Prose:Orage
La Prose
Un nuage de déprime passe au dessus de ma tête, je lève les yeux et il s’éternise. Un incendie se déclenche dans mon cœur et mon esprit et ravage ma santé m’abandonnant à la folie. Une pluie de problème s’abat sur moi, je tremble de froid et n’y pense même pas. Peu importe si je tombe malade et si je m’effondre tant que vous vous serez debout. Le ciel s’illumine d’un éclair et me montre tous ce qui m’entoure : un désert désolé où tous semble finit. Fébrilement, je cherche une fleur qui aurait survécu à l’incendie de mes pensées sombres. Rien… le froid, l’obscurité un rideau de pluie et un feu qui ne s’éteint pas et qui brûle là-bas tout près de moi. Un froid macabre, un lumière funeste dans le noir, des larmes de douleurs…
Poète Alyssandre
Alyssandre a publié sur le site 50 écrits. Alyssandre est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète AlyssandreSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Orage
œ̃ nɥaʒə də depʁimə pasə o dəsy də ma tεtə, ʒə lεvə lεz- iøz- e il setεʁnizə. œ̃n- ɛ̃sɑ̃di sə deklɑ̃ʃə dɑ̃ mɔ̃ kœʁ e mɔ̃n- εspʁi e ʁavaʒə ma sɑ̃te mabɑ̃dɔnɑ̃ a la fɔli. ynə plɥi də pʁɔblεmə saba syʁ mwa, ʒə tʁɑ̃blə də fʁwa e ni pɑ̃sə mεmə pa. pø ɛ̃pɔʁtə si ʒə tɔ̃bə maladə e si ʒə mefɔ̃dʁə tɑ̃ kə vu vu səʁe dəbu. lə sjεl silyminə dœ̃n- eklεʁ e mə mɔ̃tʁə tus sə ki mɑ̃tuʁə : œ̃ dezεʁ dezɔle u tus sɑ̃blə fini. febʁiləmɑ̃, ʒə ʃεʁʃə ynə flœʁ ki oʁε syʁveky a lɛ̃sɑ̃di də mε pɑ̃se sɔ̃bʁə. ʁjɛ̃… lə fʁwa, lɔpskyʁite œ̃ ʁido də plɥi e œ̃ fø ki nə setɛ̃ pa e ki bʁylə la ba tu pʁε də mwa. œ̃ fʁwa makabʁə, œ̃ lymjεʁə fynεstə dɑ̃ lə nwaʁ, dε laʁmə- də dulœʁ…Récompense
Commentaires Sur La Poesie
05/12/2011 16:32Marcel42
L’espoir devrait toujours accompagner les coeurs généreux.
Cordialement,
Marcel.

05/04/2012 18:20Kabda
Tu sais, c’est dans le désert que les choses ont le plus de valeur. Tu as autour de toi une quantité d’espace et de sable. N’attend pas de voir quelque chose, construis la tu en seras d’autant plus fière.
J’ai vraiment apprécié la lecture de ce texte. Malgré son obscurité il me rappel mes jours de soleil noir. je compati de ce que je peux, derrière la vitre opaque de l’internet.
Prose - Sans Thème -
Du 04/12/2011 22:49
L'écrit contient 148 mots qui sont répartis dans 1 strophes.