Poème:Dans Le Creux Des Proses De Brocéliande…

Devant l’onirique statue, se terre une grotte aux allures angéliques, dans ce matin du permanant printemps qui baigne la sylve, une brume clair s’est levée, douchant d’une lueur diffuse les contours éclipsée du lac…
La vie semble naître de cette forets aux allures féeriques… mais seuls deux âmes vivent en ces lieux…
L’aven semble appeler le voyageur égarer, lui offrir asile et repos… Il attire, jusqu’à happer celui qui s’en approche…
Ça y est, nous y somme…
Le quartz, l’améthyste et la célestine forment d’immenses fleures cristallines étincelant sous les feux des luminescentes fées voltigeant dans la mirifiques cathédrale de cristal…
Une rivière souterraine coule ses méandres sur un banc d’émeraudes scintillantes, les fées ont ici élu domicile, la beauté des lieu s’en ressent d’autan plus, l’intérieure de la caverne brille d’une lumière qui semble absente, elle ne provient ni des murs, ni des pierres, ni de rien, elle est juste là.
Là, notre voyageur égarer se perd en contemplation, il reste là, et là, se termine. Pourtant, nul squelette ne se perd sur le sol de fleurs immuables…
Un tunnel sort de l’aven, déjà, la distance de milles battements d’ailes à été traversée sous le marne, et nous ressortons de l’autre cotée du lac.
Il fait nuit.