Poème:Étend Petite

Je me souvien étend petite,
Quand je faisait la chasse au mites,
Que je n’avais jamais peur de rien,
Que je ne faisait pas la différence du mal et du bien,
Du froid et du chaud,
Je composait des numéros,
Au hasart sur mon téléphone,
Je n’avait que sa a faire pars se temps monotone.
Que de bon souvenir,
Comme le premier jour que j’ai eu le droit de sortir,
Toute seul, avec ma soif d’aventure,
Je mis mon blouson, mes chaussure,
Je pris mon vélo,
Il ne faisait pourtand pas trés beau,
Mais sa m’étais égal,
Je fis une grande déscente, un régal,
Pour finir dans un petite forêt,
Que j’adorait,
Qui par contre à maintenant disparut,
Il n’y a plus qu’un seul arbre tordu,
A la place un de ses imeuble imonde,
Qui gache la vue du monde,
J’y étais donc arriver,
Lorsque je vit deux chien dérrière moi,
Qui voulait chaparder,
Mes barres de chocolats,
Se fut un grand éclat de rire,
Je chantais « Je ne suis pas de cire, … »
Etand petite, jeune et intrépide,
La tête encore bien vide,
Parcourant les champs,
Courant,
A perdre haleine,
Regarde et révant du « top ten »,
A la télévision,
S’étais le bon temps, que d’émotion.