anya

Quand on commence à lire ce texte on ne peut plus le lâcher tant il est bien écrit empreint d’émotions de suspense et d’imagination, on n’a plus qu’un désir connaître les secrets, aller jusqu’au bout de cette belle histoire Bravo Albert! Un coup de coeur bien sûr!

Auteur de Poésie
02/10/2025 11:46Oiseau-Lyre

J’ai ressenti la même chose qu’Anya: c’est tellement bien écrit, plein de mystères, un peu à la "Da Vinci Code", que j’avais envie de lire la fin tout de suite, mais j’ai tenu et adoré! Un CDC bien mérité!

Prose Mystère
Du 30/09/2025 11:02

L'écrit contient 2979 mots qui sont répartis dans 78 strophes.